BDSM Library - Alice et sa maman

Alice et sa maman

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Synopsis: St�phanie est inqui�te, elle s\'absente pour le week-end et a du confier sa petite fille ador�e, Alice, � son voisin inqui�tant monsieur Pr�dat.

Alice et sa maman

Par BMC (byBforbeMformyCforcunt)


R�sum�.

St�phanie est inqui�te, elle s'absente pour le week-end et a du confier sa petite fille ador�e, Alice, � son voisin inqui�tant monsieur Pr�dat.

Qui est vraiment monsieur Pr�dat, Thor de son pr�nom; qu'elle ne connait pas tr�s bien? Un type bien et incompris ou un pervers.

Qui est vraiment St�phanie? Une maman aimante et attentionn�e ou une m�re indigne et une tra�n�e.

Qui est Alice? une gentille fille ou de la graine de salope en train de germer pr�te � entamer une descente aux enfers.

Vous le saurez peut �tre un jour.


Alice et sa maman


Une jeune maman c�libataire s'inqui�te pour sa Fille.


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Je suis folle d'inqui�tude depuis que j'ai quitt� la maison. Je n'arrive pas � chasser les visions malsaines qui me hantent.


Est-ce-que ce sont  des pr�monitions ou juste des angoisses qui se bousculent, je ne sais pas. J'ai promis � Alice de lui t�l�phoner lorsque je serais arriv�e, puis ce soir et demain soir. Il est pr�vu que je sois de retour dimanche vers 17 heures.


Je m'en veux d'avoir abandonn� Alice tout un weekend seule et sans baby-sitter, mais il est rigoureusement interdit d'emmener les enfants en s�minaire. Tout comme il est d�conseill� de refuser d'y participer, sous peine de licenciement dans les jours qui suivent.


Enfin elle n'est pas vraiment seule, monsieur Pr�dat sera avec elle, pas vraiment pour la surveiller, mais pour, quoi au juste je ne sais pas trop... A 13 ans � peine, elle ne les aura que dans 3 mois, elle est trop jeune, quoi qu'elle en dise, pour rester seule tout le weekend

Elle a eu beau supplier, mendier et promettre, je suis rest�e inflexible.


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Alice est un ange.


Je l'ai eue � presque 17 ans, suite � un accident de capote avec un petit con, beau gosse, pour lequel j'avais le b�guin. Il �tait plus �g� que moi, j'avais 16 ans, il en avait 20 et c'�tait le super canon. Toutes les filles du bahut en �taient amoureuses, une vrai star. Le salaud n'a pas mis longtemps � trouver le chemin de ma petite culotte.


Il en avait culbut� plus d'une avant moi et � continu� sur cette lanc�e apr�s m'avoir mise en cloque.


J'�tais �perdument amoureuse, je voulais me marier avec lui.  Il m'a largu�e comme un pr�servatif usag� en me traitant de petite conne et en me faisant bien comprendre que le lardon c'�tait mon probl�me, mais pas le sien. 


Mes parents en bon catholiques pratiquants, ont refus� l'avortement et m'ont oblig�e � l'�lever. Ils se sont mis � me regarder et � me traiter comme la pire des tra�n�e.


J'ai �t� d�scolaris�e, car j'avais plus de 16 ans et j'ai du prendre un travail de (sous) secr�taire, corv�able, dans une grosse boite de la r�gion.


Un travail ext�nuant de bonne � tout faire, du m�nage des bureaux, � la r�daction des bilans de fin d'ann�e en apportant le caf� avec le sourire � tout ceux qui claquaient des doigts.


J'�tais mal pay�e, aujourd'hui encore, je fais un maximum d'heures suppl�mentaires, sans contrepartie. j'aurais fait et je fais, n'importe quoi, juste pour ne pas �tre licenci�e.


J'aurais accept� de devenir le vide couilles de la compagnie si j'avais eu un patron branch� cul au lieu d'une garce s�che et froide, � cheval sur la moralit� de ses employ�s.


Souvent j'y pense lorsque je me masturbe seule dans ma chambre.


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La petite garce, a g�ch� ma vie. Je n'ai eu que quatre aventures depuis qu'elle est n�e, toutes ont tourn� court d�s que mes galants ont su que j'avais une mioche. Aucun n'a voulu s'engager plus, tous m'ont largu�e rap-ido avec des pr�textes bidons.

Je sais que je suis frustr�e sexuellement. Ma seule consolation, mon seul exutoire, c'est le godemichet que j'ai command� sur le net. Il est plus que de bonne taille, il ressemble � un sexe d'homme avec des veines en relief et tout, couilles comprises.

