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Terreur à Ténérife

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Synopsis: un couple de vacanciers se font pièger à Ténérife, ils sont kidnappés, la femme est obligée de se prostituer à longuer de jpur et de nuit.De retour de vacance, leur esclavage reprend.



Terreur à Tenerife


Coulybaca / Vulgus


 



  Bien que cette histoire de Vulgus soit d’une seule traite, j’ai préféré la couper en plusieurs parties afin d’en faciliter la traduction et la lecture.



  Chapitre 1 : Notre héros et sa femme Jenny profitent de leurs vacances à Ténérife, ils explorent tout d’abord les lieux consacrés aux touristes… Puis sur le conseils d’autres vacanciers ils vont s’intéresser aux lieux plus interlopes ….. Ils vont rapidement déchanter ! ….



Le long voyage depuis l'Angleterre était terminé, et nous avions une opinion juste des coutumes locales une fois débarqué à Tenerife.


J'avais été informé que les habitants se montraient inamicaux envers les anglais, bien qu'ils ne soient pas particulièrement amicaux en tout autre endroit.


Nous avions été avertis que les forces de police et les agents gouvernementaux ne servaient pas d'entremetteurs aux touristes. Si l'on avait quelque chose à leur demander, il valait mieux le dire en espagnol, parce qu'ils ne parlaient pas anglais et n'accordaient aucune patience aux touristes.



  Nous avions été reçus bien plus cordialement par les membres de l'hôtel et servis rapidement.


Nous étions impatients de faire un tour pour observer les lieux, mais la journée avait été longue et nous avions deux semaines pour visiter les lieux, aussi avions nous décidé de se reposer un peu, et de partir en exploration qu'une fois que nous aurions mangé.



  C'était au mois de juillet et il faisait très chaud à l'extérieur, l'air conditionné dans notre chambre était vraiment le bienvenu.


Les températures moyennes sur cet îlot volcanique avoisinaient les 90, c'était juste un peu plus chaud que sur l'île où nous résidions.



  Jenny m'aida à défaire les bagages, on prit une rapide douche et une petite somme d'argent pour trouver un endroit où dîner.


La journée avait été longue et fatigante et de plus nous étions tous deux si excités par ce voyage que nous n'avions pas beaucoup dormi ces dernières nuits.



  Je ne me lasserais jamais de me voir ma ravissante compagne se dévêtir, Jenny a 23  ans, c'est une ravissante blonde aux yeux bleus et elle mesure 1,72 m, une taille encore rehaussée par la longueur de ses longues jambes parfaitement galbées.


Sa poitrine est opulente et bien ferme, ses nibards sont surmontés de délicieux mamelons roses très sensibles.


Son cul est bien rond, très avenant, tout au moins en ce qui me concerne.


Elle se rase la chatoune, pour notre plaisir réciproque, la saveur de sa chatte n'en est que renforcée.



  Quant à moi j'ai 24 ans, je mesure 1,75 m et je possède un membre viril d'environ 18 cm, et plus épais que la moyenne.



  Nous formons un couple assez aventureux sur le plan sexuel, mais pas de façon forcenée et uniquement entre nous deux.


Jenny n'avait couché qu'avec quatre autres hommes  quatre avant moi. Je n'avais possédé que six femmes en dehors d'elle.


Nous avions, à l'occasion, fait l'amour en extérieur dans des endroits où l'on aurait pu être vu, dans des cinémas, dans notre voiture sur un parking, et même dans le hall de notre immeuble.


 


Nous aimions tous deux le sexe oral et Jenny n'hésitait pas à avaler la fumée.


Nous nous sommes aussi amusés à ce qu'elle allume, le chaland, elle le faisait à contrecœur, mais sachant que j'aimais la voir provoquer d'autres hommes elle le faisait.


Elle le faisait plus facilement en vacances, là où personne ne nous connaît et ne nous reverra jamais, ça la gênait mais je pense que c'était une partie du plaisir que je prenais à la voir faire.


J'avais remarqué que bien qu'elle le fasse à contrecœur, je le retrouvais toujours la chatte trempée que ce soit dans la rue où même au cinéma.


Je pense qu'elle aimait cela plus qu'elle le disait.



  On nous dit souvent que nous sommes très séduisants et nous nous exerçons tous deux à charmer nos interlocuteurs.


Jenny travaille dans l'éducatif et moi dans une banque.


Nous commençons à former un couple établi, un peu plus stable que la moyenne, de plus Jenny est très chaude.



  Nous firmes un somme et lorsque nous étions affamés en nous réveillant.


Nous sommes habillés et nous sommes descendus et avons pris la direction d'un restaurant proche.


Comme il était fermé, nous avons été obligés de nous éloigner de notre hôtel tout en faisant un peu de lèche-vitrines.


Il était un peu tard pour dîner et trop tôt pour faire la fête aussi les rues étaient-elles assez vides, c'était une promenade plaisante.


Nous remarquâmes soudain une chose à laquelle nous n'étions pas habitués, il semble qu'une large part de la population noire était dehors et nous environnait.



  Nous habitons une très grande ville de prêt d'un demi-million d'habitants, mais la grande majorité de la population de la ville est blanche, on y trouve des pakistanais, une enclave indienne, et même une petite communauté asiatique.


Nous avons aussi une population grandissante de noirs venant du Nigeria, ce n'était pas comme si on pouvait se promener des jours entiers sans voir de noir dans notre ville il semblait simplement y en avoir beaucoup plus ici.


Je remarquais que Jenny ne se sentait pas à son aise, mais elle ne me dit rien, je fis de même.


Après tout nous n'étions pas beaucoup plus loin qu'un jet de pierre de l'Afrique, il allait simplement falloir que nous ajustions nos comportements à ces nouvelles données.



  Nous avons trouvé un restaurant et nous nous sommes assis immédiatement.


Nous avons commandé des boissons et un dîner léger,   la  nourriture et le service étaient excellents.


Tout se passait bien et nous sommes restés jusqu'à l'heure de la fermeture.


Je payais et laissais un généreux pourboire puis nous partîmes rejoindre notre hôtel.


Nous avons regagné notre chambre et avons demandé une bouteille de vin au groom, lorsqu'il l'amena nous nous assîmes au balcon qui surplombait la piscine de l'hôtel et nous sirotâmes notre vin en nous relaxant.



  Alors que nous buvions notre vin je remarquais que notre balcon était quasiment fermé aux regards.


Il y avait quelques autres chambres qui avaient la vue sur notre balcon, mais il ne semblait pas que qui que ce soit nous observe.


Comme Jenny avait beaucoup bu durant la journée, je pensais qu'il me serait facile d'obtenir qu'elle se déshabille pour se décontracter entièrement nue, de la manière que je préférais.



  Ne me faites pas dire ce que je ne veux pas, elle n'était pas saoule,  mais nous avions bu quelques verres de vin dans l'avion, puis pendant le repas et maintenant nous sirotions nos verres de vin.


Je la taquinais, la mettant au défit de se déloquer, j'obtins gain de cause, elle était assise à mon coté dans le noir, je posais mes mains sur ses hanches et nous écoutions les bruits de l'océan proche les yeux rivés sur la piscine.


C'était une situation très romantique.



  On vida la bouteille de vin, puis nous nous sommes couchés, et avons fait l'amour avant de tomber dans les bras de Morphée.


Ce premier jour s'avérait excellent.



  Nous passâmes les quelques jours qui suivirent à explorer l'îlot.


Il était fascinant, je n'avais jamais vu autant de bananiers et de bananes! ....


Le tourisme et la production de bananes semblaient les piliers de l'économie de Ténériffe.



  Nous avons aussi fait quelques achats, mais pas énormément.


On avait acheté des cartes postales que nous avons envoyés à la famille, nos amis et nos proches et nous en en avons gardé quelques-unes unes comme souvenirs.


Nous avons aussi acheté quelques tenues sexy pour Jenny porter  les soirs où nous irions traîner dans les boites de nuit, et bien sur une paire de bikinis plus provocants.


J'étais heureux de voir qu'elle était vraiment dans l'esprit du lieu et qu'elle inclinait à porter les fringues ultra légères et sexy que nous avions acheté.



  Nous n'avons finalement hanté  la plage qu'à partir du quatrième jour.


Jenny jeta un coup d'œil circulaire et vit que de nombreuses femmes avaient les seins nus,  elle ôta immédiatement le haut de son bikini.


Ce n'était pas la première fois qu'elle se mettait seins nus à la plage, mais elle n'en avait pas si souvent l'occasion.



  J'avais des émotions mêlées, j'aimais la voir seins nus, ses nichons très blancs contrastaient nettement avec sa peau tannée.


J'adorais la voir s'exposer ainsi, j'aimais l'idée que les autres hommes sur la plage m'enviaient et admiraient ses formes somptueuses.


Je savais aussi qu'en dépit de son apparent détachement, elle était très consciente d'être seins nus et d'allumer ainsi les spectateurs sans prendre aucun risque.


Le lendemain sa poitrine avait déjà perdu de sa blancheur initiale, mais elle contrastait encore avec le reste de ses appâts.



  Nous tombions dans une certaine forme de  routine journalière : on se levait tard le matin, puis on se douchait et on prenait un repas léger avant d'aller pour une paire d'heures sur la plage.


Après avoir passé une paire d'heure dans la chaleur étouffante du soleil on prenait un rapide lunch quelque part p^ès de la plage et nous rentrions nous doucher avant de chercher un endroit à la mode pour souper.



  Après le repas nous avions pris l'habitude de rentrer à l'hôtel pour nous relaxer un moment, nous prenions souvent un bouquin et descendions le long de la piscine pour nous asseoir à l'ombre d'un parasol et nous lisons notre bouquin tout en nous décontractant et en regardant évoluer le gens qui nous environnaient.


Jenny en profitait pour enfiler les maillots de bain ultra sexy qu'elle s'était achetée plus tôt.


Ils lui allaient parfaitement et nous trouvions que le service était excellent, certainement du fait de l'intérêt des serveurs pour sa tenue.



  Après nous être bien relaxé nous remontions pour un petit somme  puis nous étions prêts à entamer la soirée.


Jenny enfilait une tenue légère et sexy et nous sortions pour souper et ensuite aller danser dans une boite de nuit.


Nous aimions tous deux danser et j'adorais mater les jolies danseuses évoluer sur la piste.


Jenny dansait avec d'autres que moi.


Une fois qu'elle avait siroté une paire de verre d'alcool elle était même capable de flirter et cela m'amusait énormément de la voir allumer ses partenaires avant de les quitter sans rien leur accorder de plus.



  Comme tous les autres males dans la salle, J'aimais la regarder se trémousser avec sa minuscule jupe et sa micro brassière.


Ce spectacle ne manquait jamais de m'exciter comme un poux.


Elle adorait être le centre d'attention de tous ces hommes qui la reluquaient avidement.



  Nous avions visité beaucoup de boites de nuit et nous y étions beaucoup amusés, au milieu de la seconde semaine nous cherchions un nouveau club, on attendait pour un taxi tout en discutant avec un couple de Grands Bretons, qui nous signalèrent un bon petit club fréquenté par les indigènes, où passait un des meilleurs orchestres qu'ils aient jamais entendu.


Ils étaient convaincus que c'était la meilleur boite de toute l'île, et celui où ils avaient pris le plus de plaisir.



