L'OMBRE DU PASSE
Coulybaca
Chapitre 1
Clothilde Marsac, au balcon du premier étage guettait le passage du car ramenant ses enfants du lycée. Il était dix-huit heures trente, comme souvent au mois d'octobre la température était douce, elle était légèrement vêtue, le soleil couchant lui caressait les bras.
Tout était calme dans ce quartier résidentiel de Moulins, largement en dehors du centre ville. Depuis maintenant un mois ils habitaient la grande bâtisse, allouée par la préfecture à son directeur des services. Après avoir erré de sous-préfectures en sous-préfectures, Germain son mari s'était vu offrir ce poste, c'était une belle carrière, à trente huit ans de se retrouver à ce poste.
Malgré ses réticences, Clothilde avait regagné cette région berceau de son enfance, elle y avait vécu une enfance heureuse puis un épisode dramatique lors de son adolescence.
C'était son jardin secret, elle avait mis des années à oublier ce traumatisme ; de revenir en ces lieux ravivait ses souvenirs, le temps avait cependant fait son oeuvre, elle pouvait maintenant les évoquer sans sombrer à nouveau dans les cauchemars qui avaient, longtemps émaillés son sommeil.
Personne dans la cellule familiale n'était au courant de son drame, son mari, sa belle-famille, ses enfants ignoraient jusqu'au nom de la « grange aux loups ». Même si l'affaire avait été soigneusement étouffée, elle avait craint lors de son retour, de la voir ressurgir du passé. Il n'en fut rien, à l'époque peu d'informations avaient filtré, et personne n'avait fait allusion à cette époque douloureuse, en sa présence, mieux même, au cours de la prise de crémaillère, elle avait côtoyé un des protagonistes de l'affaire, il l'avait visiblement reconnue, blêmissant à sa vue, puis s'écartant d'elle, visiblement fort gêné, il l'avait évitée toute la durée de la soirée. Lors du départ, très penaud, il lui avait demandé d'une voix tremblante de lui pardonner, de faire comme si jamais rien ne s'était passé, elle avait accepté, elle-même, ne cherchant qu'à oublier.
Elle ne pouvait supporter l'idée que l'écho de ce drame puisse parvenir aux oreilles de ses enfants, de son mari ou de sa belle-famille.
Cette belle-famille qui n'avait donné son accord au mariage, qu'après une longue période d'observation, au vu et au su de sa bonne réputation.
Elle n'osait penser à leur réaction si l'affaire leur était révélée, elle regrettait maintenant d'avoir caché les faits à son mari, elle avait tendu un voile pudique sur cette période, c'était, elle le savait maintenant un tort, mais pouvait-elle prévoir, alors, que la vie la ramènerait en ces lieux.
Elle avait revu avec joie ses parents, ils l'avaient toujours soutenue, l'avaient réchauffée de leur tendresse, la protégeant de leur mieux à cette époque, enfin soulagé lorsqu'elle parvint à se marier en dépit de ces répulsions initiales.
Il lui avait fallu quatre longues années avant de supporter des mains masculines sur son corps, la tendresse de Germain, sa gentillesse sa douceur l'avait réconciliée avec les males.
Elle se sentait pleine de nostalgie, de savoir que Sylvie sa fille aînée, prenait chaque jour le car qu'elle-même prenait à longueur d'année, pour se rendre dans le lycée vieillot, qu'elle avait fréquenté.
Sylvie lui ressemblait comme deux gouttes d'eau, Joel de deux ans son cadet tenait plus de son père ; comme elle, à quatorze ans, elle portait ses cheveux blonds mi-longs sur la nuque, bien sur les tenues avaient changé, Sylvie n'arborait pas les minis qu'on portait en 70, ses tenues étaient plus sages, bien qu'elle non plus, imitant en celà, sans le savoir, sa mère, se refusait au port du soutien gorge, laissant sa poitrine naissante libre de toute contrainte sous son tee-shirt ; elle devait commencer à éveiller la convoitise de jeunes coqs, sa petite fille, faudrait peut-être commencer à veiller au grain.
Cette pensée la replongea à l'époque de ses quatorze ans, elle pouvait d'ailleurs maintenant l'évoquer presque paisiblement sans en souffrir, vraiment ce mois avait bien estompé ses angoisses.
Elle revoyait, ce jour de mai, l'absence d'un professeur leur laissant l'après-midi libre, la petite Clothilde Ducreux sortir du lycée en compagnie de sa meilleure copine, Solange Dutertre, elle habitait la maison voisine de la sienne dans son petit village de Courlandon, treize heures sonnaient au clocher de l'église voisine. L'air était étouffant en ces premières journées ensoleillées de mai.
Pascale Lobry accoudée à la portière d'une TR 3 devisait gaiement avec le conducteur. Il s'agissait de Paul, un de ces jeunes blousons dorés, qui passait ses jours à roder dans la ville, guettant les filles, claquant son fric à profusion, sa réputation n'était pas des meilleures, on murmurait qu'il était compromis dans de vilaines histoires, mais pour toutes ces jeunettes éblouies, il ne pouvait s'agir que de jaloux qui diffusaient ces calomnies pour se venger.
Il lui était facile d'éblouir ces gamines, sa voiture, l'argent facile, son aura un peu trouble, tout participait de son attrait.
- Paul m’emmène faire une virée, vous en êtes ? demanda Pascale aux arrivantes.
- C'est d'accord, on embarque, on a rien de mieux à faire, mais Paul il faudra nous ramener à l'heure du car répondit Solange devançant Clothilde.
Elles prirent place sur le siège à bagages, et serrée comme des sardines l'une contre l'autre, se sourirent à l'idée du bel après-midi qui les attendait, elles avaient eu du pot de sortir à ce moment, elles allaient en faire des envieuses, partager la voiture du beau Paul !
Il rangea sa voiture le long de la devanture du Balto, leur proposa de leur prendre des cigarettes et en profita pour donner quelques coups de fil, à fin de libérer son après-midi leur dit-il.
La voiture filait maintenant vers Bressans et sa forêt, elles se réjouissaient déjà à l'idée de ramener quelques bouquets de muguet. Il se gara à l'orée de la forêt, à l'ombre d'une grande bâtisse de pierre connue sous le nom de la grange aux loups, sortant de la voiture il les interrogea :
- Connaissez-vous l'histoire de cette grange ? Non ? ..... elle est pourtant fort instructive.
- Au moyen age, quelques chevaliers de basse lignée en avait fait leur repaire, c'était de là qu'ils partaient écumer la région, détroussant les voyageurs, tuant, pillant et surtout capturant de jeunes pucelles qu'ils ramenaient en croupe dans leur tanière. Arrivés là ils les forçaient chacun leur tour partageant comme le disait le seigneur, le vin et la chair, violant, détruisant les jeunes adolescentes qui restaient captives à leur totale service, renouvelant leur cheptel lorsque nécessaire ; la légende dit que les râles des filles forcées, les rires avinés des habitants du lieu, la crainte qu'ils inspiraient suffisait à détourner les importuns.
Ce disant, il les entraînait dans la grange obscure, traversant une grande salle obscure, ils aboutirent dans une plus petite, tout aussi sombre, Paul leur ayant promis de leur montrer des inscriptions laissées par les anciennes captives, Pascale appuya sur un interrupteur, tout de suite une lumière crue, violente inonda la pièce, les aveuglant.
Plissant les yeux, avec un cri d'effroi elles constatèrent la présence d'une douzaine de jeunes gens qui les entourèrent, menaçants.
- Mais qu'est que ça veut dire..... Que voulez-vous, questionna Solange apeurée.
- J’ai oublié de préciser que mon histoire avait une suite répartit Paul ironiquement, Avec les copains nous avons décidé de ressusciter la légende, c'est ici que nous ramenons de jeunes dindes qu'on se tape tous en chœur…. Comme toutes les autres vous allez y passer.
- J'avais peur que vous ne soyez pas tous là...... il ne manque que jacques et Pierre... ils vont certainement arriver...
- Salauds... vous n'avez pas le droit. de... si vous croyez! ... s'écria Pascale d'une voix perçante.
Pour toute réponse, elle reçut une violente paire de gifles, qui la projeta les quatre fers en l'air aux pieds de ses compagnes.
- Vous pouvez gueuler tant que vous voudrez, personne ne vient jamais, et nous on préfère..... maintenant ça suffit... à poil les cageots .
Les trois donzelles s'étaient révoltées, avaient hurlé, tenté de s'échapper, rien n'y fit.
Lassés de leur résistance, débouclant leurs ceinturons ils commencèrent à les cingler de coups violents, n'épargnant aucune parcelle de leurs corps.
Les coups s'abattaient, cuisants, douloureux, au hasard, elles avaient beau chercher à se protéger, ils parvenaient toujours à cingler les parties exposées, leurs jeunes poitrines les brûlaient maintenant, les fesses en feu, tout le corps roué de coups, elles n'étaient plus que des boules de chair meurtries sanglotantes, prêtes à tout pour que cesse la terrible punition.
- Arrêtez…. Arrêtez...... On fera tout ce que vous voudrez balbutiaient-elles, éperdues entre deux sanglots .
Geignantes elles se relevèrent douloureusement sous l’œil satisfait de leurs tortionnaires, aussitôt“t l'ordre fusa :
- Allez à poil...... Désapez vous vite... On a hâte de voir vos gros culs !
Ils s'assirent confortablement sur les nombreux matelas qui jonchaient le sol, seuls trois gars, l'appareil photo à la main rodant autour d'elles.
Comme elles ne faisaient pas mine d'obtempérer, Paul leva à nouveau sa ceinture.
- Non... Non... Plus ça...... On se déshabille pleurnichèrent-elles en enlevant leurs tee-shirts, seule Pascale portait un soutien gorge, Solange et Clothilde les seins barrés de larges balafres rougeâtres, exhibaient leurs poitrines menues, la peur, la honte couvrant leurs petites mamelles de chair de poule.
Pascale dégrafa son écrin, Paul ne se contenta pas de la vue de la lourde poitrine aux seins bien formés, aux larges aréoles brunes, il se saisit des tétons les pinçant, les tordant cruellement lui soutirant de nouvelles plaintes.
- Arrête, laisse la se foutre à poil..... On en profitera après intervinrent ses comparses.
Paul abandonna les tétins douloureux et leur enjoignit de continuer leur effeuillage.
Une nouvelle fois, il dut lever sa ceinture, avant de les voir dégrafer leurs minis jupes, les laissant glisser à leurs pieds. Il ne leur restait plus que leurs petites culottes protégeant encore leurs intimités, hagardes elles durent les enlever, les faisant glisser avec lenteur sur leurs cuisses dodues, en un spectacle involontairement suggestif.
Leurs petites chattes étaient maintenant totalement livrées aux yeux impatients de leurs tourmenteurs. La toison châtain, fournie de Pascale tranchait fortement avec celles nettement moins fournies de ces infortunées compagnes, la fente du sexe se lisait clairement au cœur des toisons clairsemées de Solange et Clothilde.
- Le choix du roi s'exclama une voix anonyme….. Une rousse, une brune, une blonde, on va profiter de tout l'éventail..... Ca faisait longtemps qu'on attendait ça ! ...... Approchez !
Comme elles restaient sur place, s'accroupissant, jambes pliées ils les attirèrent à eux, happées par des mains impitoyables elles se sentirent tout de suite palpées comme des bêtes à l'étal, les mains avides suivaient tous les contours de leurs courbes, tâtant la fermeté des croupes, violentant les petites poitrines, sauf en ce qui concerne Pascale, contraignant les cuisses dodues à s'ouvrir livrant les moules juvéniles, les culs vierges aux mains évaluatives, ils insinuèrent leurs mains dans les entre fesses serrés, introduisant un, puis plusieurs doigts dans les chas étroits, les anus rétifs.
Privées de volonté, sous les commentaires graveleux, appréciateurs, elles se laissaient palper sous toutes les coutures tandis que trois jeunes prenaient des photos, tous ces salauds les pelotèrent chacune longuement avant de faire leurs choix, trois paires de mains saisirent Clothilde, elle s'affala sur eux.
Solange et Pascale subissaient le même sort. Allongée sur les genoux de ses trois tourmenteurs, elle sentit à nouveau son corps entièrement palpé, une bouche s'empara de la pointe de seins les mordillant, les étirant entre les dents, les suçotant.
Un cri aigu attira son attention, juste à ses cotés un corps dénudé venait de s'affaler entre les cuisses de Solange, son suborneur venait avec violence de lui déchirer son hymen, lui arrachant ce cri de douleur.
Un des jeunes la fit rouler sur le dos, immédiatement il baissa pantalon et slip sur ses genoux, exposant à ses yeux épouvantés un sexe tendu, noueux, violacé. Il s'allongea entre ses jambes que ses deux comparses maintenaient écartées, elle ne pouvait que s'enfoncer dans le matelas pour se soustraire à l'agression. Elle les supplia :
- Non pas ça..... Je suis vierge..... Je ferai ce que vous voudrez... Mais pas ça..... Laissez-moi..... Je ne dirai rien.
- De toute manière tu ne diras rien... Tu crois tout de même pas qu'on va se priver de ton mignon petit cul ! lui rétorqua son agresseur, en pesant au centre de sa faille, il insistait avec force, sa fente avait accueilli la pointe du gland qui butait maintenant sur la barrière de son hymen.
- C'est une vraie vierge les gars... On va tout lui apprendre .
D'un coup de rein violent, il parvint à ses fins, sa queue s'engloutit jusqu'à la racine dans la gaine serrée.
Il sembla à Clothilde qu'on l'éventrait, un trait de feu lui traversa le ventre tandis que s'enfonçait l'énorme mentule, distendant d'un coup son petit con de vierge, maintenant son suborneur se tenait immobile, enfoncé jusqu'à la garde dans son étui palpitant.
- La notre ne l'était plus entendit-elle sur sa droite Pascale, un gars entre les jambes accueillait de plus un membre vigoureux entre ses lèvres, elles étaient maintenant toutes les trois en mains.
Son étui se faisait bon gré mal gré à la conformation de la bite qui l'habitait, une légère humidité mécanique avait oint le membre qui la fourrait, d'un brusque retrait son suborneur entreprit de la limer, sa bite coulissait difficilement dans l'étroitesse du vagin, pourtant englué de cyprine, la souffrance était tolérable sauf lorsque le gros chibre en bout de course butait sur le col de l'utérus, déchaînant alors des éclairs de feu dans son ventre.
Le corps qui la couvrait se raidit, la bite grossit encore, et pour la première fois en cette après-midi, un mâle se vida dans son ventre.
Elle n'eut pas même le temps de se redresser que déjà un autre salaud prenait place entre ses jambes écartelées, lui fourrant à son tour sa queue dans le con.
Son conduit copieusement graissé par la semence du prédécesseur admit plus facilement son envahisseur, quelques va et viens fiévreux l'amenèrent à une rapide jouissance à nouveau son con se vit inondé de foutre brûlant.
Le troisième se déversa tout aussi rapidement dans son ventre, un quatrième, posant son appareil photo profita à son tour d'elle.
Solange et Pascale aussi avaient satisfaits leurs violeurs, ils échangèrent leurs proies, avides de varier les plaisirs.
- Suce moi commanda l'un d'eux..... Et gare aux dents...... Si je les sens, j’t'éclate la tête menaça-t-il.
Elle tourna la tête cherchant désespérément à fuir le contact du gland épais sur ses lèvres, un bras la lui immobilisa rapidement, elle sentait la grosse prune mafflue, malodorante peser sur ses lèvres fermées, une petite tape sur la tête la convainquit de participer à son viol, elle desserra les dents, le gland s'infiltra entre ses lèvres, roula sur sa langue avant de l'emplir jusqu'à la glotte.
A grands coups de boutoirs, il utilisait sa bouche comme s'il baisait en son vagin, la tête du nœud frappait avec violence ses amygdales, secouée par les hauts le cœur, elle sentit enfin le foutre gluant jaillir dans le fond de sa gorge, lui inondant la bouche et le palais, le nez pincé, au bord de l'étouffement, elle dut avaler le breuvage amer pour respirer, elle sentit le flot coulant du sperme acre lui brûler l’œsophage, le visage barbouillé de foutre, Pascale tournée vers elle hurlait de douleur, une bite énorme disparaissait par à coups entre ses fesses disjointes.
Ce spectacle éveilla les mêmes envies dans les reins d'un de ses tortionnaires, il la retourna comme une crêpe, empoigna avec violence ses hémisphères, les séparant à la limite de l'arrachement.
Son mignon oeillet se tapissait, apeuré, au centre de sa raie, instruite de ce qui l'attendait par le tableau qu'elle avait sous les yeux, Clothilde contracta de toutes ses forces sa rondelle, une ceinture lui cinglant le cul, vaincue, elle relâcha ses sphincters.
S'imprégnant les doigts dans le foutre mêlé de sang et de cyprine qui débordait de sa vulve, d'un pouce brutal il lui graissa copieusement la rosace.
Malgré tout, un hurlement de douleur franchit ses lèvres lorsque inexorablement un épais gourdin fraya sa voie dans son cul distendu, son intestin semblait se déplier, le gros bélier progressait encore dans son cul meurtri, s'installant de tout son ampleur dans ses entrailles frémissantes.
Enfin l'empalement fut total, les couilles velues reposées sur son cul rebondi, son violeur, après quelques allées et venues fébriles projeta en de longues giclées saccadées sa semence au fin fond de ses entrailles.
Ils s'étaient succédés ainsi, tout l'après-midi dans les ventres, les bouches, les culs soumis.
Tout l'après-midi elles avaient du satisfaire leurs désirs pervers, il les prirent dans toutes les positions sans se soucier d'elles.
Clothilde se rappelait avec précision, le moment où dans le champ des objectifs, elle avait du enfourcher le ventre d'un de ces salauds, s'embrochant d'elle-même sur la queue tendue, elle avait ensuite du tendre les lèvres vers la queue malodorante d'un second malandrin, tandis qu'un troisième lui fouillait les fesses, la forçant ensuite d'un membre dur comme le fer.
Les trois salauds l'avaient longuement limée, accordant leurs rythmes, alternant les coups de boutoir avant de se déverser simultanément dans ses trois orifices douloureux.
Solange et Pascale de même avaient du à plusieurs reprises combler trois jeunes à la fois, couvertes de sperme, de sang séché, de sueur elles avaient enfin pu se rhabiller sous les quolibets de leurs tourmenteurs. Les douze salauds avaient tous goûté à leurs charmes certains à plusieurs reprises, le corps suintant de sperme par leurs orifices bas, la bouche pâteuse, le goût acre du foutre accroché aux papilles, Paul leur avait remis à chacune un polaroïd qui les représentait en pleine action, embrochée sur trois pines.
Prévenues que la moindre révélation entraînerait l'envoi immédiat de ces photos à leurs familles, devant la peur du scandale elles durent promettre de se taire, acceptant de revenir chaque week-end distraire leurs maîtres-chanteurs.
Les trois amies s'étaient ainsi jointes chaque dimanche à la cohorte de filles, qui, le cul nu sous leurs jupes courtes venaient contenter la salacité de la bande.
Jusqu'à la mi-juin elles durent offrir leurs bouches, leurs ventres, leurs reins à leurs suborneurs, sur un simple geste elles se couchaient sur le ventre ou le dos, suivant leurs volontés, fesses grandes ouvertes comblant leurs désirs les plus pervers.
Chaque dimanche elles devenaient la femelle de plusieurs garçons, à chaque rendez-vous une dizaine de filles s'offraient ainsi à la lubricité d'une trentaine de garçons.
Elles satisfaisaient ainsi tous leurs désirs en solo, en duo, ou en trio.
Pâles amaigries, leurs parents qui ne se doutaient de rien les gavaient de vitamines jusqu'au jour où Claudette une des participantes se retrouva enceinte, pressée de questions elle finit par avouer l'ignoble chantage auquel elle devait se plier révélant aux gendarmes les noms de ces salauds et de ses compagnes d'infortune.
La discrétion était de rigueur, les parents furent informés du drame, quelques plaintes furent déposées mais dans son ensemble l'affaire fut étouffée tous les protagonistes y ayant intérêt.
Se secouant de la léthargie qui l'avait envahie à cette pénible évocation, Clothilde, se penchant en avant, héla ses enfants qui descendaient du bus, elle ne voyait pas sous le balcon les deux fils du jardinier, les yeux braqués sous sa jupe, cherchant à distinguer les poils follets qui s'échappaient de son petit slip.
Les regards brûlants escaladaient lentement les jambes fuselées, plongeant dans la moiteur de l'entrejambe, butaient sur le fond de la petite culotte verte, en estimaient la moiteur troublante, avant de repartir à l'assaut, devinant la blondeur de la toison vaguement entrevue par transparence.
Ignorant l'intérêt qu'elle suscitait chez les deux jeunes gens, inconsciente, elle se balançait d'avant en arrière, se tournait, virevoltait sur les talons, permettant à leurs regards, en toute innocence de suivre le pli profond des fesses avant de s'aventurer sur la croupe rebondie, au sombre sillon bien détaché sur le fond clair de la lingerie élégante.
A chaque fois, la vision d'une si belle croupe, dodue, rebondie à souhait, présentée dans son riche écrin de nylon translucide les échauffait tant, qu'ils devaient s'empoigner la queue à deux mains, pour apaiser leurs sens, projettant de longues giclées blanchâtres le long du mur, alors qu'ils ne rêvaient que de les lui coller au fin fond du ventre ou du cul.
Coulybaca
Janvier 2008-01-04
dominique.dubuissez@orange.fr
L'OMBRE DU PASSE
Coulybaca (texte personnel)
Chapitre 2
Depuis l'emménagement, Ali et Mohamed guettaient la belle Clothilde, dans un premier temps sa blondeur épanouie, sa féminité, sa sophistication les avaient éblouis . Puis un rapprochement troublant s'était fait dans la tête de l'aîné, âgée de dix neuf ans, Sylvie, la jeune maîtresse ressemblait étrangement à une jeune fille qu'il avait l'occasion de voir en photo.
A la première occasion, il grimpa au grenier de la grande maison, et sortit de leur cachette plusieurs albums photos.
Chaque album était composé comme un ensemble de dossiers successifs, il recherchait quelque chose de bien précis, enfin un large sourire éclaira ses traits, il s'était arrêté sur les photos d'une jeune fille blonde, d'une quinzaine d'années, nue en compagnie de différentes autres jeunes filles, les photos étaient très explicites, très lisibles, sur chacune on la voyait tantôt une queue enfoncée entre les lèvres, la bouche déformée par une grosse bite, tantôt empalée sur une pine qui la travaillait au ventre ou au cul, sur certaines mêmes elle était embrochée par ses trois trous.
On voyait toujours le visage de la jeune blonde, les cheveux courts, on aurait effectivement dit Sylvie, se pourrait-il que ce soit la patronne plus jeune se demandait-il, s'enflammant à cette idée .
Il vérifia le nom porté sur le dossier, il s'agissait d'une certaine Clothilde Ducreux, il lui fallait de toute urgence vérifier le nom de jeune fille de la patronne, car si cette impression se confirmait ......
Quel pot il avait eu, un jour qu'il fouillait dans le grenier, de tomber sur cette cachette, le propriétaire de ces photos avait du se trouver bien coincé, pour les abandonner ainsi, depuis ce temps, il cherchait vainement à identifier les différentes jeunes filles figurant sur les rectangles glacés, et voilà que le hasard semblait enfin récompenser sa ténacité .
Hier il avait enfin eu sa chance, Sylvie lui ayant demandé ou se trouvait la mairie, flairant le bon coup, il l'avait accompagnée, il avait frémi de joie l'entendant demander une fiche d'état civil, un coup d’œil discret le renseigna, il jubilait, madame Clothilde Marsac était bien l'ex-mademoiselle Ducreux, c'est bien elle qui exhibait tous ses charmes, en affirmant le mode d'emploi sur les photos de l'album, restait quand mˆme à la circonvenir .
Toute la semaine, bien qu'incertain, il l'avait épiée, surprenant quelques images furtives, l'ombre d'un sein surprise par transparence, les jambes fuselées révélées par les jupes courtes, profitant d'un coup de vent, il avait même pu apercevoir des mignonnes jarretelles, et aujourd'hui même dissimulé sous le balcon, en compagnie de son frère cadet, il avait nettement distingué des poils blonds échappant du slip vert Nil qui était sensé dissimuler ses trésors à la vue des vilains voyeurs.
L'idée qu'un jour il pourrait soumettre cette fière jeune femme à ses caprices lui échauffait les reins, il se régalait déjà à la pensée des positions qu'il pourrait lui imposer, de sentir ses lèvres boudeuses, qui susurrait plus qu'elles ne parlaient, lui sucer la queue, de la contraindre à se balader cul nu sous ses longues jupes, à la faire ramper à ses pieds, cul cambré, ventre tendu lui offrant de disposer à sa convenance de tous ses offices .
Il ne l'épargnerait pas la fière Clothilde, qu'elle geigne ou pleurniche, il lui éclaterait le cul, et qui sait, elle lui permettrait peut-être d'identifier d'autres de ces jeunes femelles, et alors ..... Il ne lui restait plus qu'à guetter le moment propice pour lui mettre le marché en main ...
