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Alexia en mission
Chapitre 9 : Pauline tombe le masque
Le commandant G. roulait sechement et nerveusement, ne prenant pas de précautions dans les virages. Il le faisait exprès
pour bien balloter cette petite salope d'agent K. ! Il s'était ouvert à elle et elle piétinait ses sentiments !
Elle veut etre une chienne pour sa copine Pauline ! Hé bien le coffre, elle allait apprendre à vivre avec pour ses
déplacements ! Il donna un gros coup de volant superflu juste pour qu'elle soit encore bien secouée!
Quelle pute ! Elle sera à sa place sur le trottoir ! Elle ne pense qu'à mouiller plus et se faire humilier par tout ce
qui passe ! Il tapa rageusement du poing sur le volant !
A la vitesse qui était la sienne, le voyage fut beaucoup plus court qu'habituellement.
Alexia, nue et mains menottée dans le dos, se sentait mal dans le coffre. Elle avait l'impression d'étouffer, elle se
sentait à l'étroit. Elle ne cessait en plus de glisser de tout coté, se cognant contre les parois du coffre sans
pouvoir anticiper le sens de la glissage suivant. Elle se sentait aussi mal à l'aise de ne pas s'etre un peu plus
impliquée avec le commandant, d'etre restée aussi distante avec lui. Elle comprenait maintenant qu'il pouvait prendre
son attitude pour un semi-rejet et qu'il était sûrement en colère après elle et après lui-même. Il avait entrouvert
son armure et elle avait pratiquement plongé un couteau dans son coeur...
Elle hurla alors qu'elle heurtait la paroi du siège arrière tres brutalement. La voiture venait de s'arreter net.
Le bruit des pneus maltraités se fit entendre, strident !
Le commandant, laissant le moteur tourner, descendit de voiture et ouvrit le coffre. Alexia sentit une poigne se
refermer dans sa chevelure pour la tirer par la tete. Elle se sentit aussi pénétrée dans ménagement, par surprise,
index, majeur et annulaire du commandant dans son vagin, pouce dans son rectum et elle hurla alors qu'il la soulevait
et la sortait du coffre ainsi avant de la laisser plus ou moins tomber sur le sol.
Elle vit qu'elle était devant la maison de Pauline, la voiture du commandant en double file, et elle donc à terre nue sur
la route de cette petite rue résidentielle de banlieue, une vingtaine de maison sur 500m de voie, souffrant de ses
orifices martyrisés par le crochetage de doigts.
Avant de pouvoir réfléchir plus longuement, elle se retrouva mise à genoux, toujours tirée par les cheveux pour etre
positionnée ainsi et se prit une paire de gifles sur les joues.
- Nettoie la chienne !
La voix était dure, froide, rabaissante. Alexia obéit tout de suite et lapa les doigts présentés sous son nez.
Une fois son ouvrage terminé, elle essaya d'exprimer ses regrets, de lui faire comprendre qu'elle ne le rejetait pas mais
qu'elle n'était pas prete à s'investir avec qui que ce soit pour le moment.
Avant qu'elle puisse prononcer un mot, elle se prit une nouvelle paire de gifles et se retrouva cul par terre.
- n'oublie pas ta mission ! Demain soir, rue Malotru, tu feras la pute de 22h à 3H du matin !
- Bien mon commandant ! Je voulais vous dire que je ne voulais pas vous faire de peine, que j'ai besoin de réfléchir mais
que je ne rejetais pas du tout vos sentiments pour moi mais que je dois faire le point sur les miens...
Elle avait continué sa tirade jusqu'au bout, pour que cela lui fasse du bien de prononcer ces mots mais elle savait
qu'il n'en avait rien entendu. La voiture était partie alors qu'elle n'avait même pas encore donné son assentiment pour le
lendemain soir.
Elle se remit debout difficilement mais pas question de rester plus longuement en plein milieu de la route. Elle était
visible de presque toutes les maisons à cet endroit. Elle se retrouva devant la barrière de la maison de Pauline.
Une grille haute se dressait devant elle, donnant accès à une allée en gravillons menant jusque la porte principale
ainsi qu'au garage. La cloture consistait en grillage rigide et haies de thuyas.