  Il était trop tard pour y aller ce soir même mais ils nous donnèrent le nom du club, nous pressant de nous y rendre.


Je pensais qu'il valait mieux rester dans les endroits fréquentés par les touristes où nous étions en sécurité, mais Jenny était plus aventureuse et elle me pressait de nous rendre dans ce club.


A force de déambuler dans l'île elle finissait par se sentir partout en sécurité et elle voulait vivre une petite aventure sortant des sentiers battus par les touristes.


A contrecœur je décidais que nous nous y rendrions la nuit prochaine.



  C'est ainsi que la nuit suivante nous nous trouvions dans un taxi qui nous emmenait au "Banana's club", le chauffeur nous avait regardé tout sourire lorsque je lui avais dit le nom de notre destination.


Mais je n'en pensais rien, cela, ne m'alerta pas en tous cas...



  La boite se tenait à l'extérieur de la ville tout au fond d'une sinistre route bordée de détritus.


Nous avons entendu la musique bien avant de la voir. Nous ne nous sentions plus gênés de nous trouver entourer d'indigènes maintenant. Tous se montraient extrêmement amical et nous nous sentions en sécurité partout où nous allions.


Cependant je me sentis un peu mal à l'aise lorsque nous entrâmes et que je vis que bien plus de la moitié de l'assistance était constituée de noirs.



  Mais nous n'étions pas les seuls blancs, nous nous regardâmes dans les yeux et on décida de tenter le coup. Nous avons finalement trouvé une table et nous arrivâmes à nous commander quelques boissons.



  L'orchestre était excellent et jouait devant une grande piste de danse.


Je jetais un coup d’œil circulaire, nous semblions être les seuls touristes, mais tout le monde semblait joyeux, la musique était bonne, et bien vite nous nous sommes sentis comme chez nous.



  Nous avons dansé un peu et j'ai vu à quel point  Jenny attirait l'attention des mâles, et j'en étais assez fier.


Elle reçut plusieurs invitations à danser dans entre deux de nos danses, elle commença par les décliner.


Mais elle aimait beaucoup plus danser que moi,  je préférais la voir danser, aussi l'encourageais-je à accepter les invitations d'autres danseurs.



  Son second verre vide elle se montra plus coopérante et finalement elle accepta de danser avec un grand noir qui présentait bien.


Elle n'avait jamais dansé avec un noir auparavant, mais il dansait très bien et ils furent bientôt le centre d'attraction des danseurs.


Sa petite jupe flottait dans les airs et laissait entrevoir de tempes en temps des bribes de sa petite culotte, ainsi que ses longues cuisses bien galbées.


Elle était vraiment très excitante, mais il me semblait étrange de la voir entourée de cette foule de noirs.



  Ils firent trois danses puis l'orchestre fit une pause. L'homme ramena Jenny à notre table s'assit avec nous et se mit à discuter le plus souvent avec Jenny.


C'était vraiment très convivial, je ne l'avais pas invité à se joindre à nous, il avait simplement suivi le mouvement.



  On nous servit trois boissons, le noir se présenta lui-même, il y avait tant de bruit dans la salle que je ne compris pas son nom. Cela ressemblait à Harold, mais cela ne lui correspondait pas du tout.



  Nous avons vidé nos verres alors que Jenny et Harold discutaient, je n'entendais pas ce qu'il lui disait, je me contentais donc d'observer les réactions de Jenny, elle semblait nerveuse de l'avoir à ses cotés, elle semblait souhaiter qu'il parte, mais elle n'avait pas le courage de le lui dire.


Elle me jeta plusieurs coups d’œil significatif, mais nous nous trouvions dans une boite de nuit pleine de noirs  et c'était un véritable colosse  noir, je n'avais aucune envie de le froisser.



  Ils terminèrent leurs verres et il invita Jenny à retourner sur la piste de danse pour y faire quelques tours.


Apparemment il lui apprenait quelques danses locales qui semblaient très sensuelles.


Je les observais plus attentivement mais ils furent rapidement engloutis par la foule et à part de brèves apparitions de temps à autre,  ils étaient hors de vue la plupart du temps.


Le visage blanc de Jenny était perdu dans un océan de figures noires.



  Ils revinrent après plusieurs danses plus et s'assirent de l'autre coté de la table face à moi.


Je ne savais pas pourquoi, mais sa tenue me semblait chiffonnée.


Elle avait beaucoup de peau d'exposée aux regards, et les triangles étroits qui couvraient ses seins me semblaient  avoir rétrécis.



  De nouveaux verres apparurent sur la table et deux noirs s'asseoir soudainement de chaque coté de moi, ils parlaient à voix forte avec Harold dans un langage que je ne comprenais pas.


Ils étaient tout sourires et me semblaient très amicaux.



  Les trois hommes semblaient au début de la trentaine, ils étaient tous trois grands et costauds, très imposants.



  Je regardais Jenny et Harold boirent, se parlant dans l'oreille l'un de l'autre, ce qui indiquait à quel point ils étaient assis serrés  l'un contre l'autre.


Je voyais bien que les différents verres ingurgités commençaient à agir sur Jenny mais elle ne me semblait pas très décontractée.


Elle semblait terriblement nerveuse mais incapable de se décourager Harold.



  Harold avait un bras qui tombait derrière sa chaise, sa main était posée sur l'épaule de Jenny, mais cela semblait très naturel.


Il semblait  ne la serrer contre lui que pour pouvoir lui parler.



  L'un des hommes assis à mes cotés dit quelque chose à Harold qui grimaça et hocha la tête et soudain il tendit la main et écarta le tissu qui couvrait l'un des nibards de Jenny, ils éclatèrent tous trois de rire.



  Jenny repoussa sa main, il l'enleva et il se remirent à causer.


J'essayais de me lever.


Il était évident qu'il était grand temps de quitter cet établissement, de s'éloigner de ces trois hommes et de toute cette foule noire et de retourner dans un club sécurisé pour touristes.


Mais comme je me mettais debout, l'homme de l'autre coté de moi posa ses mains sur mes épaules et me rassit de force sur ma chaise.



  Ils me sourirent alors, ils ne semblaient pas menaçants. Mais j'étais incapable de me relever et je ne savais pas quoi faire.


Je jetais un nouveau coup d’œil vers Jenny et vit une forte anxiété se peindre sur son visage.


Juste à ce moment je la vis sursauter brutalement et je remarquais qu'une des mains d'Harold se trouvait sous la table à cet instant.



  Je hurlais à Harold et Jenny qu'il était temps que l'on parte. Harold me regarda fixement puis se remit à causer avec Jenny sans plus se préoccuper de moi, alors que sa main remuait sous la table.



  L'un des hommes qui m'encadraient se pencha plus en avant et me dit d'une voix épaisse :


-         "Vous ne comptez pas nous quitter si tôt? ....  La fête vient juste de commencer! ... ".



  Je ne savais que faire. Je ne pouvais pas lutter contre ces hommes, ils me mettraient Ko trop facilement.


J'étais forcé de rester assis, désarmé, et de laisser faire tout en regardant le spectacle.


Harold continuait à s'amuser des charmes de Jenny. L'heure suivante ils nous obligèrent à consommer de nombreuses boissons, je ne sais pas ce qu'on buvait, mais c'était drôlement fort.


Jenny dut retourner sur la piste de danse.


Elle était perdue dans cet océan de visages noirs, mais je suis sure de l'avoir vue à deux reprises et je pourrai jurer que sa brassière pendait misérablement sur sa taille, elle dansait une de ces danses sensuelles qu'Harold lui enseignait le torse nu au milieu de cette négritude.



  Pendant qu'elle dansait j'arrivais à convaincre mes voisins que je devais me rendre aux toilettes pour hommes, ils m'y escortèrent puis me ramenèrent manu militari à notre table.


On venait de se rasseoir lorsque je vis Harold ramener Jenny à notre table.


Elle affichait un air que je trouvais des plus douteux.


A peine étions-nous assis qu'Harold sortit sa petite culotte de sa poche la tint en l'air l'étalant comme un trophée qu'il présentait à ses deux comparses qui m'encadraient.



  Je jetais un oeil sur Jenny, elle avait l'air totalement désarmée et profondément humiliée, et je me sentais incapable d'intervenir.


Mon désarroi s'accrut encore lorsqu qu'Harold se pencha et roula une pelle à Jenny.


Elle se débattit pour éviter ses baisers, mais il la tenait bien et je pus voir son épaisse langue explorer la bouche de ma femme alors qu'elle s'était résignée à le laisser faire.



  Profondément choqué, je les regardais se rouler des patins, sa main se glissa entre tissu et peau et il empauma ses chauds nibards comme si elle lui appartenait.



  Je luttais pour me lever avec le même pitoyable résultat que la première fois.


Ils me renvoyèrent brutalement sur ma chaise et les deux colosses qui m'encadraient en me souriant secouèrent leurs têtes et se remirent à regarder Harold qui molestait Jenny.



  Finalement Harold cessa de l'embrasser et enleva sa main au grand soulagement de Jenny, un de ses nibards restait exposé aux regards, elle tendit la main pour le recouvrir, mais Harold stoppa son  geste.


Il se saisit de son verre et le lui tendit, elle en but une large rasade, Harold arrangea le fin tissu de sa brassière de façon à ce qu'elle exhibe maintenant ses deux nichons, non seulement pour nous, mais aussi la foule des noirs qui se pressait autour de notre table, beaucoup d'entre eux préféraient nous regarder plutôt que de mater les couples sur la piste de danse.



  Je ne savais pas comment nous allions nous tirer de ce guêpier et j'étais affolé.


Bien sur j'aimais voir Jenny allumer ses voisins, j'aurai même admis, dans mon fort intérieur, qu'elle ait des rapports sexuels avec un autre que moi tandis que je les regarderais fou d'excitation, mais actuellement nous avions perdu tout contrôle de la situation, et personne ne viendrait à notre aide.


Ils m'apparaissaient maintenant bien plus menaçants, d'autant plus qu'ils parlaient de nous en usant d'une langue que nous ne comprenions pas.


Nous savions qu'ils parlaient de nous, et plus spécialement de Jenny, mais nous n'avions aucune idée de ce qu'ils disaient et c'était follement angoissant.



  Je regardais Harold tendre la main et jouer avec les mamelons de Jenny les amenant à se raidir, les étirant machinalement.


 Et elle ne pouvait que rester passive lui permettant d'user de ses appât  à sa guise.



  Harold et ses deux amis discouraient de plus belle, puis il vidèrent leurs verres et se levèrent brusquement.


Pendant une seconde je pensais que notre épreuve se terminait, qu'ils partaient en nous abandonnant à notre sort! .....



  Mais ce n'était pas terminé..


Harold fit relever Jenny et les nichons à l'air il l'entraîna vers la porte.


Un des colosses m'encadrant de chaque coté je dus les suivre. Je pouvais voir Harold guidant ma femme sa grosse patte posée sur ses fesses. Sa main était glissée sous sa jupe qui était bouchonnée autour de sa taille alors que nous sortions de la boite.



  Je tentais de leur dire que nous devions les quitter en m'interposant entre Jenny et Harold, mais j'étais tout autant sous leur contrôle que Jenny.