Cette occasion lui fut fournie le lendemain matin, afin de se distraire de son désœuvrement, la belle Clothilde, avait entrepris de ranger les vastes greniers de l'appartement, tentant d'y aménager une salle de jeux pour les enfants.
Elle l'avait appelé, lui demandant de l'aider à déplacer quelques meubles encombrants, après quelques minutes de travail, il l'appela pour lui montrer sa découverte.
Il lui tendit alors un album photo, intriguée elle s'en empara, croyant y découvrir la trace de leurs prédécesseurs, la lecture du titre figurant sur l'album : LA GRANGE AUX LOUPS, elle frémit d'angoisse .
Fiévreuse, blêmissante, appréhendant de se voir figurer dans cet album, elle l'ouvrit en hâte .
Le hasard faisant bien les choses, elle tomba sur la bonne page, des photos obscènes encerclaient une étiquette où l'on pouvait lire Clothilde Ducreux .
- J'ignorais que plus jeune, vous posiez pour ce genre de photos !.... Vous étiez drôlement gironde ! .... Tout le portrait de votre fille ! commenta ironiquement Ali .
Elle ne pouvait nier, elle était bien trop reconnaissable, bien que connaissant l'existence de ces photos, elle ne les avait jamais détaillées comme aujourd'hui, une chape de glace lui tombait sur la nuque, elle suffoquait d'angoisse : ce n'était pas par hasard que le petit salaud lui montrait ces photos !
Elle ne comprenait que trop bien le but de la manœuvre, déjà elle sentait qu'elle ne pourrait se dérober, elle ne pouvait se permettre de révéler tout ça, pas plus à son mari, qu'à ses enfants .
– Pourquoi me montres tu ces photos ? Que veux-tu ? .... De l'argent ?
– C'est bien toi Clothilde Ducreux ? .... Non ....? Ca devrait t'intéresser ..... En tout cas ça risque d’en intéresser plus d'un !
La conversation prenait bien la tournure qu'elle craignait, de plus le tutoiement soudain la crucifiait, il devait se sentir bien sûr de lui pour l'adopter aussi facilement, évidemment il était inutile de nier, c'était bien elle, il le savait parfaitement .
– Que veux tu? Oh, presque rien .... je veux te voir dans la même tenue ! ..... Si je fais ce que tu veux, me rendras-tu les photos ? …. Faudrait pas croire au pÈre Noël ..... ce que je peux te promettre, c'est que tant que t'obéiras ...... Ta famille, tes proches en ignoreront l'existence personne ne les verra ! …..
– Qu'est ce que tu veux d'autres, ..... Ca ne te suffit pas de me voir nue ?….
– Non .... Je veux aussi me servir de toi .... Comme les autres ....Y'a pas de raison ! ...
– Non c'est pas possible ..... Non ...... Je ne le veux pas !….
– Ce qui compte, c'est pas ce que toi tu veux .... C'est ce que moi je veux ...... De toute manière tu as le choix ..... Ou tu fais ce que je veux .... Ou la semaine prochaine je dépose ta photo dans toutes les boites au lettre de la rue ..... Y'en a bien qui feront le rapprochement ..... Tu ressembles trop à ta fille ... On te reconnaîtra ! …..
– Non, ..non .... tu ne ferais pas celà ! …..
– J'me gênerai peut être .... Assez discuté ..... Ou tu te désapes .... Ou tu descends .... choisis !….
– Je ferai ce que tu veux mais qu'est ce qui me garantit que ....... Rien, mais ce serait pas mon intérêt de les divulguer, ..... Tant que tu seras docile et disponible, tu n'as rien à craindre ! …..
Comme elle hésitait encore, s'asseyant sur une malle, il intima : - Allez ..... Grouilles ...... T'as du bien changer depuis ..... Montres moi tout ça ! …..
La tête basse, piégée, consciente de l'inexorabilité de l'adolescent, l’œil vague, les gestes lents elle entreprit de déboutonner son corsage, le premier, le second, le troisième, enfin le quatrième bouton sautèrent. lentement rentrant les épaules elle fit glisser la soie sur ses bras, dégagea le pan de la ceinture de sa jupe, puis posa soigneusement le chemisier sur le dossier d'une vieille chaise proche .
– Non, la jupe maintenant…. lui dit Ali, comme elle tendait la main dans son dos .
Docilement, elle descendit la fermeture sur la hanche, puis dégrafa la pression à la ceinture, avec grâce la jupe glissa le long des cuisses dorées, levant une jambe après l'autre elle enjamba sa jupe, se baissa, sa croupe tendant le nylon vert de son mini slip, ramassa la jupe, la plia puis la posa toujours aussi soigneusement sur la chaise .
Bras le long du corps elle offrait un spectacle charmant au jeune arabe, les demi bonnets de son soutien gorge vert tendre voilaient ses seins, les offrant comme dans un écrin, la fraise dardée au centre de l'aréole bien visible sous le nylon translucide, sa croupe enrobée dans un mini slip assorti au soutien gorge, le triangle pubien affichant bien sa blondeur au travers du nylon .
Un mignon petit cadeau qu'il s'offrait là !
La main à la taille, il l'attira sur ses genoux, passive elle se laissait faire sans un geste de révolte, ses précédentes expériences l'ayant convaincue de l'inanité de la rebellion, lorsque ses lèvres épousèrent les siennes, elle refusa le passage à la langue fouineuse, il n'insista pas s'intéressant plus à ses seins pulpeux.
Une main soulevant le nylon, s'infiltra dans le bonnet, empaumant la mamelle, s'en remplissant la main, du doigt il flatta le téton qui par un mécanisme compréhensible se dressa, puis son autre main fila dans son dos dégrafer le soutien gorge, elle creusa les épaules, facilitant ainsi l'enlèvement.
De la bouche il s'empara alors de la fraise dardée, la suçota longuement, la mordillant du bout des dents, la couvrant de salive.
Ses deux mains, suivant les courbes pleines de ses hanches, s'infiltrèrent sous l'élastique du slip, le roulèrent lentement sur les cuisses, le triangle blond de sa toison apparut, elle leva les fesses pour lui permettre d'ôter le slip, qu'il fit lentement glisser le long des cuisses, le récupérant pour le jeter sur la chaise .
Intégralement nue, tous ses charmes livrés aux mains fiévreuses, elle se laissa longuement palper, la main d'Ali s'infiltrant entre ses cuisses, elle écarta largement ses jambes livrant son sexe à son entière discrétion .
Profitant de sa passivité il suivit du doigt la blessure déhiscente, débusqua le clitoris affolé par toutes ces manipulations, un doigt puis deux lui forcèrent doucement la vulve, les vrillant dans la tiédeur de sa chatte, il commença de lents va-et-vient dans son tiède conduit.
Des vagues de langueur déferlaient de son ventre, surpris par tant de tendresse, son corps qui s'attendait à une profanation brutale régissait lentement mais sûrement, son sexe s'inondait de cyprine, déjà les deux doigts dans son sexe provoquaient des clapotis évocateurs, sa moule réagissait .
La prenant aux hanches, il la releva le temps de baisser son jean sur ses genoux et de libérer un sexe glorieux, brun, épais, fort long estima-t-elle, bien qu'il ne soit pas encore à l'apogée de son érection.
Il la reprit aux hanches, et de face la posa sur ses genoux, ses jambes encadrant sa taille, son pivot vint frotter contre la fente et d'un petit coup de rein il s'engagea entre les petites lèvres consentantes, le gland logé dans son écrin, il ne put retenir plus ses pulsions et posant les mains sur ses hanches il l'investit jusqu'à la garde .
Ses couilles velues venaient agacer de leurs poils frisés son périnée, elle se sentait pleine à craquer, la lourde bite frémissante éveillait en ses flancs de suspectes vibrations, sa gaine frémissait sur la grosse hampe, l'enserrant, l'étranglant de toute la force de ses sphincters.
Folle d'attente elle le sentit enfin remuer dans son ventre, les mains sur les fesses il guidait ses empalements profonds, frémissante elle savait qu'elle avait été à deux doigts de s'embrocher elle même avouant ainsi son envie, les dents crispées sur les halètements, les soupirs qui voulaient filtrer de sa bouche, elle le sentit encore enfler, avant de lui projeter des flots de sperme tiède au fin fond de la matrice, il se soulagea longuement, resta longtemps engagé au fin fond de son vagin, attendant les derniers soubresauts de sa pine avant de l'extraire du con inondé .
Lui appuyant alors sur les épaules, il l'obligea à s'agenouiller entre ses cuisses ouvertes, elle prit en bouche, sans se faire prier le membre englué de sperme et de cyprine, lui titillant le méat de la pointe de la langue, l'enrobant dans sa langue puis elle l'enfourna au fond de sa gorge à la frontière des amygdales .
Le pénis maintenant turgescent s'introduisit même au delà, à la pointe de l’œsophage , les lèvres serrées sur la hampe glorieuse, les dents agaçant le pourtour du cylindre, elle ne tarda pas à recueillir le fruit de ses efforts, avec un grognement sourd il se vida les couilles dans sa gorge, le flot crémeux, à la douce saveur tiède lui envahit la bouche, quelques filets coulèrent à la commissure de ses lèvres, d'un souple mouvement du col, elle avala le doux breuvage avant de se nettoyer les lèvres du revers de la langue puis elle lécha le chibre sur toute sa longueur, insistant sous les plis du prépuce, aspirant les dernières gouttes perlant au méat .
C'est une queue bien propre qu'elle rangea dans son slip .
Se relevant d'un souple mouvement de hanches, sans un mot elle entreprit de se rhabiller, il la laissa faire, lui confisquant seulement sa petite culotte en la prévenant que désormais elle se passerait de cet accessoire superflu, restant ainsi à son entière disposition lorsque l'envie de la baiser le prendrait .
Catastrophée le laissant à ses rêveries, elle redescendit s'allonger dans sa chambre, là les yeux dans le vague, elle médita longuement .
Ses pires craintes se réalisaient, par un concours de circonstances qui lui échappait totalement, ce petit salaud se trouvait en possession de preuves absolument indéniables des turpitudes qu'elle avait subies naguère, n'en ayant jamais parlé avec son mari, il lui était impossible de les lui révéler dorénavant, et d'ailleurs croirait il vraiment qu'elle y était forcée, rien sur les photos, sur celles qu'elle avait regardé du moins ne pouvait révéler la contrainte, à laquelle elle se voyait soumise, à la limite, il en déduirait qu'il avait épousé une fieffée salope, qui se livrait à des débordements charnels dès son plus jeune âge ; il n'y avait donc rien à espérer de ce coté ….
Elle était bel et bien coincée et ce petit salaud le savait. Si elle voulait préserver son ménage, elle devrait désormais satisfaire tous ses caprices, et où s'arrêteraient ils?
Elle ne pouvait le deviner, mieux valait ne pas y penser, elle ne serait pas déçue, comme cela.
Un deuxième constat la désespérait, le dressage qu'elle avait subi pendant ces deux mois ressurgissait, c'est sans un mot de révolte qu'elle s'était pliée à ses fantaisies, son corps gardait les réflexes que lui avaient inculqués ses premiers tortionnaires, elle pliait trop facilement devant la volonté d'un male dominateur il lui suffirait d'exiger pour qu'elle s'exécute, elle le sentait .
Une dernière chose l'effrayait, alors qu'avec ses prédécesseurs elle ne ressentait que honte et douleur, cette fois son corps s'était ému des caresses qu'Ali lui avait prodiguées, elle avait été à deux doigts de crier son plaisir, et ça, elle avait vraiment du mal à le supporter .
Allongée sur le ventre, elle se souciait peu du spectacle qu'elle pouvait offrir, plongée dans ses pensées elle n'entendit pas redescendre Ali, ce dernier passant devant la porte entrouverte de la chambre y jeta un oeil.
Le cul de Clothilde cambré à souhait, éveilla en lui de nouveaux désirs, dans sa situation, il n'allait tout de même pas s'en priver, pénétrant dans la chambre il s'approcha silencieusement de la couche .
Doucement, il saisit sa jupe par l'ourlet, et la releva sur les fesses plantureuses, le courant d'air frais qui lui courait entre les jambes l'amena à se retourner, voyant Ali le regard rivé sur sa croupe, elle demanda :
- Que veux tu encore ? J'ai fait ce que tu voulais .... laisses moi tranquille maintenant ! ….
- Tu feras ce que je veux, quand je veux rétorqua Ali Et pour l'instant ton cul me tente ..... Ca te gÈne pas de te faire enculer .... Ne mens pas je t'ai vu le cul embroché sur une bite dans les photos ..... Ce que tu as fait avec les autres, il n'y a aucune raison que je m'en prive ..... D'ailleurs je ne te demande pas ton avis ! …..
Et s'asseyant à ses cotés il termina de relever la jupe sur la croupe bien pleine. Contrairement à ce qu'il croyait, Clothilde détestait se faire enculer, elle n'avait jamais pu s'accoutumer à cette pratique, ils lui avaient toujours fait énormément de mal, depuis cette période dramatique personne ne s'était plus planté dans ses fesses, elle l'avait toujours refusé à son mari qui n'insistait même plus, elle allait refuser tout net, et encore tendre il n'aurait certainement pas insisté lorsqu'il lui claqua le cul.
Le coup n'était pas puissant, il n'avait provoqué qu'une vague brûlure, ce fut pourtant suffisant, pour provoquer à nouveau ses réflexes de soumission .
Elle écarta servilement les jambes, cambrant les reins de façon à lui faciliter l'accès de sa croupe, acceptant sa reddition il promena ses mains sur les deux hémisphères brûlants avant de les écarter dégageant le sillon obscure, révélant l’œillet palpitant.
Il lui fora l'anus du doigt, il lui étranglait les phalanges, comprenant qu'il serait impossible de l'enculer à sec, il entreprit d'assouplir la corolle récalcitrante. Il se pencha sur la croupe convoitée, dégageant de deux doigts sa cible il entama une feuille de rose, sa salive détrempait peu à peu le sphincter, de la pointe de la langue il le força, le sucra, l'embrassa, elle ressentait des vibrations naître dans ses reins, une nouvelle fois le plaisir s'emparait de son corps.
Se relevant il humecta ses doigts dans sa chatte y recueillant quelques larmes du sperme et de la cyprine qui la tapissaient.
Son trou plus du tout secret admit facilement les deux doigts joints que lui proposait maintenant Ali, comme un coin il les lui enfourna profondément, avec une certaine facilité, son anus espérant maintenant, et pour la première fois un visiteur, écartant les doigts il lui distendait le conduit, bientôt celui ci resta béant lorsqu'il retira ses doigts .
La qualité de la pression qui s'exerça alors sur le sphincter la renseigna sur l'arme dont maintenant son cul était menacé, il n'eut pas à forcer, se dilatant au maximum, impatient l'anus vorace engloutit le gland.
Un petit coup de rein lui permit de l'embrocher jusqu'à la garde avec aisance, et l'incroyable se réalisa creusant puis cambrant les fesse elle entreprit de s'enclouer sur le vigoureux chibre.
Surpris de sa réaction il la laissait faire, toute honte bue elle roulait de la croupe, serrant le gourdin sur lequel elle s'empalait de toutes ses forces l'empêchant de quitter ses fesses lorsqu'elle creusait le ventre, l'absorbant, l'aspirant dans sa gaine chaque fois qu'elle se cambrait.
Traité aussi princièrement, la grosse mentule, bien au chaud dans les entrailles frémissantes se vit bientôt agitée de soubresauts convulsifs, d'un coup de rein puissant il l'emmancha plus loin que jamais, ses cris de plaisir éclatèrent, tandis que dans un râle de bonheur il se déversait dans le tréfonds de ses entrailles, il resta longtemps affalé sur sa croupe reprenant sa respiration.
Elle même haletait encore lorsque contournant le lit, dans ce qui devait devenir un rituel il lui tendit son chibre à nettoyer.
Elle lécha à nouveau longuement la pine maintenant ramollie, la débarrassant des acres souillures brunes qui la maculaient.
Il la laissa anéantie de plaisir dans son lit, elle n'en pouvait plus, ce petit salaud après avoir failli la faire jouir, l'avait menée à l'orgasme en l'enculant, pour la première fois de sa vie son cul s'était avéré source de plaisir, et quel plaisir, des frissons nerveux en parcouraient encore son ventre et ses reins.
Une douche froide la ramena sur terre, elle s'interdit de réfléchir longuement à ce qui lui arrivait, dorénavant, elle se contenterait de vivre au jour le jour, sure qu'elle accorderait désormais tout ce qu'il voudrait à son maître chanteur.
Il la tenait, elle s'en rendait bien compte non seulement par le chantage mais aussi par les sens, elle se savait maintenant incapable de lui refuser quoi que ce soit, et elle était bien certain qu'il ne se priverait pas d'en profiter .
Coulybaca (texte personnel)
Janvier 2008
L'OMBRE DU PASSE
Coulybaca (Texte personnel)
Chapitre 3 : Réunion d’amies
Ce n'est que le lendemain après-midi qu'elle rencontra à nouveau son suborneur, depuis le matin, elle attendait inconsciemment ce moment. Elle s'étonnait intérieurement de son manque d'empressement.
La nuit avait été des plus pénibles, plusieurs fois elle s'était éveillée, le corps baignant de sueur, une main fichée dans la fourche de ses cuisses Elle se souvenait de quelques bribes des cauchemars qui l'avaient agitée.
A trois reprises, à quelques détails près, la même situation s'était reproduite : écartelée entre trois loubards qui lui bourraient sans vergogne les trois orifices, elle hurlait de douleur lorsque surgissait son sauveteur, Ali après une violente bagarre la délivrait de ses tourmenteurs, puis l'entraînait dans le grenier, et là reconnaissante, elle se donnait à lui, lui offrant successivement tous ses trous, c'était invariablement à ce moment qu'elle se réveillait, le cœur battant la chamade, le sexe trempé de sa mouille.
Ce qui la troublait le plus, c'était de constater que si ni son mari, ni ses enfants n'apparaissaient dans son rêve, par une étrange déformation des faits, son suborneur se muait en sauveteur, la contrainte qu'elle avait subie se transformait en un don charnel, un remerciement .
Elle rangeait le bureau de son mari, lorsqu'à pas feutrés, il se glissa dans son dos.
La surprise la fit sursauter, au contact de la main d'Ali s'immisçant entre ses jambes, elle écarta de suite les cuisses, lui libérant ainsi totalement le passage.
Constatant la présence interdite d'une culotte, sans un mot , il s'assit sur le fauteuil du bureau, la coucha sur ses genoux, releva la jupe sur sa croupe, lui descendit le slip sur les mollets et lui asséna quelques claques bien senties sur le postérieur .
Son joufflu ne tarda pas à la brûler, elle ne se débattait pas, consciente de sa faute, elle en admettait la juste punition .
Après une vingtaine de gifles sonores, il arrêta quelques instants, la croupe rougie, crispée, se desserra lentement, il la flatta du plat de la main, avant d'insinuer ses doigts dans la tendre vallée.
Eperdue, elle se laissait faire, ouvrant les fesses, autorisant ainsi l'invasion de son entre fesse, d'un doigt négligent, il constata l'humidité de sa moule, puis, lui vrillant le pouce dans l'anus, il vérifia sa disponibilité.
Rouge de confusion, elle se releva, et toujours sans un mot se débarrassa de son slip, le gardant à la main.
- C'est mieux comme ça ..... Je croyais t'avoir interdit le port d'une culotte ... Tu dois toujours être prête .... Rien ne doit gêner l'accès de ton cul ou de ta motte ! …. J'avais oublié ..... Je ne le ferai plus ..... répondit-elle servilement. Monte avec moi au grenier ..... On va analyser les documents! ….
Elle obtempéra, le précédant dans les escaliers, déposant au passage sa culotte dans la lingerie.
La main sous la jupe, il lui triturait les fesses, la chatte, elle sentait grandir son excitation, ses sens déjà éveillés par la fessée se débridaient, des picotements aigus lui incendiaient la vulve, la cyprine débordait de sa moule lui engluant l'entre fesse.
- Faudra que t'attendes un peu avant que j'te la mette ..... Ca sera encore meilleur se moquait il.
Allongés à plat ventre, cote à cote, sur un matelas, il prenait des notes tandis qu'elle commentait les photos.
- Elle, c'est Solange, c'était ma meilleurs copine ... Je l'ai aperçue en ville ... Elle doit avoir épousé le notaire……
- Elle c'est Sylvie Latour, il me semble aussi l'avoir aperçue…..
Elle identifia ainsi une dizaine jeunes filles, il notait au fur et à mesure les maigres informations qu'elle lui donnait.
Elle soupçonnait le but de son interrogatoire, et se le vit d'ailleurs bientôt confirmer.
- Tu vas reprendre contact avec celles que tu connais ...... Invite les ... Demain après-midi pour le thé .... Je veux tout savoir d'elles .... Célibataires, mariées ..... Profession du mari ..... Nombre d'enfants .... Je veux savoir aussi si les maris sont au courant ..... On verra ainsi celles que je peux coincer
Elle se rebella à cette idée, c'était déjà difficile de lui révéler l'identité de ses compagnes d'infortune, mais devinant comment il utiliserait ses informations, lui livrer ses ex-copines pieds et poings et liés, ça elle ne le pouvait pas. - Tu obéis ... Point final la coupa-t-il.
Et, piquant du nez, elle plia une nouvelle fois, acquiescent de la tête.
- T'as bien gagné ta récompense lui dit-il s'allongeant sur le dos
Fébrile, elle dégrafa son jean, lui baissa sur les genoux et à califourchon s'installa au dessus de son braquemart dressé.
Il voulait la contraindre à se prostituer de la manière la plus évidente, aussi, les mains sur la taille refusait-il de la guider.
D'elle même, brûlante de honte elle introduisit son gland dans sa chatte, elle haletait déjà, toujours immobile, il la contraignait à prendre les initiatives les plus osées, après quelques longues secondes d'hésitation, elle s'encloua brusquement sur le chibre dressé.
Son ventre agité d'une houle violente, elle allait et venait, se relevant et s'abaissant sur la queue de son jeune amant, lorsqu'elle sentit deux mains étrangères lui ouvrir le cul.
- Ah, Mohamed ça fait un moment que je t'attendais, ne te gênes pas .... Elle a encore deux trous de libre ..... Choisis ! ….
-
Passive, elle se bloqua, la byroute d'Ali fichée dans son ventre, creusa les reins pour mieux faire saillir sa croupe, attendant l'intromission qu'elle appréhendait cependant.
Les fesses tendues, elle dilata au maximum son sphincter, le contraignant à s'écarquiller, dévoilant l'intérieur rosé de ses entrailles, encouragé par le spectacle, Mohamed posa la tête de son gland sur la pastille brune, il n'eut mˆme pas à forcer, contractant son muscle annelé elle ingurgita d'elle même le gros champignon, démontrant ainsi un tout nouveau savoir faire que bien des putes lui envierait.
Ali toujours immobile, elle sentit la pine du petit frère lui envahir lentement les intestins, il progressait doucement, laissant sa gaine s'acclimater, se déplier, épouser sa conformation.
Elle sentit bientôt les poils de ses couilles lui chatouiller les fesses, sans dommage il s'était enfoncé jusqu'à la garde.
Elle n'eut pas le temps de s'étonner de ne ressentir aucune souffrance bien que pleine d'eux à en éclater, dans son cul la bitte de Mohamed s'animait, il se retira vivement, déculant, son ventre suivit le mouvement pour se replanter d'un coup violent au fond du tunnel soumis, Ali s'y mettait aussi et bientôt elle ne fut plus qu'un paquet de chair vagissant de plaisir par leurs deux bites embrochée.
Ils avaient parfaitement accordés leur rythme, chaque pénétration de l'un correspondant au retrait de l'autre, elle suivait leur branle cherchant toujours à s'enclouer plus profondément, leurs mouvement alternés se firent plus hésitants, elle allait de spasmes en spasmes, le rythme se fit plus fébrile, Ali le premier déversa tout son trop plein dans sa chatte dilatée, elle serrait sa gaine sur son sexe comme pour mieux en traire tout le suc, lorsqu'à son tour Mohamed lâcha les bondes, se libérant à grands jets dans son cul gourmand.
Il s'affala sur son dos, elle sentait les pines se ratatiner dans ses deux étuis tandis qu'il reprenait leurs souffles, puis Mohamed roula sur le coté, elle descendit de sa monture et dans une fellation gourmande elle entreprit de nettoyer la queue de son amant, ayant rangé l'engin elle s'intéressa à celle de son frère, qui rebanda, forte de sa technique, sous la contrainte, elle avait déjà sucé des dizaines de queues de maîtres exigeants, bavant sa salive, engloutissant l'outil dans le tréfonds de sa gorge, léchant les freins, retroussant de la langue le prépuce, elle parvint encore à lui soutirer une bonne dose de semence crémeuse, la saveur de son sperme s'avéra différente de celle de son frère, il était plus acre, plus amer elle n'aurait cependant pu dire lequel elle préférait.
- Ca t'as plu interrogea Ali, bientôt je t'en passerai d'autres .... Mais en attendant quand l'envie t'en prend, tu peux toujours te taper Clothilde .... elle est toujours prête ! …..
Honteuse, dégouttée par son attitude, elle se rendait bien compte qu'effectivement, elle était maintenant prête à tout pour satisfaire son jeune amant, esclave de sa queue elle se souciait surtout de gagner sa récompense .