Un seul problème pour Alexia, la sonnette ! Sa petite taille ne l'avait jamais dérangée pour sonner jusqu'à ce jour.
Elle était menottée mains dans le dos et quand on mesure 1m57, et que l'on ne dispose plus que de son nez pour sonner,
toute sonnette semble un peu haute.
Elle se mit à sautiller sur la pointe des pieds, donnant des coups de nez vers le bouton de sonnette, s'en servant comme
un pic-vert de son bec. Elle se sentait ridicule et son nez à chaque loupé lui procurait un peu plus de douleur.
Après quelques minutes de cet exercice, elle émit un soupir de soulagement, elle entendit enfin le bruit de la sonnette
qui se déclenchait. Pourvu que ce soit Pauline qui réponde !
Elle n'avait jamais gagné au loto, au loto de la sonnette non plus !
- Nous n'avons besoin de rien !
La voix était celle de la mère de Pauline !
- C'est Alexia madame, une amie de Pauline !
- Alexia ! Connais pas !
Le silence retomba sur la rue. Elle avait mis fin à la conversation. Pas très sociable madame mère !
Alexia reprit sa danse devant la sonnette et mit un peu moins de temps cette fois pour réussir à sonner une deuxième fois.
- Nous n'avons besoin de rien !
Cela devait etre son argumentaire de base en soirée !
- C'est toujours Alexia, je viens voir Pauline !
- Il est tard ! Elle est couchée !
- Mais il n'est que 20h environ madame !
La conversation fut de nouveau coupée au grand desespoir d'Alexia. Jamais deux sans trois ! Elle reprit ses petits sauts
et son activité de pic-vert pour sonnette.
- Nous n'avons pas besoin de vous mademoiselle !
Un changement ! C'est toujours bon le changement dans une attitude aussi fermée !
- Je vous en supplie madame ! A l'aide ! J'ai été agressée !
Nouveau silence ! Et l'assistance à personne en danger ! Quelle salope !
La porte de la maison s'ouvrit laissant place à une quadragénaire blonde aux cheveux raides en carré.
- Qu'est ce que vous faites nue devant chez moi !
- Je dois voir Pauline madame ! Appelez là s'il vous plait !
- Eloignez vous de chez moi petite putain où j'appelle la police !
Et la porte reclaqua brutalement. Alexia était desespérée. Elle ne tenait pas à passer la nuit au poste de police.
Elle doutait que le commandant intervienne pour la sortir de cellule !
Plus question de sonner donc ! Elle examina la cloture. C'etait haut et sans l'aide de ses mains, cela lui paraissait
infranchissable. Elle alla jusqu'au coin à la jonction avec la résidence du voisin de gauche. Il y avait un petit muret
avec une haie de troènes derrière. Si elle grimpait sur le muret, elle pourrait sauter au dessus du grillage pour
atterrir chez Pauline. C'etait risqué mais moins que de rester trop longtemps sans défense et nue dans la rue.
Elle pouvait se faire agresser à tout moment ! Quel malheur d'etre si petite ! Elle dut se contorsionner pour mettre
son ventre sur le muret et se basculer dessus, afin de pouvoir prendre pied dessus, après avoir effectué une rotation
tres douloureuse. Avoir les mains dans le dos, ce n'était pas non plus idéal pour l'équilibre, elle avait l'impression
d'etre comme un funambule sur un fil à 20m au dessus du sol, sans rien pour s'équilibrer.
Elle remonta le mur jusque la cloture de Pauline. Le grillage était un peu plus haut ! Impossible de l'enjamber, il
n'y avait rien pour prendre appui de l'autre coté ! Elle allait devoir prendre un peu d'élan pour faire un saut au dessus
du grillage tout en s'écartant un peu sur sa gauche pour ne pas s'empaler sur la cloture qu'elle aurait à sa droite
une fois le saut fait!
Les thuyas n'étant pas collés à la cloture, elle devrait pouvoir éviter de s'en prendre un dans la figure et pouvoir se
réceptionner à terre ! Si tout se passait bien...Jusqu'ici, elle n'avait pas eu trop de chance...
Elle se recula pour prendre quelques pas d'élan. Le mur lui semblait encore plus étroit maintenant ! Courir à pieds nus
là-dessus menottée, cela semblait plus simple dans les films ce genre de choses !
