Pour
sauver son mari
Chapitre 1
Auteur : Bedo
Email : be_do_li_do@excite.com
-
"Que t'es -t-il
arriv� qu'est ce que ces marques sur ton visage ? ..." demanda-t-elle
affol�e.
-
"Oui " r�pondis-je m'asseyant tout
penaud � ses cot�s...� J'en prends plein
la gueule...� Les gardes les laissent
faire...... Il regardant, certains s'en vont lorsque �a d�marre...... Encore 32
jours et je pourrai sortir....... Tu dois m'aider ch�rie......"
-
"Je ne crois pas pouvoir le
faire..." sanglota-t elle �perdue.
-
"Sanderson, de quoi parles-tu avec ta
petite chatte blonde ? ..." questionna le g�ant noir, qui s'assit de
l'autre cot� de ma femme posant sa main sur son �paule.
-
"Nous as-tu ramen� quelques photos ?
..." J'aime regarder� tes gros
nibards et ta petite chatte duveteuse...�
Ton mari br�lait de nous montrer comment t'es foutu..."
-
G�n�e, Vicky tenta de l'ignorer, mais en
vain. Le bras pos� sur son �paule, il lui empauma un nichon, le caressant
machinalement
Je purgeais une peine de 180 jours,
sanctionnant une conduite en �tat d'ivresse, c'est pourquoi je devais me
contenter de m'asseoir aux cot�s de ma jolie petite femme.
Vicky est �g�e de 23 ans, c'est une
vraie blonde, ses longs cheveux pendent jusqu'� sa taille, elle a une jolie
peau tr�s lumineuse,� et est dot�e d'une
forte poitrine, presque trop grosse, mais si ferme.
Elle �tait vierge lorsque je l'ai
�pous�e, j'�tais son premier amant.
Nous nous fr�quentons depuis les
ann�es coll�ges et sommes tr�s amoureux l'un de l'autre.
C'�tait jour de visite � la prison de
comt�, prisonniers et� visiteurs �taient
assis dans la caf�t�ria, qui �tait am�nag�e pour cet emploi.
La salle contenait une centaine de
personnes m�lang�es, les enfants ne pouvaient venir que dans des occasions bien
sp�cifiques, il n'y en avait pas un ce jour l�.
Les gardes se promenaient dans les
rangs, surveillant d'�ventuels �changes. Parfois, les prisonniers pouvaient
s'isoler un petit moment dans une petite pi�ce contigu�� pour jouir d'une certaine intimit�.
M�me si le r�glement de la prison ne
pr�voyait pas formellement les t�te-�-t�te conjugaux, les gardes tol�raient ces
occasionnels isolements. Mais on ne pouvait jamais fermer enti�rement la porte,
ce qui minorait d'autant l'intimit�.
De temps � autre, une femme
s'allongeait sur la table pour baiser avec son homme, on essayait d'ignorer les
bruits d'accouplement, les gardes se rin�aient l'oeil et riaient de
l'humiliation des �pouses de prisonniers.
On aurait tous aim� se tenir sous la
table pour profiter du spectacle.
Je me faisais battre depuis quelques
mois, depuis le d�but des visites de Vicky.
Elle avait pos� pour des photos nues
et avait tent� de me les donner un jour de visite.
Sa soeur Val�rie l'avait prise en
photos avec un polaro�d quelques jours plus t�t.
Lorsqu'elle s'�tait assise un grand sourire
aux l�vres, je compris qu'elle me pr�parait une surprise. Tout ce que je
savais, c'est que j'�tais s�v�rement frustr�, je la d�sirais �prement.
J'avais pos� ma main sur ses cuisses,
et je glissai mes doigts vers sa chatte lorsqu'elle me mit les clich�s dans la
paume de la main.
Je t�tonnais et les rangeai
prestement, malheureusement, l'un des gardes m'avait vu faire
Il se dirigea vers moi me demandant de
lui remettre l'objet introduit en fraude, il pensait que �a pouvait �tre de la
drogue et fut heureusement surpris de d�couvrir des photos de ma ravissante
femme nue.
Les deux premi�res montraient ses gros
nibards, la suivante son� cul ferme, mais
sur les deux derni�res elle exhibait sa chatte, l'une d'entre elles cuisses
grandes �cart�es.
Sur toutes ces photos, elle souriait
vicieusement l'air d'inviter le client. Il rit et se les empocha, puis il fit
des copies et les distribua � ceux qui en voulaient.
Le salaud de n�gre assis aux cot�s de
Vicky lui pelotant un nichon s'�tait procur� les cinq photos, et il voulait
qu'elle en prenne d'autres d'elle nue pour les lui donner.
Il en voulait plusieurs avec sa petite
amie et d'autres encore avec son fr�re.
Mais elle se refusait � faire cela.
Depuis il me battait journellement
pour l'obliger � accepter. Il voulait aussi lui imposer certaines tenues pour
lui plaire lors des visites.
-
"Waou... Sanderson, ta femme � des
nichons de matrone. Ils sont vraiment tr�s gros ...... C'est
pas facile de d�goter de tels nibards ...... " commenta-t-il goguenard.
-
"J'aimerai bien te fourrer ma bite dans
ta soyeuse petite chatte ma blonde ch�rie "lui dit-il � l'oreille alors
que sa main remontait sous sa jupe se dirigeant tout droit vers sa juteuse
petite foufoune.
Elle serra les cuisses pour tenter de
d'arr�ter ces caresses obsc�nes, et s'�cria :
-
"Ne me touchez pas ! ...."
Le g�ant noir se releva et me mena�a :
-
"Cette nuit je viendrai t'enculer !
......"
-
"Attendez..." lui dit alors Vicky
l'invitant � se rasseoir.
-
"Je vous prie ne lui faite pas de mal !
.......Vous allez le tuer......"
Il reprit place � ses cot�s et lui
remit une main sur l'�paule et l'autre sous la table, d'embl�e il posa sa
grosse main sur ses cuisses tout pr�s de sa chatte.
-
"J'esp�re que tu vas te tenir tranquille
et m'ob�ir dor�navant " l'avisa-t-il alors que sa main arrivait au contact
de la d�licieuse petite cramouille de mon �pouse �perdue.
-
"C'est bien ch�ri. Tu vas sentir les
doigts d'un vrai homme dans ta chatte ......Penche toi en arri�re et �carte
plus les cuisses ......"
-
"Il y a trop de gens qui nous regardent
! ... Arr�tez... Je vous en prie....." s'insurgea-t-elle sourdement tout
en ouvrant lentement les cuisses.
Les prisonniers assis dans notre
voisinage, voyaient ses jambes grandes �cart�es, et la grosse main noire
ins�r�e sous sa jupe, entre ses cuisses nacr�es. Elle pleurnichait, ignorant
ses larmes, il lui fourra profond�ment les doigts dans la chatte.
-
"A�e " se plaignit-elle enfon�ant
ses ongles dan la paume de ma main.
-
"Esp�ce de salaud, enl�ve tes pattes de
l� " me r�voltai-je.
-
"Qu'est ce que tu veux mon poussin ?
..." m'interrompit-il enfouissant encore plus profond�ment ses doigts dans
la chatte de ma femme.
-
"R�ponds moi ch�rie,
que pr�f�res tu : que je m'amuse avec ta moule ou que je casse la gueule �
ton mari avant de lui casser le cul cette nuit ?" .....A toi de choisir...
-
"C'est d'accord... Continuez ce que vous
me faites... " sanglota-t-elle servilement.
-
"Mais foutez-lui la paix, je vous en
prie ! ......"
Boone fourra son doigt aussi loin
qu�il le put dans la cramouille de Vicky, il resserra son bras sur ses �paules,
il empauma � nouveau un de ses nichons et reprit son pelotage :
-
"D�boutonne ton corsage, que je v�rifie
si tu m'as ob�i,.......Je t'avais dit de ne pas mettre de soutien-gorge...� " lui dit commen�ant le d�boutonnage.
-
"C'est bien ma salope...... Tu as
ob�i..... " Boone ne cherchait pas � se cacher, au contraire il haussait
le ton pour se faire remarquer, il se r�jouissait que des gens puissent le voir
molester ma femme. Il dit � voix haute :
"Quels beaux
nichons... Mark... �Mark viens ici� une minute... Viens voir ses gros nichons ? �
?
Les femmes aux alentours nous
regardaient avec sympathie, mais il parlait � quelqu'un d'autre. Mark
s'approcha de notre table, me repoussa de la main et s'assit � ma place, sans
se cacher, il prit l'autre nibard en main et se mit � le peloter.
-
"Bordel quelle paire de loches, t'as
raison ! ..." commenta-t-il sa pine s'�rigeant dans son pantalon.
-
"De toute fa�on, nous pouvons toujours
aller dans la petite pi�ce s'amuser avec toi..." dit-il hilare � mon
�pouse affol�e.
-
"Ne regarde pas ton pleutre de mari, il
ne peut rien pour toi ! ....."
-
"J'ai une bien meilleure id�e ch�rie...
Passe sous la table et taille moi une pipe ! ......."
Vicky se figea, elle me regarda, je
lui fis non de la t�te, elle se remit � pleurer.
Ces salauds de garde ne purent ignorer
plus longtemps� ses cris, ils vinrent �
son aide ordonnant aux deux salopards de n�gre de quitter les lieux.
En partant, ils se tourn�rent tous
deux vers moi me souriant de fa�on mena�ante.
-
"Vicky " lui dis-je "Je veux
que tu arr�tes tes visites. Il ne me reste que 32 jours � tirer ...... On peut
se t�l�phoner une fois par semaine ... Je ne veux plus te voir ici ...... Ne te
tracasse pas pour moi .......Je prendrai soin de moi ........ Promets le moi
... "
-
"Je dois te quitter......" me
dit-elle en m'embrassant.
-
"Je suis d�sol�e de ne pas leur avoir
ob�i. Pas devant tous ces gens .......Je te promets de revenir te voir ......Je
t'aime ..... " et elle quitta la pi�ce.
Elle d�valait le
vestibule lorsqu'un garde, un sergent l'interpella :
-
"Madame Sanderson, Je peux donner un
coup de main � votre mari pour le mettre � l'abri des autres d�tenus � Mais
�Pour �a il faudra payer ! ...."
Au travers de ses sanglots elle
demanda :
-
Que pouvez-vous faire pour l'aider ? .... Je
sais ce qu'ils veulent lui faire ce soir� Ils l'ont dit en partant...... Ne les
laissez pas faire je vous en prie...... Je ferai� ce que vous voudrez."
-
"Madame Sanderson, je peux le faire
transf�rer dans un lieu s�curis� pour le reste de son s�jour...... Il lui doit
lui rester un mois ou deux � tirer....."
Vicky approuva de la t�te et il
continua :
-
"J'ai vu ce qu'ils vous faisaient au
parloir, ils vous pelotaient, sous la table il vous doigtait, n'est ce pas ?
.......
Vicky arr�ta le sergent dans son �lan
et elle railla :
-
"Ils me molestaient, et pas un d'entre
vous n'a boug� le moindre petit doigt ! ..... Vous �tiez tous
spectateurs....."
-
"Attendez madame Sanderson, cela fait
assez longtemps que vous venez pour conna�tre les r�gles,� on ne doit pas intervenir tant qu'il n'y a
pas de troubles graves, ces ordres viennent du directeur, nous ne pouvions pas
intervenir tant que ne criiez pas...... Ce n'est pas plus compliqu�...... Mais
revenons � nos oignons....... Si on transf�re ton mari dans une aire s�curis�e,
il sera � l'abri...� Bien sur il sera
seul... Mais personne ne pourra l'y blesser....." et baissant la voix il
ajouta :
-
"Tout ce que vous aurez � faire ce sera
de m'ob�ir quand je voudrai et l� o� je le voudrai ! ...."
-
"Nous n'avons pas d'argent ! .....Je
travaille au noir pour joindre les deux bouts....." r�pliqua Vicky
sombrement.
-
�"Je ne veux pas de ton argent ! .... Et
tu le sais bien. Je veux disposer de ton corps une ou deux fois par semaine le
mois � venir ......C'est �a ou ton mari reste avec les autres d�tenus ! ......
A toi, de choisir ! ........"