Cependant la vie s'écoulait ordinairement, ni son mari, ni ses enfants n'avaient consciences des pensées qui maintenant l'agitaient insistantes, obsédantes.
Tout juste avaient-ils noté ses rêveries, mais comme elles s'accompagnaient d'un entrain et d'une joie de vivre retrouvés ne s'en étaient-ils pas plus souciés .
Le lendemain après-midi, elles étaient cinq autour d'une tasse de thé ; elle avait retrouvé facilement Solange et Pascale qui s'étaient chargées de contacter elles mêmes Sylvie et Arlette .
Heureuses de se retrouver, elles discutèrent à bâtons rompus pendant de longues minutes, Clothilde s'efforçant de réchauffer la chaude amitié qui les avait liées un temps, enfin les confidences se faisant plus intimes, mettant discrètement un magnétophone en route, elle embraya sur le sujet qui la préoccupait :
- je suis très heureuse de vous revoir, mais je vous ai demandé de me rejoindre dans un but bien précis ..... J'ai rencontré Michel, dans une soirée, cela m'a beaucoup gêné .... Et je voulais savoir comment vous vous comportiez dans ce cas ...... Tu n'as pas à te gêner avec nous répondit Solange avec son franc parler Tu veux parler de la Grange aux loups je suppose, eh bien allons y ! ….
-
Solange, Pascale et Arlette avaient comme elles caché cet épisode douloureux à leurs conjoints, Sylvie était la seule à s'en être ouvert à son mari.
Toutes trois elles lui confièrent que si maintenant leurs craintes s'étaient apaisées, elles avaient vécu pendant des années dans la hantise de la révélation de ces mois de déchéance .
Clothilde insista, et cependant que ferait-elles si maintenant, un salaud les menaçaient de tout révéler, leurs visages s'assombrirent, elles convinrent toutes trois que plutôt de voir toutes ces humiliations remonter à la surface, elles se soumettraient au chantage, ça elles connaissaient, elles avaient déjà donné, mais tout était préférable à l'idée de se voir mises au ban de la société Moulinoise, toutes trois craignant les réactions de leurs entourages ne pourraient se permettre une quelconque révolte .
S'excusant quelques secondes, elle rejoignit Ali dans la cuisine, lui rendant compte de sa mission, il s'en réjouit et lui ordonna de retenir la belle rousse, il allait la soumettre dans la foulée .
Quelques minutes plus tard, embrassant ses amies sur le pas de porte, elle retint Solange par le bras :
- Je voudrai te montrer quelque chose ! ….. .
Solange embrassa donc elle aussi les partantes et en compagnie de Clothilde retourna au salon, Ali assis sur un fauteuil les attendait l'album à la main.
- Ma pauvre chérie, c'était pas gratuit ce que je disais tout à l'heure ..... Ce petit salaud a trouvé des photos .... Et depuis une semaine il me baise à tout bout de champs, quand il veut, comme il veut ! …..
Blême Solange s'approcha, incrédule elle prit l'album et d'un rapide coup d’œil s'imprégna da la réalité de la menace, comme Clothilde la semaine précédente, l'expérience, le dressage qu'elle avait subi auparavant la poussait à s'humilier à accepter les ordres d'un maître qui la dominerait.
- Que voulez vous ? …. demanda-t-elle oppressée. Devine ..... lève ta jupe .... Montre ton cul! ….
Sans un mot, elle se soumit, du bout des doigts, elle remonta sa robe dévoilant des bas noirs accrochés à un porte jarretelle noir incrusté de rouge.
- Ca aurait été dommage de nous cacher tout ça….. commenta Ali, Allez continue
Les larmes lui piquant les yeux elle retira sa robe, la posant sur l'accoudoir du fauteuil .
Figée en bas, porte jarretelles, string et soutien gorge assortis, elle ne cherchait même pas à dissimuler ses appâts, tête basse, elle était l'image même de la désolation .
Par le même curieux mécanisme, qui avait entraîné Clothilde à se plier à la suggestion de son tourmenteur, elle se sentait incapable de réagir, le poids du dressage précédent, bien qu'éloigné de vingt ans, la poussait à se plier servilement aux ordres d'un maître quel qu'il soit : c'était une proie rêvée.
Résignée, elle attendait la suite, lorsqu'elle l'entendit interpeller Clothilde qui obéit sur le champ :
- Cours chercher Mohamed, et ramènes un appareil photo chargé, on va commencer un nouvel album ! …..
En attendant Mohamed, il l'attira entre ses genoux, lui baissant le string il remarqua :
- Tu te tailles la toison? ….. elle arborait effectivement un mince pinceau de poils coupés courts, qui partaient du nombril pour se perdre entre les cuisses, encore jointes.
Elle expliqua :
- C'est pour l'été…... Mon mari trouve moche des poils qui dépassent du maillot, alors ..... T'es tu déjà tout rasé? ….. Oui .... Une fois .... Mon mari me voulait entièrement nue ....J'avais honte .... J'ai toujours refusé par la suite .....
- Je sens que tu vas lui faire une belle surprise à ton cocu .….. Il va être heureux ..... C'est le moins qu'on puisse faire pour le rendre heureux .....
Les mots lui parvenaient, plus ou moins vides de sens, encore sous le choc de la révélation, elle assimilait mal, se contentant de répondre et d'obéir.
Mohamed et Clothilde arrivèrent, voyant la belle jeune femme à moitié dénudée, Mohamed siffla d'admiration.
- Ben mon colon, si j'me doutais ..... Tu parles d'une surprise .... Elle a ce qu'il faut là ou il faut ....Ca va être un vrai plaisir ! ….. Ne perdons pas de temps, tu te étapes rapidement quant à toi vas nous chercher un blaireau, un rasoir et du talc ! ….
Mohamed largua rapidement tee-shirt, jean, slip et basket la queue bien dressée il se campa face à Solange lui permettant d'apprécier l'outil qui allait la travailler.
Sa bite brune prenait déjà de l'ampleur, de la main il retroussa son prépuce, exposant ainsi son gland violacé, pareil à une quetsche, ces prunes bleues qu'on s'attend plus à voir dans une corbeille à fruits que couronnant la pine d'un adolescent .
Impatient il crocha du doigt le string de la belle, un coup sec, l'élastique se déchira, lui marquant le ventre d'un trait de feu.
- Comme t'auras plus le droit d'en porter, autant ne pas se gêner! …..
Le voyant avancer de nouveau la main, craignant pour son soutien gorge, elle se hâta de le dégrafer, de le retirer, le posant sur sa robe .
Ses seins lourds, aux aréoles larges, brunes leur sautèrent aux yeux, il s'empara des tétins sombres, larges comme le petit doigt, les tordit, lui arrachant un petit cri de douleur.
- j'aime mieux ça .... Comme ça tu réagis .... Je veux que tu participes, ce sera mieux pour les photos ..... intervint Ali l'air satisfait.
Il prit l'album en mains et l'ouvrit aux planches qui concernait Solange, et s'adressant ensuite à son frère :
- On va refaire les mêmes photos, on fera une planche hier, et en vis à vis une planche aujourd'hui ...... On va d'abord s'occuper des photos ..... Tu t'amuseras avec elle ensuite !..... Toi gardes tes bas et ton porte jarretelles, ce sera plus érotique ....
Lui appuyant sur les épaules, il l'agenouilla entre ses cuisses, les yeux fixés sur l'image, Ali lui faisait varier les positions, photographiant les plus ressemblantes.
Il la pris ainsi, la langue dardée sur le méat, puis la bite enfoncée jusqu'aux amygdales, de léger profil, la joue reposant sur le tapis frisé du pubis, et encore la bite butant contre les parois d'une de ses joues, déformant son profil, puis le gland juste inséré entre les dents, Mohamed s'excitant violemment il termina cette série en crachant son sperme sur le visage de Solange, la belle tendant la langue pour recueillir sur ses joues la douce liqueur et enfin le visage ruisselant de grosses larmes spermatiques la maculant du front au menton, récupérant du bout de la langue la dernière goutte suintant du méat.
- Faut varier, le temps que je récupère se plaignit Mohamed.
- C'est bon .... Clothilde a amené le matériel ...... On va la rajeunir ..... Avec un beau petit minou ...... Comme à ses sept ans .... Pose la serviette éponge sur le bureau ..... Inutile de tout tremper! ….
Comprenant enfin ou Ali voulait en venir, Clothilde étendit le drap de bain sur le bureau, Solange s'étendit dessus, sur le dos, cuisses écartées, genoux relevés, compas grand ouvert, Solange livrait ses trésors à leurs regards, comme sur une chaise obstétricale chez son gynécologue.
Ali trempa le blaireau dans la mousse onctueuse et entreprit d'en barbouiller tout son triangle pubien, elle comprit alors ce qui l'attendait, d'une ruade elle voulut se redresser, une gifle suffit à la convaincre de se prêter à l'opération.
Le rasoir crissant sur la peau, Ali commença par lui dégarnir le mont de vénus, bande après bande ses poils la quittaient, pinçant le clitoris entre deux doigts, il dégagea les grandes lèvres la prévenant de ne plus bouger, en deux longs passages, le rasoir lui dénuda la fente, de même il élimina les poils frisottés encerclant son anus.
Après un bon rinçage à l'eau tiède, il termina son oeuvre en éliminant les derniers poils superflus.
Sa blessure mauve, tranchait vivement sur la peau blanche, son clitoris gorgé de sang semblait une petite cerise surmontant sa gousse maintenant glabre.
Un peu de talc épandu avec soin calma le feu de rasoir, Ali en profita pour caresser lentement l'abricot tout lisse, juvénile, qui tranchait maintenant de façon obscène avec son corps plantureux de femme mure.
- On va reprendre les photos dit Ali voyant que la bite de son frère avait retrouvé tout son allant.
En effet de voir raser le minet de Solange, Mohamed avait récupéré toute sa vigueur, son pénis se dressait fiÈrement au dessus des testicules poilus ;
- Tant que tu bandes ferme, tu vas commencer par lui mettre dans le cul …… continua-t-il, l’accoudoir du fauteuil remplacera la chaise, encule la couchée sur sa robe! ….
A ces mots, Solange frémit, comme Clothilde, depuis vingt ans elle avait refusé cette faveur, que pendant deux mois elle s'était vue obligée d'accorder malgré la douleur ressentie, cependant, sans un mot, elle se coucha sur l'accoudoir mamelles pendantes.
Conscient de la difficulté d'un enculage à sec, Mohamed préféra l'oindre d'une noisette de crème nivéa, apportée par Clothilde en en-cas.
De deux doigts réunis, il lui fora le trou du cul, graissant largement l'entre fesse et l'intestin, puis la séance reprit .
Elle fut photographiée la bite à moitié engagée dans la rondelle, enfouie jusqu'aux couilles, de profil, de derrière, le photographe allongé entre leurs jambes, enfin l'enculeur retiré, Ali prit en gros plan son anus écarquillé, sa béance révélant bien l'usage qui venait d'en être fait.
Pour toutes ces photos, Solange avait du présenter constamment son visage à l'objectif, souriante, la langue dardée, ou grimaçante sous l'effort.
Elle n'avait pas ressenti de grandes douleurs, son sphincter bien préparé, s'était bien arrondi livrant facilement son postérieur soumis .
Enfin Mohamed s'allongeant sur la moquette, elle dut s'empaler sur sa byroute, on devait voir distinctement sa main guidant la queue de son amant dans son intimité dilatée, il la prit en levrette, de dos, de face, debout couché, assis, elle se lassait manipuler comme une poupée de son, mais peu à peu elle sentait des vibrations sournoises parcourir son ventre, Mohamed ne s'y trompa pas, il se sentait coulisser avec de plus en plus de facilité entre ses babines, il la sentait même accroître la profondeur des pénétrations en tendant le ventre, aller à sa rencontre .....
Une dernière fantaisie traversa la tête d'Ali, couchée sur les dos, elle accueillit Mohamed entre ses seins, lui faisant une savoureuse cravate de notaire, la langue titillant le méat chaque fois qu'il passait à portée de bouche .
Pour terminer la séance, elle dut le branler, ce ne fut pas long, il aspergea de longs jets crémeux son entre fesses, qu'Ali photographia luisant de foutre, donnant l'impression de déborder de crème gluante alors qu'elle n'avait pas encore connu la gifle brûlante de la semence lui éclaboussant le vagin ou les entrailles.
Comme Mohamed se relevait, il se déculotta vivement, et la flamberge tendue à se rompre il se rua dans son ventre brûlant, l'impatience de Solange était maintenant si vive qu'elle accentua la pénétration en cambrant le ventre, tout de suite l'orgasme la secoua, tétanisée des pieds à la tête elle sentit Ali s'extraire de son ventre pour se ruer dans son cul ouvert, il changea plusieurs fois brutalement de trous, la perforant à chaque fois jusqu'à la garde, secouée de spasmes elle s'abandonna en longs cris de jouissance tandis qu'il lui larguait sa purée dans le tréfonds des entrailles.
Reconnaissante, elle lui nettoya la queue d'une langue appliquée, trayant le méat pour en extraire les dernières gouttes.
Une fois remise de ses émotions, Ali lui confia l'étude de l'album, résidant depuis toujours à Moulins, elle était à même d'identifier d'autres proies tout en indiquant leur vulnérabilité .
L'étude du dossier permit d'éliminer quelques gamines devenues d'infâmes boudins, d'autres qui c'étaient sur avaient confiées leur drame à leurs époux, pour en élire une demi douzaine très nettement vulnérable.
Il s'agissait pour toutes ces élues, de femmes de notables, médecins, directeurs de banque, avocat comme si, pour mieux assurer leur montée sociale, toutes ces jeunes femmes avaient volontairement négligé d'informer leurs futurs de quelques détails concernant cette période troublée .
Pour toutes, Solange qui les fréquentait, savait de manière la plus sure, qu'effectivement, révéler ces épisodes sulfureux auraient signifié pour elles à l'époque de leurs mariages une élimination directe, et même actuellement, le renom de leurs maris ne pourraient s'accommoder de révélations encombrantes, c'étaient donc des proies rêvées .
Le cul nu sous sa robe, Solange les quitta, ayant promis de les rejoindre le lendemain après-midi, dans une tenue adaptée à leurs envies, pour les aider à peaufiner le piège qui enrichirait encore leur cheptel.
Ravi, Ali se voyait déjà à la tête d'une meute de meufs de la jet société, se promettant de transformer rapidement ces salopes en bonnes gagneuses qui lui assureraient son train de vie.
Mohamed lui, se réjouissait plus simplement de pouvoir jouir à discrétion de ces belles jeunes femmes qui dans le meilleur des cas le toisaient d'un oeil hautain, lorsqu'il laissait ses yeux ramper sur leurs formes aguichantes .
Les deux bergères ne réfléchissaient pas, elles se savaient toutes deux à nouveau entre les mains d'impitoyables maîtres-chanteurs, leur seul souci était de se montrer disponibles, gentilles à souhait, elles étaient prêtes à toutes les compromissions afin d'éviter la révélation de leur drame.
Comme naguère, obéissant aux réflexes que leur avaient alors inculqués leurs tortionnaires, elles se soumettraient à tout et à tous pourvu que leur infortune reste secrète. A quoi servirait-il d'envisager l'avenir, alors qu'il leur serait imposé sans se soucier de leur avis.
Coulybaca
Janvier 2008
dominique.dubuissez@orange.fr
L'OMBRE DU PASSE
Coulybaca (Texte personnel)
Chapitre 4 : retour à la grange aux loups.
Ce vendredi après-midi, Solange jupe courte, bas fumés sonna vers quatorze heures chez Clothilde. Uniquement vêtue d'une chemisette lui arrivant au nombril, fesses et minou à l'air, cette dernière l'invita à entrer, précisant :
- Ils nous attendent au grenier…….
Allongés sur des matelas, Ali et son frère composaient des dossiers distincts, chaque fiche portait en gros le nom du sujet, puis était divisée en deux parties, l'une comportant les documents existants, l'autre vierge serait remplie par la suite.
Solange s'accroupit, leur tendant chacun leur tour ses lèvres, sa position permettait à ses maîtres une vérification rapide de sa tenue, entre ses cuisses écartées, son abricot lisse, libre de tous voiles, démontrait son obéissance.
Ne résistant pas à l'envie qui le travaillait, Ali de la langue força les dents de la belle brune, tandis que ses doigts s'introduisaient dans la chatte exposée, pénétrèrent de deux phalanges dans l'antre humide, avant de ressortir enduits des secrétions intimes de Solange.
- Et ton cocu de notaire, ..... Il a apprécié notre cadeau? ….
- Oh oui .... il était comme fou ..... je lui ai raconté que c'était pour fêter, à ma manière, le retour du printemps ......
- C'est pas le tout intervint Ali, On a du pain sur la planche .... Le travail d'abord, le plaisir après…..
Ils se mirent tous quatre au travail, remplissant les fiches, sélectionnant ensuite une photo, qu'ils mettaient dans une enveloppe de kraft brun à l'adresse de la future victime.
Ils établirent ainsi le CV de leur huit prochaines victimes :
- Arlette Dumas :
mariée à la plus grosse pharmacie de la ville, mari adjoint à la mairie, deux enfants , blonde, désœuvrée, larges plages de temps libre.
- Pascale Ronet :
née Lobry, mari chirurgien dentiste, une fille, rousse, plantureuse, libre tous les après-midis .
- Sylvette Morin :
mari avocat, absent pendant de longues périodes, deux enfants, petite brune à l'allure délurée, entièrement disponible .
- Aurore Lepan :
mari maire de Moulins, conseiller général, un enfant, rousse, comme Sylvette, largement disponible, son mari s'absentant fréquemment, la politique ....
- Juliette Novak :
mari chirurgien, propriétaire de la clinique Saint-Claude, trois enfants, blonde décolorée, disponible tous les après-midis jusqu'à une heure avancée de la nuit.
- Sylvie Pécout :
mari médecin généraliste, enseignant à la Fac de Lyon, absent toute la semaine et parfois le Week-end, disponibles tous les jours sauf les mardi et mercredi, deux enfants, brune, grande, distinguée.
- Corinne Lautrac :
mari bijoutier, la plus grosse bijouterie de la ville, une fille, blonde décolorée, prise tous les matins.
- Christine Barault :
mari vétérinaire, propriétaire d'une clinique pour animaux, deux enfants, rousse, disponibles à tout moments sauf le mercredi et le samedi matin, consacrés aux enfants.
Toutes elles avaient entre trente six et quarante ans, épanouies, leurs enfants ayant quant à eux de douze à seize ans, elles s'étaient toutes mariées aux alentours de vingt ans, digérant vraisemblablement, leur drame auparavant .
Ces huit femmes avaient encore en commun avec Clothilde et Solange leurs situations sociales élevées.
Toutes plus ou moins libres de leurs mouvements, elles se retrouvaient dans différentes associations charitables, bien pensantes : pour chacune le paraître primait l'être véritable.
Toutes distinguées, voir même dédaigneuses, sophistiquées, toujours tirées à quatre épingles, leurs CV confirmaient amplement les dire de Solange, Ali les voyait déjà à ses genoux, obéissant au doigt et à l’œil, leurs bouches accoutumées à croquer des petits fours engloutissant les pines furieuses de leurs clients .
Depuis quelques instants, les mains des garçons traînaient sur les croupes rebondies de ces dames, se délectant de leurs rondeurs, provoquant en elles de tendres émois.
S'accordant une récréation, ils les disposèrent cote à cote, à quatre pattes sur le matelas et s'amusèrent à enfoncer leurs pines dans les orifices écarquillés passant rapidement d'un trou à l'autre, forant au hasard les chattes ou les culs.
Soumises à ce régime elles ne tardèrent pas à haleter, les flancs frémissants, les hanches roulants au rythme des introductions, elles ne tardèrent pas à s'affaler sur le ventre cambrant les fesses pour mieux se faire remplir.
En chœur, les deux frères se déversèrent qui dans le cul, qui dans le ventre de leurs partenaires, les laissant pantelantes, toute honte bue, le corps secoué de soubresauts, derniers témoins de leurs plaisirs.
Soulagés, les couilles vides, les entrailles pleines, ils reprirent leurs travaux, préparant les envois décisifs.
Le mardi matin, sous les yeux amusés, intéressés des deux frères elles se pointèrent, chacune leur tour à la poste, retirer l'envoi recommandé, personnel qui leur était destiné.
Ali et Mohamed guettaient leurs réactions, curieux d'observer la contenance qu'elles arboreraient à l'ouverture de la lettre.
Toutes, elles décachetèrent paisiblement leurs enveloppes, blêmirent en en découvrant le contenu, seules deux des jeunes femmes jetèrent un oeil rapide au verso avant d'enfourner le rectangle blanc dans leurs sacs.
Pour toutes le choc avait été terrible, ces photos obscènes ressuscitaient une époque qu'elles croyaient à jamais révolues, effondrées elles se précipitèrent toutes dans leurs voitures pour se réfugier dans le nid douillet de leurs chambres.
Le cœur déraillant, ce n'est que là qu'elles eurent le courage de détailler l'envoi. Au dos ne figuraient que ces quelques mots :
Grange aux loups, jeudi 15 heures, SINON ......
Elles comprirent toutes le message, se retrouvant jeunes adolescentes, contraintes par la force de participer aux orgies du dimanche après-midi. Se retrouvant dans la même situation, quinze ans plus tard, elles eurent la même réaction qu'alors, sanglotant à chaudes larmes, ne pouvant confier leurs détresses à leurs proches, elles se disposèrent à obéir ; ayant déjà affronté le même chantage, les réflexes d'antan revenaient, tout pourvu que personne ne sache.
D'emblée elles adoptèrent toutes la politique de l'autruche, se cacher la tête pour ne plus voir le danger .
Le jeudi après midi, d'éventuels promeneurs se seraient étonnés à la vue de ces voitures luxueuses convergeant vers le même point : la grange aux loups.
Heureusement l'endroit était peu fréquenté, personne ne put donc s'en étonner, l'une après l'autre elles rangèrent leurs voitures, se reconnurent, inconsciemment satisfaites de ne pas être les seules sous influence.
Ali les attendait de pied ferme, il les regroupa dans une petite pièce qu'en compagnie de Mohamed Clothilde et Solange il avait mis deux jours à transformer en vestiaire .
Là elles furent priées de se déloquer, la tête basse, leur seule présence révélant leur soumission, le geste lent, angoissée elles se défirent de leurs atours dévoilant petit à petit leurs charmes.
Clothilde et Solange montraient l'exemple, exhortant par leur attitude les autres femmes à en faire autant, de toute manière, leurs corps et leurs esprits avaient admis cette solution, l'expérience vécue quinze ans plus tôt conditionnant leurs réflexes.
Craintives, elles écoutaient le brouhaha qui leur parvenait, au travers de la porte, de la salle voisine.
Ali y avait rameuté la bande de loubards qu'il fréquentait, une vingtaine de marlous, déjà à poils, piaffant d'impatience, vautrés sur des matelas, attendaient les femelles promises.
Cela leur avait coûté chacun quatre vingt euros, ils en voulaient tous pour leur argent, et comptaient bien utiliser les femelles promises sous tous les angles tout au long de l'après-midi .
Enfin, une à une ils les poussa dans la grande salle sous la lumière crue des spots disposés ça et là.
En ligne, cuisses serrées, une main protégeant de façon dérisoire leurs toisons, l'autre couvrant les seins, elles se tenaient debout face à leurs bourreaux, certaines comprenant dans leur chair que le cauchemar reprenait, les autres la tête vide, toutes effondrées.
Ali donna le signal de l'orgie, empoignées par les hanches, les seins, la taille, elles s'affalèrent sur leurs suborneurs.
Tout de suite des mains baladeuses se promenèrent sur leurs courbes, s'imprégnant de leur chaleur, des doigts vicieux forcèrent leurs ventres contractés, leurs anus crispés.
Bientôt elles se retrouvèrent toutes investies, les plus chanceuses ne profitant d'une seule queue, les plus tentantes satisfaisant simultanément trois membres fiévreux.
Quelques claques retentissaient parfois, mais dans l'ensemble elles satisfaisaient, complaisamment leurs partenaires, les chattes grandes ouvertes accueillant des braquemarts inconnus, les trous du cul crispés sur les membres qui les emplissait, les bouches pleines à ras bord des bites turgescentes, affolées, elles ne comptaient plus les chibres qui les avaient possédées, instruites par l'expérience, elles tendaient le ventre, dilataient leurs sphincters, arrondissaient la bouche pour diminuer la souffrance ressentie de ces pénétrations multiples, participant de ce fait activement à leurs viols.
Ali et Mohamed les caméscopes de Solange et Clothilde au poings, filmaient sans discontinuer, cadrant aussi bien les bouches goulues déformées par les bites conséquentes que les cramouilles rougies, irritées par le nombre de queues avalées, que les trous du cul étranglant les flamberges frémissantes.