Il vibre plus ou moins vite, avec une petite excroissance qui me chatouille le clito quand je l'enfonce profond�ment. Cerise sur le g�teau, en position 3, il est agit� de soubresauts et il gonfle. Si je le tiens fermement en appuyant bien sur les fausses couilles qui me servent de poign�e, c'est comme si un mec me bourrait la chatte.


Sur 4, c'est g�nial, comme si je me faisais d�foncer par un type brutal, je l'adore, cest le must du genre, nous ne sommes pas all� en vacances il y a deux ans, car il a pomp� toutes mes �conomies, mais je ne regrette pas. Je l'ai bien amorti et il est toujours pr�t.


Quand je vous dis que j'aurais accept� de devenir la salope de l'entreprise, au bureau, c'est parce que mes fantaisies, le soir dans mon lit ont pris un c�t� glauque et malsain qui vont crescendo.


Au d�but, je r�vais d'amour vanille et chocolat, cucul la praline. Je rencontrais un beau mec, je visualisais un acteur de cin�ma, il me voyait dans le train de banlieue � la gare ou quand je faisais le courses, il tombait amoureux, me  faisais la cour et m'emmenait chez lui et nous faisions l'amour... Je me finissais � la main ou avec un petit godemichet � piles.


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Il y a 3 ans, � peu pr�t, je me suis faite jeter, par mon dernier amant. Ce n'�tait pas le genre mignon pr�venant et gentil, dont j'avais r�v� si souvent.


Il avait un c�t� voyou et avait tendance � me traiter comme sa pute personnelle. Je me laissais faire sans rien dire pour ne pas le perdre.


J'�tais rest�e longtemps sans mec.


Quand je lui ais avou� que j'avais une fille de 10 ans, nous �tions chez lui, nous "sortions" ensemble depuis trois mois environ.


Je dis sortir ensemble, mais en fait, il passait me prendre deux � trois fois par semaine � la sortie du travail, me passait un savon si j'�tais en retard, m'amenait dans son studio et me sautait comme une commodit� ou une pute. Seule vrai diff�rence, il ne me payait pas, je faisais le m�nage et je le d�pannais souvent.


En v�rit�, il prenait ce qui lui fallait dans mon sac pour aller picoler et jouer aux courses et je rentrais chez moi retrouver ma fille en bus ou en RER.


Au d�but, quand j'�tais press�e de rentrer chez moi et que je n'avais pas le temps de tout ranger et nettoyer, il me fichait une trampe ou des baffes jusqu'� ce que je fasse ce pour quoi je suis bonne, la bonniche. Apr�s, par grandeur d'�me, il me tirait une deuxi�me fois pour se faire pardonner, et aussi parce que de m'avoir battue l'avait excit�.


J'avoue honn�tement, qu'en plusieurs occasions, j'ai fait semblant de ne pas vouloir rester, juste pour avoir ma dose. Je sais, c'est path�tique, mais j'ai compris comment une fille pouvait finir sur le trottoir. S'il avait �t� moins exclusif, j'�tais m�re.


J'�tais mal barr�e, mais j'y trouvais mon compte. Bien que je me sois pli�e � tout, il n'a pas accept� le fait que je l'ai tromp� et que je lui ais cach� cette partie de ma vie.

Nous venions de faire l'amour, j'�tais nue sur le lit quand je me suis confi�e � lui. Il est entr� dans une rage folle, totalement hors de proportions et il m'a battue � coups  de poings de pieds et de ceinture en magonissant d'injures. Je me suis roul�e en boule contre la porte.

Il m'a attrap� par les cheveux et m'a jet�e dehors toute nue.


J'ai eu beau tambouriner � la porte en pleurant pour qu'il m'ouvre et me pardonne, il est rest� inflexible. Il est sorti un petit quart d'heure plus tard. J'ai eu une seconde d'espoir, mais il a jet� mes v�tements, qu'il avait d�chir�s dans sa rage, et mon sac, dont le contenu s'est r�pandu par terre. Il m'a appel�e "salope" et "sale garce", ce qui est pire dans la bouche d'un homme. Il m'a dit de me casser vite fait, de plus jamais revenir le faire chier avec mon chiarre et il est parti au bistrot.


J'ai ramass� tant bien que mal mes affaires. Ma culotte avait disparu comme mon soutien-gorge. Les coutures de ma jupe avaient craqu� tout du long et j'exposais plus que je ne cachait mon minou et mon derri�re. Mon chemisier �tait en lambeaux et je n'ai pas pu le remettre. Mon gilet ne fermait plus et j'ai du le nouer sous mes seins qui �taient pratiquement � l'air.