Nous marchions lentement vers le parking, nous nous sommes rassemblés autour d'une camionnette.



  Harold avait pris Jenny dans ses bras, il la serrait contre lui tout en lui roulant des patins passionnés tandis que ses mains inventoriaient ses charmes à son gré.


Elle avait lutté quelques secondes, mais, sachant que c'était en vain elle s'était résignée à le laisser faire.



  Tandis qu'il l'embrassait, il posa sa main dans son cou et il dégrafa le nœud qui retenait sa brassière.


De toute façon, ses nibards étaient à l'air depuis un bon moment mais cela nous mettait mal à l'aise bien que cela plut énormément aux comparses d'Harold.



  Il devenait de plus en plus évident que Jenny allait se faire violer cette nuit même, et je réalisais que je n'avais aucune chance de l'empêcher quoi que je fasse.


J'aurai eu une chance minime si seulement quelqu'un pouvait nous voir nous débattre contre nos agresseurs, ils auraient pu venir à notre aide ou appeler la police.


Je ne croyais pas vraiment que cela puisse arriver, et je savais qu'une fois dans la camionnette nous n'aurions plus aucune chance de leur échapper.


Je me ruais sur Harold, mais je n'eus même pas le temps de l'approcher vraiment. Les deux salopards qui m'encadraient m'empoignèrent, l'un d'eux me tint tandis que l'autre me frappait à l'estomac, si fort que j'en eus le souffle coupé.


Je tombais à genoux en dégueulant, puis j'haletais douloureusement pendant quelques minutes.


Lorsque je repris mes esprits je me roulais en boule, mais ils m'empoignèrent, me remirent sur pied et l'un d'entre eux me dit :


-         "As-tu compris la leçon, ou bien doit-on te ligoter? ....."



  Je vis que Jenny me regardait en pleurant.


Harold la tenait fermement, apparemment elle avait essayé de venir à ma rescousse et  il l'en avait empêché.


Je jetais  à Jenny un regard plein d'angoisse, mais nous savions tous deux que ne pouvions rien faire.


Je leur dis que je me comporterais docilement, et ils me lâchèrent.


Je me tenais debout, frottant mon estomac douloureux alors qu'Harold reprenait Jenny entre ses bras.



  Nous nous trouvions dans un grand parking, un grand nombre de gens allaient et venaient à coté de nous.


Parfois ils s'immobilisaient regardant un moment Jenny à demi-nue, d'autres se contentaient de hurler des encouragements à Harold et ses complices.


Je ne comprenais pas leurs mots, mais le ton suffisait à ce qu'on comprenne le sens de leurs encouragements.



  Finalement Harold enleva les derniers vêtements de Jenny, puis il ouvrit la porte du van et poussa jenny à l'intérieur.


Harold s'assit sur un des sièges au centre de la camionnette et jeta les clefs à l'un de ses deux comparses.


Je fus poussé sur le siège passager avant. Le troisième noir s'assit à coté d'Harold alors que Jenny dut  s'agenouiller sur le sol couvert de moquette.



  Alors que le van démarrait lentement pour sortir du parking, Harold sortit son épaisse queue de son pantalon et Jenny entreprit de le sucer alors que nous reprenions le chemin bordé de détritus.


Je le savais parce que chaque fois que j'essayais de fermer les yeux, ou de détourner mon regard du spectacle que m'offraient Jenny et Harold à l'arrière du van, l'homme assis derrière moi me frappait violemment derrière la tête.



  Le chauffeur matait le spectacle à l'arrière dans le rétroviseur tout en empruntant de petites routes étroites.



  Je fus forcé de voir Harold se vider les couilles dans la bouche de ma malheureuse femme.


Elle s'étrangla, gargouilla et lutta pour avaler de larges doses de sa chaude semence, puis elle s'assit et recueillit de la pointe de la langue les quelques filets qui s'étaient étalés sur son menton.



  Elle ramassa du doigt les reliefs qui s'écoulaient dans son cou et les lécha c'est alors que l'homme assit à coté d'Harold se redressa, saisit la chevelure de Jenny et l'attira entre ses cuisses.


Je ne l'avais pas vu sortir sa bite de son pantalon, mais il se tenait prêt, ventre tendu en avant, elle ne lui résista pas alors qu'il pressait son visage contre sa bite érigée.


Elle ouvrit la bouche, l'emboucha et se mit à le sucer tout de go.


Cet homme ne se montrait  pas aussi doux et patient qu'Harold l'avait été et Jenny en voyait de dures.


Comme elle se démenait pour le satisfaire cet homme avec sa bouche, Harold se posta à genoux dans son dos, et écarta ses cuisses en grand.


Il caressa quelques instants sa chatoune puis aligna sa bite sur l'entrée de sa grotte et la grosse bite noire fora son trou dans sa foufoune alors qu'elle continuait à sucer son suborneur de tête.



  Le chevaucheur de tête ne put se contrôler bien longtemps et remplit rapidement la bouche de Jenny de son foutre crémeux. Mais il ne se retira pas pour autant.


Il lui laissa sa bite en bouche tandis qu'Harold lui martelait la foufoune, c'était insoutenable de la voir sans défense, violées par deux colosses noirs qui discutaient entre eux à son sujet et riaient de sa déconfiture.



  Le chauffeur ralentit et se gara face à une petite maison dans un quartier populeux de la ville.


Nous regardions tous Harold continuer à baiser Jenny par derrière jusqu'à ce qu'il se tétanise, agrippe ses hanches et se vide dans sa chatte non protégée.



  Il resta en place pendant presque une minute avant d'extirper sa bite de sa chatoune, puis il lui saisit les cheveux et la disposa de façon à ce qu'elle puisse lui nettoyer la queue.


Elle tenta encore de lui résister le repoussant à de ses deux mains posées sur son ventre, mais il dit quelque chose à ses acolytes, l'un d'eux se redressa et me frappa violemment.


Jenny comprit le message et cessa de lui résister, embouchant la bite d'Harold pour la nettoyer à fond.



  Les deux hommes dans le fond du van rangèrent leurs mentules dans leurs pantalons et sortirent du van, le chauffeur se releva, gagna l'arrière du véhicule et s'assit  face à Jenny.


Il sortit son chibre, Jenny se posta face à sa bite frémissante sans même attendre qu'on le lui ordonne.



  Elle referma ses lèvres sur le braquemart déployé et alors que la porte de la camionnette était grande ouverte, à la vue des passants elle fit de son mieux pour le sucer correctement.


Alors qu'elle le suçait avec ardeur, il tendit la main et lui malaxa rudement les nichons, étirant douloureusement ses mamelons, il rit et parla avec ses copains jusqu'à l'instant où il s'assit bien au fond du siège ferma les yeux et se vida à gros bouillon dans sa bouche asservie.


Jenny déglutit et avala l'épaisse purée puis elle lécha son méat lapant les dernières gouttes qui en suintaient.


Elle se rassit et il sortit du van remontant son pantalon à sa taille, les promeneurs passaient, ralentissaient, parfois même s'arrêtaient, regardaient attentivement Jenny et reprenaient leurs routes.



  Ils nous poussèrent hors du van et, au lieu de nous emmener dans la maison devant laquelle la camionnette était garée, ils nous firent passer le coin de la rue pour gagner une petite maison qui avait été convertie en un petit bar de voisinage avec une terrasse.


Toutes les conversations cessèrent alors que nous nous dirigions vers la grille, Harold et ses amis s'assirent dans le petit espace clôturé.


Il y avait environ deux douzaines de tables, presque toutes occupées, tous les consommateurs se turent et nous fixèrent Jenny et moi avec des yeux ronds comme des boules de billard alors que nous nous tenions de chaque coté d'Harold.



  Je fuyais leurs regards, mais je jetais un coup d’œil circulaire et constatais qu'il y avait une demi-douzaine de couples discutant et buvant mais la plupart des tables étaient occupées par des clients mâles.



  Après quelques secondes, quelques consommateurs saluèrent Harold et ses amis et les conversations reprirent


Ils semblaient tous parler le même dialecte dont Jenny et moi-même ne comprenions pas un mot.



  Un serveur s'approcha de notre table, Harold et ses deux complices commandèrent alors que l'homme gardait les yeux rivés sur Jenny.


Dès qu'il nous quitta, un homme assis à une table proche se leva et nous rejoignit, il discuta un bon moment avec Harold et ses potes.


Ils explosèrent de rire et l'homme s'approcha de Jenny et posa ses mains sur ses nibards, il demanda lourdement en anglais :


-         "J'espère que vous appréciez vos vacances? ......"



  Tout le monde trouva cela hilarant. Jenny et moi nous étions figés, humiliés alors que l'homme retournait à sa table.


Le serveur revint avec des consommations pour les trois hommes, ils la sirotèrent et discutèrent entre eux les yeux braqués sur Jenny, de temps à autre ils caressaient machinalement ses appâts.



  On resta une bonne heure à cet endroit, de temps à autre des hommes se levaient et venaient inventorier les charmes de Jenny tout en discutant avec Harold et ses amis.


Personne ne semblait avoir pitié de nous, même les femmes virent plaisanter avec Harold mais elles se gardèrent de toutes caresses indiscrètes.



  Lorsque Harold et ses deux comparses eurent fini leurs boissons, ils se levèrent et gagnèrent dans la maisonnette pour payer leurs consommations.


Harold tendit au serveur qui, je pense, devait être le propriétaire des lieux, une paire de billets de banque, puis il poussa Jenny sur ses genoux face à sa braguette.


Le propriétaire descendit son pantalon sur ses genoux et Jenny le suça consciencieusement dans l'encadrement de porte.


La foule fit de nombreuses remarques lorsque nous sommes partis, il n'était nul besoin de comprendre leur langage pour comprendre la teneur de leurs commentaires! ....



  Jenny semblait choquée, égarée.


Je n'avais pas eu une seule chance de lui parler depuis qu'Harold s'était imposé comme notre maître.


Je n'avais pas encore bien compris comment il s'y était pris, il ne nous avait pas menacés ni drogués, ni même abusés physiquement jusqu'à cet instant où nous avions quitté le parking de la boite de nuit.


Mais Jenny et moi comprenions qu'il nous dominait totalement et que nous n'avions aucun autre choix que de lui obéir aveuglément.



  28 novembre 2007


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus (vulgus@hotmail.com)




Terreur à Ténérife Ch 2


Coulybaca / Vulgus





    Chapitre 2 : petit séjour chez le père d’Harold.





    Nous sommes sortis dans la rue, il n'y a pas de trottoirs dans ces quartiers de la ville.


Les rues sont bordées de détritus et les maisons sont de bois et de tôles.



  Nous sommes retournés au coin de la rue où était garé le van devant une maisonnette en moellons.


Elle était très petite.


La salle de séjour était pauvrement meublée, la cuisine servait aussi de salle à manger.


Il y avait deux pièces débouchant sur la salle principale, leurs portes étaient toutes deux ouvertes et je pus voir que l'une était une minuscule salle de nain et l'autre une petite chambre.



  Harold alla jusqu'au réfrigérateur, en sortit trois bières et en donna deux à ses amis.


Tandis que chacun se mettait à son aise,  enfin les 3 complices, pas Jenny et moi, un vieil homme sortit de la chambre et jeta un coup d’œil circulaire.