Elle ferma les yeux pour vite les rouvrir ! Mauvaise idée que de les fermer, elle avait l'impression de tanguer et de
risquer de chuter à tout instant !
Assez réflechi ! J'y vais se dit Alexia et elle s'élança et prit son envol. Ses pieds passèrent bien au dessus du grillage
mais elle était trop proche de la cloture, elle donna un petit coup de pied dedans pour s'en écarter et se prit les
thuyas sur la gauche de son corps, basculant et chutant sur le sol tout en se griffant une partie de son dos.
Elle resta à terre quelques instants, sonnée, ayant du mal à respirer suite à sa chute, essayant de faire le point sur
ses douleurs pour se rassurer.
Cela semblait aller finalement. Elle rampa sur le ventre, les seins dans la terre, pour se faire glisser sous les thuyas
et arriver dans le gazon. Le contact de l'herbe lui fut d'un grand réconfort. Elle s'y allongea heureuse, regardant
les cieux. Elle était enfin entrée !
Elle en profita pour réfléchir un peu. Coté porte, elle risquait de retomber sur la mère de Pauline et de se faire mettre
hors de la propriété manu militari, donc à éviter ! Un saut mais pas deux ! Trop dangereux !
Sur les cotés, pas de fenètre ! Derrière, il y avait le salon ! Avec un peu de chance, peut-etre que Pauline s'y trouvait !
Sinon, il y avait la chambre de sa soeur ! Peut-etre qu'elle pourrait lui demander de prévenir Pauline !
Une fois relevée, Alexia s'empressa de filer à l'arrière de la maison. De coté par rapport à la baie vitrée, elle
regarda à l'intérieur. Elle se recula aussitôt pour se plaquer contre le mur de la maison. La propriétaire des lieux
était là ! Toujours là où l'on n'avait pas envie qu'elle soit !
Bon ! Pas question de se faire prendre ici ! Alexia quitta la terrasse sur laquelle elle avait pris pied pour rejoindre
le gazon et ramper dedans, à couvert grace au dénivelé. Elle regrimperait à l'autre bout pour approcher la fenêtre de
Mélanie, la soeur de Pauline.
Elle commença à ramper sur la gazon, heureuse de n'etre vue par personne. Elle se mouvait en remontant ses fesses en l'air
et en s'aidant du menton pour ne pas prendre tout son poids sur ses seins et les abimer sur le sol. Ses tétons lui
faisaient déjà suffisamment comprendre qu'ils n'était pas satisfaits de son attitude envers eux !
Elle fit donc la chenille sur une quinzaine de mètres avant d'etre stoppée net dans sa progression.
- Tu ne m'avais pas dit que c'était une chienne Pauline ?
- Si si Mél c'en est une ! Enfin surtout c'est MA chienne !
- On dirait un ver de terre pourtant !
- T'as déjà vu un ver de terre avec un cul pareil ?
- Une chienne non plus je te signale ! Alors ne chipote pas ! Une chienne ça se déplace à 4 pattes !
- Elle est peut etre en partie paralysée !
- Elle est vieille à ce point là ? Je croyais qu'elle avait ton age !
- oui mais en age canin, cela fait plus d'un siècle !
Des rires mélés retentirent !
- Vous me regardez depuis combien de temps ?
- Depuis ton envol !
- Oui joli saut !
- Pas tres stylé je trouve !
- Tu critiques toujours tout Mél !
- Mais vous etes des salopes toutes les deux ! Vous auriez pu m'ouvrir la barrière !
- J'allais le faire mais Mél m'a dit de patienter !
- J'ai eu raison non ? C'est bien plus amusant !
- Te voir ramper comme cela ! C'est trop top !
- Tu as un joli cul ! Ca donne envie de revoir ça souvent !
- Vous etes des petites enculées !
- A la fin de la soirée, tu en seras une bien pire que nous !
- Mél ! Ne lui dit pas tout !
Mélanie se leva pour approcher d'Alexia et la soulevant par le menton, elle lui balança 2 paires de gifles.
Ca c'est pour le salope et le enculée ! Mélanie était une jolie blonde de 16 ans, aux cheveux longs, comme sa soeur ainée.