Ils mirent en boites moult séquences d'une pornographie débridée :
Cotes à cotes, Pascale empalée sur la bite d'un petit moricaud, suçait la queue noueuse, énorme d'un grand gaillard qui la tenait par les oreilles pour mieux asservir sa gorge, tandis qu'un énorme pieux lui distendait le trou du cul, retroussant son sphincter en un bourrelet hideux, véritables col de cygne couronnant la queue d'un gros noir frisé et Aurore deux bites à la main enfournant successivement deux chibres de bonne taille au fin fond de la gorge, il réussit même à capter les mouvements de déglutition de la suceuse avalant successivement le déferlement tiède des bourses pleines au fond de sa gorge haletante.
Tout l'après-midi elles se firent ramoner, limer, emboutir par les vingt loubards déchaînés, ce n'est que vers dix huit heures que le combat se termina faute de combattants, les vingt clients se retirèrent, abandonnant leurs victimes gisant sur les matelas, le corps rompu, la bouche lasse, le ventre meurtri, l'anus douloureux.
Couvertes de foutre, de sueur, dégoûtées, honteuses, elles attendaient la suite des événements.
Elles purent sortir à l'air libre, nues, colonne pitoyable, et durent se livrer à leurs ablutions une à une sous l’œil indiscret de la caméra, au mince filet d'eau d'un unique robinet.
Elles s'entraidèrent, le sort les rendant une nouvelle fois compagnes d'infortunes, les doigts s'infiltraient dans les chattes brûlantes, les anus dilatés, cherchant à en chasser le foutre qui les engluait, elles se gargarisaient pour se débarrasser du goût tenace des différentes semences leur poissant le palais, leur imprégnant les papilles, la luette et les amygdales.
Puis toujours nues, sous la direction de leurs tourmenteurs, elles rentrèrent au vestiaire pour se rhabiller.
Ali confisquant les culottes leur enjoignit de se trouver le lendemain après-midi chez Clothilde, elles y assisteraient à la projection de la bande vidéo et y recevraient leurs consignes, bien entendu, elles se présenteraient sans culottes, totalement disponibles, comme elles devraient toujours l'être dorénavant.
Ali était très heureux de son après-midi, non seulement il avait assuré son emprise sur ce troupeau de salopes, mais cela lui avait rapporté 1.6 00 euros, les premières pierres de son projet.
De plus il avait entièrement satisfaits ses copains, qui se déclaraient tous partants pour un nouvel après-midi, ils seraient à même de lui faire la publicité nécessaire pour son petit commerce, de lui recruter les futurs clients nécessaires au bon fonctionnement de tout bordel.
Enfin, il n'en était pas encore là, elles devraient encore travailler de la bouche, de la moule et du cul avant qu'ils puissent s'installer dans ses murs .
Comme certaines manquaient de pratiques, ils chargeraient quelques copains de les former, ce serait l'affaire de quelques après-midis, il avait dénoté chez d'autres des aptitudes insoupçonnées qui en feraient rapidement de bonnes gagneuses, aptes à combler les clients les plus exigeants, il lui restait une fois rentré à mettre à jour ses fiches pour gérer au mieux son stock.
Résignées, une à une, elles quittèrent la grange, conscientes que pour elles l'épreuve ne faisait que commencer, elles savaient déjà que bien des kilomètres de bites avides défileraient dans leurs trois orifices, elles l'avaient admis, il ne leur restait plus qu'à appliquer leurs nouvelles fonctions.
Aussi lasses que leurs amies, Clothilde et Solange regagnèrent leur voiture, accompagnées d'Ali et son frère.
Solange au volant, Clothilde pour calmer l'excitation des deux frères leur prodigua à chacun une fellation rapide, ils se succédèrent à l'arrière de la voiture comme dans sa gorge, sa technique avait tant évolué en ces quelques jours, que les six kilomètres du trajet lui suffirent à mener à terme ses deux fellations, c'est la bouche engluée de foutre tiède qu'elle leur servit des rafraîchissements.
Solange, pressée de détendre son corps sous une douche chaude voulut partir, Ali voulant régler quelques points de détail , Mohamed lui proposa de l'accompagner, il lui restait quelques gouttes de sperme à évacuer, tandis qu'Ali et Clothilde compléteraient les fiches.
Avec l'accord d'Ali il entraîna sa partenaire dolente vers la salle de bains, il n'eut que le temps gravissant l'escalier, d'ôter sa main fouinarde de sous la jupe de la belle, Sylvie venant à sa rencontre se serait forcément étonnée d'un telle familiarité ; ils avaient oublié le retour des enfants, aussi les salua-t-il la voix haute.
- Bonjour Sylvie, toute seule, ou se trouve Marc? il t'a abandonné ? Si tu cherches ta mÈre, elle est au salon…..
Ainsi prévenue, Clothilde se releva en hâte des genoux d'Ali.
Profitant de cet instant de détente, il l'empalait sur sa queue, le chemin largement ouvert de son trou du cul lui permettant un enculage totale, il rangea, en hâte, son sexe bandé, remontant la fermeture éclair de la braguette lorsque Sylvie surgit dans le salon.
Ne remarquant pas l'air égaré de sa mère, sa rougeur suspecte, son souffle irrégulier elle questionna :
- Marc est chez les voisins, il fait ses devoirs, il rentrera vers huit heures, .... Me permets-tu de rejoindre Lysiane, elle prépare une boum et voudrais que je l'aide,.... Je rentrerai aprÈs manger…….
Désorientée, le cul encore dilaté, la cyprine lui coulant le long des fesses, sans rien avoir compris elle accepta. Heureuse de s'en tirer à si bon compte, sans explications supplémentaires à fournir, Sylvie repartit en toute hâte se rappelant soudain :
- Papa a téléphoné ..... Iil rentrera tard ..... Un repas en ville…..
Conscient d'avoir par imprudence frôlé la catastrophe, Ali sa bandaison coupée entraîna Clothilde vers le grenier, appelant son frère et Solange au passage.
Il sélectionna les fiches puis inscrivit ses annotations sur chacune d'elle ; il avait réparti les jeunes femmes en deux groupes : celles qui étaient utilisables immédiatement : Solange, Clothilde, Pascale, Arlette et les six autres qui avaient besoin d'une petite formation complémentaire .
Ne renonçant pas à son idée, Mohamed s'était installé bien au chaud dans les fesses de Solange assises sur ses genoux, elle se laissait faire mollement, incapable de prendre à nouveau du plaisir, ballottée sur les genoux de son amant, son membre lui servant de pivot, elle se laissait relever puis abaisser sur le braquemart qui la perçait, écoutant Ali qui lui donnait ses consignes :
- Tu vas fouiller dans les papiers de ton mari, l'idéale serait une maison à louer, avec façade sur deux rues, dans le vieux quartier, tu devrais trouver ça assez facilement? …..
Comme elle approuvait de la tête, elle sentit Mohamed lui graisser l'oignon, il décula rapidement peu satisfait de sa partenaire et lui enjoignit de nettoyer sa queue sortie brunâtre du boyau, des hauts de cœur la secouant, au bord du vomissement elle lécha la queue, la débarrassant du sperme et des excréments mêlés qui la maculaient.
De retour au salon, sur un dernier verre ils se quittèrent rapidement.
Le lendemain, vers quatorze heures elles étaient touts là, fidèles au rendez-vous, au vu de leurs visages lisses, de leurs traits reposés, personne n'aurait pu se douter de leurs activités de la veille.
Passant devant les deux frères, elles furent vérifiées une à une, chacune sentit à son tour les mains des enquêteurs, elles s'étaient toutes pliées aux ordres de leurs maîtres, aucune n'avait enfilé de slip.
Elles prirent places au salon, Clothilde mit en route le magnétoscope, elles purent ainsi s'admirer en pleine action, c'est à peine si elles se reconnaissaient dans ces goules fourrées par tous les trous, les visages ruisselants de foutre, accordant leurs faveurs à plusieurs males en même temps.
Cependant c'était bien elles, impossible de s'y tromper, le caméraman avait su choisir des plans permettant toujours une identification parfaite et totale, prenant toujours leurs visages de face ou de profil .
Les joues creusées par la honte, blêmes elles durent ensuite se déshabiller, Ali qui voulait constituer un catalogue qui permettrait aux clients de choisir en connaissance de cause, leur fit prendre les poses les plus avilissantes, jambes largement écartées, ventres tendus vers l'avant, de leurs dix doigts elles durent ouvrir leur sexe en grand, dévoilant jusqu'à la pulpe de leurs vulves tout en souriant de façon engageante à l'objectif, puis elles présentèrent de même leurs anus, en soulignant le confort d'un index fouisseur enfoncé jusqu'à la garde.
Puis le doigt luisant de salive, elles s'efforcèrent de démontrer leurs qualités de suceuses.
Aurore Lepan qui par sa qualité de femme de maire, avait accès aux documents officiels fut chargée d'étudier les conditions de fondation d'une association strictement féminine, d'en écrire les statuts et de pourvoir aux formalités de son établissement.
Aucune d'entre elles ne comprenant le pourquoi de ces ordres, Ali ne jugea pas utile de leur en expliquer les raisons.
Enfin ils dressèrent un formulaire type, qu'elles devraient dès lundi prochain rendre rempli, indiquant l'emploi du temps de leur mari, ce qui permettrait à Ali et son frère d'établir leur propre emploi du temps en fonction de leur disponibilité.
Libérant Pascale et Arlette avec consigne de se présenter dès lundi quatorze heures au briefing chez Clothilde, ils entraînèrent Sylvette, Aurore, Juliette, Sylvie, Corinne et Christine vers les bas quartiers de la ville.
Les badauds surpris regardaient passer ce cortège inhabituel dans ces rues, plus ou moins mal famées.
Enfin ils pénétrèrent dans un hôtel borgne, gravirent quelques marches et frappèrent à la porte d'une des chambres.
Dans la vaste pièce, trois jeunes loubards les attendait, assis sur leurs lits.
- Toujours d'accord ? …. demanda Ali aux trois brutes qu'il semblait bien connaître.
Les six femmes, intriguées, vaguement apeurées, ne pouvaient savoir, qu'en cours de semaine, Ali les avait contacté, leur proposant un contrat de nervis à sa solde. Conscient de l'impossibilité de manager seul son cheptel, il avait choisi ces trois marginaux pour l'y aider, moyennant une substantielle solde, ils avaient accepté de jouer les gardes du corps de ces dames, assurés qu'ils étaient de pouvoir en jouir à satiété.
Ils avaient vraiment le physique de l'emploi, Moktar qui paraissait le chef, un grand noir, balaise, la lèvre lippue dominait d'une tête ses deux acolytes, marocains d'origine, la peau sombre, un sourire niais de satisfaction éclairant leurs faciès patibulaires.
- Je vous ai amené la marchandise, vous devrez me les dresser aux petits oignons .... En sortant de vos mains elles devront éponger la bite d'un pékin en moins de trois minutes, ..... Et vider les couilles d'un client dans leurs ventres et leurs culs en moins de temps qu'il ne faut pour le dire ! ….
- On est toujours d'accord, si on en profitait pour tester la marchandise? …. Allez les filles, désapez-vous, qu'on voit ce qu'on peut faire de vous ! ….
Ali et Mohamed s'assirent à leurs cotés, pour mieux jouir du spectacle.
Lentement, avec crainte, dégoûtées de leur soumission elles entreprirent, se regardant l'une l'autre, leur effeuillage, cinq minutes plus tard, bras le long du corps elles offraient leurs charmes à l'examen des trois testeurs.
Servilement, elles écartaient les cuisses à la demande, proposant aux doigts inquisiteurs leurs anus et leurs moules, les doigts s'inséraient profondément dans leurs failles, vrillant leurs conduits, testant l'élasticité de leurs muqueuses.
Enfin, l'examen prit fin, ils désignèrent Aurore du doigt, sa toison fauve leur ayant particulièrement plu, se proposant de leur révéler à toutes la teneur d'une leçon de dressage.
Prenant Corinne et Sylvie sur leurs genoux, Ali et son frère invitèrent les autres à s'asseoir à leurs pieds pour mieux jouir du spectacle.
Les trois loubards se relevèrent, sur leur ordre Aurore vint les débarrasser de leurs vêtements superflus , mettant à jour trois flamberges respectables.
Mokram, le petit marocain corpulent, arborait sous son ventre replet un gros gourdin, plus remarquable par sa grosseur que par sa longueur, à l'inverse de Saïd qui présentait une bite ordinaire quant à l'épaisseur mais d'une longueur que les belles effarouchées évaluaient à une trentaine de centimètres.
Et encore n'avaient-elles rien vu, Moktar était doté d'un chibre d'ébène comportant les caractéristiques réunies de ses deux congénères.
Aurore frémit d'appréhension, s'imaginer ces colonnes dans son ventre ou dans son cul dépassait son imagination, elle tremblait nerveusement. Ils commencèrent par la soumettre à un bilan évaluatif, Moktar consignait ses caractéristiques sur un bristol à son nom.
- Bouche accueillante, chaude, langue frétillante, gorge profonde, 16/20 annonça Saïd, Mokram confirma son jugement.
- Moule étroite, serrante, onctueuse, on peut aller bien au fond, elle devra apprendre à bouger son cul, enfin 13 nota Saïd, Mokram ne fut pas d'accord et n'accorda que onze, ce n'est qu'avec de grosses difficultés qu'il avait pu enfoncer son bélier dans le ventre de la rousse, la gaine lui étranglait le gland, le forçant à déconer rapidement pour ne pas jeter son foutre aux oiseaux.
- Pour son cul, passe le premier, tu me l'élargiras ! …. conseilla t il à Saïd .
En forçant un peu, la bite enduite de cyprine, glissa de vingt bons centimÈtres dans les intestins de l'impétrante, puis se bloqua . Mokram voulut essayer à son tour, il ne parvint même pas à forcer du gland le trou du cul crispé. Les notes fusèrent :
- 7 pour moi ! ….. Pour moi 5 , elle est vraiment trop serrée, va falloir forcer pour l'élargir ! ….
Médusée, les cinq spectatrices écoutaient les trois testeurs juger des qualités d'Aurore comme ils l'auraient fait d'un morceau de viande qu'ils auraient acheté chez le boucher du coin, consciente qu'ils agiraient de même avec elles, elles se recroquevillèrent le long des jambes de leurs maîtres épiant le spectacle de ce qu'elles subiraient prochainement.
Coulybaca
Janvier 2008
dominique.dubuissez@orange.fr
L'OMBRE DU PASSE
Coulybaca Texte personnel
Chapitre 5 : Le dressage commence… Soirée au cinéma.
Cette première évaluation terminée, le véritable dressage commença.
S'allongeant sur le dos, Saïd l'attira à lui, écartant les cuisses, elle s'installa à l'aplomb de son monstrueux sexe érigé.
Lui appuyant sur les hanches, il l'engagea à s'enclouer sur la monstruosité qui lui tenait lieu de bite, élargie par les tests précédents, Aurore parvint sans trop de mal à engloutir le gros cylindre mafflu au fond de ses muqueuses, distendues par l'ampleur de la matraque, elle grimaça, força et parvint enfin à poser ses fesses sur le bassin poilu du moricaud.
Une main impatiente la courba vers l'avant, avec soulagement, elle sentit Mokram s'installer entre ses deux hémisphères, elle avait craint que ce ne fut Moktar le préposé à l'élargissement, son intestin admit sans trop rechigner les vingt premiers centimètres, elle se sentait emplie à ras bord, pleine à craquer, et cependant il poussait encore, petit à petit son boyau se déplia faisant place à l'envahisseur, des gouttes de sueur aigre perlèrent à son front, la hampe continuait de progresser, les obstacles cédaient un à un, ça n'arrêtait pas, il lui semblait que la longue flamberge allait lui ressortir par la gorge.
La douleur lourde, lancinante, lui vrillait les reins, enfin, elle sentit le picotement significatif des poils frisés contre sa croupe dodue, il était en place et bien en place, elle geignait maintenant, des larmes d'effort embuaient ses yeux agrandis par la souffrance.
Immobile jusqu'ici, Saïd se mit en branle, l'un sortait de son ventre tandis que l'autre s'enfonçait dans son cul, et vice versa, il lui semblait être une boule de bilboquet que se disputerait deux joueurs, abrutie de douleur, un cri plaintif jaillit de sa gorge, elle n'eut pas l'occasion de se plaindre bien longtemps.
Moktar s'engouffra dans la bouche grande ouverte, la bâillonnant mieux qu'avec une poire d'angoisse, il lui lésa d'entrée la luette, la repoussant, la repliant dans l'arriÈre gorge.
D'un violent coup de rein, il engagea son gland dans son œsophage, lui bousculant les amygdales, secouée de hauts le cœur, ses sursauts permettaient à la queue de progresser par saccades dans son larynx, d'un dernier coup de boutoir sauvage, il lui enfonça le nez dans les poils de son pubis et se délivra longuement dans sa gorge frémissante . Suffoquant sous le flot crémeux, hoquetant, elle déglutit, les spectateurs contemplaient avec surprise les ondes qui coururent sur sa gorge tout le temps qu'elle avala le foutre épais.
Tandis qu'il se relevait, elle sentit vibrer, puis trembler les chibres de ses deux autres chevaucheurs, la saisissant aux hanches, Saïd l'embrocha jusqu'à la racine sur ses couilles tandis que Mokram se propulsait encore plus profondément au cœur de ses entrailles, ils se raidirent et éjaculèrent simultanément, les jets tièdes lui éclaboussèrent en même temps utérus et intestin, avec un plop de bouteille que l'on débouche, Mokram décula, lentement, elle put se relever.
Les yeux exorbités, elle dut prendre les chibres poisseux entre ses lèvres luisantes et ranima leur érection, cette fois les choses devenaient sérieuses, ils allaient varier les positions.
Effectivement ce fut Moktar étalé sur le dos qu'elle dut enjamber, après la visite de Saïd, le calibre de Moktar lui sembla ridicule, tout au moins dans les premiers instants, puis arriva l'instant fatidique ou il heurta le fond de sa matrice, elle pensait, comme les spectateurs qu'il se contenterait de vingt cinq centimÈtres dans sa chatte, malheureusement, considérant qu'elle n'allait pas se plaindre pour cinq malheureux centimètres, il entreprit de pousser, avec un hurlement de douleur, elle sentit le gland s'immiscer dans le col de l'utérus, tremblante de tout son corps elle sentit Moktar accroître encore sa pression, cela craquait dans son ventre comme dans sa tête, des éclairs de feu couraient sous ses paupières, elle gémissait maintenant sans discontinuer, elle se voyait éventrée, détruite à jamais.
Dans un dernier grognement de plaisir il parvint à ses fins, son canal s'allongea démesurément, tandis que le col de son utérus s'arrondissait pour étrangler l'immonde envahisseur engagé de tout son gland, elle défaillit, jamais elle ne s'était sentie aussi pleine, elle se trouvait enceinte de l'invraisemblable flamberge, tout son intérieur la brûlait, jamais elle n'avait eue à supporter cela.
Et cela ne faisait que commencer sentant quelqu'un approcher dans son dos, elle tourna la tête et vit, avec effroi, Saïd son énorme braquemart tendu s'installer entre ses fesses, sa croupe se couvrit instantanément de chair de poule, elle voulut se dégager, mais Mokram la bloquait sur son ventre, lui interdisant tout retrait.
Affolée elle sentit l'énorme champignon violacé buter sur sa rosace, bien que dilatée celle ci ne pouvait accueillir sans mal un tel hôte, il poussa des reins, son anus se replia vers l'intérieur, interdisant le passage.
Se remettant en position, à deux doigts il dilata la bague crispée, les fronces ridelées s'ouvrirent assez pour permettre l'introduction de la pointe du gland, assuré de ne plus se retrouver bloqué par l’œillet se retournant sur lui même il entreprit de forer son trou, la douleur sourde, violente irradia son anus, on lui aurait découpé la rondelle au rasoir cela lui aurait fait le même effet , d'un brutal coup de boutoir, il introduisit la totalité du gland, elle poussa un beuglement de désespoir, Moktar la bâillonna alors avec un mouchoir qui traînait au sol, lui introduisant en boule dans la bouche, elle mordit la toile, la déchirant des dents.
Immobilisé dans ses entrailles, il reprenait son souffle, le sphincter tendu à craquer lui enserrait la base du gland comme un lacet le cou d'un lièvre.
Avec un cri sourd il poussa violemment, il lui sembla que la bite insatiable lui arrachait le muscle annelé, l'entraînant comme une bague dans ses entrailles, il n'en était rien, plus prosaïquement, la pine était rentrée à mi longueur dans son rectum, le sperme qui en couvrait les parois ne facilitait pas le glissement, et pourtant elle l'aurait cru au vu de la dose que Mokram lui avait mise auparavant.
D'un dernier élan dévastateur il se planta jusqu'à la garde dans son intestin, elle pleurait maintenant comme un chien battu, le baillon ne laissant passer que de sourds vagissements, la douleur était si forte, que cette fois au craquement de son cul correspondit son évanouissement . Ses deux tortionnaires en profitèrent pour ménager leurs forces.
Elle revint lentement à elle, un mouvement rude de son enculeur la rappela à son cauchemar, le pivot dans son ventre se mit en action, déculant presque en entier, seul le gland restant enfilé d'un coup d'une violence extrême il la pourfendit, l'embrochant jusqu'à la garde, le corps baignant de sueur, les larmes lui inondant le visage elle sentit ses deux tourmenteurs accorder leur rythme, ils la limaient maintenant en alternance, ses reins surtout la faisaient souffrir, à chaque retrait elle avait l'impression qu'on lui arrachait le boyau, à chaque pénétration elle croyait que son cul se déchirait, que son ventre s'ouvrait en deux, le coulissement des deux queues perdit de sa régularité, les coups de boutoir se firent encore plus amples, à la limite du supportable et cependant elle se réjouit, son calvaire tirait à sa fin, lorsqu'ils éclatèrent en flots brûlants dans son fondement et son ventre, elle crut que de la lave en fusion éclaboussait ses intérieurs, elle tourna de l’œil à nouveau.
Lorsqu'elle revint à elle, elle gisait telle un pantin sur le lit, elle glissa une main apeurée sur son ventre, appréhendant de constater des dégâts irréversibles, pourtant bien que sa cramouille fut terriblement douloureuse, elle ne remarqua pas de blessures particulières, aucune tâche de sang ne souillait ses doigts comme elle l'avait imaginé.
Aventurant sa main plus loin, elle ne reconnut pas son mignon petit trou, il béait tel un cratère d'au moins huit centimètres de diamètre, il ne parvenait pas à se refermer.
Tout son corps lui faisait mal, elle était rompue et ne craignait qu'une chose, qu'ils recommencent.
Elles ne se le firent pas répéter deux fois, se précipitant sur leurs frusques, même Aurore retrouva un regain d'énergie suffisant pour se revêtir en un clin d’œil.
Titubant sur ses jambes elle suivit ses compagnes qui prenaient le chemin du retour.
Tranquillement ils rentrèrent à pieds, assuré de l'obéissance de leurs femelles, passèrent au sex-shop du gros Lulu, ouvrir un compte sur lequel Moktar et ses copains pourraient se servir, puis partirent retrouver Solange et Clothilde chez cette dernière .
Ils arrivèrent trop tard, mari et enfants étaient rentrés, n'insistant pas, ils se contentèrent de leur caresser subrepticement les fesses, leur donnant rendez-vous le soir même, leur enjoignant de contacter Pascale et Arlette.
Ils devaient se retrouver vers onze heures devant le ciné porno .
Elles furent exactes au rendez-vous, devant le lieu mal famé, des dizaines de clients faisaient la queue, les déshabillant du regard, se demandant visiblement ce que pouvaient bien faire quatre jolies femmes de la haute en cet endroit.
Ils ne tardèrent pas à le savoir, alors que Mohamed entraînait, comme convenu, Clothilde vers la cabine de projection, Ali s'installait au fond du cinéma, indiquant à chacune de ses femelles une rangée différente, leur enjoignant de se montrer prévenantes, et dociles avec leurs clients.
Un coup de tonnerre dans leurs petites tête, incapables de se révolter, baissant les yeux, elles prirent place toutes les trois aux endroits indiqués .
Quelques arabes approchÈrent d'Ali, un bref conciliabule et Arlette vit un grand dégingandé payer Ali puis se diriger vers elle
Son client resta debout entre ses cuisses, elle le débraguetta d'une main tremblante, une bite sale, malodorante jaillit du slip douteux, plissant le nez elle absorba le gland moite qui glissa en force jusqu'au fond de sa gorge.
Secouée d'envies de vomir, la mentule dégageait une odeur surette, correspondant d'ailleurs à son goût, mêlant urine et sueur dans un même parfum, envahie jusqu'à la glotte, elle s'appliqua de son mieux pour se libérer le plus rapidement possible de son labeur.
Arrondissant la bouche sur la queue malpropre, suçotant, coulissant sur la hampe rigide, elle ne tarda pas à voir ses efforts récompensés, il se soulagea longuement au fond de sa gorge, projettant dans son gosier des flots de sperme crémeux qu'elle ingurgita docilement.
Relevant la tête, elle attendit son prochain client, profitant de l'accalmie pour juger du sort de ses amies.
A quatre pattes au milieu de l'allée, la jupe troussée sur les reins Solange arrondissait les lèvres sur un énorme chibre d'ébène qui lui déformait les joues, un autre noir donnait de violents coups de reins, s'engouffrant dans son cul, Arlette distinguait parfaitement le sphincter dilaté qui baguait d'un bande velue la tige du gaillard, il la secouait d'importance, son corps tremblait au rythme des coups de boutoir que lui imposaient ses deux clients, roulant des yeux blancs, ils déchargèrent simultanément dans la bouche accueillante et les reins soumis, secouée de tremblement convulsifs, Solange se releva et comme Arlette attendit le prochain.