Un de mes talons �tait cass�, j'avan�ais � cloche pied et l'enfoir� m'avait pris tout mon argent. D'habitude il me laissait assez pour que je paie le bus ou le m�tro.


J'ai d� rentrer � pied, faire 8km pour rentrer chez moi. Je me suis vue dans la vitrine d'un sex-shop, j'avais tout d'une prostitu�e qui avait fait une bonne journ�e et qui faisais tout son possible pour am�liorer son score. 


J'ai du m'arr�ter de travailler une semaine, pour que les contusions s'estompent et ne soient plus visibles avec beaucoup de maquillage. J'ai dit � Alice et � tout le monde que j'�tais tomb�e dans les escaliers, mais � la fa�on dont les gens me regardaient avec commis�ration en pensant "la pauvre fille", je sais bien qu'ils ne m'ont pas crue.


De son quartier sordide � la petite maison de banlieue h�rit�e de mes parents et en longeant le p�riph�rique, j'ai eu droit � tout.

Les insultes des gens comme il faut. Les commentaires salaces et obsc�nes des jeunes et des gens un peu moins comme il faut. On m'a demand� combien je prenais pour une pipe, pour une passe classique et pour me faire troncher ou d�foncer le cul.


J'�tais en vrac, compl�tement paum�e et �puis�e. J'ai presque faillit accepter de faire  une passe avec un gros bonhomme tout moche et graisseux, juste pour finir le trajet en voiture.


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Apr�s cette triste et d�gradante m�saventure, j'ai fais une croix sur les mecs pour un moment et mon estime personnelle en a pris un bon coup.


Mes fantaisies ont pris progressivement un aspect diff�rent. Dans mes fantasmes, mon copain, ne ressemblait plus � un jeune premier, c'�tait un voyou autoritaire et violent.

Il me baisait sans �gards, m�chamment en m'insultant. Il me pr�tais � ses amis et j'�tais prise � tour de r�le par plusieurs hommes. Je devais me prostituer pour lui et il me battait si je ne lui rapportais pas assez.


J'ai alors command� mon nouveau jouet sur internet, il s'appelle "d�fonceur", et il m�rite bien son nom. J'ai failli jeter mon ancien vibromasseur qui ne s'adaptait plus � mes nouveaux r�ves, mais je l'ai gard�. Comme j'�tais de plus en plus port�e vers les s�ances virtuelles incriminant des partenaires multiples, j'ai honte rien qu'en y pensant, une fois  je me le suis enfonc� dans le cul. Depuis j'ai souvent recommenc�.


Peu apr�s, j'ai adapt� mes fantasmes � mon environnement. J'�tais le jouet et ex�cutoire de mes coll�gues de travail et de mes employeurs.

Ils me prenaient sans grand m�nagement, � tour de r�le ou � plusieurs, pour �vacuer leur stress. Ils me punissaient pour les erreurs que je faisais en orthographe ou pour avoir �t� trop lente. Ils m'obligeaient � m'habiller comme une pute...


Vous voyez un peu le genre de pens�es que j'avais, et ces m�mes d�lires meublaient mes r�ves nocturnes. il m'est arriv� souvent de me r�veiller la nuit en sueur, pour me masturber fr�n�tiquement


C'est lorsque Alice a eu ses premi�res r�gles � 12 ans et quelques et que ses n�n�s se sont mis � ressembler � deux jolies mandarines agressives et orgueilleuses que je l'ai incorpor�e � mes sc�narios malsains. J'avais pris un plaisir coupable � lui expliquer, avec plus de d�tails que n�cessaire, sans doute, les rapports entre les hommes et les femmes.


Non seulement la petite garce avait pourri mon adolescence, mais lorsque nous marchions c�te � c�te, c'est vers elle que les regards de tous les m�les se portaient.


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Alice est petite pour son �ge, 1m45, et elle est toute menue.

Elle a un beau visage ang�lique aux traits fins et r�guliers, de grands yeux bleus innocents et de longs cheveux ch�tain clair.


Elle est svelte souple comme une liane, mais pas maigre ni trop mince. Elle a conserv� quelque chose de poupin de l'enfance et des l�vres boudeuse ou plut�t pulpeuses.


Elle a de longues jambes compte tenu de sa taille et de jolis petits seins fermes qui narguent le regard, avec leurs mamelons tr�s sensibles et �rectiles. Compte tenu de son gabarit, de son petit buste, ses petits nichons paraissent beaucoup plus gros qu'ils ne le sont r�ellement.

Elle attire le regards de tous les m�les concupiscents qu'elle croise, lorsque nous promenons ou quand nous faisons les boutiques.