Vicky se tenait immobile, se retenant
de pleurer, elle tenait ferm� son corsage de la main, les deux hommes avaient
arrach� les boutons dans leur h�te de l'ouvrir, son corsage �tait d�chir�, et
elle se sentait violent�e.
-
"C'est d'accord " r�pliqua-t-elle
faiblement
-
"Mais vous le transf�rez
aujourd�hui...... Maintenant..... Pas plus tard qu'en ce moment......"
-
"D'accord madame Sanderson "
r�pondit-il en souriant
-
"On va le transf�rer maintenant...... Tu
m'attendras au parloir. Et je te promets qu'il sera en s�ret� avant que tu ne
partes ......."
-
"Pas au parloir... Je vous en
prie...� N'importe ou,
mais pas l�... "
-
"Je veux que les gardes aient un oeil
sur toi ! ......" r�pliqua-t-il la quittant.
Vicky retourna sombrement dans la
salle des visites, et l'attendit debout contre un mur. La salle �tait
maintenant � moiti� vide, Les deux noirs qui l'avaient molest� n'�taient plus
dans la pi�ce, plusieurs prisonniers cherch�rent � l'aborder, mais les gardes
les en emp�ch�rent, et leur ordonn�rent de regagner leurs cellules.
Le gros sergent tenait parole, elle
avait vu un garde emmener son mari vers les cellules d'isolement.
Elle regardait un groupe de gardes
entrer dans la salle, un des ge�liers discutait avec le gros sergent, il� dit � Vicky :
-
"Madame Sanderson, votre mari est en
s�curit� ! ....Parlez-lui dans ce combin�, il va vous r�pondre... Il est au
bout de la ligne."
-
"Ch�ri c'est bien toi ? " dit-elle
craintivement.-
-
"Oui, C'est moi. Ils m'ont mis en
cellule d'isolement .....Je crois bien que je suis � l'abri .....Je devrai
rester ici les 32 derniers jours ... mais je pr�f�re cela ...... Et toi �a va
ch�rie ? ......"
-
"Bien mieux maintenant que je sais que
tu es � l'abri ch�ri......" r�pliqua-t-elle soulag�e.
-
"Je dois te quitter ch�ri, le travail ne
m'attendra pas. Je t'aime mon ch�ri ..... Je reviendrai te voir jeudi prochain
......"
Le gros sergent lui reprit le combin�
des mains, et dit aux gardes de faire leur ronde et de revenir. Ils dispos�rent
alors que le sergent s'adressait � Vicky :
-
"Allez � poil ma ch�rie... Il est temps
de r�gler la note de ton mari ! ......Rappelle-toi si tu dis quoi que ce soit �
qui que ce soit, je le renvoie avec les autres d�tenus ! ...... Et il se fera
enculer par la plupart des d�tenus. Et maintenant cesse de pleurnicher et d�sape
toi ......"
Vicky enleva son corsage exposant son
opulente poitrine � cet �tranger, noir de surcro�t, elle avait la peau tr�s
claire, ses ar�oles �taient un peu plus fonc�es, ses t�tons se redress�rent
tandis qu'elle baissait la fermeture �clair de sa jupe.
Elle laissa choir sa jupe, s'exposant
enti�rement nue. Le gros sergent contemplait le corps de cette somptueuse
femelle fascin� par sa toison blonde et le galbe de son corps bien
proportionn�.
-
"Te rases-tu la chatte ? ......
Bordel....... Mais non t'es pas ras�e ! ........Tes poils sont si blonds qu'on
les voit � peine�... Approche que je touche......." dit-il l'attirant �
lui.
Vicky fit un bond en arri�re cherchant
� dissimuler son intimit� de ses mains. Il saisit� son combin� t�l�phonique et commen�a :
-
"Jimmy, c'est Tom, ram�ne Sanderson avec
les autres d�tenus ! ..."
-
"Non... Non... Attendez. Je vais ob�ir
....." balbutia-t-elle effondr�e, s'approchant de lui bras pendant le long
du corps.
-
"Faite de moi ce que vous voulez.......
Mais prot�gez mon mari... "
-
"Laisse tomber Jimmy, laisse le dans sa
cellule et rapplique au parloir ! ....."
-
�"D'accord " mugit Jimmy � l'autre
bout du fil.
Le gros sergent reposa son t�l�phone.
-
"Dor�navant, madame Sanderson nous
allons nous amuser... T'es d'accord ? ...... Tu peux participer ou non, et
avoir du plaisir ou non� Je m'en fous ! .... Tu dois juste faire ce que je veux
quand je veux. Et maintenant � genoux et taille moi une pipe ! ...."
Choqu�e, la jeune femme se laissa
tomber � ses genoux, il lui dit de sortir sa bite et la regarda op�rer. Ouvrant
son cale�on, elle tendit la main et tenta de sortir la bite du salaud de son
cale�on, mais elle n'y parvint pas, frustr� le gros sergent d�boucla sa ceinture,
d�grafa son pantalon et le laissa tomber au sol.
L'odeur �tait terrible, son cale�on
�tait souill� de larges marques d'urine, son ventre pendait au-dessus de sa
bite engorg�e, sa queue �tait courte et tr�s large; il attrapa rudement Vicky
par la chevelure et pressa son visage contre sa bite puante.
-
"Suce salope ! ..." dit-il avec un
mauvais sourire.
-
"Prends la bien en bouche et suce l�...
"
Vicky recula la t�te et emboucha la
bite du gros porc, la bouche distendu aux limites du supportable, elle paniqua
cherchant � se relever.
Le gros sergent la maintint au sol lui
for�ant les l�vres. A ce moment quatre gardes p�n�tr�rent dans la salle.
-
"Qu'attends-tu ? Suce-moi la bite
putain....." dit-il � voix haute.
Les gardes �clat�rent de rire et s'assirent
attendant leur tour de poss�der cette somptueuse femelle.
Elle h�sitait encore, la saisissant par les oreilles, il enfourna sa queue enti�re
dans sa bouche, et il commen�a de lentes et savoureuses all�es et venues.
Elle se dit qu'il ne devait pas se
faire sucer bien souvent, peut-�tre bien qu'il allait �jaculer rapidement !
.....
Mais � sa grande surprise, il dura
bien plus longtemps qu'elle l'escomptait, elle essaya toutes les ruses pour le
faire gicler, et en finir, mais rien n'y fit.
Elle d�cida de lui faire ce qui
marchait toujours avec son mari, �a marchait � chaque coup.
Elle tendit la main au-del� de ses
couilles, et lui fourra un doigt dans le trou du cul, �a marcha, le gros porc
se mit � trembler de tous ses membres et jaillit dans sa bouche, il lui tenait
bien la t�te la for�ant � avaler jet apr�s jet, se vidant totalement dans sa bouche
asservie.
Elle d�glutit en absorbant une
certaine partie, mais il en d�borda le long de ses joues, tenant sa bite en
main, il gicla une derni�re fois sur sa langue.
Les gardes discutaient tranquillement,
l'un d'entre eux� dit a
Vicky de se relever.
Elle obtemp�ra laissa cette bande de
pervers admirer ses charmes.
-
"Des gros nichons qui sortent du commun,
" ils s'�tonn�rent aussi de la finesse de ses poils pubiens.
-
"Viens ici salope que je vois �a de plus
pr�s ! ..." l'interpella le garde nomm� Jimmy, docilement, Kelly
s'approcha de lui.
Il prit un de ses nibards en main et
se mit � le peloter vigoureusement sa pine durcit instantan�ment.
-
"Bordel ils sont bien fermes tes gros
nibards...� Ceux de ma femme, apr�s cinq
grossesses sont tout mous et pendent comme des oreilles de teckel. Ceux ci sont
magnifiques ...." se r�jouit Jimmy.
-
"Est-ce que ton pleutre de mari te baise
correctement ? ....."
-
"Bien sur, quand il est � la maison !
..."
-
"Tu vas me faire une cravate de notaire
et je te giclerai sur la figure... allonge-toi chienne. Ce sera plus
confortable ........"
Comme elle h�sitait, il la repoussa
sur le sol froid. Il baissa son pantalon et son cale�on sur ses chevilles, les
�ta prestement, et s'assit sur l'abdomen de Kelly.
Il pla�a son �paisse queue raidie
entre ses seins et commen�a � aller et venir entre ses loches, ses nibards
�taient secs ce qui entravait le coulissement, aussi tendit-ils les doigts en
arri�re, et les plonge-t-il profond�ment dans son connil d�tremp�.
Il enroba alors sa hampe de la
substance gluante r�colt�e dans son vagin.
Il recommen�a trois fois, jusqu'au
moment o� il glissa avec assez d'aisance pour lui baiser la poitrine.
Vicky �tait �tendue sur le plancher
froid, yeux ferm�s, alors que cet homme se servait de sa poitrine comme �crin �
sa bite, chose qu'elle n'aurait jamais imagin�. C'�tait sa premi�re cravate de
notaire, elle prenait le chemin de la D�gradation, on se servait d'elle comme
d'une belle pi�ce de viande, son mari ne l'aurait jamais poss�d� ainsi, pas de
cette mani�re vicieuse.
Elle ouvrit les yeux assez longtemps
pour le voir presser ses globes mammaires sur sa bite qui coulissait ais�ment
entre eux, lui touchant parfois le menton, elle sentit l'excitation monter dans
ses reins.
Elle sentit qu'il s'activait de plus
en plus rapidement entre ses gros nibards, il se mit � trembler convulsivement,
elle comprit soudain qu'il allait jouir sur son visage.
Elle referma �troitement les yeux,
alors qu'il se mettait � g�mir sourdement, elle sentit le foutre chaud lui
poisser le menton, les l�vres, le nez, lui piquer les yeux quelques jets
avaient m�me atteints son front et ses cheveux blonds.
Il �clata de rire �talant son foutre
sur son visage, elle se sentait profond�ment humili�e. Il aimait
particuli�rement l'�pandre autour de sa bouche
-
"Ouvre le bec salope ! .... Il est temps
de go�ter � ton dessert......" l'avisa-t-il rigolard.
-
Vicky resta bouche ferm�e, mas il �tait bien r�solu
� lui faire go�ter son sperme. Se pla�ant au-dessus de son visage, il prit sa
bite quasi molle et la pressa contre ses l�vres.
-
"Ouvre ta bouche salope..... Je veux
d�charger dedans ! ......."
Elle ouvrit la bouche, mais resta yeux
ferm�s, apr�s quelques secondes elle les ouvrit aussi. Elle le vit se pr�parant
� se glisser entre ses l�vres disjointes, elle vit du foutre perler � son m�at,
il projeta un jet de foutre �pais droit dans sa gorge sous les hourras des
spectateurs.
Refermant la bouche elle se mit �
tousser, � crachoter.
-
" Avale son foutre salope... Je ne veux
pas te voir le recracher..... N'en perd pas une goutte....." lui ordonna
le gras sergent, et elle absorba l'�paisse substance qui la d�go�tait.
Le suivant lui �carta les cuisses et
s'installa entre elles, il la doigta le temps d'obtenir une moiteur suffisante
pour faciliter les op�rations.
-
"Bordel les gars, je vais la baiser
comme jamais on l'a bais�e ! ..." et il se d�barrassa de son pantalon,
s'�tendit sur elle et enfourna sa bite dans sa foufoune d�sol�e sans coup
f�rir, s'enfouissant jusqu'aux couilles.
Les autres regardaient fascin�s sa
large queue aller et venir entre ses babines distendues, ils �taient �pat�s de
voir ses grandes l�vres gainer sa hampe turgescente, alors que son �pais
gourdin disparaissait dans sa caverne asservie.
A chaque pouss�e, elle r�lait, �cras�e
par le poids de son suborneur, ce qui excitait l'assistance. Ils �taient tous
impatients de voir leur tour arriver ! ...
Le gros sergent dit alors :
-
"Jimmy va chercher Sanderson, il aimera
peut-�tre assister au spectacle. Qu'en penses-tu ? ......."
Jimmy sourit de toutes ses dents et
quitta la pi�ce.