Provenant de l'autre rangée Ils entendirent des râles, un nord africain se soulageait abondamment dans le ventre de Pascale, provoquant l'éjaculation du grand nègre qui lui forçait les entrailles.
Ainsi de clients en clients, elles rapportèrent en une heure et demi de film, chacune 750 à 9 00 euros, épongeant chacune une quinzaine de clients qui, satisfaits de leur prestation promirent à Ali de vanter les mérites de ses gagneuses, de leur faire de la publicité en quelque sorte.
Toutes trois avachies sur les fauteuils, recherchant leurs souffles comprenaient qu'elles avaient maintenant franchies la dernière étape, elles étaient maintenant de la viande pour bordel, elles étaient toute trois conscientes d'avoir franchies l'ultime étape, les ramenant à leur situation antérieure, vingt ans plus tôt.
Pire encore puisque maintenant elles serviraient dorénavant au gagne pain de souteneurs .
Hagarde, épuisée, Clothilde les rejoignit, et leur raconta son calvaire, toute la durée de la projection elle avait été livrée au désir insatiable de trois brutes montés comme des ânes qui lui avaient défoncés le ventre, inondés la bouche et éclatés le cul.
Elle avait passé une heure et demi toujours embroché entre les trois salauds qui la maltraitaient, la rudoyaient sans cesse, la courbant sous eux, comblant leur lubricité insatiable, le récit de ses amies l'informa quant à leur sort commun à venir, cependant si cruelle était l'aventure, qu'elle supplia Ali de la faire travailler dans la salle la prochaine fois, elle préférait encore éponger quinze clients d'affilée que de se plier de nouveau à la lubricité des trois projectionnistes.
Accablée de honte, conscientes de leur déchéance, elles rentrèrent lentement dans leur logis, rejoindre le lit chaud de leurs petits maris, inconscients de leur déshonneur.
Ali et Mohamed raccompagnèrent Pascale, se soulageant abondamment dans sa bouche offerte, alors qu'agenouillée dans l'entrée de son appartement, elle frissonnait de terreur à chaque bruit, craignant par dessus tout de se faire surprendre administrant une fellation somptueuse à deux arabes, à deux pas de son mari, dans le quartier le plus chic de la ville.
Ali et Mohamed se régalaient de la voir fiévreusement arrondir la bouche sur leurs virilités, cherchant par sa technique qui se développait de leur soutirer dans les plus brefs délais le contenu des couilles.
La tête penchée, elle coulissa longuement sur les hampes rigides, enrobant les queues de salive, les entourant de la langue, suçant les méats poisseux avant d'enfin pouvoir aller se coucher, les papilles engluées de foutre conservant la saveur tiède de ses deux tourmenteurs sur son palais.
Ils rentrèrent satisfaits de leur journée, leurs projets prenaient corps, ils se trouvaient maintenant à la tête d'une cheptel de qualité, toutes bonnes baiseuses de surcroît, 10 bonnes salopes, aptes à faire de bonnes putes, si l'argent rentrait, rapidement ils pourraient installer leur lupanar, leurs gagneuses leur dégotteraient bien deux ou trois autres salopes qu'ils contraindraient à se prostituer en leur compagnie.
Quant à la clientèle, pas de souci à se faire, ces premiers contacts prouvaient largement qu'il ne manquerait pas de clients avides de s'amuser avec ces belles dames de la haute.
Tous les marginaux, les mal-aimés se régaleraient avec ces belles femelles, habituellement hautaines et dédaigneuses, plus qu'ils ne pourraient le faire avec des professionnelles.
Janvier 2008
Coulybaca
dominique.dubuissez@orange.fr
L'OMBRE DU PASSE
Coulybaca (Texte personnel)
Chapitre 6 : ledressage, le pain du cul, le contrat de location
Le lundi, en début d'après-midi, vêtues avec recherche, tailleur de soie sauvage et petit Channel, la tête basse, en compagnie de leurs trois tourmenteurs Corinne et Christine se rendirent au sex-shop du gros Lulu.
C'était un gros type, la cinquantaine, suant la prétention par tous ses pores.
Elles se rappelaient l'avoir croisé dans différentes manifestations, l'une comme l'autre avaient alors dédaigné ses compliments, elle voyait dans ses yeux, que lui aussi se remémorait ces instants à l'éclair de joie qui pétillait au fond de ses prunelles elles comprirent qu'il allait se venger de leur dédain.
- C'est là les donzelles que vous devez former ? s'informa t-il, Il's'mouche pas du doigt votre copain, .... Rien que du beau linge .... La bijouterie Lautrac et la femme du vétérinaire ..... Faudra m'raconter comment il a fait ..... Elles seraient plutôt bégueules d'habitude....
- Et encore t'as pas vu les autres, ..... Il tape dans la haute le copain Ali .... Tu pourras peut-être apprécier ..... Enfin, c'est pas le tout, tu nous as réservé une pièce? ……
- La porte du fond, chambre tout confort, plusieurs divans et fauteuils .... vous y serez tranquille……
- Ah, autre chose, tu verras pas mal de monde cet après-midi .... Les potes savent qu'il y a des nouvelles ..... Ca m'étonnerait pas qu'on ait quelques dizaines de clients! …..
- J'vous les enverrai directement, ou faut faire payer? ….. Tu fais payer.... aujourd'hui juste des pipes ...... 30 euros la pipe ..... t'en gardes 8 pour toi à chaque client……
- Tu nous passes du matériel? …….
- Et comment, j'vous l'file gratos si j'fais mon beurre et que j'peux y goûter! ….. T'inquiètes pas, pour les clients c'est uniquement des pipes .... Mais nous on s'amusera avec elles après, et pour nous, .... Ce sera tous les trous! …..
Sur ces mots, poussant les deux futures putains, ils se rendirent dans la pièce indiquée.
Lulu ne tarda pas à les rejoindre, les bras encombrés de paquets.
- J'vous ai amené un petit nécessaire, vous n'avez qu'à choisir, j'retourne au turf, si vous avez besoin de moi, vous m'appelez, j'donne les instructions au vendeur et j'rapplique…...
Mokram entama le déballage des paquets, sortant en vrac lingeries fines, godes de différentes tailles, cravaches et autres ustensiles.
- Il a pensé à tout le gros, on va pouvoir travailler dans de bonnes conditions .... alors heureuses mes salopes? …..
Baissant la tête, blêmes, elles se taisaient, appréhendant la suite.
- Allez à poil, vous ne croyez tout de même pas que c'est dans cette tenue que vous appâterez le client? …..
Comme engourdies, avec lenteur elles obéirent, pliant soigneusement les habits qu'elles quittaient, pour les poser sur le dossier d'une chaise. Intégralement nues, humiliées elles se tinrent les bras le long du corps, ne cherchant même pas à cacher leurs charmes qui de toutes manières seraient bientôt saccagés.
Mokram leur choisit à chacune une tenue plus en rapport avec leurs activités à venir.
Elles en jetaient toutes les deux.
Christine portait des bas à résille tenus par un porte jarretelles rouges, un soutien gorge seins nus offrait la fraise de ses seins aux regards, une courte nuisette rouge, ouverte sur le devant complétait sa tenue, Saïd lui souligna les grandes lèvres de mauve faisant ressortir de façon obscène la cicatrice au cœur de sa toison de feu.
Corinne se contentait d'un bustier violet, laissant son opulent gorge à l'air, les jambes gainées de bas à résille fixés par des jarretières, sa fourrure blonde encadrant son sexe souligné de rouge carmin, elles étaient parfaites pour jouer leurs rôles.
- A quatre pattes sur le pieu les donzelles! ?…….
- Qu'est ce que vous voulez faire? ….. On va vous élargir le trou du cul ..... vous êtes bien trop étroites! …. Non, on veut pas, ... Ca fait trop mal .... Non .... Non ! ….
D'un coup de cravache sur leurs croupes dodues, Moktar les rappela à l'ordre.
Matées, pleurnichant, elles s'exécutèrent, cambrant les reins pour mieux offrir leurs masses fessues, les trois salauds ne s'attardèrent pas à les contempler, tandis que frémissantes elles épiaient leurs préparatifs, Mokram et Moktar se saisirent de deux godes de tailles identiques, tous deux forts épais et forts longs, les enduisirent de vaseline, avant d'oindre les deux culs d'une noisette de crème, graissant aussi bien les entre fesses que les oignons eux mêmes.
La pression des bouts oblongs des olibos succéda à l'intromission de deux doigts dans chaque cul, d'un sauvage coup de poignet, en même temps, ils vissèrent les intrus dans les culs rétifs.
Un grand cri jaillit de la gorge des deux belles qui se virent empalées jusqu'à la garde, fixant une mince ceinture de cuir sous leurs frous-frous, ils y bouclèrent une sangle maintenant les gros gourdins enfoncés jusqu'à la racine dans leurs entrailles.
Grimaçantes de douleur, elles durent se relever et faire quelques pas, ils se marraient en les voyant évoluer jambes écartées, voûtées sous la douleur.
- Asseyez vous, vous avez cinq minutes pour vous habituer, après on commence la leçon…. dirent ils, partant rejoindre Lulu.
S'asseoir fut atroce, il leur sembla que les gourdins parvenaient encore à pénétrer plus profond dans leurs estomacs, leurs gaines distendues les brûlaient, elles étaient engourdies de douleur, peu à peu, la douleur s'apaisa, remplacée par une impression de plénitude, jamais elles n'auraient cru pouvoir supporter de tels engins dans le fondement, et pourtant.....
Les quatre salauds vinrent les rejoindre rapidement, Moktar tenait deux bananes à la main, il les éplucha et leur tendant leur ordonna de montrer leurs techniques.
Honteuses, elles s'introduire le fruit entre les lèvres, le firent coulisser lentement, de la main Mokram les obligea à se les enfoncer plus profondément dans la gorge, leur détaillant les techniques à appliquer.
- Voilà Christine, regarde comment fait ton amie, plus profond, ressort la lentement, serre les lèvres, aspire maintenant, voilà tu dois téter, et toi Corinne ne te contentes pas de la sucer, sors ta langue, frétille de la pointe sur le bout, enfonces bien à fond ... C'est bien ..... Vous allez encore faire des progrès ! ….. Tu veux commencer Lulu? …. demanda Mokram.
Le gros Lulu, les yeux injectés de sang, baissa rapidement son pantalon, extirpant une verge drue de son slip, il le tendit à la bouche de Christine. D'un souple mouvement du col, elle absorba le gland, puis suivant les conseils de Mokram elle entama de lascifs va et viens sur la hampe, léchant le prépuce lorsqu'il pointait à l'orée de ses lèvres tétant le méat, mordillant la chair turgide.
Soudain Lulu la saisit aux oreilles et s'enfonça avec brutalité au fond de son gosier, le gland coincé entre ses amygdales, il s'exonéra longuement.
Suffoquant, pour éviter l'étouffement elle but la semence qui jaillissait à longs traits dans sa gorge irritée, éclaboussant sa luette et ses amygdales.
Montre en main, Mokram la félicita :
- Quatre minutes trente pour ton premier pompier, c'est très bien ma grande .... A ce rythme là, tu en éponger quelques uns dans l'après-midi ! ……
On frappa à la porte, le vendeur venait signaler un afflux important de clients, Lulu partit pour encaisser le prix des passes, tandis que Moktar devant une telle abondance téléphonait à Ali pour demander une bouche en renfort.
Les huit autres femmes, à ce moment même livraient comme, elles en avaient reçues l'ordre leurs emplois du temps aux deux julots.
Chacune d'entre elles était libre cinq jours sur sept, ils pourraient disposer chaque jour d'au moins cinq femelles, exception faite de Christine et Corinne qui étaient retenues par d'autres tâches, deux soirées dans la semaine, le mardi et le jeudi six des huit salopes étaient libres, mais le samedi soir ils ne pourraient disposer que de cinq d'entre elles.
Solange avait découvert une maison à louer qui devrait faire l'affaire, située dans le vieux Moulins, elle donnait d'un coté sur la rue chic de la petite ville, alors qu'une porte dérobée ouvrait dans une cour fermée communiquant avec les quartiers populeux.
Il y avait tout de même un hic, il faudrait convaincre le propriétaire de la cour, un vieux célibataire grincheux de laisser libre passage aux clients, pour plus de précision, Ali décida d'aller visiter les lieux en compagnie de Solange et Clothilde, espérant s'entendre avec le propriétaire des lieux.
Aurore et Arlette avaient bien avancé dans la confection des statuts du futur club exclusivement féminin, il restait à lui donner un nom, à en noter les membres, et à le déclarer en préfecture, ce dont se chargeait Clothilde.
Ils partaient tous, lorsque le téléphone sonna, Mokram réclamait du renfort, consultant les emplois du temps, il ordonna à Juliette de rejoindre ses deux amies, elle obéirait la semaine durant aux formateurs qui les prendraient toutes trois en charge.
Mohamed emmena Arlette, Pascale, Sylvette, Aurore et Sylvie sans leur donner plus de renseignements, à quoi leur servirait-il de savoir qu'elles avaient rendez vous avec une soixantaine d'immigrés sevrés de femmes depuis plusieurs mois, en banlieue de Moulins, elles le sauraient bien assez tôt.
Juliette ne tarda pas à arriver au sex-shop, saluée d'un ironique :
- La belle madame Novak, si je m'attendais .... Mais entrez donc ..... Vos amis vous attendent avec impatience! …..
Cramoisie, elle ne put éviter, la main baladeuse du vieux salaud, qu'elle avait giflé la semaine dernière, répondant ainsi à des propositions honteuses qu'il s'était permis de lui faire.
Morte de honte, elle le suivit dans un recoin attenant, enfila une tenue de putain, comme il disait : sa toison brune, jurant avec le porte jarretelles bleu pale et ses cheveux blonds, il la garnit elle aussi d'un gros élargisseur, cela ne se fit pas sans mal, mais l'anus bien préparé admit, finalement relativement aisément le gros mandrin, un bandeau couvrant ses mamelles elle pénétra dans la pièce ou ses amies travaillaient.
Sous l’œil attentif de leurs bourreaux, Christine à genoux suçait à pleine bouche un grand noir qui la bourrait à grands coups de queue, tandis que Corinne la bite d'un moricaud crépu en main, léchait celle d'un autre enfoui jusqu'aux couilles dans sa gorge, puis, le désembouchant elle suçait le premier, masturbant le second et ainsi de suite chacun à leur tour.
Elle n'eut pas le loisir de contempler longtemps le spectacle, une grosse bite à l'odeur surette força ses lèvres serrées, elle adopta le même rythme que ses partenaires.
Le premier flot de clients écoulés, elles purent se rincer la bouche, se détendre les mâchoires, se nettoyer le visage marbré de longues traînées de sperme séchant.
Les lèvres en feu, les mâchoires douloureuses, elles reprirent leur labeur, les clients arrivant par vagues successives.
Pendant ce temps, Ali, accompagné de ses cinq préposées au repos du guerrier arrivait à destination.
Un noir âgé, crépu, les guida vers les chambres où elles officieraient, un panneau accroché aux portes indiquait déjà les tarifs :
30 euros la pipe .
60 euros la passe;
80 euros la bite au cul.
L'ingéniosité de ses salauds allait même jusqu'à proposer des prix de groupe, ce qui permettrait de hausser le rythme :
En duo la bouche et la chatte 80 euros, la bouche et le cul 100 euros, la chatte et le cul 120 euros .
150 euros pour un trio.
Frissonnantes de dégoût, elles lurent les panneaux, puis instruites de leur tâche, elles pénétrèrent chacune dans une chambre meublée sommairement.
Une paillasse sur le lit, une table de nuit supportant une cuvette d'eau avec une éponge, permettait à chaque client de nettoyer les trous des putes s'ils les trouvaient trop débordants de foutre.
Toutes trois commencèrent forts, économes, trois clients se précipitèrent sur chacune leur embourbant très rapidement leurs trous dilatés de leur purée épaisse, comme leurs congénères qui suçaient au sex-shop, elles prirent un rythme de croisière, satisfaisant tantôt un, mais plus souvent deux ou trois braquemarts fiévreux.
Sevrés de femmes depuis un bon moment, ils se succédèrent à un rythme effréné dans leurs bouches, leurs ventres et leurs culs, aspergeant rapidement leurs muqueuses brûlantes de longs jets de foutre. Puis plus calmement une file d'amateurs d'un second tour se forma et elles eurent plus de mal pour combler leur lubricité, devant maintenant participer, se prostituant véritablement pour leur arracher leurs dernières gouttes de jus.
Ali, Solange et Clothilde visitaient le grand appartement, constitué de deux grandes pièces sur l'avant séparées des trois salles sur l'arrière par un large hall.
Il serait facile à transformer en lupanar tout en conservant à l'avant scène l'aspect d'un club bourgeois et hautain.
Le propriétaire était même prêt à louer avec un long bail, l'occasion d'abriter un club select le comblait, restait à convaincre le vieux con qui partageait la cour de laisser libre passage.
Ce fut plus facile que prévu, le vieux salaud n'avait plus, depuis bien longtemps l'occasion de s'envoyer en l'air, la promesse d'Ali de le laisser disposer à volonté de femelles consentantes lui suffit, la qualité des pouliches proposées l'enthousiasmant même.
La queue enfournée dans la tiédeur de la bouche de Clothilde il signa son accord.
Ayant goûté de la chaleur, de la disponibilité de Clothilde, il voulut ensuite se vider dans la gorge de Solange.
Obéissante elle ploya les jambes, s'agenouilla entre ses genoux, et emboucha sa grosse verge, à peine eut-il franchit la frontière des dents de la belle rousse que, peu habitué à ce chaud traitement, il éclata en grandes giclées entre les lèvres closes, embourbant de son foutre gluant, épais, tiède la bouche de sa zélée fellatrice.
Quatre heures s'étaient écoulée, dans chaque endroit, chacun faisait les comptes :
Ali signait un protocole avec le propriétaire, il s'engageait à payer en cinq traites de 10.500 euros à un mois d'intervalle entre chacune.
Mohamed comptait le rapport de la journée, tandis que ses cinq gagneuses, épuisées chacune ayant épongé une douzaine de client, dont certain deux et même trois fois, le corps rompu, la bouche lasse, gluante de sperme et de sueur se reposaient.
L'après-midi ramenait 4.100 euros.
Dans l'arrière salle du sex-shop, Mokram ayant volontairement limité chaque pute à vingt pipes, Lulu encaissait 450 euros et eux 2.250.
Les trois pipeuses avaient mal aux mâchoires, la bouche pâteuse elles avaient cajolé des queues de tout acabit, des blanches, de brunes, des noires, des grosses, des petites, des difformes, elles avaient goûtés à toute la panoplie.
Loin de se sentir enrichie par cette nouvelle culture, sombres, elles prenaient consciences de ce que serait dorénavant leur vie, elles seraient vouées aux plaisirs des hommes qui disposeraient d'elles par tous les trous, ils leur suffiraient d'y mettre le prix.
Rappelant à Mokram sa promesse, Lulu enlaça Juliette, la délivra du gros embout vissé dans son cul, et le visage ravi, il la disposa à genoux sur le divan, la forçant de la main à se plier en avant, offrant toute sa croupe à sa salacité, il lui marmonnait à l'oreille :
- Alors ma bonne madame Novak .... on est plus si fière .... Qui aurais cru que je pourrais si rapidement t'éclater le cul ..... Tu ne dis rien .... Je vous en prie….. Soyez doux.... Je ferai ce que vous voudrez, mais ne me faites pas mal….. Sois encore plus gentille ma jolie ..... Et je ferai ça gentiment .... Demandes moi de t'enculer! ….
- S'il vous plait, monsieur Lulu ..... Sodomisez moi ..... Non répètes ce que j'ai dit! ….
- En .... enculez moi monsieur Lulu ..... Allez y doucement ....
Verte d'humiliation, toute honte bue, Juliette se voyait obligée de solliciter de la part de ce salaud une étreinte que toute son âme reprouvait.
S'élargissant, poussant pour mieux arrondir sa rosette, elle sentit le gros gland mafflu peser sur son œillet.
Bien élargie par le port du mandrin fiché la durée de l'après-midi dans ses entrailles, sa gaine reçut facilement son gros visiteur.
Il la secoua longuement, s'enfonçant tantôt avec douceur tantôt avec violence au cœur de ses intestins accueillants, des plaintes, des gémissements plus engendrés par la honte que par la douleur sortaient de sa gorge.
Encouragés par ce spectacle, délivrant à leur tour les deux autres femelles les trois autres compères, auxquels vint rapidement se joindre le vendeur s'occupèrent de leurs trous du bas.
Enfourchant Moktar Christine dut se visser sur ses trente centimètres brûlants, elle eut bien du mal à le faire, souffrant le martyr, elle ne parvint à absorber toute la bite du voyou qu'au prix d'ignobles efforts, la figure grimaçante, des larmes de douleur, de souffrance perlant à ses yeux elle le sentait imbriqué dans son ventre jusqu'au col, qu'il entrouvrait à chaque coup de boutoir.
C'est à peine si elle sentit le vendeur forer son trou dans son cul tant son ventre accaparait son attention.
Avec un intense soulagement, elle le sentit se répandre à gros bouillons dans ses flancs meurtris, le vendeur ne tarda pas à le suivre.
Délivrée de ses deux tortionnaires, d'une main hésitante elle vérifia l'état de sa cramouille, s'étonnant de la trouver comme à l'ordinaire, si ce n'était son évasement, sa béance on n'aurait pu dire qu'elle venait de supporter un tel envahisseur.
Lulu se vidait dans le cul de Juliette lorsque Corinne debout entre les deux hommes s'empala le sexe sur la bite de Mokram, il s'enfouit profondément dans son ventre tandis que d'un doigt ferme Saïd lui évasait la rondelle, elle se sentait presque reconnaissante d'avoir du supporter l'olibos tout l'après-midi, son cul béant admettait avec peine le large cylindre de chair, qu'aurait-ce été sans sa période d'accoutumance pensait elle.
Les deux hommes se mirent en branle, accordant leurs mouvements, fouaillée par devant et par derrière, elle gémit bientôt, dieu ce n'était pas possible, elle n'allait pas jouir ? pas avec eux .….. Non .... Et bien si, alors qu'ils accéléraient encore la cadence, la poignardant de délicieux coups de boutoir, elle soupira, puis un feulement de plaisir jaillit de sa bouche, à la grande surprise de ses consœurs, le corps secoué de soubresauts convulsifs, elle jouit à pleine gorge, provoquant la jouissance de ses deux chevaucheurs, qui, empoignant ses fesses et ses seins à pleines mains, s'ancrèrent au fond de ses tunnels projettant avec force leurs longs jets saccadés au fond de ses entrailles palpitantes.
Juliette nettoyait maintenant de la langue et des lèvres le gros chibre de Lulu, elle s'acquittait avec soin de sa tâche, soucieuse de le contenter totalement, ce qui apaiserait peut-être son courroux.
- C'est pas mieux comme ça…. disait-il lui flattant la croupe.
- Vous revenez demain ? .... Je voudrai bien ma la refaire ..... C'est fou ..... Elle est bien plus aimable ici que dans une réception .... n'est ce pas ma belle ! ….
Heureuse de s'en tirer à si bon compte, elle ne moufta pas, se contentant de lécher du bout de la langue les dernières gouttes visqueuses suintant du méat.
- C'est d'accord pour demain ..... On les fera baiser uniquement par le cul ..... Sauf pour nous ..... T'y vois pas d'inconvénients ? …..
- Oh que non, faut bien qu'elles apprennent .... beaucoup de clients préfèrent les fusils à trois coups !…
Sur ces derniers mots ils se quittèrent, Mokram chargea Juliette de remettre l'argent à Ali, leur donnant rendez-vous au même endroit, même heure le lendemain, ils les regardèrent partir, l’œil brillant de satisfaction, le dressage s'annonçait bien, pas une ne s'était révoltée, elles avaient suivi avec la plus grande docilité, la plus grande servilité leurs conseils, faisant en un seul après-midi des progrès surprenants.
Ali serait content, elles étaient capables d'éponger le pékin ordinaire en moins de trois minutes, ce qui n'était pas banal pour des quasi-débutantes.
Le soir même, en compagnie de Clothilde, le cul toujours nu sous sa courte jupe, dans le grenier, Ali et son Frère faisait le point :
L'après-midi laissait 7.350 euros de gain, que l'on pouvait arrondir facilement à 7.500 euros, en ne faisant travailler les filles qu'un jour sur deux il pouvait escompter un minimum de 90.000 euros mensuel, différentes mesures à étudier pourraient encore élever ce gain, il faudrait faire preuve d'imagination, les moyens de diversifier leurs activités existaient, carte de club permettant de jouir des belles salopes à l'année, après midis récréatifs pour assemblées en mal de femelles, locations à l'après-midi, la soirée .....