Il regarda attentivement Jenny et moi, et discuta avec Harold pendant plusieurs minutes, dans ce dialecte qui nous était inconnu.



  Le vieil homme avait tout d'abord semblé irrité de voir son somme perturbé, mais il sourit rapidement en nous reluquant, surtout Jenny, alors qu'ils discutaient son sourire s'élargit encore.


Il s'approcha finalement de Jenny et en fit le tour, inventoriant visiblement les charmes de son jeune corps.



  Harold attira mon  attention et m'ordonna de m'asseoir sur une des chaises à dos droit de la cuisine. Il me recommanda le silence et de ne pas bouger si je voulais éviter que ses amis ne me donnent une nouvelle leçon de savoir-vivre.



  Je me dirigeais rapidement vers la chaise et je m'assis, je me rappelais que je devais faire très attention à ce qui nous arrivait, juste au cas ou devrais relater ces événements par la suite.



  J'observais donc attentivement le vieil homme qui avait sortit sa vieille pine toute ridée et se mettait à malaxer les miches de Jenny.


Il joua avec ses nichons pendant un temps assez long puis sa main descendit sur son ventre et il se mit à lui caresser les fesses, puis, après lui avoir fait écarter les cuisses il se mit à explorer sa chagatte.



  Le vieil homme continuait à discuter avec Harold alors qu'il posait sa main sur elle.


Je reconnus un des mots de la conversation et j'en déduisis que le vieil homme était le père d'Harold.



  Harold et ses deux acolytes semblaient  le taquiner, finalement il retira son boxer-short, la seule chose qu'il avait sur le corps et il attira le visage de Jenny face à son entrecuisses, la taille de la bite de ce vieil homme m'ébahissait, bien que molle elle mesurait au moins 20 centimètres de long.



  Il pressa le visage de Jenny contre ses parties génitales pendant quelques instants, puis la courbant en deux à hauteur de taille il la força à admettre sa mentule flasque entre ses lèvres purpurines.


L'odeur devait être infâme car je la vis avaler sa salive en blêmissant, je peux vous assurer qu'il ne devait pas laver très souvent.



  Il était dur de deviner l'âge de ces gens, je suppose que le vieillard avait un bon 60 / 70 ans, mais cela ne l'empêcha de bander somme toute rapidement, il eut très vite le plein usage de sa virilité.


Une fois qu'il fut bien dur, Il tourna Jenny de façon à ce qu'elle nous fasse face et après avoir frotté sa bite le long de ses lèvres pendant quelques secondes, il dit sèchement quelque chose dans son dialecte.



  Harold lui sourit démoniaque ment et traduisit :


-         "Il veut que tu prennes sa bite dans ta chatte chérie! ...."



  Jenny se redressa et empoigna sa mentule qui, bandée,  faisait maintenant  un bon 25 cm de long et elle la guida dans sa foufoune détrempée par les nombreux abus qu'elle avait subi ce soir.



  Dès qu'il sentit son gland logé dans sa caverne inondée de foutre, le vieil homme s'enfouit violemment en elle lui empoignant fermement la taille d'une main alors qu'il lui claquait les fesse de l'autre.


Tout cela sous le regard égrillard d'Harold et de ses deux comparses qui riaient à gorge déployée.



  Le visage de Jenny affichait son angoisse, de grosses larmes ruisselaient sur ses joues et j'aurai voulu désespérément l'aider.


Mais je savais que je ne pouvais rien faire contre ces brutes.



  Le vieillard la secouait de violents coups de pines.


Après un bon moment un des amis d'Harold se leva  et vint lécher les larmes qui coulaient sur ses joues, il lui demanda si elle passait un bon moment.


Figée, elle le regarda fixement, alors qu'il tendait la main pour luit peloter les nichons.



  Elle grogna de douleur et haleta :


-         Oui, oh oui je prends beaucoup de plaisir! ...."



  Il gloussa et reprit :


-         "C'est bien, l'industrie du tourisme est très importante pour nous! .....  On doit être sûr qu'on fait plaisir aux touristes et tout faire pour qu'ils gardent un bon souvenir de leurs vacances! ...."



  Le second copain d'Harold se leva à son tour et s'approcha d'eux.


Pour la première fois je réalisais qu'il tenait une caméra digitale et qu'il enregistrait chaque scène. Il s'approcha pour prendre quelques gros plans et, tandis qu'il filmait le vieil homme et celui qui malaxait les nibards de Jenny tout en léchant ses larmes, se mirent à la tourmenter de plus belle.



  Tandis que les regardais, je sentis que j'avais les yeux pleins de larmes.


Je me sentais d'autant plus coupable que je m'étais réjoui de voir Jenny encadrée par ces hommes en début  de soirée et voilà que maintenant je ne contrôlais plus rien du tout, cela ne correspondait plus du tout aux fantaisies érotiques que j'avais espérées,  ce n'était pas la folle soirée érotique que j'avais imaginée.



  Je n'avais jamais voulu que Jenny en souffre.


Forcé de la voir violée, humiliée, et dégradée comme cela alors que j'étais incapable d'intervenir me dévastait tout autant.


Je n'oublierai jamais cette funeste nuit. Nous nous trouvions en situation dangereuse, voire même périlleuse.


Je ne pouvais que prier que dans la matinée, lorsqu'ils auraient satisfait leurs appétits lubriques, ils nous laisseraient partir librement.



  Le vieillard qui labourait Jenny se mit à hurler, je n'avais aucune idée de ce qu'il criait, il cessa de s'amuser avec elle et la saisit à deux mains par la taille et s'enfouit plusieurs fois avec une extrême violence dans sa cramouille asservie, puis son corps se tétanisa et nous comprîmes tous qu'il se vidait à gros bouillons au fin fond de son utérus.



  Quelques instants plus tard il s'effondra sur elle et resta enfouit en elle quelques instants avant de se retirer.


Il se dirigea vers Harold sa grosse bite bringuebalant de gauche à droite et se penchant sur lui il l'embrassa tendrement et tout excité, le remercia vivement.


Puis il se rendit dans la cuisine prit une bière et revint s'asseoir sur le canapé les yeux rivés sur Jenny.



  Jenny s'était redressée lorsqu'il était parti et  se tenait debout sur ses jambes tremblantes attendant sa prochaine épreuve.


Elle n'eut pas à attendre bien longtemps.


Harold se leva et entreprit de se déshabiller tout en lorgnant Jenny.


Une fois nu, il s'approcha d'elle, prit son menton en main, releva son visage vers lui et lui roula une pelle passionnée.


Elle se tenait passive, mais il n'insista pas bien longtemps.



  Il lui attrapa les miches à deux mains, et e mit à les rouler et les étirer tout en lui chuchotant à l'oreille.


Elle posa ses bras autour de son cou et se serra contre lui et se mit à l'embrasser comme si c’était son amant.



  C'était ce qu'il voulait et ils s'embrassèrent pendant un long moment avant qu'il ne la repousse sur ses genoux lui faisant emboucher de force son épaisse mentule.


Elle n'hésita pas une seconde.


Elle entreprit immédiatement de le sucer comme si c'était ce qu'elle souhaitait le plus au monde.



  Sa bite enfla rapidement, et lorsqu'il fut satisfait de sa tenue,  il se posta dans son dos et planta son gros chibre dans sa petite chatte endolorie que son père venait tout juste de violer avec brutalité.



  Jenny grogna de douleur, au début tout au moins c'était de douleur, et se prit la tête entre les mains.


Harold la baisa violemment pendant plusieurs minutes, la caméra se promenait autour de nous prenant un grand nombre de plans rapprochés.


Mais, alors qu'il la chevauchait frénétiquement un de ses copains se déshabilla à son tour et dès qu'il fut nu, il s'agenouilla face à elle et lui saisit les cheveux.


Il lui planta sa bite en bouche, et tandis qu'Harold la pistonnait de dos son ami tenait sa tête ente ses mains et entreprît de lui fourrer sa queue de plus en plus profondément en bouche jusqu'à l'instant ou, d'un dernier coup de boutoir furieux il s'immisça dans sa gorge.


Il lui tenait la tête pressée fermement contre son estomac et je pouvais voir ses lèvres serrées sur la base de sa pine alors qu'il déversait des torrents de foutre dans sa gorge.



  Elle commença par résister,  mais finalement elle se résigna à les laisser faire ce qu'ils voulaient de son corps.


Harold les avait regardés la baiser et lorsqu'il avait vu la bite d'un de ses amis se glisser d'un seul coup de rein dans son arrière-gorge, celà l'avait tant excité que mois d'une seconde plus tard il giclait une bonne dose de foutre sur Jenny.



  Lorsque jenny eut nettoyé la bite de son chevaucheur de tête, Harold lui saisit les cheveux et l'attira à lui, elle lui nettoya aussi sa mentule.


Le caméraman prenait nombre de plans rapprochés de Jenny suçant et nettoyant les bites de ses amis, c'est ainsi qu'il put prendre un filet de foutre s'écoulant de sa chatoune pour s'étaler sur ses cuisses.



  Lorsqu'ils en eurent tous finis, elle s'effondra comme une masse sur le plancher et se mit à pleurer silencieusement.


Mais tout n'était pas terminé pour autant.


Le man qui avait filmé ses viols tandis la caméra à un de ses copains et se déshabilla lentement les yeux rivés sur Jenny.



  Une fois qu'il fut  nu tout reprit, elle suça et lécha son chibre et ses burnes jusqu'au moment où il banda.


Il la contourna alors et le fit mettre à 4 pattes, puis promena son bourgeon turgescent dans sa fentine dégorgeant de foutre, une minute plus tard il se retira et s'essuya la bite sur les joues culières de la ravissante Jenny et il entreprit de lui bourrer sa bite dans le trou du cul.



  Jenny  hurla et voulut fuir cet envahisseur, mais il la tenait fermement et continuait à presser son gland démesuré sur son oeillet affolé. Elle hurla de plus belle lorsqu'il franchit le premier obstacle enfouissant son gland dans son boyau.



  Nous avions déjà tenté l'expérience du sexe anal auparavant, une seule fois, mais cela avait fait tant de mal Jenny que nous avions tout de suite arrêté.


J'avais une envie folle d'enculer ma femme depuis lors, mais c'était une chose que nous n'avions plus jamais essayé.


Ce gars se souciait peu de la meurtrir, non ce n'est pas même exact, il aimait la faire souffrir, et il n'était pas prêt d'arrêter.



  Bien qu'elle hurla et le supplia, il continua à la bourrer enfouissant sa bite jusqu'à la garde dans son anus rétif.


Sa bite ne mesurait guère que 3 / 4 centimètres de plus que la mienne, mais elle était bien plus grosse, la douleur de Jenny était incommensurable.


Elle sanglotait hystériquement en tapant sur le plancher tout en le suppliant d'arrêter, d'extirper sa grosse bite de son anus endolori.



  Pendant tout le temps de son enculage il garda un sourire épanoui sur son visage, il plaisantait avec ses copains qui l'encourageaient à lui casser le pot.


Je suppose  qu'on devait être heureux que le fait de filmer ses compères l'avait grandement émoustillé, parce que grâce à cette excitation et à l'étroitesse de la gaine de Jenny il jouit rapidement.


Il demeura au chaud dans on intestin pendant un long moment mais finalement ils se retira et resta agenouillé dans son dos.