J'attire aussi quelques regards, car � 30 ans � peine je suis plut�t bien roul�e et loin d'�tre moche, mais je m'habille de mani�re conservatrice, alors que je lui fait porter des petits hauts transparents ou bien moulants, sans sous-tiff car elle n'en a pas besoin.


Elle met des minis jupe � ras la touffe, avec  des strings ficelle qui mettent en valeur ses formes graciles et de hautes chaussettes fines qui montent � mi cuisse.


Elle a de jolis petit pieds grecs bien cambr�s et elle est ravissante avec des escarpins ou des sandalettes � talons avec des lani�res.

Ce type de chaussures mi hautes, la grandissent un peu. Elles galbent bien ses jambes et lui font de beaux mollets. En elles ont pour effet d'accentuer la cambrure de ses reins, ce qui projette en arri�re son petit cul rond et ferme . Un peu comme un joli cul de n�gresse qui se dandine quand elle marche.


Je lui ai carr�ment d�fendu les pulls, les jeans et toute pi�ce de v�tement un peu trop couvrante.


Elle est trop jolie, ce serait vraiment du g�chis de cacher tout �a.


Je dois reconna�tre que j'ai eu du mal. Cette petite conne est timide et modeste, mais elle a le m�rite d'�tre soumise et tr�s ob�issante.


Je ne peux m'emp�cher de penser, quand je la regarde, qu'elle soit nue, ou habill�e, qu'elle doit �tre l'exacte repr�sentation vivante du r�ve �rotique de tout bon p�dophile qui se respecte.


Lorsque je lui ai donn� une le�on de choses � propos des filles et des garons, j'ai bien insist� sur le fait que les filles devaient �tre soumises. J'ai tir� quelques exemples de la Bible, qui est une mine d'or, de livres bon march�s orient�s en ce sens et je lui ai fait voir quelques films sur internet auxquels elle n'aurait pas eu le droit d'avoir acc�s.


Attention, ne vous m�prenez pas, je ne suis pas une mauvaise m�re, je ne la bats pas, je ne suis pas cruelle, j'aime ma fille et je sais bien que rien de ce qui est arriv� n'est de sa faute.


Si je lui ais pr�sent� le monde ext�rieur, sous l'angle de mes fantasmes, c'est peut �tre un peu parce qu'il d�bordent sur la vie r�elle, mais c'�tait aussi et surtout pour lui faire partager mon exp�rience de la vie. Je suis convaincue de ne pas lui avoir menti.


Les princes charmants sur un beau cheval blanc dont on m'avait rebattu les oreilles enfant, n'existent pas. Je voulais qu'elle connaisse la r�alit� des choses pour ne pas tomber, comme moi, de haut quand elle y serait confront�e.


Nous menons une vie tout � fait normale, dans un petit pavillon de banlieue. Elle prend le bus � 50 m�tres de la maison le matin pour aller � l'�cole et rentre � 17 heures r�guli�rement. Je l'aide � faire ses devoirs chaque soir et nous faisons les courses dans les magasins le samedi. Nous prenons parfois des vacances � la neige ou a la plage quand j'ai r�ussi � mettre trois sous de c�t�.


Si vous regardez les vid�os clips, les ados dans la rue, quand ils vont au lyc�e, ou quand ils sortent, les filles sont habill�es comme Alice et souvent beaucoup plus mal quand elles ne font dans le punk, le gothique ou autre...


Alice est juste un peu plus jeune, mais elle va dans une �cole qui va de la 6�me � la terminale, elle est comme beaucoup et elle n'est pas montr�e du doigt. Je dirais m�me au contraire, il y a toujours une meute de gamins qui lui tournent autour.


Si elle ne fr�quente pas les autres enfants de sa classe, c'est parce qu'elle est trop timide et r�serv�e. Pourtant,  comme je l'ai dit, elle attire les gar�ons, comme le miel attire les mouches.


Je suis un peu d��ue que ses tenues qui sont faites pour lui donner de l'assurance et confiance en elle aient plut�t l'effet contraire. 


Elle dit que les autres filles sont jalouses � cause de ses n�n�s et que les gar�ons essaient toujours de lui toucher les seins, de lui peloter le cul ou de lui mettre la main au panier. J'ai �t� �tonn�e que ma petite puce si innocente connaisse ces tournures de phrase imag�es.


Les enfants grandissent si vite.


Toujours, je la console quand elle revient de l'�cole un peu triste. Je lui dis que le autres filles, m�me celles des classes sup�rieures sont jalouses parce qu'elle est plus jolie, plus intelligente qu'elles et pas seulement � cause de ses seins.