En enlevant 15.000 euros sous forme de gratification et de frais divers, l'entreprise s'avérerait rapidement fort juteuse, le haut niveau de respectabilité de ces dames assurant une discrétion sans faille, c'était pénard, pas de risques de contrôle policier inopiné, d'ailleurs Clothilde croyait avoir reconnu en la femme du commissaire principale, une de ses anciennes compagnes d'infortune, il faudrait, pour plus de sûreté, l'ajouter au cheptel, ainsi que quelques autres belles salopes.
La question de l'association avançait, les statuts seraient bientôt prêts, restait à trouver un nom à ce club, très select.
Restait aussi à concocter un signe distinctif qui permettrait de reconnaître clairement les membres du club, qui pourraient les utiliser, moyennant finances.
La tournée des cinés pornos s'avérait fructueuse, au même titre que la journée foyer, elle serait à normaliser, la clientèle existant.
Mokram leur avait indiqué le bon vouloir et la servilité des belles salopes qui en une semaine serait à même d'exercer dignement leur nouveau métier.
Coulybaca
dominique.dubuisez@orange.fr
Janvier 2008
L'OMBRE DU PASSE
Coulybaca (Texte personnel)
Chapitre 7 : L’association des Louves , l’auberge de la grange aux louves, la poursuite du dressage, première prestation extérieure.
Le lendemain après-midi, tandis que Christine, Corinne et Juliette, poursuivaient leur formation chez le gros Lulu, Solange, Clothilde, Aurore, Arlette se trouvaient en compagnie d'Ali dans la pièce principale de ce qui deviendrait leur club, Pascale, Sylvette et Sylvie, indisponibles pour différentes raisons étaient laissées au repos.
Ali venait de faire affaire avec le vendeur, par l'entremise d'un courtier peu regardant, se souciant peu de l'origine des deniers perçus, de toute façon, la présence du gratin de la ville l'avait dissuadé d'en demander plus.
Pour une soulte de 3.000 euros, il avait acquis le mobilier de la maison. Assis sur le divan, le courtier parti, il regardait ses femelles se dévêtir.
Posant soigneusement corsages, jupes, frous-frous sur les accoudoirs des fauteuils, bientôt nues, elles attendaient son bon vouloir.
Il se contenta de se régaler l’œil, puis la main, tâtant un sein, une fesse, les invitant à s'asseoir à ses cotés.
Il lui restait différents détails en suspens à régler, avant même de pouvoir songer au plaisir.
Aurore, sur ses ordres complétait les statuts de l'association.
Intitulée Les louves, elle excluait formellement tout mâles des activités, et oeuvrerait dans le domaine sociale, son but serait de distraire, d'éduquer les masses laborieuses, par tous les moyens légaux en vigueur ; elles devaient d'ailleurs reconnaître qu'effectivement, depuis une huitaine de jours, elles s'y employaient de tout leurs corps, sinon de tout leurs âmes.
Le local lui même porterait le nom évocateur de la grange, ainsi, ironiquement il les réunissait dans un lieu, que bientôt, bien des amateurs désigneraient sous le vocable de la grange aux louves, reprenant ,sans le savoir, le nom du lieu où plus jeunes, elles s'étaient vu contraintes de se prostituer, accordant leurs corps et leurs charmes comme elles continueraient de le faire désormais .
D'autre part, et sur la suggestion de Mohamed, elles se feraient tatouer une tête de louve sortant d'un porche de grange, sur le dos de la main, permettant ainsi aux membres d'un club à venir d'identifier au premier coup d’œil les salopes dont ils pourraient disposer librement au hasard des rencontres, actuellement, en termes voilés Mohamed recrutait des membres actifs.
L'idée était simple, contre une cotisation de 1.500 euros pour l'année, les adhérents pourraient plier sous eux n'importe laquelle des tatouées, la seule règle intransigible serait de ne pas provoquer ces rencontres, elles devaient être totalement fortuites, les clients acquitteraient leur du, sur rapport de l'utilisée, au plus proche retour au club.
Contre une cotisation plus faible, de 300 euros, les clients éventuels, pourraient venir, deux fois par semaine, et moyennant finance s'offrir les trois orifices des donzelles, le mardi et le vendredi soir.
Ces soirs là, ils trouveraient toujours au moins sept des dix putains de la maison, de disponibles, puisque ces soirées seraient uniquement consacrées aux activités du club.
Les autres jours le bordel fonctionnerait avec au moins quatre filles chaque jour, ce système permettrait de mieux répartir le travail des pensionnaires, tout en leur accordant des journées de récupération.
Ali pensait, que le meilleur moyen de conserver un cheptel frais et opérationnel, était de le ménager, aux journées d'abattage ( foyers, ciné ....) succéderaient des jours de repos et des soirées moins fatigantes au bordel.
Tout ceci exposé, il s'intéressa de plus prêt aux charmes de ses hétaïres, soupesant les mamelles d'Arlette, il entreprit d'en étirer les mamelons, les malmenant, les pinçant, les griffant, docile, elle tendait sa poitrine aux mains de son tourmenteur.
Se levant, il prit place sur un fauteuil, enjoignant aux trois autres femmes de se caresser, de se gouiner sur le divan.
Serviles, elles obtempérèrent, et tandis que Solange s'allongeait sur le dos, Aurore accroupie au dessus de son visage, proposait son sexe à sa concupiscence, Clothilde s'agenouillant au bord du divan fouillait du doigt la déchirure entre ses cuisses.
Attirant Arlette sur ses genoux, il contemplait le charmant tableau vivant, les exhortant à faire jouir leurs partenaires.
Au sex-shop, pendant ce temps, Juliette empalée sur la pine du gros Lulu, qui décidément se vengeait délicieusement de ses rebuffades regardait ses amies étalées sur les genoux de leurs formateurs recevoir une formidable fessée.
Assurément elles regrettaient maintenant leur stupidité, elles avaient regimbé quand Mokram leur avait indiqué le programme de l'après-midi : elles devaient chacune, accueillir une vingtaine de clients dans leurs reins, s'efforçant de leur donner le plus de plaisir possible tout en les amenant rapidement à se déverser au fond de leurs entrailles.
Plus craintive, plus intuitive, Juliette avait obéi lorsqu'à moitié nue, Lulu l'avait attirée sur ses genoux.
Introduisant ses doigts tendus dans ses fesses il avait fermement dilaté sa rondelle, l'élargissant lentement, évasant le goulot, avant de l'enculer à sec.
Bien sur la pénétration avait été douloureuse, mais son sphincter bien graissé, avait avalé sans trop se plaindre l'énorme mandrin érigé.
La bite bien calée au fond des intestins se tenait maintenant immobile, juste de petits tressaillements révélaient la tension de son enculeur, qui comme elle lorgnait les fesseurs.
Les premières gifles assénées avec force sur la croupe, leur avaient arraché des cris perçants, puis des hurlements de douleur, et maintenant la voix cassée, elles geignaient plaintivement, des chaudes larmes coulant de leurs yeux gonflés.
Les derrières rubiconds luisaient sous la lumière, les fesses agitées de tremblements, elles suppliaient leurs maîtres d'arrêter, les assurant de leur bon vouloir.
Enfin ils cessèrent, percluses de douleurs elles se relevèrent et durent se remaquiller avant de s'étendre servilement sur le ventre, tendant leurs croupes cramoisies aux futurs clients, pitoyable, Mokram leur enduisit les fesses d'une pommade apaisante, qui effaça comme par miracle la douleur, ne laissant subsister que la chaleur de leurs culs meurtris, puis prévoyant, il glissa ses doigts dans leurs raies, graissant copieusement leurs goulots.
Lulu, avait saisis Juliette aux hanches, il la levait puis l'abaissait avec violence, la perforant jusqu'aux poumons, elle ne disait mot, elle ne voulait surtout pas, en plus lui donner le plaisir de ses plaintes, aussi stoïque supportait-elle son supplice avec résignation sinon avec bonheur.
Enfin au creux de ses entrailles elle sentit sursauter l'ignoble verge, qui se mit à trembler, transmettant ses frémissements aux entrailles palpitantes, soulagée, elle le sentit enfin éjaculer avec force au fond de ses reins soumis, il était temps, son corps était au bord de la trahison, lui aussi voulait jouir.
Elle se leva, et s'essuyant d'une main distraite, elle s'étendit sur le ventre aux cotés de ses compagnes, il ne restait qu'à ouvrir aux clients.
Au siège de l'Association, Mohamed pénétrait dans la pièce qui résonnait maintenant des râles de plaisir des trois bacchantes.
Solange fouillait maintenant à pleine bouche la cramouille d'Aurore affalée sur son torse et triturait à pleines mains les tendres mamelles de Clothilde qui gamahuchait Solange.
Deux doigts fichés dans son cul, elle vrillait ses phalanges le plus loin possible dans la gaine souple, écartant et refermant les doigts dans l'étroit conduit, arrachant à sa victime des sursauts violents du bassin . La langue de Solange suivait les babines détrempées d'Aurore, les léchait, les séchait, puis elle pointait dans le con gluant, le titillant lascivement, avant de se poser sur le pertuis odorant le forcent de la pointe.
Soudain Solange dans un sursaut de tout son corps malmené par Clothilde mordit à pleine dents la chair fragile des babines, Aurore, le corps agité de tremblements fébriles lui jouit dans la bouche, inondant son palais de sa liqueur sucrée, se relevant, elle se précipita derrière Clothilde, lui écarta rudement les jambes, et allongée sur le dos entreprit une délectable feuille de rose.
Emmanché dans le cul d'Arlette, qui trayait de toute la force de ses sphincters la grosse pine le comblant au delà de toute expression, Ali observait son frère qui arrachait les boutons de son jean et se ruait entre les cuisses d'Aurore, s'enclouant jusqu'à la garde dans le con juteux.
Une odeur de foutre se répandait dans la chambre, en sueur, d'un même grognement, les deux mâles se vidèrent au fond des femelles alors que simultanément, Solange et Clothilde, poissaient de leurs secrétions les bouches goulues.
Pendant ce temps les trois élèves en étaient chacune à leur deuxième enculage, leurs rondelles douloureuses devraient encore avaler quelques bites avant que leurs formateurs ne se déclarent satisfaits de la séance.
Elles avaient beaucoup progressés au cours de ce petit stage, surtout en ce qui concerne les positions ; de face, assise sur les genoux des clients, debouts, à quatre pattes, elles étaient maintenant capables de provoquer une rapide érection à leurs clients avant de les avaler avec énergie par la rondelle.
Cela ne s'était pas fait sans mal, les rosettes comme découpées au rasoir, leurs cratères clignotaient de douleur à chaque nouvelle intromission ; et pourtant ils étaient inflexibles, ils avaient décidés que chacune devrait épuiser une quinzaine de clients, ce qui, compte fait des salauds qui prenaient un deuxième et même, pour quelques rares, un troisième tour, les mènerait chacune à une trentaine d'enculage.
Juliette, comme les autres, avait perdu le décompte des bites qui s'étaient succédées dans son anus, pour l'instant, allongée, le dos sur une table, jambes pendantes, elle tendait son cratère enflammé, une épaisse pine noire la perforait de profonds coups de reins.
Son rectum brûlant ne lui laissait aucun répit, des élancements douloureux grimpaient le long de sa colonne vertébrale pour éclater en boules de feu dans son cerveau, et pourtant, pour abréger son martyre, ses reins se faisaient lascifs, son sphincter étranglait l'énorme bite qui la remplissait toutes, trayant avec énergie l'énorme colonne bistre.
Elle n'avait qu'une hâte, sentir encore une fois les vagues brûlantes déferler dans ses entrailles, pour encore tirer les trois ou quatre coups qui la séparaient du repos.
Comme ses compagnes, elle n'était plus capable de réfléchir, à un train d'enfer les braquemarts fiévreux se succédaient dans ses fesses, elle s'adaptait rapidement au calibre proposé, dilatant ou resserrant sa bague annelé sur le membre qui l'envahissait afin de conclure le plus rapidement la passe, enfin elle sentit la flamberge trembler au fond de ses entrailles, d'un dernier élan fructueux, le client se planta plus profond qu'il n'avait jamais été dans son pertuis frémissant, et à longues giclées déversa son trop plein dans ses reins soumis.
Avant d'accueillir le suivant, elle prit soin d'essuyer ses fesses et sa fourche débordant de foutre gluant, déjà le suivant se présentait, lui faisait signe de s'allonger sur le ventre, avant de s'enfoncer dans son cul, ses mouvements spasmodiques entraînaient un clapotis baveux.
Corinne et Christine, à quatre pattes cote à cote, une grosse mentule distendant leurs entrailles douloureuses participaient aussi au viol de leur anus pour hâter la conclusion.
Leurs clients échangeaient leurs impression tout en leur éclatant le cul, ils avaient échangés leurs partenaires ce qui leur permettaient de comparer la qualité des deux anus proposés.
Serrant les gros cylindres comme dans un poing, elles tétaient voracement les chibres coriaces, leur première éjaculation autorisait les deux clients à adopter un rythme moins échevelé, ils contrôlaient mieux leurs montées spermatiques, faisaient durer leur plaisir.
Les deux femmes avaient beau tourner langoureusement du cul, les absorber en variant les cadences, lancer la main en arrière pour leur presser les bourses, elles n'arrivaient pas à conclure.
Elles guettaient avec impatience les soubresauts annonciateurs de la salve tiède elles se prostituaient avec une rare lubricité, devant se servir de tout leur nouveau savoir, de toute leur nouvelle technique pour conduire leurs chevaucheurs vers une conclusion plus rapide.
Elles se lassaient, quand enfin, et sans signes préalables, ils projetèrent de puissants jets de semence chaude au fond de leurs intestins, déculant pour terminer de se vider entre leurs fesses disjointes, étalant de la pointe de la queue leur sperme gluant sur les croupes malmenées.
Encore un pensèrent-elles s'essuyant la raie avant de se disposer comme l'entendrait le suivant.
A ce moment, Mohamed annonçait à Ali :
- J'ai pris rendez- vous chez le chinois à 18 heures, pour les tatouages, Pascale et Sylvie y seront, je les ai jointes tout à l'heure, elles ont pu se libérer ..... Ensuite, pour 20 heures, j'ai promis deux salopes à un groupe .... Ce sont des noirs qui sont venus traiter en France .... Ils ont de bonnes notes de frais .... ils proposent 750 euros par femelle..... Mais ils veulent de bonnes bourgeoises ...... ils sont huit, ils les garderont jusque deux heures pour fêter la réussite de leurs contrats ! …..
- Faudra voir qui on envoie!… C'est facile, seules Aurore et Clothilde sont libres ce soir, tu les emmèneras après leur tatouage ! .... Compris les belles, et soyez à la hauteur! ….
Ils rejoignirent Pascale et Sylvie chez le tatoueur, ce dernier en compagnie de son aide, le travail terminé, profitait de la pause pour goûter aux talents buccaux de ces dames.
Agenouillées entre leurs grasses cuisses, Pascale et Sylvie suçaient avec conviction les bites jaunâtres ; étonnées de la conformation des deux chinois, elles avaient englouties au fond de la gorge les deux bites minces et longues qu'ils proposaient à leur gourmandise.
Sans se démonter, les deux sucés firent signe aux arrivants de s'asseoir le temps que les deux fellatrices en terminent, ce qui ne tarda guère, à gros bouillons le jus salé leur emplit la bouche, avant de s'écouler lentement dans leur oesophage.
Les remerciant fort civilement, le chinois leur fit exhiber leurs tatouages, ils étaient bien réguliers, bien formés au dos de la main, le modèle fourni était respecté dans les plus petits détails.
Chacune à leur tour, les arrivantes subirent le petit supplice des centaines d'aiguilles leur perforant la peau, pour y imprimer le logo du club, l'opération dura quand mˆme deux bonnes heures.
Aurore et Clothilde avait quitté leurs amies sur le coup de 7 heures, pour se rendre à leur rendez-vous, en compagnie de Mohamed et Sylvie qui conduisait.
Mohamed frappa à la porte d'une villa isolée de banlieue, un grand noir leur ouvrit avec empressement ; les palabres terminés, le prix convenu perçu, Mohamed se retira, annonçant son retour vers 2 heures du matin pour récupérer ses protégées.
Intimidée, les deux femmes restaient gauchement assises sur un pouf, attendant les ordres.
Elles jetaient des regards étonnés autour d'elles . La salon était couvert de peaux de bêtes, seuls quelques poufs permettaient de s'asseoir autour de deux tables basses.
- Ibo se présenta le grand noir, Mes amis ne vont plus tarder, en les attendant, faisons plus intimement connaissance suggéra-t-il, lorgnant entre les cuisses d'Aurore, qui assise sur le pouf livrait des détails prometteurs à ses yeux.
- j'ai demandé à votre ami des bonnes bourgeoises, voyons ce qu'il en est, présentez vous .... Que faites vous dans la vie? ..... Pourquoi vous prostituez-vous ? ..... Que font vos maris?.... Avez vous des enfants, je veux tout savoir ! …...
Aurore, à qui s'adressait ce discours, entama les présentations :
- Je m'appelle Aurore Lepan, .... J'ai trente six ans ..... Mon mari est maire et conseiller général de Moulins .......
- La femme du maire! .... Tu couches par vice , ou pour l'argent? ….. s'étonna Ibo .
Blêmissante, Aurore constatait l'erreur de son vis à vis , il la croyait salope au point de se prostituer par vice.
- Non ... Non .... Ce n'est pas ça ..... Une bande de salauds possèdent des vieilles photos compromettantes, .... Ils m'obligent à .....
- C'est encore mieux que je l'espérais ...... Vous agissez toutes deux sous la contrainte? ….
A son tour, Clothilde répondit :
- Pour moi aussi c'est la même chose, .... Mon mari est directeur de cabinet à la préfecture ..... En fouillant dans mon grenier, le fils du jardinier a trouvé des tas de photos ignobles ..... Depuis ce jour, je dois, comme Aurore me plier à toutes ses volontés ! …...
- C'est les copains qui vont être surpris, ils quittent vos maris ..... Une concertation ... Je pense déjà à leurs têtes quand ils sauront que ce soir ils disposent des femmes de leurs interlocuteurs de la journée! ….. Mais préparons leur la surprise, venez vous déshabiller dans la chambre….
Elles le suivirent dans une grande chambre meublée d'un vaste lit et entreprirent de se dévêtir, saisissant avec soin leurs atours, Ibo les disposait sur un cintre qu'il rangea dans un placard.
Il ne leur avait laissé que des bas attachés par une jarretière rouge pour Aurore, et pour Clothilde des bas attachés à une guêpière laissant la gorge nue.
En attendant l'arrivée de ses amis, les disposant cote à cote, face à lui il s'amusa à comparer leurs anatomies : plus gracile qu'Aurore, Clothilde tranchait fortement avec l'exubérance des formes de sa compagne.
D'un doigt flatteur, il suivit le pli des deux croupes, avant d'immiscer ses doigts entre les cuisses écartées, comparant la large blessure, le corail des lourdes babines d'Aurore émergeant d'un fouillis de poils roux, à la délicatesse de la fente rosée de Clothilde, bien lisible au cœur du mince tapis blond qui lui encadrait la moule.
Elles subissaient depuis quelques moments ces caresses qui peu à peu les émoustillaient, lorsqu'une voiture s'arrêta bruyamment dans la cour. Aussitôt, Ibo les mena dans la salle à manger, et leur enjoignit de se glisser sous la large nappe, elles devraient ne pas se signaler pendant quelques minutes, puis au moment de l'apéritif, elles devraient pomper les huit protagonistes.
Elles firent comme indiqués, écoutant les convives deviser gaiement, commentant leur journée, se réjouissant de leurs contrats, enfin le signal leur parvint : un bruit de glaçons agités dans des verres.
Se traînant sur les genoux, elles se mirent en action, portant la main sur deux braguettes bondées, au premier sursaut de leurs victimes succéda le relâchement des cuisses, des grosses mains noires se posèrent sur leurs têtes, pour mieux s'enquérir de l'identité de leurs agresseurs, satisfaits de sentir de longs cheveux féminins glisser entre leurs doigts, ils écartèrent les jambes, tendant déjà le ventre.
Sans perdre de temps, les deux préposées descendirent les fermetures éclairs, extrayant deux épaisses colonnes d'ébène des slips tendus, tendant le cou elles avalèrent avec souplesse les gros champignons, agaçant de quelques mignardises le frein de ces messieurs qui hilares, épanouis poursuivaient comme si rien ne se passait leurs conversations.
Ils ne purent cependant cacher longtemps leur satisfaction, les deux bouches s'appliquaient avec tant de science sur leurs queues raidies, que bientôt leurs rythmes cardiaques s'accélérèrent, leurs débits se fit haché, et sous l’œil étonné de leurs compagnons de table, ils s'exonérèrent dans les bouches avides avec des grognements de bêtes.
Relevant la surprise des autres convives, Ibo s'exclama :
- A première vue, Joseph et Moussa ont eu leur surprise, mais ne vous inquiétez pas, votre tour..... Viendra..... A tous ! …..
Les derniers mots s'étranglèrent dans sa bouche, car à son tour des mains, pour lui connues l'avaient décalotté, puis avaient enfourné sa bite dans un nid bouillant, onctueux.
Un autre des convives sursauta alors, les deux déjà sucés éclatèrent de rire, comprenant que le tour des amis venait, les quatre derniers, intrigués, continuaient de converser, attendant leurs tours.
Lorsque les huit convives eurent vidés leurs couilles au fond de leur gorge, en rampant la lèvre luisante, les joues rouges, elles sortirent de sous la tables, exposant aux yeux ravis leur intégrale nudité.
Le temps du repas, elles passèrent les plats, stationnant aux cotés des convives avides de faire connaissance.
Bientôt, leurs deux corps n'eurent plus aucun secret, tous connaissaient l'onctuosité de leurs sexes trempés, la cambrure de leurs reins, la fermeté de leurs croupes, des doigts avaient testé la souplesse de leurs vagins, l'élasticité de leurs anus.
Enfin ils passèrent au salon, là Ibo présenta ces dames :
- Messieurs, réjouissez-vous, après avoir goûté les discours du maire et du préfet cet après-midi, ..... Je vous convie à goûter aux charmes de leurs femmes ce soir! ….. énonça-t-il ironiquement. Mais comment as tu pu? ….
- C'est vraiment les femmes du maire et du préfet ? ….
- C'est la femme du maire, Aurore Lepan, quant à madame Clothilde Marsac, c'est presque l'épouse du préfet, son mari est directeur de cabinet à la préfecture .... Quant à savoir comment, c'est mon secret ..... Mais chaque fois que nous reviendrons, mon fournisseur pourra nous fournir des bourgeoises .... Il en fait son affaire ..... Mais pour l'instant goûtons ! ....
Arrachant leurs vêtements, ils se ruèrent sur les femelles, chacun voulant s'emparer d'un morceau de choix, finalement cinq gaillards s'occupèrent de Clothilde, tandis que les trois autres prenaient possession de Solange.
Menue, frêle, Clothilde semblait perdue entre ces grands corps d'ébène. Sa tendre carnation de blonde tranchait sur les corps bruns des cinq noirs qui l'accaparaient.
Ibo s'était étendu sur les peaux, Clothilde poussée par des mains fiévreuses s'était empalée sur son chibre érigé, une pression au creux des épaules l'avait ployée en avant, offrant à une pine turgescente son anus fripé, de la bouche elle contentait un troisième membre tandis que chaque main refermée sur deux gros cylindres, elle masturbait ses deux derniers suborneurs.
Solange, même s'ils n'étaient que trois n'étaient pas mieux lotie, une bite énorme lui distendait la rosette, elle endurait la torture du pal, le gigantesque gland lui écartelait atrocement le fondement, bâillonnée par un autre membre épais, elle ne pouvait clamer sa douleur tandis que l'énorme mandrin, lui refoulant les intestins faisait sa place dans son boyau, le dépliant, s'y installant de toute son ampleur, ce fut encore pire lorsqu'il se mit en mouvement, à chaque retrait, il lui semblait qu'il entraînait son intestin hors de son ventre, que ses entrailles s'arrachaient, à chaque coup de boutoir, toujours plus profond, elle se sentait percée jusqu'aux poumons, et cela dura, dura ..... jusqu'à son évanouissement.
Elle ne reprit conscience que pour sentir l'énorme membre enfin calé bien au chaud au fond de ses intestins, l'impression de plénitude était intense, toute sa gaine lui semblait dilatée, au bord de la rupture, et pourtant elle ne souffrait plus, comme anesthésiée par la fulgurance de la douleur.
La bite de son envahisseur était si serrée qu'il ne pouvait bouger beaucoup dans son rectum, aussi se contentait-il de la relever lentement pour l'embrocher avec la mˆme douceur.
De la bouche, les yeux fous, elle contentait deux autres noires, n'abandonnant des lèvres une pine que pour la confier à ses fins doigts, déroulant le prépuce sur le gland, griffant d'un ongle léger les bourses velues tout en absorbant jusqu'à la luette l'autre pine à là forte sauveur.
Enfin des flots de sperme lui inondèrent l'anus, la bite du masturbé lui cracha à ce moment sa chaude liqueur, alors que son chevaucheur de tˆte se vidait à son tour dans sa gorge accueillante.
Avec précaution, elle s'arc-bouta sur les mollets pour se relever, jamais un tel étalon ne l'avait remplie, malgré la lenteur du déculage, il lui sembla à nouveau qu'on lui arrachait les intestins, grimaçante, elle fit deux pauses, avant de se désembrocher totalement dans un bruit de succion incongru.