  Comme elle ne bougeait pas, il lui claqua brutalement la croupe, elle hurla de plus belle.


Mais elle réalisa alors ce qu'il attendait, elle se retourna donc et entreprit de nettoyer sa mentule et ses burnes à grands coups de langue.



  Une fois sa bite propre, il réclama la caméra et après une rapide discussion il ordonna à Jenny de ramper pour traverser la petite pièce et d'aller sucer à nouveau la bite du père d'Harold, pour achever la séance et la séquence du film.



  Cela lui prit longtemps pour faire bander à nouveau le vieillard, je fus d'ailleurs surpris qu'il puisse jouir une seconde fois.


Bordel! .... J'étais choqué de voir qu'il était encore capable d'éjaculer.


Il remplit finalement la bouche de Jenny de sa chaude semence, elle avala docilement et le vieil homme se releva lui tapotant la tête comme on flatte une jeune chienne, et après un bref échange avec son fils, il regagna sa chambre et se remit au lit.



  Les deux amis d'Harold se rhabillèrent puis nous quittèrent,  j'attendais avec impatience d'être relâché.


J'étais fou d'angoisse et d'impatience lorsque Harold se posta à coté de moi et me demanda si je voulais utiliser la salle de bain.



  Je n'avais pas encore réalisé à quel point j'avais besoin de passer dans la salle de bain avant qu'il ne me le demande, je hochais de la tête et gagna la salle de bain que j'utilisais en laissant la porte ouverte.


Lorsque je revins au salon il m'enjoignit de me rasseoir et il me menotta les poignets et me ligota les jambes aux pieds de la chaise.



  Lorsque je fus immobilisé selon ses vœux, il escorta Jenny jusqu'à la salle de bain


Je ne sais pas ce qui s'y passa, elle protesta vivement une paire de fois, puis il y eut un grand silence et ils revinrent dans le salon.


Quoique lui ait fait Harold, cela s'avérait si gênant que Jenny n'osait pas me regarder.



  Harold déplia le canapé puis poussa Jenny sur le mauvais matelas, il rampa sur elle, l'enveloppa de ses jambes et de ses bras et se prépara à dormir.



  Je me réveillais plusieurs fois durant la nuit, à chaque fois Harold baisait Jenny, parfois en bouche, parfois en chatte et une fois même en trou du cul.


Cet homme s'avérait un véritable satyre, il était insatiable.



  La dernière fois que je me réveillais au petit matin, une odeur de café frais me chatouilla les narines et j'ouvris les yeux pour voir le père d'Harold se faisant Jenny.


Harold oeuvrait dans la cuisine, il préparait du café et faisait griller des toasts


Ce n'est que quelques instants plus tard que je réalisais que je n'étais plus ligoté sur ma chaise.



  Je jetais un oeil au-dessus de mon épaule et demandais à Harold la permission de me rendre dans la salle de bain, il m'y autorisa placidement.


J'y allais me rafraîchir le visage et me laver les mains et à mon retour dans le salon, le père d'Harold finissait de jouir profondément enfoui dans l'utérus de ma femme et s'effondrait sur elle.



  Je retournais à ma chaise et Harold me tendit une tasse de café noir et un toast m'indiquant que je pouvais tirer ma chaise jusqu'à la minuscule table de la kitchenette.



  Le vieillard resta longuement allongé sur Jenny, pressant son bassin contre son ventre.


Je ne voyais que le visage de Jenny apparaissant au-dessus de son épaule.


La regarder ainsi asservie me brisait  le cœur.


Elle pleurait à nouveau et étendue là sans défense sous ce vieillard puant.



  Finalement il roula sur le flanc et Harold intima à Jenny de lui nettoyer la mentule.


Elle se disposa à quatre pattes et emboucha la queue puante du vieillard et nettoya consciencieusement son chibre alors qu'il lui pelotait vigoureusement les nichons.



  Puis Harold l'appela et lui versa une tasse de café et lui tendit un toast, il s'assit à coté de moi il commençait à puer véritablement.



  Jenny s'assit sur le lit repliable, la tête entre les mains.


Elle pleurait silencieusement.


Je jetais un oeil vers Harold il affichait un sourire exaspérant sourire et haussa les épaules.


Je pensais que qu'il me donnait la permission d'intervenir, je me levais, et m'approchais de Jenny, la prit dans mes bras, et tentait de clamer ses larmes en la berçant tendrement contre moi.



  J'aurai voulu lui dire que tout allait bien, j'aurai voulu dire quelque chose, n'importe quoi pour l'apaiser... 


Mais je me sentais aussi désarmé qu'elle, c'était elle qui supportait toute l'épreuve, c'était elle qui se faisait violer et devait parader nue en public, qui se faisait filmer ayant des rapports sexuels avec ces cueilleurs de bananes! .....



  Mais je ne pouvais que la serrer tendrement dans mes bras en lui répétant que je l'aimais et à quel point j'étais navré. C'était là tout ce que je pouvais faire! ..... Et ce n'était pas énorme.


Une fois qu'elle se fut un peu calmée, elle posa sa tête sur mon épaule et soupira me demandant comment nous allions pouvoir nous tirer de ce traquenard.


Je lui offrais une nouvelle tasse de café noir.


Il semblait que ce fut la seule chose que je puisse faire à cet instant.



  Elle me répondit misérablement :


-         "Je t'en prie... N'importe quoi pour estomper cet horrible goût de sperme que j'ai en bouche! ... ".



  Je retournais de l'autre coté de la table, et sans même le demander à Harold, je remplis ma tasse de café et je la lui tendis.


Je lui demandais alors si elle voulait un toast l'autre spécialité de la maison! .....


Elle déclina mon offre mais sirota la tasse de café que je venais de lui offrir.



  Je pensais que c'était le meilleur moment pour demander à Harold ce qui allait advenir de nous tant que ses amis ne se trouvaient pas là, aussi lui demandais-je ce qu'il comptait faire de nous! .....



  Il me sourit et  me dit :


-         "Je sais que vous avez prévu de prendre le vol de retour après demain...  Ne vous tracassez pas.....  Vous serez bien dans cet avion.....  Mais d'ici là, je vais avoir énormément de plaisir à m'amuser avec vous.....  Je vais me débrouiller pour que vous vous rappeliez toujours de ces vacances! .....  Vous êtes de ces riches touristes qui viennent parader dans notre île, traitant les indigènes comme de la merde pendant une semaine ou deux avant de retourner chez vous ravi de votre séjour! ....  Mes amis et moi-même avons pris l'habitude de choisir un couple parmi ces touristes pour leur donner une bonne leçon d'humilité! .....  On se fout un peu de savoir si vous retiendrez la leçon.....  On a tant de plaisir à vous enseigner les bonnes manières! ...... C'est ce qui est le plus important pour nous..... Et cette fois on a vraiment prit du bon temps avec vous deux... Jenny est une exceptionnelle petite baiseuse! ..... Elle est jeune, ravissante, timide et sui sexy.....  J'ai bien peur que les eux jours à venir soient très durs pour vous deux, et plus spécialement pour elle! ......  Elle est en train de devenir très populaire et ce sera u véritable ravissement de jouer avec ses charmes! ...."



  Sur ces mots il se leva la rejoignit et lui prit la main lui intimant :


-         "Suis-moi, tu pues vraiment trop! ...."



  Comme il la suivait sur le chemin de la salle de bain il se tourna vers moi et m'ordonna :


-         "Refais mon lit et referme-le! ......"


Puis ils pénétrèrent dans la petite salle de bain et j'entendis couler la douche.



Je défroissais les draps du lit et le repliais en arrière avant de le remettre en place.


Puis je m'assis et attendis tachant de ne pas penser aux prochaines 48 heures.



  Ils sortirent rapidement de la salle de bain et Harold l'emmena dans la chambre. Lorsqu'ils revinrent, Harold était habillé et Jenny portait un fin tee-shirt.


Comme c'était un maillot d'homme fort évasé aux aisselles, les flancs de ses nichons étaient largement exposés, un large V avait été découpé sur l'avant offrant une vue complète sur ses miches.


Bien qu'elle tira dessus misérablement il couvrait à peine sa croupe, et, à chaque mouvement qu'elle faisait, il remontait offrant à tous la vue de sa ravissante chatoune rasée et de ses fesses bien fermes.



  Harold dit à Jenny de s'asseoir à coté de moi,  et il s'assit avec son père à la petite table et ils discutèrent ensemble sans se préoccuper de nous.


Elle continuait à tirer sur l'ourlet de son tee-shirt, mais cela ne donnait rien de mieux et finalement elle abandonna. Elle se recula au fond de la chaise laissant sa foufoune totalement exposée.



  J'aurai aimé prendre aussi une douche rapide, il faisait très chaud sur cette île et la nuit avait été longue. Mais je n'avais aucun vêtement propre pour me changer aussi la différence serait-elle minime.


Et comparez à l'épreuve qu'endurait Jenny, mes petits problèmes d'hygiène semblaient bien insignifiants.



  Finalement les deux amis d'Harold se pointèrent, c'est visiblement ce qu'Harold attendait.


On sortit et nous nous dirigeâmes vers le van.


Il y avait beaucoup de monde dehors, Jenny attirait l'attention de tous les hommes.


La plupart des femmes que nous croisions lui jetaient des regards mauvais et passaient sans rien dire.


Tout au contraire les hommes s'arrêtaient la reluquant des pieds à la tête et émettaient des remarques salaces qui bien qu'elles ne soient pas proférés dans une langue connue étaient parfaitement compréhensibles.



  Un groupe de jeunes de dix huit ans environ se tenait prêt du van, ils interpellèrent Harold qui discuta quelques instants avec les plus vieux.


Puis il poussa Jenny vers eux, le leader la serra étroitement dans ses bras et lui roula un patin passionné tout en remontant son  tee-shirt autour de son cou, puis il promena ses mains sur ses charmes alors que ses amis les entouraient envieux.



  Harold riait sourdement lorsqu'il l'extirpa de la foule de ses admirateurs, le tee-shirt toujours tirebouchonné autour de son cou et la poussa sur un siège l'arrière de la camionnette.


Nous montâmes tous dans le véhicule, reprenant les sièges qu'on avait occupé cette nuit.


Jenny était assise entre les eux amis d'Harold à l'arrière, elle avait repoussé le tee-shirt sur ses nichons.



  Je dus à me retourner pour voir les deux potes d'Harold molester Jenny.


Le van traçait son chemin au travers des routes étroites et sinueuses des bas quartiers de la ville et je vis qu'on se dirigeait vers une immense plantation de bananes.


Le conducteur emprunta toute une série de ruelles et il finit par se ranger devant une hutte délabrée en arrière de la route.



  6 décembre 2007


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus (vulgus@hotmail.com)



Terreur à Ténérife Ch 3


Coulybaca / Vulgus





    Chapitre 3 : la fin du calvaire ?



  Tout le monde sortit la camionnette, je vis alors un groupe de noirs qui nous reluquaient regardant alors que nous nous dirigions vers la hutte.


 Harold dit à Jenny :


-         "C'est là que travaillent les chefs! ..... Tu vas  les payer pour nous laisser disposer de toi aujourd'hui...   Tu  vas être très gentille avec eux! ...."