Quand elle se fait insulter, traiter de tra�n�e, de pute ou de salope, c'est juste de la m�chancet� gratuite. Dabord ce n'est pas vrai, car elle a toujours son pucelage. Je contr�le r�guli�rement que rien ni personne n'ai forc� son tr�sor ou sa rondelle.


Les filles plus �g�es sont dures avec elle car leurs petits copains s'int�ressent plus � Alice qu'� elles, quand ils la voient.


Quand  aux gar�ons, ce sont des gar�ons et il ne faut pas qu'elle s'attende � autre chose de leur part.


Immatures, ils vous soul�vent vos jupes ou essaient de vous baisser la culotte, plus grand, ils cherchent � tripoter tout ce qui est � port�e de mains.


Adolescents, avec la mont�e des hormones, ils cherchent une bonne �me du sexe oppos� qui voudra bien soulager leur tension avec les mains, la bouche ou mieux et ils courent s'en vanter aupr�s de leurs copains apr�s coup.


J'ai trop bien connu �a et j'ai  fini avec un polichinelle dans le tiroir � 16 ans.


Je sais que mon Alice est curieuse, mais elle est encore trop r�serv�e, timide et modeste  pour franchir le pas. Elle aurait trop honte. Elle me raconte tout.


Heureusement que les ados, sont timides aussi, maladroits et qu'ils manquent de pratique.

Ils n'auraient besoin de la bousculer beaucoup pour en faire ce qu'ils veulent. Quelques mots biens sentis, une voix ferme et autoritaire et m�me sans avoir � lui donner de baffes ils en feraient une vrai marionnette. Elle reviendrait de l'�cole courbatue en marchand comme un canard, les jambe �cart�es.


Vous pensez que je m�gare, que je d�rape et que je glisse vers le fantasme. Vous vous trompez, je connais ma fille, ses qualit�s, ses d�fauts et surtout, sa plus grande faiblesse.


Je crois qu'elle tient �a de moi, elle est soumise comme moi, sans doute plus que moi, mais alors que, tant bien que mal, j'arrive � me contr�ler, je la crois profond�ment masochiste en plus.

Pas le genre � s'auto-punir ou � se mutiler non, plut�t le style � se complaire et � prendre du plaisir � �tre battue, viol�e, forc�e � faire des trucs sales par quelqu'un qui la domine.


En fait,  en y pensant bien, elle est tout � fait comme moi.


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C'est ce qui minqui�te l�, et qui fait que je suis tourment�e tout en ayant envie de me caresser car je sens monter mon excitation.


Quand je dois m'absenter un week-end, on ne me pr�vient toujours qu'au denier moment. Le vendredi apr�s midi, pour le vendredi soir par exemple et rendez vous � plus de 50 bornes.


J'ai juste le temps de passer chez moi embrasser ma fille, lui expliquer que je dois retourner travailler, prendre une douche, me changer, appeler la baby-sitter, emballer quelques affaires... et je suis pr�te.


Aujourd'hui, tout est all� de travers. J'�tais fatigu�e et j'avais envie de me reposer avec ma fille et de bien profiter de D�fonceur ce soir.


La voiture n'a pas voulu d�marrer, il y avait des embouteillages et elle a donn� des signes de faiblesse. Elle est vieille, mais j'esp�re qu'elle va tenir le coup encore un moment car je n'ai pas les moyens d'en changer. Il n'y avait plus d'eau, � cause de travaux en cours quelque part et la baby-sitter n'a pas pu venir.


J'ai suppli� au t�l�phone, promis de doubler ses gages, rien � faire. J'ai fait le tour de mes connaissances, personne. Dans le voisinage, tous les pavillons se vident le vendredi soir.


La plupart du temps il ne reste que nous et monsieur Pr�dat, mais je ne voulais rien avoir � faire avec lui, � priori.


Je me suis assise sur le porche en criant un bon coup et j'ai pleur�. Alice me tenait la t�te, et de sa voix toute douce me consolait en disant qu'� 13 ans elle �tait assez grande pour s'occuper d'elle m�me pendant 2 jours, mais je ne voulais rien entendre.


Au bruit que j'avais fait, monsieur Pr�dat est sorti sur le pas de sa porte. Nos deux maisons sont contig�es, au fond d'une petite impasse privative qui ne dessert que nous, isol�es des autres habitations. Elles ne sont s�par�es que de quelques m�tres et par une petite barri�re blanche avec un portillon qu'il a remis en �tat.


Il est venu vers nous, pour s'enqu�rir de nos probl�mes. Quand il a su ce qui se passait, il a abond� dans mon sens en disant qu'il n'�tait pas raisonnable ni prudent de laisser une enfant de 13 ans seule le week-end entier, avec tous les cambriolages et les dr�les d'histoires qui circulaient.