Son fouteur �tait pr�t � jouir, il se
mit � la chevaucher fr�n�tiquement et explosa dans son ventre fertile, ses derni�res
pouss�es furent aussi rudes qu'obsc�nes, il s'effor�ait de la bourrer jusqu'�
la garde.
FIN DU PRMIER EPISODE
Coulybaca
Auteur : Bedo
Email : be_do_li_do@excite.com
Pour
sauver son mari
Chapitre 2
Coulybaca
Auteur : Bedo
Email : be_do_li_do@excite.com
En entrant dans la salle des visites, je vis plusieurs
gardes assis aux� tables, regardant une
personne �tendue sur le plancher.
En m'approchant, je vis que c'�tait Vicky, elle �tait nue
et avait les yeux ferm�s, ses jambes �taient largement �cart�es, son visage
�tait gluant de sperme, il en d�bordait aussi de son chaton.
Je m'approchais me tenant tranquille.
"A qui le tour ? ...." demanda le gros sergent,
un vieillard fit un pas en avant.
"Moi" Ils se mirent tous � psalmodier :
"Gramps..... Gramps. Gramps ..."
Gramps la releva et la disposa � quatre pattes.
"Je n'ai pas vu un si beau cul depuis la mort de ma
femme ! ....Anderson tu appr�cies le beau cul de ta femme ? ......."
A ces mots, Vicky ouvrit les yeux et � quatre pattes
comme une chienne elle jeta un coup d'oeil circulaire et rencontra mon regard
�perdu.
Elle me regardait fixement sans dire un mot,� quand elle vit que je ne pouvais lui �tre
d'aucun secours, elle baissa tomber la t�te et �carta les jambes plus largement
pour que Gramps puisse plus facilement s'imposer entre ses fesses.
Il lui fouilla la chatte du doigt en extirpant quelques
gouttes de foutre d�pos�es par son pr�d�cesseur, il en enduisit son trou du
cul, puis il planta son doigt profond�ment dans son oeillet anal net le fit des
petits cercles jusqu'au moment o� Vicky d d�crispa ses sphincters.
Lorsqu'elle fut bien relax�e, il
enleva son doigt et remit plusieurs couches de foutre, puis il plongea deux
doigts dans son trou du cul.
Vicky cria de douleur, cherchant � �chapper � cette
intrusion inf�me dans ses reins.
D'autres hommes s'approch�rent et la tinrent tandis que
le vieillard enfon�ait ses deux doigts joints dans son fondement, un spectateur
la gifla pour la faire tenir tranquille et lui colla dans la bouche un chiffon
salle abandonn� sur une table.
- "Eh bien mon jeune ami, regarde bien comment on
pr�pare le cul d'une meuf ? ......Tout d'abord on lui met un doigt, qu'on agite
lentement le temps qu'elle se calme. Puis deux, et on la laisse se calmer �
nouveau ....... Tu peux ensuite planter ta bite dans son petit trou ......
Suivant les hommes, deux ou trois doigts ont � peu pr�s la m�me taille qu'un
gland .......
Si tu peux lui mettre deux doigts, alors tu peux lui
mettre la bite, il rit alors heureux de sa plaisanterie. Le vieillard
continuait � amadouer sa pastille commentant :
- "Il faut alors assurer qu-elle ne peut plus
bouger, j'avais l'habitude de coucher ma femme le ventre sur un oreiller avant
de l'enculer, elle n'aimait pas �a, mais elle savait qui �tait le ma�tre de
maison ! ......Si tu veux �tre le ma�tre chez toi il faut enculer ta femme au
moins une fois par mois ! .....Quand l'as tu encul�e pour la derni�re fois ?
....."
Je secouais la t�te en haussant les �paules.
"Jamais... Je ne l'ai jamais sodomis�e......."
Le visage fendu par un large sourire, le vieillard
r�pliqua alors :
"Met toi derri�re elle et encule la maintenant. Tu
dois prendre charge de ta maison ......Viens, agenouille toi dans son dos et
fais ce que je te dis ...... C'est ta femme ..... C'est � toi de lui casser le
cul ! ........"
Comme j'h�sitais, le gros sergent intervint :
"Ou tu encules ta femme, mon gar�on, ou bien c'est
Boone qui t'encule, � toi de choisir ! ...."
Vicky me regarda longuement et dit d'une voix sourde :
"Vas-y mon ch�ri..... Je t'aime....."
Je m'agenouillais derri�re ma ravissante femme et posais
mon gland � l'or�e de son anus, j'h�sitais � nouveau, le vieillard m'encouragea
alors :
"Vas-y mon gars, fore ton chemin dans son intestin !
...."
Je pressais alors lentement mon brugnon contre son
oeillet, elle pleurnichait � gros sanglots.
Mon gland franchit son sphincter, je m'enfouissais
lentement dans ses reins.
Une main pos�e sur mon �paule le vieillard me poussait
dans le dos me for�ant � empaler ma femme. Il me poussa jusqu'au moment o� mes
couilles frapp�rent son anus distendu.
Elle crispait ses sphincters m'�tranglant litt�ralement
la hampe.
"Calme-toi..." lui conseilla le vieillard la d�visageant
de pr�s.
"Plus tu te raidis, plus tu auras mal "
Je la sentis se d�contracter et j'entamais d'amples vas
et viens dans son �troit petit anneau dompt�.
Elle acceptait son enculade s'effor�ant de se
d�contracter aussi continuai-je � l'enculer langoureusement.
Le vieillard me conseilla alors :
"Tu dois lui faire comprendre qui commande ! .... Tu
dois la baiser rudement qu'elle sache que tu feras ce que tu veux d'elle et de
son corps. Elle t'appartient .... Si tu lui fais mal, ne t'inqui�te pas, elle
en gu�rira ..... Et maintenant casse lui le cul bordel de merde ! .....
Sentant ses sphincters anaux s'assouplir, j'acc�l�rais
mon allure. Ses nichons se balan�aient au rythme de mes coups de boutoir, ils
frappaient son torse puis repartaient dans la direction oppos�e lui fouettant
les �paules.
J'avais bien souvent assist� � ce spectacle dans le
miroir en pied en� face de notre� lit lorsque je lui faisais l'amour.
Cela m'avait toujours prodigieusement excit� le vieillard
avait du voir des sc�nes du m�me ordre dans le pass�, �a excitait tous les
spectateurs.
Je la chevauchais rudement quelques minutes, apr�s quoi,
je fusais dans son intestin palpitant alors que le vieillard me f�licitait.
"Bon boulot mon gars ! ....Continue..... N'arr�te
pas tout de suite....."
Je m'effor�ais de m'enfouir totalement dans son anneau
distendu.
"Arr�te.. Je t'en prie. Tu
me fais mal " pleurnicha-t-elle sourdement.
Le vieillard me conseilla rapidement :
"Continue � la bourrer...� C'est le meilleur moyen de la mater..... Dor�navant
tu te serviras de son trou du cul selon tes d�sirs......"
Je continuais �, la molester en d�pit de ses
protestations, je finissais de me vider dans ses entrailles, puis-je
m'extirpais de ses flancs pantelants.
Le vieillard prit ma place et d'un seul �lan enfourna sa
bite dans son trou du cul palpitant, il ne tarda pas � la chevaucher
sauvagement, tout le mode fut surpris de le voir �jaculer cinq minutes plus
tard, tout le temps de son enculade, Vicky pleura doucement.
Finalement, il jaillit � son tour dans ses profondeurs,
son foutre se m�langeant au mien.
L'assistance regardait silencieusement Vicky bouger ses
jambes ankylos�es.
Avant qu'elle en termine le dernier garde se s'agenouilla
dans son dos, il descendit son pantalon et son cale�on sur ses genoux et
p�n�tra vivement sa foufoune
Fascin�s, ils regardaient tous la
jute s'�couler de son trou du cul lui engluant la hampe.
Alors qu'il la p�n�trait, il introduisait du foutre
provenant de son cul dans sa chatte d�j� engorg�e. Ses nibards dansaient
�pousant le rythme de ses coups de boutoir, il avait vu la ravissante jeune
femme faire des pipes, se faire encorner et enculer, cela l'avait tant excit�
qu'il jaillit imm�diatement.
"Eh bien Sanderson que penses-tu de tout �a ? ......
Aimes-tu voir d'autres hommes sauter ta femme ? .... Je suppose que non !
...... De toute mani�re on s'en fout...... Elle viendra nous satisfaire chaque
semaine jusqu'� ta lib�ration...... Si l'on est pas
satisfait de ses services, Boone aura une nouvelle fiotte � enculer. Toi bien
sur ....."
Le gros sergent ordonna aux gardes de reprendre le
travail� et s'assit alors que j'aidais ma
femme � se relever. Elle fondit en larmes dans mes bras.
"J'ai mal... Si mal..." pleurnichait-elle � mon
oreille.
"Je t'aime ma ch�rie.."
Elle commen�a � se rhabiller lorsque le gros sergent
l'arr�ta.
"Jimmy, o� es-tu ? ...." demanda-t-il dans le
combin� t�l�phonique.
"J'arrive" r�pondit Jimmy.
"Sanderson je vais te demander une faveur... Depuis
des ann�es on se partage les faveurs des �pouses de prisonniers. Il s'est
toujours fait les meufs que je venais de baiser ... Et r�ciproquement ....Il
sera bient�t l� .....Maintenant qu'on est d'accord, il te prot�gera
......"
Je vis alors entrer Jimmy et Boone, je regardais le gros
sergent et dit :
"Pas lui. C'est lui qui en a apr�s moi ....."
"Ca t'�tonne n'est ce pas ? .....Eh bien maintenant
il va te prot�ger..... Aussi longtemps que ta femme nous ob�ira sagement......
Que veux-tu Boone ? ......" l'interrogea le gros sergent, souriant �
pleines dents.
"Que veux-tu lui faire ? ....."
Le colosse noir s'approcha de la femelle blonde et
s'assit � mes cot�s. Se tournant vers moi il m'avisa :
"Je veux baiser ta femme ! ..... Jimmy m'a dit qu'il
t'avait cass� le cul ...... T'as aim� �a Sanderson ? ...... Je parie qu�oui !
......" dit-il n'escomptant pas de r�ponse.
"Eh bien c'est mon tour maintenant ! ..... je vais la baiser avec la plus grosse queue qu'elle ne verra
jamais...... Elle ne pourra plus jamais se satisfaire de ta ch�tive petite
saucisse ! ......."
Se relevant, il se d�barrassa de son pantalon.
"Viens ici salope ! ..." dit-il lui attrapant
les t�tons "Bordel ta poitrine est magnifique, n'est ce pas
Sanderson...� Houai tu sais bien comment
sont ses nibards ! ..... Ses t�tons sont �rig�s... " dit
les pin�ant durement. Elle se recula cherchant � �chapper � son emprise.
Le colosse attira Vicky � lui, la tra�nant par les
cheveux.
"Ne fais plus jamais �a salope....." la
mena�a-t-il rageusement, elle se mit � trembler.
Il saisit ses deux�
mamelons entre ses doigts et les pin�a vicieusement, cette fois Vicky
ferma les yeux, elle accusait la douleur, il la pin�a jusqu'� ce qu'elle se
mette � hurler et le supplie de cesser, il l�cha ses mamelons et pelota
avidement ses seins.
"Ils sont vraiment magnifiques, je pourrai jouer
avec pendant des heures... " s'esclaffa Boone.
"Tu n'as qu'un quart d'heure avant qu'elle ne nous
quitte, elle revient la semaine prochaine.." le pr�vint alors le gros
sergent.
Boone cessa son pelotage et la saisit par ses m�ches
blondes. Il s'�tendit sur le sol et l'attira sur son lui. La tenant toujours
par ses cheveux, il la for�a � s'accroupir sur lui intimant de se positionner
au-dessus de sa bite.
Elle t�tonna � la recherche de la monstruosit� de Boone,
il la maintenait contre lui tirant douloureusement les cheveux.
Finalement, ayant trouv� son monstrueux gland, elle
chercha � l'ins�rer dans son vagin, tenant l'�norme bite � la racine elle
essayait de l'enfouir dans sa chatte, encore et encore, mais n'y parvenait pas,
la diff�rence de taille �tait trop grande.
"Je n'y arrive pas " dit-elle sourdement
cessant toute tentative.