  Jenny hocha la tête misérablement et nous nous sommes arrêtés à la porte de la hutte. Deux hommes en sortirent, ils étaient tous deux de type espagnol et la conversation se déroula soudain en espagnol.


Nous ne parlions pas l'Espagnol, mais on était capable de reconnaître quelques mots. mais ils parlaient si vite et utilisaient tant de tournures populeuses que nous avions aucune idée de ce qu'ils se disaient.



  Les deux espagnols s'approchèrent de Jenny et la toisèrent avec concupiscence. Ils avaient tous deux une bonne quarantaine d'années, ils étaient tous deux grands musculeux et mal lavés.



  Un des amis d'Harold sortit la caméra et se remit à filmer, alors qu'ils exploraient avidement le corps de Jenny sous les yeux des nombreux assistants.


L'un des d'eux lui enleva son tee-shirt bien qu'il ne cacha pas grand chose de ses charmes.


Puis ils échangèrent quelques mots avec Harold et nous firent signe de rentrer dans la hutte.



  Les deux espagnols emmenèrent Jenny vers un  bureau disposé contre un mur et l'agenouillèrent face à lui. Ils se postèrent devant elle et ouvrirent leurs pantalons et chacun à leur tour ils lui fourrèrent leurs grosses bites en bouche, et parfois jusque dans la gorge.



  Après plusieurs minutes de ce régime, ils la firent relever et la couchèrent  dos sur le bureau.


L'un des deux remonta ses jambes sur son buste et entreprit de la baiser sauvagement tandis que son partenaire se dirigeait vers l'autre coté du bureau ou pendait sa tête et se mit à la baiser en bouche avec la même sauvagerie.



  Jenny se débattit bien un peu au début, mais elle dut se résigner à son sort, et les laissa tranquillement se servir de son corps.


Cela ne dura pas bien longtemps, mais ils n'en avaient pas encore finis avec elle.


Ils changèrent de repris et se remirent de plus belle à la marteler de violents coups de bites.


Nous nous tenions tous quatre dans un des coins de la pièce regardant Jenny payer sa mise à la disposition d’Harold! .....



  Lorsque les deux espagnols eurent bien joui de ses charmes  une seconde fois, ils semblèrent se trouver dans de meilleurs dispositions, l'atmosphère se détendit, tout le monde semblait satisfait, à part Jenny et moi bien entendu.


Elle resta étendue sur le bureau pendant quelques minutes tandis qu'Harold discutait avec eux, les deux copains d'Harold profitèrent de l'accalmie pour se faire  Jenny une fois de plus.


 


Ils prirent position de chaque coté du bureau et se servirent d'elle tout comme les Espagnols s'en étaient servis, l'embrochant par ses deux trous opposés.


Celui qui tenait la caméra continua à la filmer tout en la baisant.


Ils commutèrent leurs positions à plusieurs reprises avant de se vider les couilles dans les profondeurs de sa gorge et de son utérus.



  Celui qui se trouvait dans sa foufoune attendit que son comparse extirpa sa bite de la bouche de sa victime, il se retira alors et contourna le bureau pour venir se faire nettoyer la bite par sa langue agile.



  Je regardais sa chatte toute rouge et enflée le sperme des quatre hommes qui venaient de la posséder s'écoulant lentement de sa chatoune.


Elle était souillée et semblait visiblement fraîchement baisée, mais sa cramouille ne montrait pas de signes évidents des nombreux abus qu'elle avait enduré ces 12 dernières heures.


J'avais perdu le compte des hommes qui l'avaient violée depuis qu'Harold nous avait asservi.



  Les deux complices d'Harold aidèrent Jenny à se relever et l'emmenèrent à l'extérieur, nous les suivîmes en les regardant.


Ils l'emmenèrent à coté du hangar devant nous six et la troupe de travailleurs de la plantation, dont queues femmes d'ailleurs.


L'un des amis d'Harold empoigna un tuyau d'arrosage et nettoya la chatte de Jenny à grand jet.


Lorsqu'il eut nettoyé les traces de sperme qui souillaient sa moule, il lui colla l'extrémité du tuyau dans la chatte, elle hurla.


Je ne sais pas si elle pleurait d'humiliation ou de douleur alors qu'il rinçait imperturbablement l'intérieur de sa cramouille.



  Je remarquais que le groupe de travailleurs qui attendaient à quelques pas ne semblait ni choqué ni surpris de cette façon de faire.


Je me demandais combien de fois ils avaient assisté à ce spectacle que leur offrait  Harold et ses deux acolytes.


Je savais d'après les discussions précédentes que nous n'étions pas les premiers touristes à tomber entre leurs griffes.



  Enfin il ferma le robinet et tendit à Jenny son tee-shirt, qu'elle remit sur son dos.


Puis ils revinrent vers la camionnette.


Nous sommes retournés en ville et nous sommes garés devant un studio photo qui approvisionnait les quartiers populeux.



  Les rues grouillaient de noirs, avec quelques espagnols et de rares blancs qui se promenaient dans la contre allée.


Tout le monde s'arrêtait pour reluquer les charmes de Jenny alors qu'à moitié nue, elle traversait, en notre compagnie, le parking pour gagner un bâtiment à quelques mètres du studio photo.




   Je réalisais qu'on nous attendait, l'homme derrière le comptoir hocha la tête à l'adresse d'Harold et lorgna Jenny, il en fit le tour détaillant ses charmes ferma la porte  du bureau et accrocha une petite affiche à la poignée de la porte.



  On le suivit dans l'arrière salle où se trouvaient des box de poses, celui éclairé figurait une chambre à coucher naturellement.



  Harold attira Jenny dans le box et discuta quelques secondes avec elle, on me poussa sur une chaise contre le mur, les comparses d'Harold s'assirent de chaque coté de moi.


J'écoutais la conversation entre Harold et Jenny.


Harold lui donnait ses instructions, elle écoutait attentivement en hochant de la tête.



  Apparemment une des choses qu'il lui demandait lui posait problème, il semblait qu'elle tentait de le résonner, ou tout au moins de plaider sa cause.


Mais à la vue de l'air résigné qu'elle affichait, je compris qu'elle ne l'avait pas convaincu.


Elle savait qu'elle serait toujours la perdante, pourquoi argumentait-elle encore? .....



  Harold revint vers nous et s'assit à nos cotés, le photographe se pointa alors pour prendre des photos de Jenny.


Les premières n'étaient que des poses dans son petit tee-shirt, mais bientôt elle dut l'enlever.


Interdit, je constatais que le photographe parlait en anglais, c'est le premier, à part Harold et ses deux séides,  que j'entendais parler en anglais depuis ce qui me semblait un long moment.



  Il prit toute une série de photos de plus en plus obscènes alors que le temps avançait.


Il travailla  les expressions de son visage pendant un long moment lui faisant finalement afficher des sourires satisfaits sinon joyeux.


On avait parois l'impression qu'elle se livrait volontairement à cette séance de poses.



  Puis il arrêta et changea le film de sa caméra. , puis il renouvela carte d'enregistrement des caméras numériques qui entouraient la scène.


Il s'avança dans l'aire de tournage et s'esclaffa :


- "Cette salope m'excite trop.....  A genoux et viens me sucer la bite! ..... Que je puisse me reconcentrer....."



  Jenny obéit sur-le-champ, ce n'était pas un gros effort pour elle.


Elle ouvrit sa braguette extirpa sa bite et le suça jusqu'à éjaculation. Elle savoura longuement son foutre! .....


Puis ils reprirent la séance de pose.


Il lui dit de se positionner sur le lit, jambes grandes écartées, puis il se dirigea vers une porte dérobée, l'ouvrit et appela quelqu'un à l'extérieur, l'invitant à entrer.



  Choqué, je vis deux jeunes noirs entrer, bien qu'ils aient plus de 18 ans ils semblaient bien plus jeunes, on leur aurait donné 15 / 16 ans.


Ils savaient ce qu'il devaient faire.


Ils se déshabillèrent prestement et grimpèrent sur le lit avec Jenny, ils la prirent de toutes les façons possibles et imaginables.


Elle le suça tous deux, puis ils l'enculèrent et la baisèrent tout à tour puis deux à deux variant les combinaisons à l'infini.


Cela dura plus d'une heure et ils éjaculèrent chacun trois fois plantés en elle.



  Ils se relevèrent finalement, se rhabillèrent, le photographe désigna du doigt une petite salle de bain où Jenny alla se nettoyer, tandis qu'il renouvelait les cartes et les films de ses caméras.


Les deux jeunes noirs nous rejoignirent et s'assirent à nos cotés pour assister à la suite du spectacle.



  Lorsque Jenny revint dans la pièce, elle s'allongea de nouveau sur le lit et deux autres jeunes gars vinrent la rejoindre, ils parlaient en espagnol bien qu'ils soient plutôt de type caucasien.


Leur peau était très blanche, ils se ressemblaient énormément et je subodorais qu'ils étaient frères, ils étaient tous deux majeurs mais, comme les deux premiers  acteurs semblaient bien plus jeunes, ils avaient conservé un certain aspect enfantin.



  Ils étaient tous deux aussi expérimentés que les jeunes noirs qui les avait précédés et tous deux capables d'avoir de fortes érections et de nombreux orgasmes, comme les scènes enregistrées devaient en témoigner par la suite.


Ils re^rirent les mêmes postions que leurs deux prédécesseurs, changeant souvent de positions et la possédant de toutes les façons envisageables, en solo ou tous deux  simultanément.


Jenny semblait baiser avec des mineurs.



  Le tournage dura encore une bonne heure,  puis les jeunes gens se rhabillèrent et prirent place avec nous comme spectateurs de la suite, déjà le photographe préparait les scènes suivantes, Il enjoignit à Jenny de prendre soin d'Harold et de ses deux complices.


Elle les suça tous les trois, puis elle se prépara à suivre les nouvelles consignes du photographe.


Depuis que nous avions quitté le club la veille au soir, à quelques coupures prêts, elle n'avait pas cessé de se faire baiser.


Je jetais un oeil sur ma montre, il était presque 15 heures.


A part quelques temps de répit, et la durée des transports cela faisait quasiment 17 heures qu'elle se faisait violer à répétition.


Evidemment, elle semblait très fatiguée, et c'est peu de le dire.



  Elle suça à son tour le photographe et il l'envoya une nouvelle fois se nettoyer, une fois de retour il lui donna une paire de draps propre et lui intima de refaire le lit.


Cette opération terminée elle s'allongea sur le dos, le photographe se dirigea vers la porte et une petite jeune fille qui faisait bien moins que ses dix huit ans entra dans la pièce.


Elle ne semblait pas le moins du monde impressionnée par le nombre de spectateurs, les spots lumineux et les caméras.


Elle sourit au photographe et s'étendit entièrement habillée au coté de Jenny.



  Jenny savait ce qu'elle devait faire et elle entreprit se gouiner avec la jeune fille, faisant en sorte qu'on ait l'impression qu'elle cherchait à la séduire tout en lui enlevant lentement ses vêtements pour la caresser et embrasser le joli corps d'adolescente qu'elle révélait sous l'objectif des caméras.



  Je savais que Jenny n'avait jamais fait l'amour avec autre femme auparavant, sa détresse était visible de devoir  se gouiner avec une fille qui paraissait si jeune, bien plus jeune que son âge réel.