Il semblait l�g�rement amus�, comme si mon soucis n'en �tait pas vraiment un, ou comme s'il �tait content de ce qui m'arrivait.


Il a m'a spontan�ment propos� de faire office de garde d'enfant, pour moi, les 2 jours complets, sans vouloir �tre pay�. Juste un service entre proches voisins et peut �tre amis dans l'avenir, selon ses propres termes.


Je l'ai bien regard� par en dessous, me demandant s'il �tait sinc�re, s'il cherchait � me draguer, ou s'il y avait anguille sous roche. Son sourire m'a d�rang� encore plus, sa proposition r�solvait imm�diatement tous mes soucis, mais je n'�tais quand m�me pas tranquille.


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Monsieur Pr�dat est un homme � qui il est difficile de donner un �ge, parce qu'il est laid, qu'il fait peur et que du coup on n'ose pas le d�visager franchement.


Ses parents dot�s d'un curieux sens de l'humour l'ont pr�nomm� Thor comme le Dieu nordique. Prononc� vite, �a donne pr�dator. Tout un programme.


Ce que je peux dire de lui, c'est qu'il a entre 35 et 55 ans, peut �tre l�g�rement plus ou moins.


Pas de poils gris ou blanc dans sa barbe mal ras�e ni sur sa poitrine, que sa chemise de b�cheron mal boutonn�e laisse entrevoir, ni dans ses cheveux courts, ch�tains fonc�s.


Il est grand large d'�paules et impressionnant. Je fais 1m60, je suis plus grande que ma fille mais malgr� mes talons hauts, il me domine largement de plus de 20cm. Je lui donne 1m90 pour un bon quintal.


Son visage carr�, viril, est d�figur� par une vilaine cicatrice � la Frankenstein qui va de l'oreille au menton. Je sais qu'il raconte qu'il a eu un accident de voiture alors qu'il n'avait pas attach� la ceinture, mais m�me si je ne suis pas sp�cialiste, �a m'a tout l'air d'un m�chant coup de couteau. Il a le nez droit, mais cass� et aplati, comme celui d'un boxeur.


Il a d'�tranges yeux gris p�le, impossible d'en d�finir la couleur pr�cis�ment.

Difficile de soutenir son regard aussi, on a l'impression de plonger dans le vide. Si j'essaie, je deviens mal � l'aise, je perds mon peu d'assurance, je me mets � b�gayer et je fini quand m�me par baisser les yeux tout en essayant quand m�me d'y replonger.


C'est peut �tre �a qu'on appelle un regard hypnotique. Je sais que je n'ai pas une grande force de caract�re, mais j'ai bien remarqu� que personne dans le quartier ne soutient son regard.


Nos voisins l'�vitent autant qu'il peuvent, mais lorsqu'il s'arr�te pour leur parler de la pluie ou du beau temps, personne ne s'avise de le contredire et tous font bonne figure.


Il respire l'assurance et la confiance en lui. Il pose sur ce qui l'entoure son regard vide, dominateur, comme un oiseau de proie, comme s'il voyait de choses qu'il �tait seul � voir et comme si tout lui appartenait.


Il me fout les jetons, mais le pire c'est la r�putation qu'il a et qui a pr�c�d� son am�nagement, il y a un peu plus de 6 mois.


Les rumeurs ont commenc� � circuler quelques jours avant son arriv�e.


"Un gangster, va venir vivre dans le quartier. Il a achet� la maison et il a pay� cash en liquide. Il parait que c'est un tueur qui a commis plusieurs crimes et qui ne s'est pas fait prendre. C'est un parrain de la drogue venu se planquer. Il a �t� compromis dans des histoires p�dophiles pas claires, mais il s'en ai sorti de justesse. C'est un violeur, il moleste les enfants, il a tortur� ses victimes etc..."


A la longue trop c'est trop et je n'ai plus pr�t� l'oreille aux comm�rages. C'est vrai que la premi�re fois o� je l'ai vu, je lui avais apport� une petite tarte pour faire connaissance et lui souhaiter la bienvenue, il m'a fichu une trouille bleu.

Tous les ragots me sont revenus et j'ai pens� qu'il n'y avait pas de fum�e sans feu.


J'ai un peu surveill� sa maison, discr�tement, mais tout �tait calme, il ne faisait pas de bruit. Il recevait assez r�guli�rement des amis, seuls ou en groupe, mais ils se tenaient tous comme il faut.


j'ai cess� tr�s vite, car un jour, j'ai vu qu'il m'a surprise � guetter comme n'importe quelle comm�re. Il m'a gentiment salu� de la main avec son dr�le de sourire et a tir� les rideaux.