Boone l�cha sa chevelure et elle s'assit sur lui. Elle
releva ses fesses et se positionna l'�norme gland pressant le centre de sa
f�minit�, il �tait tr�s long et tr�s �pais, jamais elle n'avait vu une bite de
cette taille hors norme.
Il se plaqua contre son dos et la regarda tenter de
lubrifier son gland en le frottant entre ses babines poisseuses.
Elle y parvint en promenant son gland, puis sa hampe dans
ses replis mar�cageux, elle se frottait de bas en haut sur toute la longueur de
son gourdin, sans se faire p�n�trer.
Sa bite ne faisait qu'effleurer l'ouverture de sa
caverne.
Elle poursuivit ce petit jeu pendant plusieurs minutes.
Je circulais autour d'eux et je voyais sa moule secr�ter des flots de cyprine,
fascin� je regardais le spectacle de son petit cul nacr� orn� d'une blonde
toison,� se lever et s'abaisser le sur la
grosse hampe noire je m'excitais � la vue de ce spectacle obsc�ne.
Vicky prit alors sa bite en main et la pla�a � l'entr�e
de sa grotte inond�e, elle n'avait pas encore sa bite en elle, elle l'excitait
sous nos yeux �bahis, elle l'excita au point de le faire gicler.
Cela faisait des ann�es qu'elle se livrait � ce petit jeu
avec moi, et j'adorais �a.
Elle commen�a alors � pousser vers le bas, l'�norme
bourgeon s'ins�ra lentement entre ses babines alors qu'elle g�missait
sourdement, elle s'abaissa encore sur sa bite, lui souriant de toutes ses
dents, elle l'excitait cet homme qui me battait si cruellement depuis deux
mois.
Je me penchais pour mieux voir et vit la monstruosit�
noire dispara�tre peu � peu dans le vagin distendu de ma femme.
Elle arr�ta lorsqu'elle pensa qu'elle ne pourrait pas
aller plus loin et elle commen�a � le chevaucher comme elle l'aurait fait d'un
�talon. Elle� se d�fon�ait sur sa queue,
j'adorai quand elle me faisait cela, toutefois, elle ne pourrait pas s'empaler
totalement sur cet �norme pieu noir.
Il la pelotait pendant qu'elle le chevauchait, lui
massant ses gros nichons lui� pin�ant
tendrement les mamelons � chaque fr�lement de sa poitrine.
Elle s'arqua sur les talons et grommela :
"Ooooohhhhhh !....."
Cet �tranger la faisait jouir ! ....... Elle se faisait
baiser par l'homme qui me frappait depuis des mois ! ......
��
L'entendant jouir, Boone jouit � son tour. Il projeta jet
apr�s jet son immonde jus au fin fond de son ut�rus, s'enfon�ant jusqu'�
heurter le col de son ut�rus. Il extirpa sa bite de sa chatte pantelante et lui
interdit de bouger.�
�
"Sanderson, viens ici et fais toi sucer par ta femme
qui vient de se faire prendre par un vrai m�le! ......"
Je me levais et m'approchais d'eux, elle m'emboucha, elle
venait de se faire baiser par mon tourmenteur, ils avaient tous deux joui sous
mes yeux.
Et voila qu'il voulait me voir gicler dans la bouche de
ma femme alors qu'il se pressait encore tout contre sa chatte blonde.
Le gros sergent intervint alors :
"Allez les gars, le spectacle est termin�, vous
devez regagner vos cellules..."
Boone lui jeta un regard mena�ant et dit:
"Mon nouvel ami doit d'abord jouir dans le bec de sa
femme ! ....."
Il se sentait proche de moi, je le savais.
La bite de Boone �tait � nouveau �rig�e, Vicky s'assit
dessus, je pensais que cet homme venait d'utiliser� mon innocente femme et d'en abuser en face de
moi, et j'avais du assister impuissant � son viol ! .....
Alors que cette r�alit� s'imposait � moi, je vomis des
torrents de foutre dans sa gorge accueillante, comme d'habitude elle avala
tout, je me vidais les couilles dans sa bouche, puis je me retirais.
Debout aupr�s d'elle, j'aidais Vicky � se d�mancher de la
grosse bite noire, je dus tirer fort car elle �tait v�ritablement empal�e sur
lui, un plop sonore et elle fut lib�r�e.
Alors qu'elle se tenait � ses cot�s, chancelante, du
foutre s'�coulait lentement de sa poitrine vers sa chatte luisante. Je l'aidais
� se tenir droite, du foutre s'�gouttait sur le sol. Il lui ordonna de l�cher
le foutre s'�talant sur sa poitrine.
Elle s'abaissa et ob�it l�chant la flaque de foutre qui
engluait son torse.
Le gros sergent laissa retomber son pantalon sur ses
chevilles et clopina vers elle haletant comme un chien, elle ne l'avait pas vu
arriver dans son dos alors qu'elle s'appr�tait � l�cher la flaque de foutre
souillant le plancher.
L�chant le foutre au sol, elle le sentit ; lui saisir les
hanches la p�n�trant � nouveau. Apr�s avoir endur� un sexe monstrueux, la bite
de ce dernier ne lui faisait ni froid ni chaud.
Elle ignora cette intrusion dans son ventre se bornant �
terminer le nettoyage du sol.
Le gros porc se mit � trembler convulsivement et injecta
une nouvelle dose de foutre dans l'ut�rus de ma femme asservie.
Il ne resta que quelques secondes en elle, puis il se retira, se redressa et dit � Jimmy de nous
ramener dans nos cellules respectives.
Vicky me prit dans ses bras et m'embrassa tendrement me
disant qu'elle m'aimait, puis elle se retourna et commen�a � se rhabiller.
"Et moi ! ..." Boone r�clama
"N'aurai-je pas droit au baiser d'adieu ?
....."
A moiti� v�tue, Vicky s'approcha de lui, elle� voulait lui donner un bisou sur la joue, mais
elle se retourna vers elle et l'enla�a �troitement, puis il enfon�a
profond�ment sa langue dans sa bouche l'explorant jusqu'aux amygdales, elle se
tenait main le long du corps et se laissa faire.
"On se reverra bient�t ch�rie " lui dit-il
alors que Jimmy nous emmenait.
Boone me dit que d�sormais il serait mon protecteur,, mais qu'il voulait baiser ma femme chaque semaine en
guise de remerciement.
"Ce sera toi ou ta femme..... Je baiserai l'un de
vous deux... " me pr�vint-il regagnant sa cellule.
Jimmy me ramenant en cellule me confia � quel point il
�tait heureux de s'�tre fait faire une cravate de notaire par ma femme, il
ajouta que de toutes les femmes de d�tenus qu'il avait bais�es, c'�tait la
mienne qui avait la plus belle poitrine, et comme je rentrai dans ma cellule,
il poursuivit :
"La semaine prochaine je l'enculerai moi aussi !
.....T'es d'accord Sanderson... "
******************************
�Le lendemain je
discutais avec quelques amis du viol de ma femme. Je fus surpris d'apprendre
qu'ils s'en �taient pris � la plupart des femmes de d�tenus toujours de la m�me
fa�on.
Ils employaient toujours les m�mes proc�d�s, ils cr�aient
de toutes pi�ces un probl�me fictif et ils faisaient chanter les femmes en
mettant en balance la s�curit� de leurs maris.
"Et personne n'a cherch� � faire cesser ce man�ge ?
... Quelqu'un veut-il vraiment faire cesser ces chantages ? ....."
questionnais-je aigrement.
"Et que pourrions nous faire ? " demanda l'un
d'eux.
"Nous y avons bien pens�, nous avons cherch� des
solutions, se plaindre..... Mais la vie de la prison repose sur eux,� aussi que penseraient les autorit�s de nos
plaintes ? .....Qui croiraient-ils ? .... Et s'ils allaient violer nos femmes
dans nos maisons en repr�sailles..... Ils intimident tout le monde et savent
comment s'y prendre pour nous �liminer......
"Ils sont d�j� all�s chez vous ? �. " demandai-je troubl�.
"Je ne le savais pas. Iront-ils chez moi
?....."
"Tu peux le craindre ! .......J'ai vu ta femme. Ils
iront chez toi s'occuper d'elle ...." r�pliqua-t-il sombrement.
Bordel" m'�criai-je
"Il faut que je pr�vienne Vicky ! ....... Elle ne
s'y attend pas..... Je leur casserai la gueule... Je le jure....."
"Tu n'as aucun moyen de la contacter avant demain.
Et encore faudra-t-il qu'e tu obtiennes l'autorisation de t�l�phoner ! .....
" r�pondit mon ami rageusement et il ajouta
"Et on ne t'a pas encore tout dit ! ... Ils
filmeront ta femme pendant qu'ils s'amuseront avec elle. Puis ils montreront le
film aux amateurs de films pornos de la prison �... Tout le monde pourra voir
ta petite femme se faire baiser .... Ils se branleront en regardant la cassette
..... Ta femme se fera violer et ces hommes se branleront � ce spectacle .....
Tout le monde est impatient de voir ta femme nue se faire violer ...."
Coulybaca
Auteur : Bedo
Email : be_do_li_do@excite.com
Pour sauver son mari
Chapitre 3
Time served Part (1)
Sa douche prise, Vicky entreprit de se
s�cher, quelques jours s'�taient �coul�s depuis son viol et elle commen�ait
seulement � reprendre une vie normale.
Elle enveloppa une serviette en turban
autour de sa t�te pour cacher sa longue chevelure blonde et enfila un string,
puis elle enfila son soutien-gorge, puis elle mit son jean, enfin elle endossa
un vaste chemisier et le boutonna puis elle se dirigea vers son salon.
Depuis que son mari �tait en d�tention
elle se sentait paresseuse,� peut-�tre
bien d�pressive, elle hurla de peur en p�n�trant dans le salon, le gros sergent
lui souriait, Jimmy assis � son cot�.
-
"Bonjour madame Sanderson, ravi de te
revoir, nous n'avons pas pu attendre samedi, aussi sommes nous venus te faire
une petite visite aujourd'hui, c'est bien �a Jimmy ? ..."
-
"C'est �a chef. Visez moi ces beaux
t�tons ....... Je sens que je vais me faire faire une nouvelle cravate de
notaire ..... Ou bien je vais la baiser dans son petit cul si �troit ... Que
pr�f�res-tu madame Sanderson ? " lui dit-il railleur.
Elle voulut s'enfuir,� mais le gros homme lui� agrippa le bras et la retint de force.
-
"Ne tente rien de stupide salope !
..."
-
"Que faites-vous chez moi ? ... Que
voulez-vous encore ? ....Comment �tes vous entr�s ? .... Partez ou j'appelle la
police ! ....."
-
"T'as eu tort de mentionner la police
ch�rie, si tu les appelles ton homme sera mort ce soir ! ..... Pour l'instant,
ils veulent juste l'enculer, mais ils le tueront s�rement si tu refuses de leur
donner du plaisir.. Ils l'enculeront puis lui couperont la bite et les couilles
et enfin ils l'�gorgeront ! ....... Le son est bon Jimmy ? .....
-
"Impeccable chef....."
-
"J'ai entendu dire que parfois ils font
bouffer sa bite et ses couilles � leur victime avant de l'occire...� De toute fa�on se faire enculer est le
moindre mal qui puisse lui arriver � ce foutu b�tard ! ..." ricana Jimmy
cherchant � l'effrayer.
Vicky tenta � nouveau de s'enfuir,
mais le gros homme l'arr�ta une fois de plus, il la tra�na par ses longs
cheveux blonds dans sa chambre et la projeta sur le lit.
-
"Sors les cam�ras Jimmy, on doit faire
un film et prendre des photos de cette voluptueuse salope."
Jimmy sortit les cam�ras et commen�a �
filmer.
Le gros homme commen�a par interviewer
Vicky, un moment plus tard elle dut faire un�
strip-tease face � l'objectif.
Jimmy prenait aussi des photos avec
son appareil num�rique.
Le gros homme l'avertit � nouveau des
cons�quences qu'entra�nerait tout refus de participer.
Elle opina � contrecoeur et prit des
poses obsc�nes � la demande des deux pervers.
Le gros homme prit la cam�ra des mains
de Jimmy et prit quelques rushs.