Mais elle s'exécuta comme on le lui avait ordonné.


Elle embrassa la jeune fille sur tout son corps, allant jusqu'à lui écarter les cuisses pour lécher tendrement sa fentine épanouie et son petit anus frétillant alors que la caméra prenait des plans rapprochés.


Une fois qu'elle eut bouffé la chatoune de la jeune fille lui procurant plusieurs orgasmes, elle fut finalement autorisée à arrêter.



  Cette fois, alors que la fille restait sur le lit Jenny se releva et se disposa à quatre pattes entre les jambes d'Harold.


On m'ordonna de me lever et de me déshabiller, je voulus refuser en comprenant leurs intentions.


Les comparses d'Harold se levèrent alors et tandis que Jenny faisait une savoureuse pipe à Harold il leva les yeux sur moi et hurla :


-         "On a besoin de photos compromettantes de toi en pleine action pour pouvoir nous protéger de tout retour du bâton! ....  Tu sais ce qu'on peut te faire! ....  On peut te rouer de coups, on peut démolir ta petite amie, de toutes manières c'est nous qui gagnerons......  Si tu continues à refuser de participer de ton plein gré, cela va devenir extrêmement douloureux! ..... Rassemble tes esprits et cesse de te révolter! ...."



  Je reluquais la fille qui couchée sur le lit souriant et riant et plaisantant avec le photographe et je reconnus que j'avais pas le choix .


Je me déloquais et quand une fois prêt le photographe se dirigea vers moi, Harold m'ordonna de bouffer le gazon de la jeune ado, puis de la baiser.



  Je le regardais  fixement, Jenny avait fini de lui sucer la bite et taillait maintenant une pipe à son voisin.


Puis je baissais les yeux sur la jeune fille, elle arborait maintenant une expression paniquée, effrayée, comme si elle venait d'être menacée de mort.


Il était évident que les images montreraient clairement que je violais cette jeune fille.


Je grimpais sur le lit et me postais entre ses cuisses, une fois que je fuis en place elle commença à me supplier de la laisser partir, de cesser de la toucher, de ne pas la violer.



  J'ignorais son comportement et me mis à lui bouffer le gazon, sa chatte était distendue par de nombreux services,  pour satisfaire Harold.


Il était évident que de nombreuses bites s'étaient déjà succédées depuis longtemps, et j'en sentais désolé, mais à cet instant j'étais encore plus préoccupé par mon sort et celui de Jenny.



  Lorsque je sentis que j'avais passé assez de temps à lui lécher la chatte pour satisfaire Harold, je changeais de place et m'efforçais d'introduire ma queue molle dans sa chatoune.


Finalement je me redressais et me postais à genoux devant son visage, visiblement embarrassée, elle me prit en bouche et me suça avec expérience pour ériger ma bite.


Lorsque je fus bien dur, elle s'étendit à nouveau et la séance reprit.



  Elle afficha à nouveau un air paniqué, terrifié et elle se remit à me supplier de cesser alors que je me postais entre ses cuisses et pénétrais aisément sa chatte bien rodée.


Je la baisais assez longuement, je ne saurai dire combien de temps en fait.


Puis une fois que j'eus joui, je me redressais et m'assit sur le bord du lit.



  Je remarquais que Jenny avait fini de sucer les deux amis d'Harold et s'efforçait maintenant de contenter les quatre jeunes qui s'étaient succédés dans ses trois trous, la jeune fille s'assit à mon coté et me dit dans un anglais des plus pur :


-         "Je suis désolée, mais je suis obligée de faire ce qu'ils veulent, tout comme vous! ....."



  Je hochais la tête, je la comprenais.



  Je me rhabillais prestement tandis que Jenny faisait jouir rapidement les quatre  jeunes hommes.


Quand elle en eut fini, on lui rendit son tee-shirt qu'elle remit sur son dos.


Elle s'était résignée à évoluer les fesses à l'air, elle savait que dès qu'elle faisait un pas elle exhibait en totalité sa croupe.



  Nous quittâmes enfin le studio photos, il était plus de 16 heures maintenant et les rues étaient de plus en plus remplies de promeneurs, il y en avait bien plus que lors de notre arrivée 5 heures plus tôt.


Cette foule prenait grand plaisir à reluquer les charmes que Jenny ne songeait même pas à dissimuler.



  Harold lui avait dit de marcher deux mètres devant nous, pendant tout le chemin de retour à la camionnette, elle fut copieusement pelotée et molestée par les passants.


Elle n'essayait même pas de se défendre, elle n'avait aucune chance d'y parvenir, elle se contentait d'avancer faisant semblant d'ignorer toutes ces mains baladeuses qui inventoriaient ses trésors de féminité.



  Nous nous empilâmes dans le van et Jenny dut à nouveau enlever son tee-shirt.


Elle devait s'occuper d'Harold cette fois, alors que je  regardais au dehors, je fus tout surpris de voir que nous prenions la direction de notre hôtel.


Le conducteur gara son van dans le parking de l'hôtel et on en descendit.


Décidé à éviter tout problème, Harold fouilla dans un sac à coté de son siège et tendit à Jenny une minuscule jupe qu'elle enfila ainsi que son tee-shirt.



  Nous sommes allés directement dans notre chambre, Harold commanda un repas pour 5 personnes.


Je ne sais pas si c'était le cas de Jenny, nous n'avions pas l'autorisation de nous parler, mais quant à moi, j'étais affamé, je n'avais rien mangé depuis la veille au soir.



  Jenny dut se déshabiller à nouveau dès que nous entrâmes dans la chambre, et 45 minutes plus tard, lorsque deux serveurs apparurent apportant la nourriture elle les emmena sur le lit et leur offrit un copieux pourboire en nature.


Elle savait ce qu'elle devait faire et s'y était mentalement préparée.



  Les deux serveurs étaient noirs et l'un d'eux semblait connaître Harold, ils discutèrent un bon moment, ils semblaient prendre des arrangements, je ne sais pas ce dont il s'agissait bien sur, mais je me doutais qu'il s'agissait de mauvaises nouvelles pour Jenny.


Ils nous autorisèrent enfin à manger, nous nous jetâmes tous deux voracement sur  les plats.


Elle était éreintée et malade à mourir d'avoir été violée à couilles rabattues par tous ces mâles en rut, la nuit avait été longue, le jour suivant tout autant et elle était affamée après tout cet exercice.


Une fois que nous eûmes mangé, ils nous autorisèrent à prendre une bonne douche.


J'étais fort surpris de voir qu'ils nous séparaient prudemment nous interdisant de parler l'un à l'autre depuis qu'ils nous avaient piégés.



  On se rendit dans la salle de bain et on resta longtemps sous le flot chaud de la douche nous serrant fortement l'un contre l'autre pendant un long moment.


J'aurai voulu la rassurer, mais je ne pouvais que lui dire :


-         "Je suis désolé chérie! .... Mais rappelle-toi que je t'aime quoi qu'il arrive ! ...."



  Elle sanglota pendant un long moment et me répondit :


-         "Ce n'est pas ta faute.....  Tu as bien essayé d'intervenir......  Mais c'est mou qui ait insisté pour rester dans cette maudite boite! .....  Si je t'avais écoutée, rien de cela ne serait arrivé! ...."



  Nous nous lavâmes mutuellement et nous restâmes encore un bon moment sous le flot chaud de la douche, jusqu'à ce qu'arrive Harold nous enjoignant de sortir de la douche.


Ses copains et lui réclamaient quelques divertissements.



  Jenny gémit mais nous dûmes nous séparer, fermer les robinets et nous sécher, j'enfilais des vêtements propres, Jenny resta nue et nous partîmes rejoindre nos tourmenteurs.



  Jenny eut alors un coup de pot, tandis que nous nous trouvions sous la douche, ils avaient rappelé le garçon d'étage qui avait renouvelé les boissons, il était reparti tout de suite, de ce fait elle n'eut pas à lui servir de pourboire cette fois.



  On prit tous place sur le balcon et ils se mirent à regarder les gens assis autour de la piscine qui discutaient dans leur langue. Ils se désignaient du doigt certains hommes, ou certains groupes, ils semblèrent finalement prendre une décision.



  Harold tendit à Jenny un  de ses bikini, le plus sexy, celui qu'elle avait acheté le premier jour de nos vacances.


Il avait enlevé la doublure, et lorsqu'elle l'enfila, il s'avéra si transparent que ses tétons et sa chatte poilue étaient visibles au travers du fin tissu.



  Harold l'avait regardé enfiler son bikini, il l'examina longuement et sembla totalement satisfait. de ce qu'il voyait.


Il lui montra alors du doigt les deux hommes qu'ils avaient sélectionné en compagnie de ses deux amis et lui ordonna de descendre à la piscine et de les inviter à l'accompagner dans sa chambre où ils pourraient la baiser de la façon qu'ils préféreraient! ....



  Jenny demanda :


-         "Devant vous quatre? ...."



  Harold lui répondit :


-         "Non, nous nous tiendrons dans la pièce voisine, avec la porte entrebâillée...  On pourra écouter et voir... Et maintenant au boulot! ...."



  Nous sommes passés sur le balcon de la chambre adjacente, une minute pus tard, Jenny arriver à la piscine jeter un oeil circulaire et se diriger vers des deux touristes d'une quarantaine d'années qui parlaient ensemble à l'ombre d'un parasol en buvant un coup.


Ils avaient un paquet de verres vides devant eux, il semblait bien que cela faisait un bon moment qu'ils étaient là.



  Nous regardions Jenny manœuvrer parmi la foule pour les accoster, bien que retenant l'attention de tous.


Une des mères de famille couvrit de sa main les yeux du gamin qui l'accompagnait alors que Jenny passait devant eux, je vis une autre femme donner un coup de coude à son mari pour lui enjoindre de cesser de baver sur les charmes de ma ravissante femme.



  Elle parvint finalement au coté des deux hommes, elle attira immédiatement leur attention.


Elle leur sourit et devisa calmement avec eux pendant quelques minutes.


Il ne fallut que quelques minutes pour qu'ils reviennent tous trois vers l'hôtel, peu de temps après nous les avons entendu entrer dans la chambre et, une fois la porte extérieure fermée Jenny enleva instantanément son bikini et les deux hommes, des américains me semble-t-il se déloquèrent prestement.



  Dès qu'ils furent tous trois entièrement nus il prirent place sur le lit, Harold entrebâilla la porte d'une bonne vingtaine de centimètres et On la regarda sucer les deux hommes jusqu'à ce qu'ils soient bien durs, puis tandis qu'elle continuait à tailler une pipe à l'un des deux l'autre se posta dans son dos et entreprit de la baiser à couilles rabattues.



  Il y eut quelques instants de trouble lorsque Jenny sortit la bite de celui qu'elle suçait en  protestant :


-         "Non... Pas là..... Dans la chatte! .....  Je la veux dans ma chatte! ...."



  Mais elle dut reprendre la bite de son chevaucheur de tête en bouche et l'homme qui la baisait éructa :


-          "Ma petite dame t'as dit qu'on pourrait te faire tout ce qu'on voudrait, et moi j'ai envie de t'enculer! ..... Et maintenant concentre-toi sur ce que tu fais, moi je m'occupe de tes fesses! ...."