J'ai un peu honte de moi car il m'a aid� en deux occasions, avec une politesse et une courtoisie d'un autre temps, � faire d�marrer ma voiture.

J'ai eu honte de moi, mais quand je le croise avec Alice dans le quartier ou dans le centre, o� il fait ses courses, il me glace les sangs.


J'ai l'impression d'�tre un petit oiseau face � un serpent. Il a un sourire de pr�dateur quand il nous regarde. Le seul truc qu'il ait de bien, ce sont ses dents. Bien blanches, il les montre quand il sourit et il me fait alors penser � un loup.


Je sais que ma  fille pense comme moi, alors, vous pensez bien que sa proposition m'a laiss� sans voix. 


J'ai bredouill� quelque chose de peu intelligible pour expliquer qu'il fallait que j'en parle seule � seule avec elle. Je l'ai plant� l�, sur le seuil, j'ai ferm� la porte et nous sommes aller discuter dans la cuisine, comme si nous voulions nous �loigner le plus possible.


Quand j'ai r�alis� mon manque de politesse, c'�tait trop tard pour y rem�dier.


Alice a fait tout ce qui lui �tait humainement possible de faire et de dire pour que je n'accepte pas sa proposition. Elle a r�p�t� comme une litanie, qu'elle �tait assez grande pour se d�brouiller, que monsieur Pr�dat lui faisait peur, qu'on racontait des choses sur lui et les enfants qu'elle avait entendu...etc.


Comme je ne c�dais pas, j'�tais trop dans la mouise pour pouvoir me permettre de refuser cette offre inesp�r�e, elle ma litt�ralement suppli� en versant des torrents de larmes sinc�res.


Devant tant d'angoisse, j'ai failli c�der � ses suppliques, mais quelque chose d'autre que cet argument implacable, quelque chose de pas beau du tout, m'a amen� � consid�rer la proposition du voisin sous un autre angle.


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Depuis un � deux mois, Pr�dator �tait, devenu le ma�tre permanent de mes fantaisies. Avec l'aide de mon petit ami d�fonceur, je pensais de plus en plus souvent � lui. Je l'imaginais sans peine, aussi bien mont�, vu sa carrure.


Il avait pris le dessus sur les autres visages dont je peuplais mes fantasmes. Il est grand fort dominateur, il me dirige comme un pantin, je suis son esclave sexuelle, et j'accomplis les moindres de ses volont�s comme les plus vicieux de ses d�sirs.


Je ne vous raconterais pas tout ce qui s'est pass� dans la sph�re priv�e de mon imagination, mais si vous y mettez un peu du v�tre, vous vous y retrouverez vite dans cette fange, qui me fait honte, mais qui me permet de prendre un pied d'enfer.


Sachez donc que je suis sa ma�tresse qu'il oblige � subir toute les humiliations. Il me tra�ne nue en laisse en public, il m'oblige � m'offrir � des inconnus n'importe o�, y compris � des clochards et � leurs chiens... Il me punit au fouet, pour me comporter comme une truie en chaleur... Il m'oblige � servir des r�giments entiers de partenaires de toutes race... Il me tra�ne dans des lieux sordides, des toilettes publiques o� je dois boire des litres de semence  jusque � ressembler � une femelle pr�te � mette bas toute une port�e... Je dois l�cher les latrines, manger la m..... coll�e, d�coller le sperme s�ch� avec la langue...


Il m'oblige � lui livrer ma fille qu'il transforme en souffre douleur, ou en animal de trait ou en vache laiti�re ou bien encore en poulini�re en lui faisant porter des b�tards � la chaine ... tandis qu'il m'oblige � assister impuissante, ou me force � participer activement, � sa d�gradation...


Vous remarquerez, que dans mes r�ves les plus sombres, je suis contrainte, je suis une victime aussi, je ne suis pas le bourreau de ma fille.


Jamais volontairement je ne lui ferais le moindre tort.


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Le petit quelque chose qui m'a fait basculer en faveur de la proposition de monsieur Pr�dat, c'est l'opportunit� que cela me donnait d'alimenter mes fantasmes, de les ancrer dans une dose de r�el, de pimenter ma vie par ailleurs bien triste et monotone.


Vous ne me croirez peut �tre pas si je vous dis maintenant que je ne pr�te pas foi aux comm�rages sur mon voisin. Pourtant c'est la stricte v�rit�.


C'est vrai qu'il m'intimide et qu'il me fait peur, mais mes chefs, mes coll�gues m'intimident et j'ai peur des chiens, m�me des caniches, des souris des araign�es, des insectes...