Ddes flots de sperme jaillirent de son cul, lui coulant sur les fesses, entre les jambes, la graissant copieusement pour ses futurs partenaires.
Clothilde aussi, les yeux fous recevait l'hommage de ses cinq partenaires qui se vidèrent successivement dans ses orifices et sur ses seins . Après avoir repris des forces, ils entamèrent quelques fantaisies, enfin, ceux qui le pouvaient encore, ayant parié qu'après le passage de leur collègue, Solange pourrait recevoir deux pines à la fois, deux gaillards, normalement constitués, l'avait disposé fesses grandes ouvertes sur un pouf.
Anéantie, presque inconsciente, elle se laissait manipuler passivement, adoptant les positions qu'ils lui indiquaient.
Sous l’œil attentif des sept spectateurs, ils commencèrent par ouvrir à fond le cul déjà béant, le goulot grand ouvert, Solange exposait son intérieur, blanchâtre maculé de sève, la maintenant bien ouverte, jambes repliées vers l'avant les deux bites jointes forcèrent la rondelle.
Les deux bites jointes n'égalaient pas l'ampleur du fut qui l'avait précédemment forcée, le problème pour les deux noirs étaient surtout de coordonner leurs efforts, ils y parvinrent, et lui râpant le boyau, les deux verges pénétrèrent d'un même pas dans le fondement soumis.
Les deux membres compressés, ils bougèrent lentement d'abord de concert, puis, et là la douleur fulgura, en sens inverse, il lui sembla alors que deux mains invisibles, agrippées à chaque extrémité de son intestin l'allongeait démesurément, lui déchirant les muqueuse, à nouveau cela craqua dans sa tête, et elle perdit conscience, c'est dans un cul inerte, que de concert, ils se vidèrent.
L'homme à l'énorme braquemart, la queue raidie par le spectacle enconna durement Clothilde, mais l'élasticité plus grande du vagin, les visites précédentes qui l'avaient préparées, lui permirent de supporter la douleur.
Contrairement à Solange, elle eut la présence d'esprit de provoquer le plus rapidement possible la jouissance de son amant, lançant les mains en arrière, elle se saisit de ses couilles et les pétrit, les griffa tandis qu'elle sautait sur le pivot lui emboutissant la chatte.
A ce rythme, son enconneur ne tarda à projeter ses longs jets onctueux au fond de sa matrice, l'emplissant à son tour de semence chaude.
Lorsque Ali vint les reprendre, hébétées, saoulées d'alcool et de fatigue, des longues traces de sperme maculant tout leurs corps, il dut passer au club, pour les baigner longuement, tendrement, avant de les ramener chez elles titubantes de fatigue.
Coulybaca
Janvier 2008
dominique.dubuissez@orange.fr
L'OMBRE DU PASSE .
Coulybaca (Texte personnel)
Chapitre 8 : le recrutement de nouvelles gagneuses.
Attablé devant un verre de whisky, Ali faisait le point en compagnie de son frère et de ses sbires .
Cela faisait maintenant un mois qu'il avait lancé l'opération, aux dix premières femelles, étaient venues s'ajouter six autres gagneuses, tout autant disponibles :
_ Une seconde Arlette, Arlette Dumas, son mari commissaire principale de police, à qui elle n'avait jamais avoué sa faute, ne devait jamais la connaître, aussi se pliait-elle aux injonctions d'Ali avec autant de bonne volonté que ses consœurs. Belle blonde sophistiquée, on lui aurait donné le bon dieu sans confession ; en fait elle se révélait ardente, chaude au lit, elle n'avait eu aucun besoin de formation complémentaire, que ce soit en bouche, en con ou en cul, ses dispositions naturelles lui permettaient d'épuiser le mâle le plus exigeant dans un minimum de temps.
Déjà elle s'était faite une clientèle particulière qui adorait couvrir cette belle femelle, jusqu'ici irréprochable, la couvrant de sperme, lui faisant prendre les positions les plus ignobles, contrastant fort avec son air ingénu.
_ Pour Isabelle Fournier, la femme du premier adjoint, commerçant en gros et Nicole Dulac, l'épouse d'un agent général d'assurances, le piège s'était refermé sur elle d'une toute autre façon.
Instruit par Aurore Lepan, de la tendre amitiè qui unissait les deux femmes, Ali soupçonna vite plus qu'un attachement amicale, après plusieurs jours d'espionnage, il découvrit le petit nid qui abritait leurs amours, à une vingtaine de kilomètres de Moulins.
S'en ouvrant à Solange et Clothilde, il apprit qu'elles ne pouvaient voir leurs amours étalés au grand public sans risquer le divorce, la mise au ban de la société Moulinoise, ce que dans leurs positions, elles ne pourraient supporter.
Bientôt le guet-apens fut prêt, le propriétaire du petit hôtel, contre la promesse, de s'envoyer à satiété les deux salopes, permit à Ali et Mohamed de remplacer un immense miroir au mur de la chambre qu'elles retenaient à chacune de leur visite, par une glace sans tain, permettant d'observer, de photographier de la piÈce voisine.
Il poussa la complaisance jusqu'à prévenir Ali, dès leur prochain rendez-vous. Confortablement installés, Ali et Mohamed prirent deux pellicules de leurs ébats intimes.
Ali aimait particuliÈrement un cliché, sur lequel on voyait la brune Nicole fesser de sa mule la plantureuse croupe de sa blonde amie, la photographie en couleur soulignait la rougeur du large fessier, démontrant amplement la cruauté du jeu.
Il ne dédaignait pas pour autant d'autres photos, ou elles se grouinaient avec entrain, tête bêche, se suçant mutuellement le clitoris, honorant leurs anus d'une langue curieuse, ou s'empalant sur des postiches doubles comblant leur deux intimités simultanément.
Celle qu'il leur avait envoyée les représentait intègrement nues, allongées l'une sur l'autre tête bêche, Isabelle fouillant d'une langue pointue la vulve luisante de sa tendre amie, tandis que Nicole écartant ses fesses à deux mains lui prodiguait une savoureuse feuille de rose.
Le lendemain, elles étaient au rendez-vous fixé, et pleurnichant acceptaient toutes ses conditions, comme l'avait prédit Aurore, leur position sociale ne pouvait leur permettre de voir étalée au grand jour leurs turpitudes.
René, le propriétaire de l'auberge, reçut leur visite dès le lendemain, drivées par Mohamed, elles devaient combler les désirs de leur délateur, en récompense de ses révélations.
Elles s'y employèrent avec résignation, les deux hommes se succédèrent entre leurs fesses, leurs cuisses et leurs lèvres.
Dans une folle après-midi, ils se permirent toutes les fantaisies, terminant par un savoureux sandwich dont Isabelle constituait la tranche de jambon.
Mohamed enfoui profondément au fond de son con et René la possédant puissamment par l'anus se firent lécher les burnes par Nicole, qui devait de la pointe de la langue agacer les deux verges plantées dans les orifices de sa belle amie.
Lorsque dolente, débordante de foutre, Isabelle resta affalée en travers de la couche, Nicole dut encore nettoyer les queues des deux salauds, puis elle lapa le foutre suintant de l'anus et du con de sa compagne, avalant d'un même coup de langue semence et cyprine mêlées.
Ravi de la conclusion de l'aventure, René se promit de surveiller tous les couples illégitimes qui pouvaient se rencontrer chez lui, décidé de signaler à Ali toutes les proies susceptibles de rejoindre son cheptel.
Pour Charlotte Vendè c'était encore mieux, René, le propriétaire de l'hôtel, avait prévenu Ali que depuis quelques semaines un couple venait furtivement deux fois par semaine, dans ce couple il lui semblait bien avoir reconnu Madame Vendè, jeune veuve de trente huit ans qui avait eu les honneurs de la presse quelques années plus tôt.
Son mari, gravement malade était décédé, laissant derrière lui un testament spécifiant qu'elle jouirait de ses rentes tant qu'il ne serait pas remplacé, au moindre épisode amoureux, légalisé ou non, le testament deviendrait caduque, l'héritage serait alors partagé entre de vagues neveux, qui depuis ce jour épiaient les faits et gestes de la belle héritière.
Il lui avait été facile de vérifier ces assertions, le décédé ayant déposé dans l'étude du mari de Sylvette.
A la grande joie d'Ali les faits s'étaient avérés réels.
A partir de ce moment, il sut qu'il ne tarderait pas à jouir d'une nouvelle pute.
Effectivement, la vue de la photo qu'il lui amena personnellement la convainquit immédiatement de plaquer son amant pour le remplacer par un souteneur impitoyable.
Le marché fut traité sur le canapé de Charlotte.
Une photo la représentant à quatre pattes sur le lit de l'auberge, l'anus défoncé par un énorme gourdin, le sphincter semblant cercler l'épais mandrin d'un bague de bronze suffit à la subjuguer.
Sur l'ordre d'Ali elle se déshabilla en sanglotant, il s'assouvit voluptueusement dans ses reins, dans sa bouche et dans son con, avant de lui annoncer son esclavage à venir.
Pour elle le choix était simple, ou elle acceptait de se soumettre, troquant son silence contre quelques après midis chargées, et quelques soirées bien remplies chaque semaine, ou elle refusait et se verrait contrainte de renoncer à la vie aisée, confortable, à la position enviée que lui conférait l'héritage de feu son mari.
Sanglotant, elle accepta toutes ses conditions, promettant de se prostituer pour lui s'il n'informait pas les éventuels héritiers de son inconduite.
- Avec Jeannine Duclos, l'affaire devenait croustillante, cette sémillante brune de trente cinq ans passait pour un bastion inattaquable, femme du plus gros promoteur de la région, elle profitait de son oisiveté pour militer dans toutes les associations bien-pensantes du lieu, décernant des prix de vertu, ses jugements définitifs conféraient à ses victimes une auréole de vertu ou le titre de fieffée salope, ce qui les excluait automatiquement du cercle des gens bien, leur fermant les portes des réceptions de bon ton.
C'est avec joie que Clothide et Solange qui s'étaient fait égratigner par ce parangon de vertu, apprirent qu'elle entretenait des relations bizarres avec son beau-fils, fruit d'un premier mariage de son mari.
Une longue vue braquée sur la villa de la jeune femme permit à Ali de vérifier les faits, cependant il eut bien du mal à leur tirer le portrait en situation vraiment inavouable.
Il possédait déjà quelques photos ou on la voyait embrasser passionnément son jeune amant, mais cela ne suffisait pas à prouver la relation incestueuse, lorsqu'un après-midi, de faction devant la villa, il vit s'absenter les deux domestiques, il s'en réjouit, pensant que les deux amants se montreraient moins méfiants de ce fait.
La suite lui démontra qu'il avait raison, le jeune homme, se croyant à l'abri des regards indiscrets se dévêtit et plongea nu dans la piscine, après quelques évolutions, Charlotte, en maillot une pièce vint le rejoindre, il projeta de l'eau sur elle, l'agaçant jusqu'au moment ou elle plongea à son tour dans l'eau.
Dès ce moment, Ali se mit à mitrailler les acteurs qui chahutèrent tout d'abord innocemment.
Soudain, il vit la belle brune se raidir contre le muret de la piscine, la main du jeune homme agrippa les bretelles du maillot, dénudant lascivement son buste, elle se laissait faire, tendant la poitrine, offrant ses mamelons à la bouche humide de son beau-fils qui les lui suçait tendrement.
Après quelques minutes de ce tendre jeu, le jeune étalon la repoussa sur le bord de la piscine, se tortillant, elle se conforma à son désir, s'extirpant de son maillot collant.
Jambes grandes ouvertes, assise sur le rebord de la piscine, elle offrait sa déchirure aux coups de langue habiles de son amant, qui lui suçotait maintenant le clitoris, remontait le long des babines, introduisait la pointe de sa langue dans l'anneau ridelé, au cœur des fronce brunes de son anus.
Secouée de spasmes violents, elle ne put résister longtemps à ce régime, elle l'attira sur elle, puis roulant sur son corps, elle s'empala avec frénésie sur sa bite frémissante.
Ignorante du danger, c'est avec fougue qu'elle se livra une bonne partie de l'après-midi aux tendres ébats, se vissant sur la queue raidie, l'absorbant jusqu'à la racine, la trayant de son ventre avide avant de lui rendre de la bouche de la vigueur.
Les dernières photos prises par Ali, les représentait cote à cote alanguis, les yeux dans le vague, la main du jeune homme insérée entre les jambes de la belle brune, qui masturbait lentement la bite apaisée, cherchant machinalement à lui soutirer quelques gouttes de plus.
En plein cinéma, lors de la projection d'un documentaire sur la condition des femmes en Afrique, film qui précèderait un débat hautement instructif sur la question, Ali prit la place d'Aurore assise à ses côtés.
Sachant que toutes les places alentours étaient occupées par ses créatures, Ali put en toute discrétion soumettre à l'examen de la jolie femme les photos scabreuses la concernant.
Elle s'empourpra, renifla, ferma les yeux, anéantie.
Catastrophée, elle ne repoussa pas la main du jeune arabe qui s'insinuait sous sa robe, remontait le long de ses cuisses nues, touchait le fond de sa culotte.
Ce n'est qu'à ce moment qu'elle serra violemment les jambes, emprisonnant la main aventureuse, tout en jetant de rapides coups d’œil alentours, craignant de se faire remarquer.
Lui pinçant le gras des cuisses, Ali la menaça, de monter dans la cabine de projection, pour projeter sur le grand écran des diapos du même tonneau.
Haletante, elle ne put que murmurer :
Désemparée, elle obéit, écarta en grand son compas, offrant aux doigts fouineurs la totalité de son ventre crispé.
Il aventura d'abord un doigt entre les lèvres charnues, puis il caressa lentement toute la figue crispée, enfonçant un doigt dans le vagin puis l'anus de la jeune femme éperdue.
Elle ne pouvait s'agiter, se refusant à signaler l'agression dont elle était l'objet, aussi se laissait-elle passivement caresser, cherchant à dissimuler le plaisir naissant dans ses lombes.
La prenant par la nuque, il la força à prendre son chibre tendu entre les lèvres, il lui appuyait sur la tête l'obligeant à accomplir une fellation acceptable.
Enfoncé jusqu'à la garde entre ses lèvres, il ne tarda pas à lui embourber la gorge, lui déversant des flots de sperme dans l'arrière gorge, qu'elle avala en hoquetant.
Anéantie, catastrophée, elle se leva alors, suivant ses ordres et accompagnant son maître-chanteur Aurore elle dut se rendre aux toilettes.
Aurore faisant le guet, elle entra dans les WC pour dames, et sur l'ordre d'Ali se pencha en avant, mains posées sur la faïence blanche.
Tout de suite, elle sentit une main masculine relever sa jupe, dévoilant sa croupe crispée, ses deux globes opulents couverts de chair de poule, une énorme pine parcourut son profond sillon avant qu'un gland épais ne presse son anus.
Révulsée d'horreur, elle sentit deux mains écarter largement ses fesses, livrant son trou secret en spectacle, l'inconnu qui la menaçait de son chibre hors norme se régalait à la vision de son oeillet fripé, ridelé, contracté par l'angoisse et la honte, d'un coup sec le gland s'engagea dans le tunnel rétracté, la laissant s'habituer quelques secondes avant de la pourfendre d'un grand coup d'estoc, la déchirant avec force, empalée jusqu'à la garde, elle se retourna pour identifier son agresseur et vit un grand noir, souriant à grandes dents en s'enfonçant dans son boyau, tandis qu'Ali photographiait sa déchéance.
Eperdue, secouée d'importance par son enculeur, pleurant à chaudes larmes elle subit sa lubricité jusqu'au bout, s'efforçant de se dilater au maximum pour amoindrir la douleur irradiant de ses lombes.
Enfin, à bout, elle sentit la grosse queue qui la remplissait toute se dilater encore, puis projeter des flots épais et gras au fin fond de son rectum.
Comme égarée, folle d'humiliation, elle se retournait pour quitter ce sinistre endroit, témoin de sa déchéance, une nouvelle bite sombre se présenta à sa bouche, alors qu'un gros nord africain, la bousculant s'asseyait sur le siège des WC.
L'attirant à lui, le gros arabe enfourna sa queue dressée dans son ventre vierge de toute lubrification.
Incendiant son vagin, il s'imposa avec vigueur dans son conduit à vif, tandis que le braquemart sombre s'engloutissait entre ses lèvres brûlantes.
Sous les éclairs du flash, se tortillant sur le pivot érigé, elle dut sucer goulûment la pine frémissante qui lui déformait la bouche, s'enfonçant comme un coin dans sa bouche.
La joie de ses suborneurs de profaner la belle blonde en pleurs était telle que quelques instants ils s'exonérèrent l'un au fond de sa gorge, l'autre au fond de sa matrice.
Le cul et le con débordant de semence, le sperme coulant lentement de ses ouvertures naturelles poissant son entre fesse, les papilles imprégnées du goût acre du sperme de son chevaucheur de tête, elle réintégra la salle sous l’œil ironique d'Aurore et ses consœurs, conscientes que dorénavant elles les accompagnerait dans leurs soirées de débauche.
Effectivement, la prude Charlotte eut beau tempêter, supplier, pleurnicher, sangloter, la semaine suivante elle se rendait dans le foyer le plus proche, et sous la conduite de Mohamed proposait ses reins son ventre et sa bouche à la salacité d'une vingtaine de clients déchaînés.
Sa vie changea du tout au tout, son beau fils se vit expédié dans une université lointaine, quittant avec regrets et sans explications ce corps sensuel dont il tirait tant de plaisir, alors que sa maîtresse, se conformant aux prescriptions de ses maîtres, vendait son corps, un jour sur deux à leur profit.
Pour la sixième recrue, ce fut encore plus facile, René signala un mardi la présence dans la chambre au miroir, de la femme du procureur du tribunal, âgée de trente ans la blonde Mylene Servant trompait son ennui en jouant discrètement les grues.
Ses fantasmes l'avaient poussées à racoler discrètement des clients, les entraînant dans une auberge dérobée, ou contre rétribution elle leur faisait don de ses orifices.
Quelques photos expressives suffirent à la convaincre de mettre ses talents au service d'Ali et consort en échange de leur silence, et depuis ce jour elle se livrait avec le plus grand plaisir aux clients les plus exigeants, trouvant son plaisir dans l'accomplissement de ses fantasmes les plus pervers.
René qui avait été l'un des premiers à s'en servir avait signalé à Ali les aptitudes particulières de cette belle blonde, qui pouvait accueillir au fond de sa gorge les bites les plus conséquentes, prenant son pied en livrant son anus et son con aux bites les plus extravagantes.
Le club masculin, informel s'était aussi constitué, chaque membre permanent portait une grosse chevalière ornée d'une tête de loup, à sa vue, chaque femelle du staff se pliait au moindre volonté du porteur, quelque soit l'endroit ou l'heure de la rencontre.
Ainsi, lors de déjeuners mondains, de bals de bienfaisance ou d'après midis récréatifs, elles pouvaient toutes se faire aborder et contenter des clients parfois exigeants.
Lors du dernier gala de bienfaisance auquel participaient Clothilde Aurore et Mylène, elles devisaient gaiement, grisées par l'atmosphère chaleureuse de la soirée, dans cet aréopage, elles se croyaient à l'abri de toute mauvaise surprise, lorsqu'elles virent un petit groupe d'invités s'approcher d'elles, les quatre hommes arboraient la maudite bague, elles ne les connaissaient pas, et pourtant elles savaient qu'elles devraient se mettre entièrement à leur disposition.
Les prenant par le bras, ils les entraînèrent vers l'étage, à peine dans l'escalier, elles sentirent des mains moites enquêter sous leurs robes, vérifiant leurs tenues : croupes dénudées encadrant des bas sombres soutenus par des porte jarretelles de couleurs vives.
Aurore qui montait au côté de Clothilde trébucha, un doigt impérieux venait de lui forcer l'anus, les fesses serrées elle continua de gravir les marches, examinant la croupe dénudée de Mylène qui dansait devant elle, une main fourrée dans l'entrejambes.
Dès arrivé sur le palier, l'un des quatre se mit en faction, tandis qu'ils pénétraient dans une chambre vide, Aurore agenouillée prit entre les lèvres la grosse queue brune que lui tendait un cinquantenaire bedonnant, elle la mâchouilla longuement, tandis que Milène jetée sur le lit, gisant sur le dos, dans le désordre de ses jupes relevées offrait son corps gracile aux assauts d'un grand blond tout aussi membrè, à quatre pattes à ses côtés, Clothilde écartait de tous ses doigts son oeillet, le défripant, en écartant les fronces pour mieux dévoiler son intérieur blanchâtre, d'un seul élan, brisant d'un seul coup tous les obstacles, son client l'embrocha jusqu'à la garde, lui repoussant les boyaux, les déplient en force pour faire son logement.
Déjà celui qui chevauchait Milène se vidait au fond de sa matrice, lui enjoignant de se placer à quatre pattes au côté de Clothilde et d'ouvrir tout grand son cul, il remplaça le factionnaire de guet.
Entrant dans la pièce, ce dernier découvrit Aurore, la bouche pleine du sexe de son client, lèvres bien arrondies autour du cylindre, coulissant lentement sur la hampe rigide, Clothilde, enculèe jusqu'aux couilles qui, d'avant en arrière, s'empalait au maximum sur le gros chibre qui la comblait et Milène s'écartelant la blessure, cambrant les reins, offrant en toute obscénité l'accès de son con ou de son cul selon son envie, il fourragea dans sa braguette, en sortit une énorme bite brune qu'il détrempa d'abord dans le vagin de la belle blonde, puis lui planta roidement dans le fondement, Milène qui voyait depuis quelques temps se concrétiser ses fantasmes les plus pervers, se mit immédiatement en branle, roulant des hanches, par de savants retraits et douloureuses intromissions chercha son plaisir, enfin dans un hoquet de plaisir il lâcha un torrent de foutre au cœur de ses intestins, tandis qu'Aurore la bouche pleine de sperme visqueux regardait Clotilde en prendre à son tour plein le cul.
Les deux fraîches enculèe, changeant de partenaire durent nettoyer les queues, maculées de taches brunâtres, à la saveur douceâtre, des deux enculeurs, puis toutes trois, échevelées, elles durent descendre le grand escalier, Clothilde et Milène, l'anus douloureux sentaient le foutre de leurs enculeurs déborder de leurs trous fumants, pour poisser les plis de leurs fessiers, alors qu'Aurore la bouche pâteuse, le goût de son client en bouche, sentait son suiveur s'arroger une dernière gâterie, lui fourrant deux doigts réunis dans l'anus.
Coulybaca
Janvier 2008
dominique.dubuissez@orange.fr
L'ombre du passé
Coulybaca
Texte personnel
Chapitre 9 : La vie s’organise.
Bientôt, la tâche de chacune se diversifia, ainsi Arlette Dumas, qui en plein après-midi se promenait dans la ville haute, se livrant à une partie de lèche vitrines, se vit aborder par un arabe à la mine patibulaire, la cinquantaine, qui l'invita à prendre place dans sa Mércédés rangées quelques mètres plus loin .
Il s'assit au milieu du siège arrière et la pria de le rejoindre, profitant du moment ou Arlette enjambait le marche pied, pour glisser avec décision sa grosse main entre les cuisses disjointes, empaumant à pleine main le sexe dénudé, le malaxant cruellement avant qu'elle ne s'assoit, jupes relevées, serrant frileusement les fesses au contact du cuir du siège.
Il introduisit fiévreusement ses doigts boudinés dans son intimité, défripant les grandes lèvres, les suivant, avant d'enfoncer son index jusqu'à la dernière phalange dans son con vibrant.
Arrachant sa fermeture éclair, il fit jaillir un gros membre noueux, surmonté d'une grosse prune bistre, qu'il décalotta lui même, avant de la saisir par les cheveux, la contraignant à se pencher sur ses genoux, lui forcent la barrière des dents d'une queue impérieuse, s'enfonçant jusqu'au fond du gosier pour lui projeter des salves de jus acres au fond de la gorge.
Elle resta longuement inclinée sur son chibre, le toilettant de sa langue habile, avant de la ranger dans son slip.
Elle si sage, il y a encore huit jours, se retrouvait dans une voiture, la queue d'un parfait inconnu projettant en saccades sa purée au fin fond de sa bouche, avant que docilement elle ne la nettoie soigneusement, retroussant les replis du prépuce, aspirant les dernières gouttes du prépuce, sans un mouvement de révolte, sans même s'enquérir de la suite de l'aventure.
Bientôt la voiture stoppa devant un hôtel louche de la périphérie, la main aux fesses il la poussa à l'intérieur, lui dégrafant sa jupe, avant de la propulser ventre nu entre les rangées de consommateurs qui détaillaient ses charmes étalés.
La jupe à la main, elle pénétra dans un vaste bureau qui semblait être la tanière du fauve qui l'entraînait, quelques sbires, aux mines sombres, à l’œil allumé les suivirent dans leur ascension, et c'est à cinq qu'ils se retrouvÈrent dans la pièce.
La le gros arabe fit les présentations :
A ces mots, sur un signe de la main, Miloud la saisit par un bras et l'entraîna dans une des chambres attenantes.