Elle avait la même taille, 1m70 et était aussi fine que Pauline, avec cependant de petites fesses rondes et surtout
comme sa mère et sa soeur, une poitrine tres forte, 95D, ce dont chacune était très fière !
- Je peux t'aider à l'éduquer?
- Mél ! C'est MA chienne ! Tu n'as qu'à t'en trouver une ! J'ai eu du mal à trouver celle-ci déjà ! Cela fait des années que
je la travaille mentalement pour cela !
- T'es égoiste !
- Oui ! Tu pourras regarder mais tu ne touches pas ! Sauf si je te la prète !
- Tu me la prèteras ?
- Oui oui promis !
- Hep ! Les filles ! Je ne suis la chienne de personne !
Pauline se leva à son tour et la gifla plus durement que Mélanie, les claques ne tombant pas sur ses joues mais sur
ses seins, de chaque coté extérieur. Alexia hurla de douleur et tomba tête en avant dans le gazon, à moitié dans les pommes.
- Qu'est ce qui se passe les filles ?
- Rien maman ! C'est la chienne !
- Vous ne pouvez pas la dresser pour qu'elle fasse moins de bruit !
- C'est prévu maman !
- Pauline ! Tu as une amie à toi qui est passée ! Elle m'avait l'air bizarre ! Elle était à poil comme une chienne !
- C'est elle maman !
- Tu aurais pu me le dire ! Je lui aurai ouvert !
- Je pensais que tu comprendrais maman !
- Tu m'as dit que tu allais adopter une chienne ma chérie pas que ton amie viendrait nue à la maison !
- Elle a été agressée en venant maman, elle n'a plus de vetement et elle est menottée mains dans le dos ! C'est elle qui
devait amener la chienne !
- Je croyais que tu m'avais dit que c'etait la chienne qui avait hurlé !
- C'est parce que j'appelle Mélanie et Alexia comme ça maman ! C'est entre jeunes ! On s'appelle souvent chienne ou
putain pour s'amuser !
- Il faudra commander une autre chienne alors ce n'est pas grave ma chérie, tu devras juste attendre un peu !
- Alexia va me consoler en attendant maman !
- Tu pourrais la liberer ta pauvre amie et lui donner de quoi s'habiller aussi ! Elle a du avoir de grosses frayeurs !
Je vais appeler la police !
- Ho non non madame ! Ils m'ont juste pris mes vetements et la chienne ! Ce n'est rien ! J'ai peur des représailles si
je parle à la police !
- Tu es sure ma chérie ? Parce que tu as du tout de meme te promener nue menottée dans les rues ! Il y a de quoi porter
plainte !
- Maman ! N'insiste pas ! Comprends là ! S'il faut faire une reconstitution, elle va se retrouver à poil devant un tas
d'hommes ! ce sera pire que ce qu'elle vient de vivre !
- Je n'y avais pas pensé ! En effet ma chérie !
Pauline prit la clé au collier d'Alexia et lui libéra les mains. Une grosse claque sur ses fesses la fit vite se pencher
pour prendre sa position de chienne, alors qu'elle avait entrepris de se masser les poignets.
- Ha voilà ! Comme cela elle est mieux ! dirent en coeur Mélanie et sa mère.
- Je vais la loger dans ma chambre pour la nuit maman ! Elle a besoin de réconfort maintenant ! dit Pauline en lui
massant le haut du dos, Alexia toujours à genoux.
Alexia n'en revenait pas de tous ces échanges ! Qu'est ce que c'est que cette famille ! Pauline ne lui avait jamais dit
etre complice à ce point avec sa soeur ! Jamais elle ne s'était doutée pouvoir être une chienne comme cela ! Et sa mère
qui ne s'était même pas choquée de la voir nue, menottée ! Se doutait elle de quelque chose ?
Peut etre pas, elle semblait sincère pour la police !
- Je vais te donner une de mes nuisettes avant que l'on passe à table !
- Bonne idée Pauline et toi Mél, dresse la table sur la terrasse, il fait bon ce soir, il faut en profiter ! Je vais
préparer le repas !
- Allez viens ma belle dit Pauline en tapotant les fesses d'Alexia.