-
"C'est bien vrai, madame Sanderson, vous
participez � ce film selon votre volont�, n'est ce pas ?
-
"Bien sur..." r�pondit-elle
doucement.
-
"Plus forte madame Sanderson !
"...lui ordonna le gros noir.
-
"Oui..." reprit-elle haussant le
ton.
-
"C'est bien maintenant allonge-toi sur
le dos et �carte tes cuisses en grand.. C'est tr�s bien. Ecarte les l�vres de
ta chatte ...... Plus que �a �� Encore plus ..... Et maintenant doigte toi ....
Bien .... Et maintenant manipule ton clito et fais� semblant de jouir ...... Allez ... Tu peux
faire mieux que �a ... Tu dois te montrer plus convaincante ..... T'es une
bonne actrice ..... Cambre toi ....... Ouvre la bouche et g�mit sourdement
...... Fais comme si Boone te baisait la chatte .... C'est ce qu'il va te faire
dans 4 jours tu sais ..... Il aura vu ces images .....Les autres gardes aussi
d'ailleurs ...... C'est bon ... Maintenant mets toi � quatre pattes face � la
cam�ra ......"
La cam�ra enregistrait les sc�nes avec
un cliquetis sourd.
-
"Souris-moi sensuellement...... C'est
bon...� cambre-toi..... tends-nous ta
chatte..... Mieux que �a..... Bien... C'est bon..... Maintenant dis-toi que Boone
t'encule avec sa grosse bite..... Tu sais qu'il encule toutes les femmes de
d�tenus....... Je suis sure qu'il aimera se farcir ton �troit petit
oeillet....... Te tracasse pas madame Sanderson, il utilisera de la vaseline...
Et maintenant on va faire quelques plans vraiment pornos..." l'avisa-t-il.
Il lui dit de demeurer tranquille et
de tendre ses nichons � Jimmy le temps qu'il d�place les cam�ras.
-
"Tu aimes �a Jimmy ? ...Tu aimes les
cravates de notaire ? .... C'est l'acte sexuel que tu pr�f�res...� Presse les l'un contre l'autre... C'est
bien..... L�che les et laisse les tomber. Balance ton torse .... Secoue les
.... Recommence ..... De bas en haut ..... Bordel �a a du chien ..... Tu vas
gicler dans ton pantalon Jimmy si elle ne te soulage pas .... Tu ferais mieux
de te contr�ler ..... Allez maintenant passons aux sc�nes pornos ..... Passe
moi un gode Jimmy ! ....."
Il prit un vibromasseur et lui tendit.
-
"Merci,�
rallonge-toi sur le dos et �carte les cuisses... C'est bien...� Ecarte plus...� Oui, comme �a...... C'est du bon boulot.....
Maintenant fourre-le-toi dans la chatte et gamahuche toi avec........ dis-toi
que c'est encore Boone qui te reprend... C'est bon Jimmy ? ..... Allez
maintenant � quatre pattes et ne perd pas le gode en te positionnant........
C'est bien... Tes muscles vaginaux sont puissants..... Tu serres tellement les
fesses qu'on pourrait croire que tu te pr�pares � te faire baiser par un
chien....... On aurait du amener Mac Jimmy..... Ton danois..... Peut-�tre la prochaine
fois hein Jimmy ? ..... T'es-tu d�j� fait baiser par un chien ch�rie ? ...Non ?
�. Ca te fera une nouvelle exp�rience......"
-
Vicky frissonnait de peur, que voulaient-ils
lui faire faire la prochaine fois ? ... La faire baiser par un chien !.....
Personne ne pourra m'obliger � un acte aussi d�gradant pensa-t-elle
fugitivement.
-
"Ch�rie tu ne m'�coutes pas.....
cambre-toi mieux... Continue avec le gode..... Plus vite...� Tu prends bien tout Jimmy ? .....Les copains
verront ce film ce soir !...." dit-il lui extirpant le gode de sa moule
pour le positionner sur son oeillet anal palpitant.
-
"C'est bon.. On continue..... rentre-le.
Plus fort ......Prends le bien dans ton �troit petit cul ......Bien ... C'est
parfait .......Fais le aller ... Dedans, dehors dedans, dehors .... Plus
profond ....... C'est d'enfer ...." commenta-t-il en posant la cam�ra.
Le gros homme s'approcha d'elle tandis
que Jimmy adoptait une� position plus
confortable pour filmer. Il sortit un godemich� � deux t�tes qu'il mit en
place, et les enfon�a dans leurs trous respectifs.
Elle allait se gamahucher les deux
trous � la fois ! ......
-
"C'est parfait ! ..... Les plans sont
bon Jimmy ? .... Bien.....� Et maintenant
elle va te faire ta cravate de notaire Jimmy......" intervint-il arrachant
brutalement le double gode de ses orifices et la repoussant sur le dos.
Jimmy se mit � poil et enfourcha son
buste positionnant sa grosse bite entre ses globes mammaires, il lubrifia ses
nibards avec un peu de vaseline et commen�a ses vas et viens tandis que le gros
homme immortalisait la sc�ne.
Jimmy pressait ses gros nichons sur sa
bite et se d�menait d'avant en arri�re entre eux.
Il lui faisait mal, mais elle se
for�ait au silence.
Le gros homme lui intima l'ordre de
feindre la jouissance, elle se mit alors � g�mir et � grogner exactement comme
si elle se faisait baiser �prement, Jimmy commen�a � jouir.
Il gicla sur son menton, ses l�vres,
ses joues et ses yeux en hurlant :
-
OHHHHHHH !...."
Il s'assit ensuite sur son buste et se
servit de sa queue pour �taler le foutre sur son visage, le gros homme prenait
des plans serr�s de cet �pisode, sp�cialement lorsqu'il essaya de lui repousser
du foutre entre les l�vres.
-
"Ouvre ta bouche pute,"
ordonna-t-il lui for�ant les l�vres.
-
"Suce moi salope....."
Vicky obtemp�ra veulement. Jimmy
ajouta :
-
"Hummm. Toi au moins t'es une vraie
salope..... Fait moi vibrer....."
Puis il extirpa � nouveau sa bite de
sa bouche et s'en servit pour la gifler � plusieurs reprises, � chaque claque
un maigre jet de foutre giclait sur son visage, les coups �taient tr�s sonores
et le gros homme prit en d�tail et sons et images de toute la sc�ne.
Il n'avait pas d'autre but que
l'humilier. Jimmy reprit la cam�ra alors que le gros noir ouvrait � nouveau les
cuisses de Vicky.
Puis il enduisit ses doigts de vaseline
et s'assit au cot� de Vicky, il enfouit deux doigts joints dans sa moule,
quelques instants plus tard un troisi�me doigt rejoignait les premiers, c'�tait
approximativement la taille de la bite de Boone, elle accepta l'intromission
sans rousp�ter, feignant l'orgasme pour la vid�o.
D�j� il extirpait ses trois doigts en
graissant un quatri�me adressant un sourire railleur� Vicky. Il la for�a de ses quatre doigts
joints tandis que Jimmy se remettait � filmer. C'en �tait trop pur Vicky qui se
mit � geindre et � couiner, son pers�cuteur ignora ses plaintes, ressortit ses
doigts et se graissa la main enti�re, il voulait lui fourrer son poing dans la
chatte.
Vicky ne pensait m�me pas qu'on puisse
faire cela, son mari ne lui avait jamais rien fait de ce genre, il la
manipulait toujours avec amour et mesure.
Elle �tait paniqu�e, comprenant
qu'elle allait endurer une nouvelle exp�rience, un nouveau type de souffrance.
Il posa son poing graiss� sur son
ouverture vaginale et il� commen�a �
vriller sa main dans sa cramouille affol�e.
Jimmy s'approcha, prenant des plans
resserr�s du p�nible empalement. Plus le gros porc vrillait son poing dans sa
foufoune, plus la douleur devenait insoutenable. Il poussa de toutes ses
forces, amplifiant les mouvements de rotation de son poing, Vicky hurlait sa douleur,
soudain les cris cess�rent, elle s'�tait �vanouie, le poing �tait enti�rement
enfoui dans sa cramouille.
Le gros porc fit une pause le temps
que Vicky revienne � elle, puis il tenta d'ouvrir sa main, il pouvait � peine
remuer les doigts tant la pression du vagin �tait intense, Vicky pleurait �
chaudes larmes le suppliant d'�ter sa main de son sexe.
-
"Ta gueule salope... t'aimes pas avoir
un poing enfoui dans la chatte ? .... C'est pas plus terrible qu'un
accouchement ch�ri.......� Sauf que l� il
s'agit de mon poing...... T'a tout pris Jimmy ? .... Bien...� Et maintenant tu vas le sentir
passer....." annon�a-t-il s'installant plus confortablement.
Il voulait voir jusqu'o� il pouvait
enfouir sa main dans sa cramouille, Vicky sanglotait lourdement le suppliant
toujours d'�ter sa main de son ventre. Il poussa impitoyablement commentant �
l'adresse de Jimmy :
-
"Hey Jimmy, je prends un sacr� pied, et
toi ? ......"
-
"Moi aussi..."
-
"Maintenant ch�rie tu pourras dire que
t'as exp�riment� le fist-fucking comme disent les am�ricains ! ......
Puis il la gamahucha de son poing
serr�, op�rant impitoyablement de sauvages�
all�es venues de sa main ferm�e dans son boyau meurtri.
Il ne manifestait pas plus de
compassion que de tendresse, mais juste du vice de la f�rocit�, la faisant
hurler de douleur.
Alors qu'il enfouissait et retirait
alternativement son poing de son vagin douloureux as, Jimmy et son tourmenteur
regardaient fascin�s les l�vres de sa chatte s'�vaser sur le bras du gros porc,
�pousant �troitement le diam�tre de son bras, accompagnant chacun de ses
mouvements.
Extirpant son poing, il commenta
lourdement :
-
"Jimmy, penses-tu que son mari va
appr�cier ces images ? .....J'ai une nouvelle id�e..... Donne lui la camera,
c'est elle qui va filmer la prochaine �preuve..... Graisse ta bite et enfonce
la aussi profond�ment que tu le peux dans son trou du cul ! ....."
Paniqu�e Vicky hurlait sa terreur,
Jimmy lui enfourna un chiffon dans le bec. Le gros porc insista :
-
"Allez Jimmy vient derri�re elle...
Graisse ton outil et fourre lui dans le cul...��
-
Bien que le chiffon �touffa ses cris, Vicky
poussait des hurlements aigus, Jimmy enduisit son gland et sa hampe de
vaseline� et prit position dans son dos.
-
"Courbez la en avant chef...." le
gros porc utilisa sa main libre pour lui faire cambrer le cul.
Vicky �tait folle de panique, elle
attendait avec terreur l'instant ou son �pais gland presserait son oeillet.
Jimmy lui saisit les hanches et pr�senta
son bourgeon, d'une voix voil�e elle le supplia de cesser ses manoeuvres.
Elle cherchait � les apitoyer mais ils
ne pr�taient aucune attention � ses plaintes et ses supplications.
Jimmy ins�ra son gland dans l'oeillet
r�calcitrant, il sentait la main de son chef au travers du p�rin�e. Il poussa
plus fort, la main du chef saisit sa bite au travers de la fine membrane.
S'enfon�ant de plus en plus dans ses
reins il sentait s'accro�tre la r�sistance � son intrusion.
Les plaintes �trangl�es que poussait
Vicky excitait encore plus les ses deux tourmenteurs, il r�ussit finalement �
se loger enti�rement dans ses entrailles, la main de son chef le branlait au
travers du p�rin�e.
Le gros homme intervint alors :
-
"Bougeons ensemble, toi ta bite et moi
ma main... ramonons la en choeur....."
Ils la d�fon�aient sans piti�, elle
n'�tait plus qu'un morceau de viande qu'ils d�gustaient � leur convenance afin
d'assouvir leurs app�tits sexuels les plus pervers.
Les p�n�trations et les retraits
�taient difficiles les entrailles de Vicky enserraient la bite de Jimmy comme
une main de fer, il ne put supporter longtemps ce r�gime et explosa au fin fond
de ses intestins.