Marc, l’œil luisant de convoitise, le front bas, l'air borné, Denis, un gros blond fadasse, Smaïl un grand arabe, dégingandé, la figure barrée de cicatrices, Rachid gros , onctueux, les lèvres épaisses, l'air vicieux, obéissaient visiblement aux ordre de Miloud, un nain contrefait qui se réjouissait déjà à l'idée de s'envoyer cette belle pute, ils bavaient tous d'envie, assis sur le vaste lit, attendant que Miloud donne le signal des réjouissances.
Il posa un disque sur une platine, un air lent, langoureux, un des slows à la mode retentit dans la pièce, lui claquant les fesses, attardant sa main sur ses formes rebondies, il ordonna :
Elle commença à onduler, essayant de suivre le rythme de la chanson, virevoltant sur elle même, elle déboutonna son corsage, et le geste ample le lança à un de ses spectateurs qui riaient de la voir évoluer au bord des larmes, le contraste entre sa mine déconfite, désolée et ses gestes sensuels étaient tel que bien vite les bites grossirent, formant de grosses bosses sous les braguettes.
Elle se débarrassa successivement de sa jupe, de ses bas, de son porte jarretelles, et enfin intégralement nue continua de danser seule, au rythme des claquements de mains des cinq salauds.
Précipitamment, ils arrachèrent leurs frusques, Miloud les freina cependant, enjoignant à Arlette de prendre des poses obscènes, propres à déchaîner leurs instincts.
Allongée sur le lit, elle dut relever les jambes, écartant les cuisses en grand, promener ses longs doigts vernis de rouge le long de ses babines, ouvrir de tous ses doigts son vagin, en révélant la texture interne, puis à quatre pattes, reins cambrés, elle exposa de même le cul.
Enfin Smaïl s'étendit sur la couche, elle l'enfourcha et les jambes pliées le long de son torse s'encloua sur sa virilité dardée, le chibre conséquent la remplit toute, la prenant aux hanches, il l'attira sur son ventre et à deux mains lui ouvrit les fesses, révélant son cratère contracté de frousse à ses complices.
Marc cracha sur ses doigts puis lui graissa l'anus avant de présenter sa pine mafflue devant l’œillet annelé, elle n'avait pas bien vu son sexe, mais la qualité de la pression, les difficultés auxquelles il se heurtait lui prouvÈrent rapidement son ampleur.
Elle aurait frémi, su elle avait pu apprécier de l’œil la taille du gourdin qui la menaçait, il paraissait inimaginable qu'une si énorme mentule puisse entrer dans son petit trou serré par l'appréhension, le contraste était tel, que les trois spectateurs approchèrent pour mieux voir l'impossible s'accomplir.
Bêlante de douleur, elle sentit d'abord le gland s'insinuer, dilatant son anneau à craquer , son sphincter le baguait si étroitement, qu'il dut faire une pause pour éviter de se déverser immédiatement dans le boyau frémissant.
Elle profita de ces quelques instants pour reprendre souffle, s'habituer à l'énorme présence, son oeillet prit les mesures de son agresseur, se conforma à ses dimensions, s'apaisa attendant peureusement la prochaine étape, la bite dans son ventre s'était immobilisée, elle grossissait encore à la vue de l'ignoble enculage.
D'un coup de reins il se propulsa au fond de sa gaine, elle hurla tandis que son boyau se dépliait, faisant place au chibre triomphant qui la remplissait jusqu'à l'estomac.
Perforée jusqu'au cœur, les deux membres se mirent en action, sortant ensemble de ses orifices pour y retourner de toutes leur longueur, se frottant l'un contre l'autre au travers du périnée.
Elle sanglotait convulsivement, à chaque coup de boutoir elle se sentait éventrée, à chaque retrait, il lui semblait que ses boyaux sortaient de son ventre accompagnant les immondes visiteurs
Lassé de ses pleurs, Miloud la bâillonna de son braquemart imposant.
Si la taille du bonhomme était réduite, en compensation celle de son chibre était énorme, il dépassait en longueur et en grosseur tout ce qu'elle pouvait imaginer, d'emblée, s'enfonçant au fond de son palais, il força aux commissures des lèvres, les déchirant pour mieux entrer dans un élan inarrêtable.
La bouche, le con et le cul plein des trois types, inerte, hébétée, elle se laissait faire comme une poupée de son, masturbant à pleine mains les deux chibres libres quand ses tourmenteurs le lui demandÈrent, s'appliquant à bien faire de fa‡on tout à fait mécanique, alors que de ses organes malmenés, des ondes de souffrance montaient jusqu'à son cerveau, comme engourdi, anesthésié par la douleur.
Enfin elles les sentit se raidir, et elle ressentit un réel soulagement au torrent de sperme qui lui englua les fesses, à son tour Smaïl se vida dans sa matrice, puis les yeux exorbités, elle absorba en hoquetant, en suffocant le flot de semence que Miloud lui injecta en longues giclées dans l’œsophage, lui engluant les amygdales alors mˆme que les deux qu'elle branlait jaillissaient à leurs tours sur sa poitrine plantureuse, couvrant ses seins de filaments blanchâtres.
Ils changèrent alors de place, un des deux branlés en bouche, l'autre en ventre, elle dilata désespérément son anneau, poussant comme pour déféquer pour mieux admettre l'énorme gourdin de Miloud dans son anus, des éclairs éclatant derrière les paupières, elle força encore logeant l'épaisse byroute dans son fondement, un à un les obstacles cédaient devant l'impitoyable bélier, cela craquait dans son cul, elle craignait d'être mutilée, et pourtant elle forçait encore pour faire cesser le calvaire de cet interminable empalement.
Enfin elle le sentit bien calé au fond de son rectum, les poils de ses bourses lui chatouillant les fesses, elle respira à fond, appréhendant la terrible douleur qu'allait endurer lorsqu'il se mettrait en branle.
Ce fut encore pire que tout ce qu'elle craignait, elle s'évanouit plusieurs fois, folle de souffrance, ne revenant à elle que pour repartir dans les limbes.
C'est dans un corps inerte qu'il se soulagea avec abondance.
De retour à la conscience, elle enquêta du doigt dans son anus, pour apprécier l'étendue des dégâts, à son grand étonnement son anneau s'était fait à l'énorme envahisseur et seuls quelques gouttes de sang avaient suinté de ses reins, la ou elle craignait une abondante hémorragie.
Elle subit passivement ses deux derniers enculeurs, ne ressentant ni plaisir ni douleur de les sentir au fond, tant elle était élargie, ils ne prirent d'ailleurs pas grand plaisir, se perdant dans l'anus distendu, baignant dans le jus de leurs prédécesseurs, ils préférèrent la tenir aux oreilles, pour se servant de sa bouche comme d'un vagin artificiel la secouer de grands coups de pine avant de s'exonérer dans sa gorge tendue.
Toujours nue, dégoulinante de foutre, le palais imprégné de liqueur spermatique, elle rejoignit Miloud qui s'entretenait avec ses protecteurs au téléphone, il lui passa l'écouteur, elle put ainsi suivre les tractations :
Les larmes aux yeux, l'anus brûlant, le ventre meurtri, hébétée, Arlette comprenait que prochainement elle aurait de nouveau affaire à ces salauds qui se défouleraient sur elles pour se venger de son mari.
Titubante, sous l’œil goguenard des deux hommes elle se rhabilla avec des gestes frileux, puis s'agenouillant, elle suça une dernière fois leurs gros braquemarts, avant de monter dans le taxi qu'ils lui avaient appelé, pour rentrer chez elle.
A peine rentrée, elle prit un long bain, relaxant son corps et son esprit, puis allongée sur le lit se massa longuement le cul et le con avec une pommade calmante, avant de se remaquiller, pour dissimuler les cernes mauves qui cernaient ses yeux.
Puis, rompue, lasse elle attendit le retour du mari se comportant alors en parfaite épouse, digne de la confiance de son cocu .
L'affaire se traita le surlendemain, Karim, le distingué truand qui avait étrenné Arlette prit contact avec Ali, il voulait organiser une soirée qui lui permettrait de se venger en bloc de la société Moulinoise, pour cela il avait prévu une soirée spéciale, il l'organiserait pour son plaisir, la totalité des gains reviendrait à Ali.
Ils convinrent d'une date : le vendredi soir paraissait le mieux indiqué, Karim voulait disposer de quatre femmes au sexe rasé, qui feraient le spectacle et deux salopes, proches du maire pour distraire le service d'ordre qui serait formé d'employés municipaux.
Dès le lendemain, au briefing quotidien, Ali distribua les tâches.
Mohamed était chargé de transformer les sexes velus d'Arlette, Sylvette, Milène et Jeannine en figues imberbes.
Toutes quatre participeraient au spectacle, alors qu'Aurore et Isabelle serait chargées de distraire le service d'ordre.
Passablement inquiètes, les quatre femmes, devant les yeux ravis de Mohamed et Moktar se rasèrent mutuellement la fente, avec précaution, douceur, se demandant ce que l'avenir leur réservait.
Connaissant la préférence des arabes pour les chattes épilées, elles se doutaient qu'elles seraient livrées à une meute de moricauds déchaînés, mais en ce qui concerne le spectacle qu'elles devraient assurer au préalable, elles se perdaient en conjonctures.
Aurore et Isabelle savaient elles ce que seraient leurs tâches, elles s'en réjouissaient à l'avance, préférant combler les désirs de quelques membres du service d'ordre, bien qu'elles ignorassent à ce moment la constitution de ce groupe, aux incertitudes auxquelles étaient livrées leurs compagnes.
Les trois jours qui précédèrent, elles furent toutes six retirées du circuit, et subirent un entraînement intensif sous les ordres de Mohamed et Moktar.
Pendant les trois après-midis elles se firent ramoner par tous les trous, les cinq hommes se relayaient dans leurs orifices, leur élargissant le goulot, assouplissant leurs sphincters, les faisant évoluer jambes serrées sur de menus cylindres qu'elles devaient retenir dans leurs ventres et leurs culs, musclant leurs muscles intimes, en renforçant l'élasticité, les rendant capables d'absorber les plus grosses queues tout en continuant à pouvoir comprimer les plus humbles.
Enfin le grand soir arriva, un transit chargea les quatre artistes les emmenant sur les lieux de leur prestation ; Ali en compagnie de Clothilde amènerait plus tard Aurore et Isabelle, alors que Mohamed, qui avait fait de Solange sa préférée se ferait charrier par cette dernière .
Une fois en présence de Karim, après avoir déjà soulagé des lèvres Miloud et consort, les quatre artistes partirent se mettre en tenue .
Coulybaca
Texte personnel
Dominique.dubuissez@orange.fr
L'ombre du passé
Coulybaca
Texte personnel
Chapitre 10 : suite et fin de l’épopée.
Ali arriva une demi heure plus tard, alors que déjà la vieille salle désaffectée de l'ancienne briqueterie était bondée : cent vingt étrangers, arabes, espagnols, portugais à racolé dans les cinq foyers de banlieue, ainsi que d'autres venant des milieux interlopes avaient payés, chacun cinq cent francs, pour assister aux spectacles.
Avant le début de la soirée, Ali avait déjà en caisse 9. 000 euros.
Karim exposa alors le programme, les quatre femmes lutteraient dans une arène au milieu de la salle, les deux gagnantes seraient tirées ensuite à la loterie, alors que les deux perdantes seraient livrées à la salacité d'animaux, tous les coups seraient permis.
A ces mots, les quatre concurrentes frémirent, c'était pire que tout ce qu'elles avaient envisagé, aucune ne s'étant jamais fait saillir par une bête en rut, elles décidèrent de se défoncer, préférant apaiser la lubricité du gagnant, que de livrer leur ventre à la trique noueuse d'une bestiole quelle qu'elle soit.
Pendant ce temps, Aurore et Isabelle faisaient connaissance avec le service d'ordre, horrifiées, elles reconnurent des employés de mairie, qu'elles côtoyaient parfois, ces derniers, reconnaissant leurs proies se réjouirent, ils allaient enfin pouvoir profiter de ces belles femelles qui, en temps normal leur étaient interdites.
Le tirage au sort désigna les adversaires, Milène devrait affronter Sylvette, alors qu'Arlette et Jeannine leur succéderaient.
La blonde Milène et la brune Sylvette se firent face au centre d'une arène, délimitée par des cordes, moulées dans des maillots rouges et bleus, les cheveux longs de Milène rassemblés en un chignon sur la nuque.
D'emblée elles échangèrent quelques horions, la petite brune, cherchant à éviter le contact direct, alors que Milène cherchait par tous les moyens à l'agripper, une bretelle du maillot de Sylvette craqua, elle se retrouva la belle petite poitrine pommelée rougie par les coups à l'air.
D'un revers de bras elle saisit Milène à l'entrejambe, assurant sa prise sur le sexe imberbe de la blonde qui hurlait de douleur, en se dégageant, Milène déchira son maillot, exhibant aux yeux des spectateurs ravis sa fente glabre, enfin elle agrippa la brune par les cheveux, la fit chuter et se jeta sur elle, tête bêche, l'immobilisant.
Karim allait la déclarer vainqueur, lorsqu'un hurlement de souffrance jaillit de sa gorge.
Profitant de sa position, Sylvette mordait à pleine dents le sexe gorgé de sang, déjà des gouttes sanglantes coulaient le long de ses babines.
Les yeux révulsés, folle de douleur, Milène s'évanouit, son corps mollit. Comprenant sa victoire, Sylvette se releva, les yeux brillants, les sens échauffés par la lutte, sans même réparer les dégâts de sa tenue, elle s'assit aux cotés de Karim alors qu'on traînait Milène en coulisse pour la réconforter, et la préparer pour la suite.
C'était maintenant au tour d'Arlette et de Jeannine de s'affronter.
La brune Jeannine prit les devants, assénant à son adversaire une gifle retentissante.
Ebranlée, cette dernière roula au sol, roulée en boule, elle sursautait durement à chaque coup de pied reçu, enfin, dans un ultime geste de désespoir, elle agrippa la jambe de la brune, remonta jusqu'à l'entrejambe, et déchirant son maillot la saisit par les babines sensibles.
Jeannine cria sa douleur à pleine gorge, la main ennemie lui arrachait la moule, la contraignant à venir au sol, la main toujours rivée au sexe de la brune, Arlette voulut retourner son adversaire sur le ventre, mal lui en prit, car dans le mouvement, elle desserra les doigts et lâcha sa proie. Vive comme une anguille, la brune se redressa vivement, s'assit à califourchon sur le dos de son ennemie, la clouant au sol, et sous les bravos de la foule, elle dénuda à son tour la croupe de la blonde, déchirant l'entrejambe du maillot.
La croupe blanche, marbrée de taches rouges fut écartée avec violence, voulant rendre à Arlette tout le mal qu'elle avait enduré, sans pitié, Jeannine força du pouce l'anneau froncé du cul, tandis que son index se fichait dans le ventre, avec cruauté elle pinça le périnée entre ses doigts, de toute ses forces.
Hagarde, des larmes ruisselant sur son visage, Arlette demanda merci, s'avouant vaincue par la douleur intolérable que Jeannine lui imposait.
Ainsi les deux brunes ayant remporté leurs combats seraient mises en loterie, alors que les deux blondes, livides assureraient le spectacle.
Sylvette et Jeannine, intégralement nues, une corbeille sur le ventre fendirent la foule proposant deux séries de tickets différents : chaque ticket valait 30 euros, quatre cents tickets furent vendus, Ali souriait de plus en plus, ravi de l'aubaine : 12.000 euros de plus dans l'escarcelle.
Lasses de se promener entre les rangées de mains, qui au passage appréciaient leurs charmes, caressant une fesse, introduisant un doigt dans l'anus, dans la fente, pinçant un téton, les deux femelles revinrent vers l'organisateur.
Au su et au vu de tous, il fourra tous les talons de billets dans une vaste urne, Arlette et Milène se chargèrent du tirage, Jeannine échut à un gros noir, tout frisé, qui hilare s'empara de sa proie, fourrant ses mains partout, alors qu'un portugais, la trentaine, gagnait le cul de Sylvette.
Pendant ce temps, Isabelle et Aurore faisaient plus amples connaissances avec les subordonnés de leurs maris, ils étaient huit, quatre de service, quatre de repos.
Un quinquagénaire bedonnant, besognait déjà Aurore en cul, alors qu'un gringalet à la bite malodorante se faisait sucer.
Isabelle, empalée sur la grosse queue d'un noir, se faisait enculer par un petit arabe cruel, qu'elle avait d'ailleurs rembarré en cours de semaine. Non content de lui investir la croupe, la queue comprimée dans son fondement il lui malmenait les fesses, les pinçant, les griffant, les écartant durement pour mieux voir son gros gourdin violacé perforer l'anus serré baguant sa hampe d'un bourrelet mauve.
Leurs premiers plaisirs pris, ils changèrent de partenaires, et purent jouir plus calmement des deux belles avilies.
Pendant ce temps, Jeannine et Sylvette les gros chibres de leurs vainqueurs au fond de la gorge ne pouvaient suivre les préparatifs, qu'effondrées, folles d'anxiété, les deux blondes surveillaient.
Deux carcans furent amenés sur scène, Milène et Arlette durent s'agenouiller, passant la tête et les bras dans des trous prévus à cet effet, puis leurs jambes largement écartées furent liées par les chevilles aux bases des tréteaux supportant l'ensemble .
De profil par rapport à la grande salle, leurs croupes blanches, grêlées de peur se faisaient face.
Le nain qui avait si durement enculé Arlette, la semaine précédente, fit le tour de la scène, tenant en laisse deux dogues agités, n'osant croire ce qu'elles pressentaient, les deux femmes sanglotaient, pleurnichaient, conscientes de l'inanité de leurs pleurs.
Miloud lâcha les chiens, qui se ruèrent sur les deux victimes écartelées, insérant leurs truffes chaudes entre les fesses offertes, ils entreprirent de lécher longuement les blessures naturelles.
Les grands coups de langues couraient dans les fentes, imprégnant les babines de ces dames de bave, engluant les anus et les vagins entrouverts de par leurs positions.
Dégoûtées, révulsées de honte, les deux salopes ne pouvaient empêcher leurs croupes d'onduler, les coups de langues frénétiques des deux chiens qui leur astiquaient la moule finissaient par échauffer leurs sens. Ecœurées de leurs veuleries, elles ne pouvaient plus s'empêcher de pousser des gémissements de plaisir.
Enfin, sur un signe de leur maître, les deux chiens arrêtèrent, Miloud, aidé de ses comparses, leur livra leur récompense.
Elles sentirent les chiens escalader leurs croupes, griffant leurs dos, ils se mirent en position, prêts à copuler, la croupe secouée de brefs soubresauts.
Guidés par les mains secourables de leurs aides, les deux chiens battant de la queue contre les fesses féminines, s'immobilisèrent, après avoir frottés longuement les membres durs dans les fentes détrempées.
Les aides remontèrent un peu les chiens, pointèrent leurs membres fins et longs sur les oeillets frissonnants et d'une claque sur les reins invitèrent les chiens à poursuivre.
D'un seul élan les deux bites raides s'engouffrèrent dans les rosettes crispées ; les deux chiens accrochés des griffes aux flancs de leurs partenaires entamèrent leur ignoble coït.
Il dura longtemps, les bites animalesques, s'enfonçaient et sortaient avec violence des rectums asservis sur un rythme élevé.
Enfin mordant les deux femmes aux gras des hanches ils se vidèrent dans leurs flancs frémissant.
Encore secoués de tressaillement, ils restèrent longtemps collé aux culs de leurs victimes, attendant la détumescence qui leur permettraient de s'extraire des rectums contractés.
Les deux femmes purent reprendre leurs souffles, secouées de sanglots, elles prenaient pleine conscience de la torture qu'elles venaient de subir, mortifiées d'avoir pris un malsain plaisir dans cet avilissement bestial. Enfin les chiens purent se libérer, Miloud et ses comparses, les forcèrent à pencher la tête au sol, relevant ainsi tout leur ventre, tendant maintenant leur sexes glabres, aux lèvres grandes ouvertes vers le public.
Le gros noir explosait pendant ce temps dans le rectum de Jeannine, alors que Sylvette emmanchée par ses trois orifices, sentait la bite de son gagnant se vider dans son cul, avant qu’il la prête aux copains, récupérant ainsi sa mise.
Aurore et Isabelle, haletantes, les flancs battants accueillaient dans leurs trous largement graissés l'autre équipe, toute aussi avide de leurs charmes.
Un bruit de sabots raclant sur le sol attira l'attention des spectateurs, et sous les yeux horrifiés des deux femmes, deux boucs, la queue traînant entre les jambes, firent leur entrée sous les bravos de la foule ravie.
Arlette sentit les sabots de la bête frotter contre ses flancs, déjà, Miloud enfonçait l'énorme gourdin noirâtre dans son ventre, hurlante de dégoût et de souffrance, elle sentit son ventre se déchirer lors de l'abominable intromission, le hurlement de Milène à ses cotés souligna la synchronisation des immondes empalements.
Le ventre ouvert elles sentirent, au bord de la folie, les sinistres chibres les pourfendre, s'enfonçant avec détermination dans leurs muqueuses, élargissant leurs gaines, les distendant incroyablement.
Les spectateurs voyaient les monstrueux braquemarts envahissant les chattes déformées, le corps secoué de violents soubresauts, la bouche hurlante elles sentirent les bites animalesques s'enfoncer jusqu'au col dans leurs matrices meurtries, les estropiant peut-être à vie, du moins le craignaient elles.
Le coït beaucoup moins spectaculaire des deux bêtes cornues dura longtemps, ils s'éternisaient dans les ventres chauds, agitant leurs reins de lents et amples mouvements.
A chaque poussée elles se sentaient un peu plus défoncées par les immondes chibres qui les bourraient, en pleurs, elles connurent enfin l'ultime outrage, auxquels elles aspiraient cependant.
A gros bouillons les deux boucs déchargèrent leurs flots, l'ignoble semence envahit leurs grottes, les remplissant, les gorgeant de manière inimaginable.
Comme les deux chiens, ils restèrent accolés à leurs croupes, leurs chibres se ratatinant lentement dans les flancs frémissants.
Enfin, ils retirèrent, leurs bourreaux délièrent les liens des deux femmes, et folles de dégoût, épuisées, elles roulèrent au sol, ou elles restèrent, inertes, le corps secoué de tressaillements nerveux alors que les chiens revenaient pour se gorger une dernière fois du sperme débordant de leurs cramouilles béantes.
Les spectateurs quittèrent la salle enchantés du spectacle, Milène et Arlette purent aller s'étendre deux bonnes heures dans une petite salle annexe, alors que les deux gagnants se voyaient autorisés à emmener leurs lots dont ils pourraient user et abuser jusqu'au lendemain matin.
Aurore et Isabelle virent alors les deux équipes réunies converger vers elle, leur véritable soirée commençait.
Epilogue
Voyageur qui traverse Moulins, si ton hôte arbore une chevalière ornée d'une tete de loup, demande lui de t'emmener à son club .
Là, tu pourras en toute sécurité, profiter des plus somptueuses putains de la région.
En semaine, comme le week-end, les plus belles hôtesses t'accorderont leurs faveurs, tes désirs leur seront des ordres, elles t'ouvriront leurs cuisses, leurs fesses ou leurs lèvres selon ta volonté.
Au hasard des rencontres, contre un abonnement forfaitaire tu pourras toi aussi t'envoyer ces belles dames de la haute, que tu les rencontres dans des bouges ou des les manifestations les plus selects.
Bien que toutes travaillent chacune leur tour au club, elles sont devenues les égéries de groupes particuliers :
- Arlette Dumas, Milène servent fréquentent dans les bars louches, tous les truands, les demi-sels de la région se les envoie par vengeance, dame que c'est doux de se faire l'épouse du commissaire qui vous a arrêté ou la femme du procureur qui a plaidé contre vous.
- Aurore, et Isabelle se mirent à traîner souvent dans les sous sols de la mairie, ou les employés communaux prirent l'habitude de se les fader, se vengeant, eux, des rebuffades endurées de la part de leurs maris le jour.
- Clothilde et Solange, auxquelles se joignirent bientôt Isabelle et d'autres se spécialisèrent dans les soirées ou les négociateurs de la mairie purent se gorger de leurs charmes .....
Chacune leur tour elles durent se plier, pour le plaisir d'africains pervers, sous les coups de boutoir de chiens, de boucs, et mêmes d'ânes qui les ramonaient jusqu'à l'âme.
Ali manage en toute impunité son cheptel, assuré qu'au premier pépin, ces dames n'auront d'autres désirs que d'étouffer l'histoire.
Mieux même, lorsqu'une d'entre elle faiblit, menaçant de tout révéler, ses amies se liguent contre elle pour la ramener dans le droit chemin.
Si à dix-huit ans, elles se faisaient trousser par la jeunesse dorée du lieu qui profitait de tous leurs orifices, elles ont maintenant élargi leur clientèle, tous du truand au riche pervers, en passant par les arabes, les noirs, les jaunes peuvent profiter de leurs largesses, et comme le proclame leurs statuts, ne se doivent-elles pas à l'éducation et au confort des masses populaires .
FIN
Coulybaca
Texte personnel
Dominique.dubuissez@orange.fr
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