- Chérie ! Ta copine dépend un peu de toi en raison de la situation ! N'en profite pas ! Ce n'est pas parce qu'elle
se sent redevable de toi que tu dois en jouer !
- Oui oui maman !
Les deux amies montèrent à l'étage pour gagner la chambre de Pauline. A peine la porte franchie, une claque sonna à
moitié Alexia.
- Quand nous ne sommes pas en présence de ma mère à un niveau de la maison, tu te mets tout de suite à 4 pattes ! Tu es
MA chienne à partir de maintenant ! Tache de ne pas l'oublier ! Sale bête !
- Oui Pauline ! Excuse-moi ! C'est nouveau pour moi !
- Il va falloir te dépecher d'apprendre ! J'ai montré beaucoup de patience à ton endroit ces derniers mois ! Maintenant
que tu es enfin ma chienne, il va falloir filer droit !
- Oui Pauline, je ne m'étais pas rendu compte de tes désirs !
- Evidemment ! Tu n'es qu'une cruche qui ne comprend jamais rien ! Pas faute de te tendre des perches pourtant !
Alexia rougit honteuse sous les reproches.
- Au pied ! Qu'est ce que c'est que ça !
Pauline venait de passer ses doigts entre les lèvres de sa chienne, les retrouvant souillés de sperme.
Alexia rougit encore un peu plus en voyant le liquide.
Pauline la gifla de l'autre main.
- C'est quoi ?
- Du sperme...
- Du sperme ?
- Oui Pauline.
- De qui ?
- De mon supérieur à Interpol...
- Bravo ! Belle mentalité ! Tu fais un jour de travail et tu couches déjà !
- ...
- Et tu en as aussi là dedans ?
Alexia poussa un glapissement. Pauline venait de lui enfoncer 2 doigts dans le cul et les y remuait pour le lui fouiller.
- Oui oui j'ai aussi été enculée !
- Par ton supérieur ?
- Oui par lui !
- Félicitations ! Tu vas bientôt avoir une promotion alors !
- Non non ! Ce n'est pas pour ça!
- Ce n'est pas par amour ?
- Non non ! Enfin je ne crois pas ! Je ne sais pas !
- Pauvre cloche ! On ne couche pas avec un homme que l'on aime alors qu'on vient juste de le rencontrer ! Il va te prendre
pour quoi ! D'abord, on ne tombe pas amoureuse de quelqu'un comme ça ! En plus tu l'as laissé t'enculer !
Qu'est ce que tu veux qu'il attende de toi maintenant que tu lui as tout donné ?
- Qu'il en veuille encore autant et plus souvent !
- Tu es irrécupérable ! Tu l'aimes ?
- Non non ! Je ne le connais pas !
- Tu lui donnes beaucoup pour quelqu'un que tu n'aimes pas !
- C'est compliqué ! Il a beaucoup pris par lui-même aussi !
- Ha oui ! Il veut alors tu veux !
- Je n'en suis pas fière !
- Tu veux qu'on en reparle plus tard?
- Dans quelques semaines oui !
- Ok dans 2 semaines !
- Va te laver ! J'aime avoir une chienne propre ! Et je n'ai pas l'intention de te laver moi-même ! Sauf si c'est pour
jouer à deux avec le jet d'arrosage ! Attends !
Pauline essaya d'ouvrir le collier d'Alexia mais la clé ne fonctionnait pas sur le cadenas.
- Désolée, je ne peux pas l'enlever ! Il va falloir te doucher avec ! Evite de le mouiller ! Du cuir mouillé, ça rétrécit
après !
- Merci pour le conseil Pauline !
- Dépeche toi chienne !
Pauline claqua fortement le cul d'Alexia en la poussant hors de sa chambre et l'envoya dans la salle de bain.
Alexia se glissa sous la douche et passa beaucoup de temps à éviter que l'eau ne frappe le collier.
Elle se nettoya bien les genoux et les mains, noircis par la terre, ainsi que ses seins.
Elle concentra ensuite son effort sur ses orifices, se nettoyant du sperme de son commandant, repensant à ses moments
avec lui, à cette relation étrange : moments de douceurs alternant avec des moments durs et les moments les plus
humiliants de sa courte vie. Et ce collier qu'il lui avait passé au cou et dont elle ne pouvait se défaire !