J'ai peur des bruits violents et du silence que je trouve oppressant. L'�num�ration de tout (tous) ce qui m'intimide et me fait peur remplirait plusieurs bottins t�l�phoniques.


Je sais pertinemment que si le dixi�me de ce que j'ai entendu �tait vrai, il serait enferm� entre 4 murs pour des dizaines d'ann�es et qu'il ne vivrait pas dans un petit pavillon de banlieue comme monsieur tout le monde.


En fait, je joue un peu � me faire peur et �a marche. Je me fais un film, et pendant tout le weekend, j'aurais des angoisses existentielles et inutiles, qui me provoqueront des orgasmes d�lirants.


Alors, oui, je suis inqui�te pour ma fille et oui, �a me provoque des frissons de la savoir seule avec un homme dans notre maison, mais c'est vrai aussi que vu o� ils sont situ�s et l'effet qu'ils me font, tous les frissons ne sont pas dus � la peur.


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D�s que j'arrive, je l'appelle. J'ai promis de l'appeler souvent pour nous rassurer toutes les deux. Pas toutes les heures quand m�me, je ne veux pas vexer mon voisin.


Il a bien voulu s'occuper d'Alice en restant chez nous dans la chambre d'amis, car ma petite sotte d'enfant g�t�e n'a pas voulu aller chez lui. Il a accept� toutes ses conditions sans rousp�ter.


Il m'a dit qu'il avait un dipl�me ding�nieur en quelque chose et qu'il lui ferait faire ses devoirs. Comme il m'a dit qu'il ne pensait pas avoir beaucoup beaucoup de centres d'int�r�ts communs avec une jeune fille de 13 ans, il lui ferait r�viser son programme.

J'ai bien vu qu'il avait touch� juste en la traitant comme une jeune fille de 13 ans et pas comme une enfant, j'ai pens� "il est plus fut� que son physique de brute ne le laisse soup�onner, il est peut �tre vraiment ing�nieur".


Comme je ne voulais pas que ma petite Alice le fasse tourner en bourrique, je lui ais dit d'�tre ferme avec elle, qu'elle n'avait pas eu de p�re pour l'�lever et que moi, je manquais d'autorit�.

J'ai insist� en sa pr�sence aupr�s d'Alice pour qu'elle soit tr�s sage avec monsieur Pr�dat et lui ais dit qu'elle devait lui ob�ir en tout point, en toute circonstance, sans discussion ni h�sitations.


Ce n'est maintenant que je pense � ce que mes propos avaient de tendancieux.


Je viens peut �tre de livrer ma fille au caract�re soumis � quelqu'un dont jai entendu dire qu'il molestait les enfants, qu'il �tait soup�onn� de viols et de pire, en lui recommandant d'�tre ferme avec elle et en donnant pour seule consigne � ma fille de lui ob�ir en tout.


Grands Dieux! s'il arrivait quelque chose, se serait enti�rement de ma faute. 


Je suis parcourue de frissons et une sueur froide coule le long de ma colonne vert�brale avant de se r�chauffer subitement, en arrivant au niveau de mes reins, m'obligeant � m'arr�ter pour  m'accorder � la main, un petit moment de plaisir coupable mais intense.


Je repense � mon voisin, il a peut �tre vraiment le b�guin pour moi. Autrement, pourquoi ferait il �a?


Il me semble d'un coup beaucoup moins laid, il est viril c'est s�r, gentil, pr�venant, poli et serviable, tout �a rien que pour moi.


Je sais qu'il est plus distant avec les autres habitants du voisinage. Il a tout de suite accept� ma fille, sans une ombre d'h�sitation, il est ing�nieur et bricoleur...


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Je me sens comme une midinette, en arrivant au centre o� a lieu le s�minaire.


�pilogue :


Il faudra que je rapporte un petit quelque chose � monsieur Pr�dat pour le remercier de sa gentillesse.

Qu'est ce que je ferais, dimanche soir? Ce serait bien de linviter � manger, mais il voudra peut �tre retourner chez lui...

Il en aura peut �tre marre d'Alice et va se d�tourner de moi....

Est ce que je vais lappeler Thor, ou est ce que c'est trop t�t... Moi, j'aimerais bien qu'il m'appelle Stef, mon pr�nom c'est St�phanie au fait.

Mais si �a doit aller plus loin, s'il tombe amoureux de moi et moi de lui, comment lui faire comprendre que mes fantasmes ne sont juste que des r�ves et pas ce que je suis vraiment. Rien que d'y songer, je m'embrouille, je panique. Il va me prendre pour une folle, une d�traqu�e, ou alors il...

On verra bien plus tard o� �a nous m�ne.

Bisous, � bient�t.


BMC




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