La main du gros homme continuait �
aller et venir su sa hampe, Jimmy se retira et reprit la cam�ra en main.
Il s'aper�ut alors que la cassette
vid�o se terminait, il la rempla�a par une autre, rangeant la premi�re dans son
attach�-case.
Vicky �tait sur le point de s'�vanouir
lorsqu'elle sentit le gros porc chercher � extraire sa main de son vagin.
N'y parvenant pas il demanda � Jimmy
de lui donner le tube de vaseline. Jimmy lui enduisit le bras du mieux qu'il
put, et le salaud essaya � nouveau d'arracher sa main de son cloaque.
Il y parvint brusquement, un plop
sonore r�sonna dans la pi�ce saluant sa victoire, Vicky �ta la serviette de sa
bouche et chercha � r�cup�rer, elle se sentait d�chir�e, elle pleurait
sourdement..
Sa fente �tait si distendue que cela
prendrait des jours et des jours pour qu'elle retrouve sa taille initiale. Le
gros homme r�clama une pipe et lui intima l'ordre de s'agenouiller.
-
Elle d�faillait sous la douleur cependant
elle se d�brouilla pour se mettre � genoux entre ses cuisses, il laissa tomber
son pantalon sur ses genoux et la gifla de sa bite semi-�rig�e.
-
"Allez ch�rie, mets-y tout ton
coeur..."
Vicky emboucha la bite ramollie et fit
aller ses l�vres de bas en haut sur son mat de cocagne.
A peine sa bite �tait-elle raide
qu'elle sentit son �jaculation proche, elle l'enroba de sa longue tout en
acc�l�rant ses succions.
Il jaillit dans sa bouche, elle
avalait au fur et � mesure des �missions sirupeuses, elle ne se r�voltait pas,
elle avalait servilement.
Elle �tait bris�e et se satisfaisait
d'assouvir les fantaisies sexuelles de ces deux pervers.
Il termina la cassette en prenant
quelques plans de Vicky nue, puis se rhabillant. Elle ob�issait passivement �
tous leurs ordres.
Ils la quitt�rent vers 11 heures du
soir, le gros sergent d�posa Jimmy chez lui et regagna son domicile o� il passa
plusieurs heures � d�velopper les photos puis � monter la bande vid�o, puis il
se coucha vers trois heures.
Vicky passa plusieurs heures aux
urgences, le temps de r�parer les d�g�ts, ils voulaient la garder pour la nuit,
mais elle refusa de peur d'envenimer les choses.
Ils appel�rent la police qui
l'interrogea, elle fit une d�claration mensong�re, ne d�posa pas de plainte et
ne cita aucun nom.
Vicky reprit sa voiture et partit
passer la nuit chez sa soeur, ou elle pensait �tre en s�curit�.
Pour
sauver son mari Ch 4
Chapitre
4
Le lendemain matin, Vicky et sa soeur
se rendirent � chez elle pour y prendre quelques v�tements et des affaires
personnelles.� Val�rie et son mari
l'accompagnaient.
Une fois ce dont elle avait besoin
empaquetait, elle ferma fen�tres et portes � double tour et jeta un dernier
coup d'oeil dans le salon. Quelques heures plus t�t elle se faisait sauvagement
agresser dans cette pi�ce.
Elle se dirigeait vers la porte
lorsque quelque chose attira son regard : un cassette
vid�o, par erreur ils avaient oubli� une cassette vid�o, elle s'en empara
prestement et la fourra dans son sac � main.
Ce m�me jour, le gros sergent �tait
assis � son bureau, il pr�parait une soir�e vid�o pour les d�tenus, il invita
les gardes et les habitu�s
Lorsqu'ils violaient et filmaient une
femme de d�tenu, celui ci pouvait voir le film d�s le lendemain c'�tait simple
comme bonjour.
Ils �taient 19 spectateurs, 18
habitu�s et un nouveau : Sanderson. Sa femme �tait la
vedette de la vid�o, c'�tait assur�ment la plus jolie femme qu'ils aient film�e
jusqu'ici. Tous les hommes qui avaient vu des photos d'elle nue avaient pay�
leur place pour regarder la cassette.
Bien qu'il ait viol� la plupart des
femmes des spectateurs pr�sents, c'�tait la premi�re soir�e vid�o � laquelle
assistait Boone. Il avait pay� une grosse somme pour� sauter cette gonzesse et il voulait voir le
film qu'ils avaient concoct�. Il voulait revoir Vicky nue.
Apr�s tout c'�tait la femme la plus
belle et la plus sexy que ces hommes aient depuis� longtemps.
C'est assez surpris que j'avais gagn�
la salle de vid�o, je n'avais aucune id�e des raisons de cette invitation. la pi�ce contenait,�
quelques gardes et beaucoup de d�tenus.
Tous les regards �tait
braqu�s sur moi, ils chuchotaient et riaient, se moquant visiblement de
moi.
Boone m'appela, je m'assis � cot� de
lui. Quelques spectateurs se masturbaient ostensiblement, ce qui accrut encore
ma nervosit�, et j'�tais pr�t � me sauver, dans la crainte de me faire
partouzer.
Le gros homme arriva, il prit la
parole :
-
"Salut les gars, cette soir�e est
sp�ciale, vous allez vous r�galer ..... Je suis certain que vous avez tous vus
des photos de Vicky, la ravissante femme de Sanderson
�..Tr�s bien .... Nous lui avons fait une petite visite hier soir, on s'est bien
amus� ..... On a film� cette bonne s�ance de baise et c'est ce que nous allons
regarder ce soir."
Mon coeur s'emballa � ces mots, ils
avaient violent� ma femme dans notre maison, et ils se pr�paraient � projeter
la vid�o qu'ils en avaient tir�, je n'avais aucune id�e de son contenu, ce que
je vis me choqua, me rendit furieux et m'excita tout � la fois.
Le gros porc lan�a la vid�o sur la
t�l� grand �cran.
Ma ravissante jeune femme normalement
v�tue apparut, elle r�pondait � un questionnaire, en introduction.
-
�"5
C, 75, 95 ..."
-
�"Quelles sont tes mensurations ? "
-
�"Beaux
nichons ma fois, � quel �ge t'es-tu fais d�puceler ?"
-
"15 ans �.."
-
"Qui t'as d�pucel� ? ...
-
"Je t'ai�
demand� qui t'as d�pucel� ..."
-
�"Mon
mari �.."
-
�"As-tu
d�j� bais� avec deux hommes en m�me temps ?"
-
�"Pas
avant cette semaine ..."
La salle �clata de rire � ces mots.
-
"T'es-tu d�j� fait baiser par un animal
? ..."
-
"Non ...
-
"Le ferais-tu si on te l'ordonnait ?
..."
-
"Non �."
-
- "Nous verrons bien ch�rie ..."
commenta l'homme avec un sourire d�moniaque.
-
"Aimes tu te
faire baiser ?"
-
"Oui ....Par mon mari ... Pas par vous
salauds !...."
De nouveau la salle r�sonna de rires
bruyants.
-
"Avales-tu le sperme ? .."
-
"Normalement oui ..."
-
"Aimes-tu te faire enculer ? .."
-
"C'est pas ce que je pr�f�re ..."
Encore une fois les spectateurs
hennirent leur joie.
-
"C'est ton �poux qui t'a d�pucel�,
est-ce aussi lui le premier � t'avoir encul�e ?"
-
"Oui c'�tait lui ..." L'interview,
de plus en plus intime, dura quelques minutes.
Vicky, expliquait sereinement qu'elle
aimerait� se faire prendre en sandwich
tandis qu'elle sucerait un troisi�me homme.
J'�tais � la fois surpris et excit�.
Malgr� nos ann�es de mariage, Vicky
�tait bien trop timide pour discuter de sexe de fa�on si d�taill�e avec moi et
voil� qu'elle s'�talait avec complaisance tandis qu'on la filmait.
Elle semblait si diff�rente de la
Vicky que e connaissais, une lueur �grillarde dans son oeil renfor�ait cette
impression de complaisance.
Le gros porc lui demanda alors de se
d�shabiller. Elle voulut savoir si elle devait juste se d�shabiller ou faire un
strip-tease. Il r�pliqua que c'�tait � elle de choisir. Elle me surprit en
d�clarant
-
"Je ferai ce que vous voudrez ! ....
Demandez et je m'ex�cute ! ...."
Elle commen�a alors � danser sur une musique
qu'elle seule entendait, puis elle enleva son corsage, s'exhibant en
soutien-gorge, les spectateurs se livr�rent � quelques commentaires salaces.
Lorsqu'elle d�grafa son soutien-gorge
pour le laisser choir au sol, ils aval�rent tous leur salive.
Lorsqu'elle se d�pouilla de son jean
dansant juste v�tue de son string, les spectateurs p�t�rent les plombs.
Mais les cris redoubl�rent lorsqu'elle
retira son cache sexe, pench�e en avant, jambes largement �cart�es, elle coin�a
la bite de son partenaire entre ses pieds.
Elle le branla des deux pieds, tout en
se cambrant pour mettre en �vidence sa chatoune.
L'homme qu'elle masturbait de ses
pieds juta sur ses mains, elle continua imperturbablement � le branler, alors
qu'il continuait � gicler.
Vicky affrontait sereinement la
cam�ra. Les spectateurs grommel�rent sourdement � la vue des sa paire de
nibards et de son pubis d'or.
La cam�ra d�taillait ses courbes
voluptueuses.
Puis, � la demande de Jimmy et du gros
porc elle prit des poses excitantes.
Jambes grandes �cart�es, le gros porc
lui demandait d'ouvrir sa foufoune de ses doigts, de tendre ses nichons, de les
laisser tomber, � cette vue l'assistance p�ta � nouveau les plombs.
Ils �taient si gros si fermes, tous
les spectateurs en fr�missaient d'envie, exactement comme moi lorsque nous
faisions l'amour.
Puis quelques plans d'elle utilisant
des godes et des plugs d�fil�rent, je ne l'avais jamais vue utiliser ces
jouets, cependant elle semblait appr�cier qu'on lui ins�re des godes ou des
plugs dans le cul.
Puis vint la sc�ne de la cravate de
notaire, ils applaudirent tous cette sc�ne des plus grivoises, il faut dire que
la vue de la pine de Jimmy coulissant entre ses globes mammaires �tait des plus
excitantes.
Lorsqu'il �jacula sur son visage puis
�tala le sperme sur ses joues, son menton, ses l�vres,� ils rirent souhaitant faire de m�me.
Lorsqu'ils lui firent l�cher les
filets de sperme marbrant ses seins, je d�sirais follement la poss�der � cet
instant, elle su�a longuement ses nichons avant qu'on ne lui dise de cesser.
Puis elle fit une pipe au gros
porc,� tout le monde riait et applaudissait.
Lorsqu'il jouit et qu'elle avala sa
semence si obligeamment, la salle sombra dans le d�lire. Je ne l'avais jamais
vue aussi excitante, aussi sexy.
Au spectacle de cette pipe men�e de
main de ma�tre bien des spectateurs jouirent dans leurs pantalons ou bien par
terre.
La salle avait retrouv� un certain
calme lorsqu'ils commenc�rent la sc�ne de fist-fucking.
Voir ce gros porc lui fourrer sa
grosse main dans le vagin me choqua profond�ment, les hommes gicl�rent �
nouveau lorsqu'ils le virent vriller sa main dans la chatte de Vicky, je me
d�solais en voyant la souffrance s'afficher sur son visage, j'aura
voulu pouvoir occire ces b�tards, je me jurais de les tuer dans d'horribles souffrances.
Puis Jimmy l'encula alors que le gros
homme avait toujours sa main fourr�e dans son vagin, on n'entendait plus un
bruit dans la salle, ils cess�rent m�me de se masturber fascin�s par la sc�ne
qui se d�roulait sur l'�cran.
Ma haine grandissait � chaque coup de
boutoir dans le ventre de ma femme, j'aurai voulu les tuer � l'instant, sur
leurs si�ges.
C'est alors que Boone se pencha vers
moi et me dit :
-
"Ne fais pas �a l'ami, t'es encore en
vie et ils la baiseront quoi que tu fasses �. Que tu veuilles bien ou que tu ne
le veuilles pas ...... En dehors de cela, j'aimerai bien m'la faire � nouveau moi
aussi !...."