Elle allait etre la chienne de Pauline mais il s'était arrangé pour que le collier à son cou soit le sien !
Une façon à lui de se l'approprier ? Elle serait en prêt à Pauline ainsi ?
Il fallait qu'elle lui en reparle la prochaine fois qu'elle le verrait !
Elle poussa un cri en sortant de la douche, se retrouvant nez à nez avec Mélanie.
- Au pied ! Tu es une chienne ne l'oublie pas !
- Oui mademoiselle !
- Pauline a du te le dire ! Si maman n'est pas à notre niveau, tu agis en chienne !
- Je suis désolée madamoiselle, je vais assimiler les règles.
- C'est parce que Pauline ne veut pas mais s'il ne tenait qu'à moi, je te donnerais une bonne raclée pour te les apprendre !
- Et il ne tient pas qu'à toi Mél !
Pauline venait d'entrer à son tour dans la salle de bain. Alexia fila vite à ses pieds. Elle se sentait plus en sécurité
auprès d'elle qu'auprès de Mélanie. Et moins humiliée ! Etre la chienne d'une gamine de seconde, elle qui était étudiante,
cela lui semblait encore plus difficile !
- Belle chienne ça !
Pauline accompagna sa parole d'un défrisement en règle de la tête d'Alexia.
- Fais la belle ! Accroupie, cuisses écartées, croupe sur les talons, bras repliés, mains pendantes, langue sortie !
Alexia s'empressa de prendre la position, humiliée devant les 2 soeurs.
- Les filles ! Le repas est prêt ! Vous descendez !
- On arrive maman ! cria Mélanie allant dans le couloir pour répondre.
- Ecoute moi petite chienne ! dit Pauline pendant ce temps, nous allons descendre pour diner mais tu déclineras
poliment tout ce que ma mère te proposera, même si cela te semble délicieux ! Je dirais même surtout si cela
te semble délicieux ! Tu mangeras après quand nous serons seule ! Je m'occuperai moi-même de ton repas !
- Oui Pauline j'ai compris.
- Une bonne maitresse nourrit elle-même sa chienne !
- Oui je comprends, c'est normal.
- Bien ! Je crois que je vais réussir à faire de toi une chienne correcte finalement !
- Merci Pauline ! Et pour la fac ? On sera toujours amies ?
- Oui en dehors des moments seules à deux, on continue comme avant ! A part le fait que si tu me manques de respect
dans ta vie étudiante, cela aura des répercussions dans ta vie de chienne !
Pauline sourit devant l'air dérouté d'Alexia qui comprit que plus rien ne serait comme avant !
- Je t'ai trouvé un vetement ! Regarde comme c'est mignon !
Pauline lui agitait une nuisette en nylon blanche, presque transparente, avec des bords peluchés blancs.
Alexia l'enfila soumise et se releva sur l'indication de sa maitresse. Elle se regarda dans la glace et se trouva
indécente. La nuisette mettait en valeur toutes ses formes, ses seins se découpaient sous le tissu et ses tétons
semblaient agrandis par l'effet du tissu. Son pubis lisse et le découpage de ses lèvres étaient totalement
visibles, même pas une impression floutée à ce niveau là. L'arrondie de ses fesses était accentué par la coupe et sa raie
était nettement visible, le tissu fluide s'y logeant. La nuisette s'arretait juste sous ses fesses. Elle avait l'air
d'une poule de luxe !
- Tu me plais ! dit Pauline, lui déposant un bisou sur les lèvres puis la prenant dans ses bras pour lui enfoncer
sa langue dans la bouche et l'embrasser pleinement !
Cela commençait à devenir une habitude, toutes ses personnes qui lui prenaient la bouche sans qu'elle s'y attende !
Cependant ce n'était pas déplaisant et Alexia lui rendit son baiser ! Son premier vrai baiser avec une autre fille...
- Allez ! A table !
Pauline poussa Alexia, la main sur ses fesses, la tripotant tout en la dirigeant vers l'escalier.
A suivre...
Mes histoires vous plaisent, n'hésitez pas à m'écrire french_master@hotmail.fr