La cassette se termina enfin, tout le
monde resta assis, le gros sergent donna l'ordre aux gardes de raccompagner les
d�tenus dans leurs cellules.
Je passais la nuit yeux grands
ouverts, allong� sur mon lit, r�volt� par ce que j'avais vu, et les souffrances
que visiblement ma gentille petite femme avait endur�.
-
*****************************
�
Vicky ne me visita ce week-end, ils
furent tous d�sappoint�s.
Elle ne revint que deux semaines plus
tard. Elle portait une robe d'�t�, elle �tait ravissante. Elle �tait all�e chez
le coiffeur et semblait repos�e.
Elle s'assit seule dans la salle des
visites aux cot�s de d�tenus discutant avec leurs femmes.
Ils vinrent me chercher, je me rendais
au parloir et m'assit � ses cot�s.
-
"Bonjour ch�ri t'ai-je manqu� ? .....
" me demanda-t-elle m'embrassant tendrement � pleine bouche.
Elle se redressa, d�boutonna mon
pantalon, sortit ma bite et entama une branlette � deux mains.
La salle �tait pleine, mais cela ne
l'arr�ta pas, elle remonta sa jupe, les hommes assis � proximit� virent tous
qu'elle ne portait pas de culotte.
J'�tais curieux de savoir jusqu'o�
elle irait dans sa volont� de me donner du plaisir, aussi je pensais que je
devrai la tester.
Alors que je me demandais quoi faire,
Boone accompagn� par quelques� copains
entra et s'assit de l'autre de la pi�ce.
Je dis � Vicky de se mettre � genoux
pour me faire sa pipe.
Je pensais qu'elle se glisserait sous
la table, comme les autres �pouses de d�tenues, je fus fort surpris de la voir
s'agenouiller � cot� de la table, � d�couvert pour calmement se remettre � me sucer.
Nos voisins nous regardaient �bahis.
Quelques femmes �taient en col�re de la voir agir aussi ouvertement, d'autres
se montraient curieuses et s'excitaient � la vue de cette jolie blonde faisant
une pipe � son mari au su et au vu de tous.
J'aimais �a ! .......J'aimais la voir
aussi belle et sensuelle !..... Je l'aimais de me sucer � la vue de tous
......J'�tais tr�s heureux de la voir faire ce que je voulais ! .....
J'ai essay� de me retenir, mais je n'y
suis pas arriv�, je giclais presque imm�diatement dans sa bouche.
Elle savoura toutes mes gicl�es, puis,
se relevant elle me murmura � l'oreille :
-
"On les tient par les couilles ! .....
Ils ont laiss� tra�ner une vid�o � la maison, je l'ai amen�e � un
avocat..."
-
"Qu'entends tu par ils ont oubli� une
vid�o � la maison ? .... Quelle vid�o ? ...... J'ai vu celle qu'ils t'ont fait
faire ! ....." lui dis-je toujours raide, r�cup�rant lentement de la pipe
qu'elle venait de me faire.
-
"Une ancienne vid�o ... tu vois cette
fille avec le mexicain ....Ils ont film� son viol ....." dit-elle
d�signant une femme de l'autre cot� de la pi�ce.
Je jetais un oeil curieux et vis une
mignonne petite mexicaine me souriant en me faisant un signe de la main.
Elle poursuivit :
-
"L'avocat a rapidement identifi� cette
jeune femme et pas plus tard que ce matin, nous nous sommes rendus chez le
procureur, il identifia quatre autres femmes sur la bande st�r�o, ce ne fut pas
tr�s difficile.
Ebahi, je lui dis :
-
"Mais c'est fou ! ..... Sois sur d�s que
je sortirai� d'ici .....Ils tenteront de
me tuer ... En tout cas ce sera fini ...Si tout est d�cid�, pourquoi me demandes-tu
mon avis ? .." poursuivis-je avec une certaine impatience.
-
"Parce que je t'appartiens enti�rement
d�sormais, je ferai ce que tu voudras, quand tu voudras ..."
-
"Tu penses vraiment ce que tu dis ?
..." m'esclaffais je incr�dule, et j'ajoutai :
-
"Boone me tuera si le procureur s'en
m�le ! ..."
-
"Ne te tracasse pas pour Boone, ...� On va lui proposer un bon march� s'il
t�moigne contre les gardes ... De toute fa�on il m'aime et il fera ce que je
lui demanderai ! ....." me dit-elle confidentiellement, et elle poursuivit
:
-
"Appelle le
"
-
" Boone " l'appelai je lui faisant
signe de la main.
-
"Vicky voudrait te parler ! ..."
Le colosse s'assit pr�s de Vicky, et lui
posa le bras sur l'�paule, empaumant de la main un de ses seins.
-
"Arr�te .."
dit -elle �clatant de rire, en enlevant sa main de sa poitrine.
-
"Sois gentil ... .. Il est arriv� un
paquet de choses aujourd'hui .... Cela te concerne ... Et le temps qu'il te
reste � tirer ... Mon avocat m'a dit qu'il pouvait obtenir une forte r�duction
de peine si tu nous aidais .....Cela t'int�resse-t-il ? ....."
-
Le colosse sourit et r�pondit :
-
"Tout ce qui me fera sortir d'ici plus
rapidement m'int�resse forc�ment ...." dit-il badinant
-
"S�rieusement il s'agit de quoi ?
....."
-
"A 14 heures, Je dois rencontrer le
Procureur pour lui parler du viol que j'ai subi.... Nous disposons d'assez de
preuves pour mettre �ces gardes � l'ombre
pour longtemps, mais on a besoin de ton aide ....... la vid�o concerne
plusieurs femme de d�tenus que les gardes font chanter mais on un aurait besoin
d'un t�moin emprisonn� qui corroborerait nos dires...... Mon avocat pr�tend
qu'il peut obtenir ta lib�ration anticip�e en �change de ton t�moignage ...
Cela ne d�pend donc que de toi ...... Il m'a dit qu'il te restait 18 mois �
tirer ......"
Boone soupira lourdement :
-
"Hmmmmmm
....T�moignez et vous serez lib�r� ! ...... Je n'ai encore jamais balanc�
personne ..... Mais passer encore 18 mois dans ce trou � rats ....." et se
tournant vers Vicky, il convint :
-
"C'est d'accord .... Mais je suis aussi
impliqu� dans ces viols ...... J'ai pay� pour ce gros porc pour baiser avec ces
femmes ...... Que me feront-ils pour ces viols ! .... "
-
"C'est pr�vu au march� qu'on te propose.
... Si tu t�moignes toutes les charges contre toi seront abandonn�es,.... Alors
qu'en dis tu ? ......."
Boone se leva et se dirigea vers la
fontaine, il se servit un verre d'eau et revint s'asseoir au cot� de Vicky, il
posa � nouveau son bras sur son �paule et empauma un de ses seins.
-
"C'est d'accord �.. Je marche avec vous
..... mais je vais te demander quelque chose ..... J'ai vu ce que tu as fait �
ton mari il y a� � peine 10 minutes
....... Fais moi aussi une pipe pour me remercier ...!"
Vicky sourit, me regarda et lui dit :
-
"T'es bien sur que tu veux que je te
suce maintenant ? .... Tu vas sortir dans quelques semaines, on pourra alors
prendre tout notre temps ..... Alors que fait-on ? ....." - "Pourquoi
joues de cette fa�on avec mes nerfs ch�rie ?..." dit il
souriant � pleine dents.
-
"Fais moi un pipe tout de suite, de
toute mani�re tu pourras m'en faire une autre plus tard ! ....." et me
jetant un oeil il ajouta :
-
"Allez mon pote, aide moi sur ce coup l�
...".
Je regardais Vicky et opinais de la
t�te.
Imm�diatement elle descendit de son
si�ge et s'installa entre les cuisses du colosse noir, d�grafant sa braguette,
elle sortit la monstruosit� � demi �rig�e et l'emboucha s�ance tenante.
Sa bouche �tait distendue aux limites
de la dislocation, mais elle parvenait � l'enserrer de ses l�vres actives,
relevant la t�te elle regarda Bonne dans les yeux et dit :
-
�"Tu me jures de prot�ger mon mari ? ....
" Boone hocha la t�te en signe d'acquiescement et elle replongea sur sa
bite.
Apr�s quelques difficult�s, elle ne
tarda pas � prendre son rythme de croisi�re, nos voisins regardaient incr�dule
cette jeune femme blanche sucer un noir sans se soucier de l'assistance.
Cela ne prit pas tr�s longtemps, et le
colosse noir lui balan�a gerbe apr�s gerbe sa semence au fin fond de la gorge.
Elle avala les gerbes chaudes avec un plaisir �vident, puis elle lui, toiletta
sa bite avant de l'embrasser une derni�re fois sur le m�at et de la ranger dans
son pantalon.
-
"Merci ch�rie, c'�tait tr�s bon ..... Et
maintenant ? ..."
-
"Quoi maintenant �.. Que veux-tu de plus
? ...." demanda-t-elle confuse.
-
"Bien sur que je veux plus ! .... Mais
pas maintenant ! ..... Je voulais dire que se passe-t-il maintenant ?
....."
-
"J'en saurai plus vers 15 heures, je
vous ferai alors savoir ... l'un d'entre vous peut-il m'appeler vers 17 heures
? ......
Boone opina et elle continua :
-
"J'y vais maintenant, on est bien
d'accord mes ch�ris ? ..... " finit-elle me souriant tendrement.
-
"On est d'accord ma ch�rie ...... Prends
garde � toi ......" r�pondis je, puis je quittais
la salle accompagn� de Boone.
Le gros sergent l'accosta dans le hall
de sortie, il lui sourit, elle voulut se lib�rer, mais il la tenait fermement.
-
"Je dois y aller " parvint-elle �
balbutier
-
"Je n'ai pas le temps de faire quoi que
ce soit en ce moment, venez avec vos amis ce soir, je ferai tout ce que vous
voudrez ..."
A contrecoeur, il la laissa partir. Il
savait que de toute fa�on ce serait bien mieux ce soir, ils pourraient prendre
leur temps. Il regardait rouler son petit cul ferme tandis qu'elle descendait
le vestibule, il bandait d�j� en �voquant l'image de son sphincter anal enserrant
d'une main de fer sa grosse bite noire.
Il pensa vicieusement :
-
"Ce soir, apr�s m'�tre servi de sa
chatte,� je lui p�terai la rondelle !
....
Vicky rejoignit le parking o� sa soeur
l'attendait, ils all�rent se restaurer dans un bar, ils discutaient des
�v�nements � venir et de la revanche que ces femmes viol�es tireraient de leurs
violeurs.
*****************************************
A exactement 14 heures moins quart,
Vicky se trouvait avec son avocat dans salle d'attente du bureau du procureur.
A 14 heures juste on les introduisait
dans le bureau o� ils attendirent quelques minutes le procureur. La porte du
fond s'ouvrit bient�t et Elisabeth Durand, le procureur et son assistant
entr�rent dans la pi�ce.
Souriante, elle posa son attach� case
sur le bureau pr�cisant :
-
"On dispose de 30 minutes, Qu'est ce que
cette histoire de gardes contraignant des femmes de d�tenues � avoir des
rapports sexuels avec eux et � se prostituer avec d'autres d�tenus ?
....."
30 minutes plus tard, ils avaient tout
racont� � un procureur horrifi�, lors du visionnage de la bande vid�o, elle
ordonna � son assistant de d�marrer une proc�dure, elle regarda� la cassette du d�but � la fin.
Elle y vit 6 femmes de diff�rentes
ethnies et de diff�rents �ges obligeaient de se livrer � des rapports sexuels
sous la contrainte, elle vit ces femmes se faire humilier et violer par les
deux m�mes hommes.
-
"On va coincer ces salauds ! ...... Qui
sont ces femmes ? ..."
-
"Ce ne sera pas aussi simple que cela
" intervint Vicky qui poursuivit :
-
"Il y a 3 ou 4 autres gardes et
peut-�tre m�me plus impliqu�s dans ces viols ! .....On ne les conna�t pas
tous� ... Ils seront tous chez moi ce
soir ! ......Pour ...... Collecter le prix de leur bonne volont� ....... C'est
du moins ce qu'ils m'ont dit ! .... Et si l'on refuse, ils battent nos maris
......."
-
"Ce soir ? .." demanda le
procureur.
-
"Pourquoi n'�tablisserions-nous
pas une sourici�re pour les prendre en flagrant d�lit ?..."
-
"C'est d'accord, mais rappelez vous vous
nous avez promis d'aider Boone ! ..... Il a prot�g� mon mari..... " intervint
� nouveau Vicky qui poursuivit :
-
"Je ne sais pas � quelle heure ils vont
se pointer chez moi ce soir, mais j'ai demand� au sergent d'amener tous ses
amis ! .... Est ce bien encore un viol puisque c'est moi qui leur ai dit de
venir ! ......"
-
"Ne vous inqui�tez pas, nous ferons
comme si ..... " et se tournant vers son assistant elle ajouta :
-
"Je veux un secret total sur tout ceci
... pas de presse .... Appelez le capitaine Glendenning
et mettez le dans la confidence ! .........
******************************************
Assise dans son salon, Vicky pliait
nerveusement des v�tements, elle savait que beaucoup de choses reposaient sur
elle et de sa fa�on d'agir cette nuit.
Il leur fallait la preuve qu'il
s'agissait bien de viols sous la contrainte, elle devait les amener � se
d�voiler ce soir, il fallait qu'on la voie se faire violenter, il n'�tait que
20 heures et personne n'�tait encore l�.
Les cam�ras �taient pr�tes, les micros
ouverts, la maison en �tait largement �quip�e, la police �tait pr�te pour les
arrestations.
Elle savait que ces hommes la
verraient sur leurs �crans de contr�le et cela l'excitait.
On frappa � la porte Vicky se leva et
ouvrit. Ils �taient sept, d'�ges, de races, et de statures diff�rentes.
Ils entr�rent amenant leurs canettes
de bi�res et des pizzas. Il s'�taient pr�par�s pour
une partouze dont Vicky serait l'objet principal.
Le gros sergent commenta :
-
"C'est bon les gars ... On est arriv�
.... Fous toi a poil et �carte les cuisses salope ! ....."
-
"Attendez " les interrompit Vicky
-
"Vais je devoir
me faire baiser par tous ces hommes ? .....Je vous en prie Non .... Vous ne
pouvez pas m'obliger � faire �a ! ......... Je vous en prie ...Nonnnn ... Vous allez encore me d�chirer ...... J'ai du me
faire recoudre aux urgences la derni�re fois ! ....."
-
"Ta gueule morue, et fous toi � poil
rapidement ou je leur dit � tous de t'enculer ..." lui intima le gros
sergent en d�capsulant une bi�re.
Il s'assit attendant qu'elle
s'ex�cute.
-
"Qu'est ce que tu nous fais salope ?
....."
A contrecoeur Vicky entama son
strip-tease, elle se demandait pourquoi la police n'intervenait pas.
Ils l'avaient entendu dire qu'elle
refusait de se plier � leur volont�, qu'avaient-ils besoin de plus ? .....
Une fois son chandail enlev�, elle
d�grafa son soutien-gorge et le laissa tomber au sol.
Les agents dans la voiture gar�e �
l'ext�rieur sentaient leurs bites se tendre � la vue cette magnifique poitrine.
Ils n'en croyaient pas leurs yeux, comment une poitrine si grosse pouvait-elle
para�tre si ferme ? ...
Ils se regardaient les uns les autres
�bahis l'un d'eux intervint :
-
"Woua ce
qu'elle est bandante ..... J'aimerai bien me la faire moi aussi ......"
Elle baissa la fermeture �clair de sa
jupe et la laissa choir � son tour,elle ne se trouvait
plus maintenant v�tue que de sa petite culotte de dentelle blanche, ils
grogn�rent lorsqu'ils virent que cette mignonne jeune femme portait une culotte
de grand-m�re.
-
"Qu'est ce que c'est que �a ?
....." demanda le gros porc.
-
"Ce sont des culottes de douairi�re !
..... Vire moi ces loques et montre nous ton somptueux corps de putain !
....."
Vicky se d�pouilla de ses culottes �
l'ancienne et les jeta au visage d'un des gardes en badinant, il la saisit et
prit le fond en bouche d�clenchant les rires et les plaisanteries de ses
partenaires.
Puis elle surprit tout le monde en
annon�ant :
-
"Puisque vous m'obligez � me faire
baiser par chacun d'entre vous, qui passe en premier ? .... Je veux juste que
vous sachiez tous vous pouvez partir et me laisser tranquille ... Ne vous
sentez pas oblig�s de le violer !...."
Ils rirent et le gros dit � Jimmy de
d�marrer la vid�o. Puis il dit � tous les hommes de se foutre � poil, puis il
dit au plus jeune de s'�tendre sur le sol.
Une fois le jeune homme allong�, il
ordonna � Vicky de le chevaucher.
Elle h�sita s'attendant � tout instant
� ce que les flics envahissent la maison, mais, lorsqu'il lui hurla dessus,
elle s'accroupit d'elle m�me sur la juv�nile bite dress�e droite.
-
"Ca commence pas trop mal"� pensa-t-elle, puis elle perdit tout contr�le
lorsqu'on la poussa sur le torse de son jeune agresseur, paniqu�e elle sentit
qu'un des gardes lui graissait le trou du cul, elle s'affola :
-
"Mais o� sont-ils ? ... Que leur faut-il
de plus ? ......
Empal�e sur le jeune homme, sa
poitrine frottant contre son buste, le trou du cul bien lubrifi�, elle se
sentit agripp�e par les hanches tandis qu'une �paisse queue se pr�sentait �
l'entr�e de son cul.
Il la p�n�trait lentement, elle se mit
� hurler appelant � l'aide tout en pleurnichant :
-
"Nonnnn ....
Je vous en prie ... Pas �a ......"
C'est alors qu'un troisi�me lui fourra
un chiffon dans la bouche, �touffant ses cris, c'�tait l'immonde slip du gros
porc.
Cherchant � ne pas �touffer, elle
tenta de se contr�ler, il l'enculait lentement, il ne l'avait pas encore
p�n�tr�e de toute sa longueur.
-
"Il doit �tre monstrueux"
craignit-elle fugitivement.
-
"Quand m'aura-t-il tout mis ? ...."
L'un d'eux lui enleva son b�illon et
enfourna sa bite dans sa bouche r�tive, elle se faisait violer et personne ne
venait � son secours ! ...
Ils devaient pourtant avoir assez de
preuves maintenant ! .....
Qu'est-ce qui leur prenait ? .....
Elle sentait la queue dans on cul arriver
au fond de ses entrailles, et oeuvrer de concert avec la bite dans sa chatte,
allant et venant alternativement dans ses deux trous embras�s, elle �tait sans
d�fense totalement � leur merci.
L'homme dans son cul lui ass�na de
terribles coups de boutoirs, alors que l'homme sur lequel elle �tait empal�e
s'arquait sur les talons accentuant encore l'empalement.
Lentement ils adopt�rent un rythme
particulier, la p�n�trant de concert et se retirant de concert, � chaque pouss�e , son bassin bougeait violemment sous le terrible
impact si douloureux, puis ils reprirent un sch�me plus classique s'enfon�ant
alternativement dans ses intimit�s plus du tout secr�tes.
Le frottement de son clito contre un
des p�nis l'�chauffait in�luctablement lui procurant un plaisir qui
l'envahissait petit � petit, elle commen�a � jouir sauvagement poussant de
longues plaintes provoquant l'�jaculation de son baiseur de bouche.
Elle d�glutit et avala sa liqueur
alors que d�j� un autre homme prenait place face � sa bouche, elle l'emboucha
et se mit � le sucer servilement.
Un des gardes saisit sa main gauche,un autre sa main droite ce qui la for�a � s'empaler
totalement sur le jeune homme allong� sous elle, puis elle sentit qu'on posait
ses mains sur des hampes vigoureuses, on�
la for�a alors � refermer ses doigts sur ces bites fr�missantes.
Elle avait une vite dans la chatte,
une dans le cul, une en bouche et en branlait deux derni�res et personne
n'intervenait pour venir � son secours ! .....
La bite dans ses entrailles explosa,
elle sentit une chaude coul�e envahir son boyau assoupli. Il projetait ses
salves au tr�fonds de ses entrailles, puis il se relava et un nouveau candidat
� l'enculage e rempla�a imm�diatement. Il lui fallut un petit moment pour
s'adapter au rythme de la bite dans sa chatte, mais il y parvint et elle fut �
nouveau bais�e par deux bites qui la labouraient de concert.
Un � un ils l'enfil�rent tous par ses
trois trous, chatte, bouche, trou du cul. Entre chaque coup ils s'asseyaient et
mangeaient des pizzas en buvant de la bi�re, il �tait maintenant 23 heures.
Le gros porc dit � Vicky de se
relever, lentement elle ob�it, du foutre gouttait de ses cuisses, provenant de
sa chatte et de son cul.
Sa bouche �tait emp�t�e, empes�e de
foutre gluant qui s'accrochait � sa luette, ses amygdales et sa langue. Le gros
porc lui dit alors :
-
"Sourit ma petite ch�rie, tu es film�e
...Tu sais salope, je vais montrer cette vid�o dans toutes les cellules ...
peut-�tre bien qu'on la mettra sur internet ... je dois avouer qu'entre toutes
les femmes qu'on a viol�es, t'es la plus bandante et la plus baisable ..... Et
laisse moi te remercier pour �a, on aime te baiser jusqu'� l'os ! ......."
L'agent dans la camionnette a parla
dans son casque et dit :
-
"Nous en avons assez .... Allez y ! ..... "
Tous les hommes assis bandaient dur,
le plus vieux dit � un des plus jeunes :
-
"En rentrant ce soir j'esp�re bien que
tu vas sauter te femme ... Oui, eh bien moi aussi ! .... Ma vieille femme va
avoir une sacr�e� de surprise cette nuit
! ......"
Ils ouvrirent brusquement les portes
et entr�rent.
Commotionn�e, Vicky chercha ses
v�tements et les enfila prestement. Ses tourmenteurs �taient menott�s, on leur
lisait leurs droits. Elle regarda tous les hommes pr�sents et poussa un long
cri, puis elle retourna se faire soigner � nouveau aux urgences.
Trois semaines plus tard, on me
lib�rait, Vicky m'attendait sur le parking de la prison. Je vis son visage
souriant lorsque j'approchais de la voiture.
-
"Tu conduis ? ..." me demanda-t-elle.
-
"J'en ai marre d'�tre un num�ro ......Je
ne veux plus qu'�tre ton amant et ton ami ! ... " lui r�pondis-je � cot�
de la plaque.
Je notais alors qu'elle s'�tait
pr�par�e pour moi, elle �tait nue, compl�tement nue, elle avait les nichons
bomb�s et les t�tons dard�s, la chatte ras�e et nette.
Elle affichait un sourire d�moniaque
comme pour dire :
-
"Je ferai tout ce que tu me demanderas,
tu n'as qu'� demander.
-
"Je conduis " me d�cidai-je alors.
-
"Boone sort dans deux semaines, il se
rappelle � ton bon souvenir, il m'a dit de te dire qu'il passerait prendre ce
que tu lui as promis ! ....."
-
"D'accord," dit Vicky,
-
"Cette fois encore, mais juste cette
fois ....Je veux t'appartenir le reste de ma vie !......"
-
"Juste � moi ? ..... J'aime ta fa�on de
te v�tir ..... Je veux qu'il en soit toujours ainsi � l'avenir .... J'ai faim
... Arr�tons quelque part pour manger .....Je veux que tu gardes l'habitude de
te promener nue, et de baiser avec d'autres hommes �... Mais pas trop souvent
!......"
Vicky sourit et d�grafa ma braguette,
sortit ma queue et embrassa le gland, elle faisait tout pour plaire � son mari,
parce qu'elle le voulait
Je d�marrais la voiture et prit le
chemin de la maison. Pench�e sur moi Vicky me faisait une pipe, j'�tais soudain
press� de rentrer � la maison.
FIN
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