  Il continua de lui bourrer sa bite dans le trou du cul et je l'entendais couiner de douleur alors qu'il l'enculait sans aucune tendresse, seul le plaisir qu'elle lui procurait l'intéressait.



  Ils jouirent presque en même temps, puis  les deux hommes s'effondrèrent sur le lit et plaisantèrent au sujet de la chaude petite salope qu'ils venaient tout juste de s'envoyer.


On s'attendait à ce qu'ils quittent la chambre, mais, au lieu der ça ils la remirent au turf, se faisant sucer pour bander à nouveau.



  Une fois qu'il fut dur, l'homme qui l'avait enculée la fit monter sur lui, l'emmancha en chatte, puis il la tint ferment invitant son pote à goûter à son trou du cul.



  Cela prit un petit moment avant qu'ils arrivent à coordonner leurs coups de boutoir, mais en quelques minutes leurs deux coups coulissaient alternativement dans son trou du cul et sa chatte, elle devait s'embrocher elle-même sur eux guidées par leurs mains autoritaires.



  Je remarquais qu'un des potes d'Harold filmait la séance bien que la qualité de l'enregistrement laissa à désirer.


Cependant cela pouvait provoquer un surcroît d'excitation à ceux qui apprécient ce genre d'enregistrement saccadé.



  Ils la baisèrent longuement cette fois, et finalement ils se vidèrent tous deux les couilles dans ses orifices asservis et se relevèrent avant qu'elles ne nettoient leurs bites souillées de coups de langue agiles.


Ils la remercièrent de leur avoir offert une distraction d'une telle qualité et lui offrirent de revenir le lendemain si le besoin s'en faisait sentir.



  Jenny leur adressa un sourire triste et leur répliqua qu'elle verrait bien demain, selon son programme.



  Ils la quittèrent sur ces mots et Harold ouvrit en grand la porte de communication entre les deux chambres et l'envoya se prendre une douche rapide.


Pendant qu'elle se nettoyait, nous retournâmes tous les 4 sur le balcon et ils sélectionnèrent les  suivants qui pourraient se repaître de ses charmes.



  En sortant de la salle de bain elle enfila une sortie de bain et vint nous rejoindre sur le balcon.


La nuit commençait à tomber et il faisait de plus en plus sombre à l'extérieur, après une courte discussion ils choisirent deux jeunes de 18 / 20 ans, ils les désignèrent du doigt, sans dire un mot elle quitta la chambre.



On la vit s'approcher, une paire de minutes plus tard des deux gars et entamer la conversation. Il n'y eut pas besoin de grands discours. En moins de deux minutes ils remontaient tous trois vers la chambre.



  Nous sommes retournés dans la chambre contiguë, peu de temps après, on les entendit entrer dans notre chambre.



  Les deux jeunes gars s'exprimaient dans un mélange d'anglais/français mais comme ils n'avaient que peu de choses à se dire, cela ne gênait personne.


Jenny les suça tous deux rapidement histoire de les mettre en bonnes conditions.


Puis elle s'allongea cuisses grandes ouvertes sur son lit, l'un des deux l'enfourcha et la pilonna de violents coups de boutoirs.



  Ils me  forçaient de les regarder copuler, cette fois encore les jeunes qu'ils avaient choisis faisaient moins que leurs âges, on aurait dit qu'ils avaient 16 / 17 ans alors qu'en fait ils en avaient plus de 18, j'avais discuté au bar avec eux deux trois jours plus tôt.



  Le gars qui la baisait jouit rapidement et dès qu'il se recula, son copain le remplaça et baisa Jenny avec la même hâte que son ami.



  Lorsqu'ils eurent jouis tous deux, ils s'allongèrent à ses cotés sur le lit et explorèrent lentement ses charmes, s'attardant spécialement sur ses nichons bien fermes.


Tandis qu'ils malaxaient ses nibards, elle empoigna leur chibre et en un rien de temps ils furent à nouveau raides, prêts à repartir à l'assaut.



  Elle leur sourit et leur susurra quelque chose aux oreilles que je ne compris pas.


Puis elle se redressa et entrepris de sucer l'un d'eux alors que l'autre se postait dans son dos et se remettait à la baiser de plus belle.



  Elle avala le foutre de son chevaucheur de tête et lorsque l'autre eut giclé dans sa chatoune elle lui nettoya consciencieusement la bite de la langue.


Puis elle les escorta jusqu’à la porte.


Une fois qu'ils furent partis, elle se rua dans la salle de bain et prit une nouvelle douche.


Nous retournâmes tous les 4 sur le balcon, je me demandais combien il se passerait de temps avant qu'ils en aient marre de ce manège, je m'imagine que Jenny se demandait la même chose.



  Ils recommencèrent à examiner la foule qui entourait la piscine lorsque Jenny nous eut rejoint, ils avaient déjà choisi sa prochaine cible.


C'était un véritable colosse assis seul à une table pas très éloignée de la porte.


Je ne veux pas dire un mec musclé mais un gros homme, un obèse qui devait bien faire ses 150 kgs. Ses larges fesses molles dépassaient du siège de sa chaise et il était vêtu des pieds à la taille, vraisemblablement il n'avait pas trouvé de maillot de bain à sa taille! .....



  Harold le désigna joyeusement, sans un mot Jenny se leva et partit rejoindre sa cible.


Nous la regardions approcher de son "homme" ils discutèrent pendant un temps qui me parut assez long.


Il devait penser qu'elle voulait juste l'allumer, le tourmenter comme devaient le faire un grand nombre de jeunes femmes pour se foutre de son obésité.



  Finalement il se secoua et bondit sur ses jambes, et la suivit, nous sommes alors retournés dans la chambre voisine.


Cela prit un assez long moment pour qu'ils arrivent à la chambre, mais finalement la porte s'ouvrit et Jenny entra avec lui.


Ils devisèrent tranquillement, il était très difficile de deviner l'origine de cet homme.


Il avait un accent assez prononcé mais parlait couramment l'Anglais.


Je ne l'entendais pas assez bien pour déterminer d'où il venait, il parlait très doucement.



  Jenny se débarrassa de sa tenue et s'approcha de lui, il explora lentement ses charmes.


Je ne serai pas très surpris d'apprendre que cet homme en fin de cinquantaine soit encore vierge.


Après avoir détaillé ses nibards et sa chatoune pendant quelques minutes, il l'enlaça la pencha sur lui et chercha à l'embrasser.



  Elle referma ses bras autour de son cou et lui rendit ses baisers, bientôt ils s'embrassaient avec passion.


Ils s'embrassèrent un long moment puis Jenny l'emmena vers le lit, elle repoussa son short et son caleçon sur ses chevilles et l'invita à s'asseoir.


Elle se laissa tomber à genoux et après avoir localisé avec quelques difficultés sa petite bite elle posa la tête sous sa panse et le suça pendant trois courtes minutes.



  Il grogna sourdement, la remercia de se montrer si douce, la félicita de sa beauté, je l'entendis finalement lui confier qu'il venait d'Angleterre.


Jenny embrassait sa courte queue puis elle se mit de nouveau à deviser doucement avec lui.


Elle caressait sa bite tout en discutant et elle ne tarda pas à raidir à nouveau, elle me semblait se comporter particulièrement gentiment avec lui.


J'avais l'impression qu'elle l'aimait vraiment et que finalement elle était vraiment désolée de le voir aussi affligé.



  Une fois sa bite de nouveau raide, elle se positionna correctement et se démena pour l'introduire dans sa chatoune remuant son bassin pour l'exciter.


Tandis qu'elle le baisait tendrement, il tendit la main et empauma ses lourds nibards qu'il malaxa amoureusement soudain il devint écarlate alors qu'il jouissait dans la chagatte de Jenny.



  Elle se retira et le suça gentiment, puis ils discutèrent encore quelques instants avant qu'elle ne l'aide à se rhabiller et le raccompagne à la porte de la chambre.


Elle retourna immédiatement dans la salle de bain prit une nouvelle douche rapide et nous rejoignit dans la chambre.



  Harold avait commandé une nouvelle tournée pour nous cinq cette fois, Jenny était chargée d'offrir un savoureux pourboire au garçon quand il amènerait la commande.


Cette fois nous étions tous dans la pièce et l'on put l'observer sucer longuement l'épaisse bite noire du garçon comme pourboire.


Il la baisait assez rudement tentant d'enfoncer sa grosse mentule dans on arrière gorge, mais  en sa bite était trop épaisse pour qu'il y parvienne, il s'entêtait pourtant et Harold et ses comparses riaient aux éclats en la voyant se débattre.


Finalement il gicla dans sa bouche et il l'obligea à avaler toute sa semence.


Apparemment il  avait éjaculé une énorme quantité de foutre et elle dut s'y prendre à plusieurs reprises pour tout avaler servilement.



  Lorsque le garçon nous eut quittés, on retourna sur le balcon et ils explorèrent les alentours de la piscine à la recherche d'une autre cible.


Cependant il se faisait tard, il ne restait plus que quelques couples autour de la piscine la plupart avec de jeunes enfants.



  Harold se releva et fouilla dans les affaires de Jenny, il sélectionna la combinaison qu'elle avait achetée pour la porter sous sa courte robe noire.


Elle l'enfila, elle n'était pas plus longue que le tee-shirt qu'elle avait porté une grande partie de la journée.


Une fois qu'elle fut prête, on quitta tous la chambre, elle n'avait pas enfilé de chaussures depuis le tout début de la matinée, ils semblaient aimer la voir évoluer pieds nus.



  Nous sommes retournés au club où ils nous avaient piégés et on prit une table tout près de  piste de danse.


Tout comme la nuit dernière nous étions les seuls blancs dans le club.


On nous apporta des boissons, Harold nous permit de nous asseoir et de regarder les couples évoluer sur la piste de danse.


Je regardais attentivement cette érotique danse indigène qu'Harold avait enseigné à Jenny la nuit dernière.


On aurait dit une chorégraphie de boite à strip-tease.


Elle était extrêmement sensuelle.



  A peine la première tournée éclusée, Harold en commanda une autre, puis il se leva et entraîna Jenny sur la piste.


Presque à chaque mouvement elle exhibait son cul ou sa chatte et ses nibards menaçaient de s'évader de sa combinaison.


Sa tenue était très provocante, et retenait l'attention d'autant plus qu'Harold se débrouillait pour exposer un peu plus ses charmes.



  Ils exécutèrent deux danses puis revinrent s'asseoir à ma table pour siroter à petits coups leurs boissons.


Puis ils retournèrent sur la piste, alors que l'orchestre entamait un slow très sensuel.


Harold retourna Jenny de façon à avoir son dos contre son torse, il fit glisser les bretelles de sa combinaison le long de ses bras et laissa sa combinaison retomber autour de sa taille.


Puis il la tint étroitement contre lui, mains sur ses hanches et dansa lentement ses nibards exposés à la foule des danseurs.



  L’orchestre se rendant compte de ce qui se passait fit durer longuement le slow.


Tout en dansant Harold frottait sa bite contre sa croupe, ses mains se promenaient sur son ventre, pétrissaient ses nichons pour revenir flatter son ventre laissant ses miches gonflées exposées aux regards salaces des autres danseurs ravis de l'aubaine.



  Finalement l'orchestre reprit un rythme plus rapide et Harold trouva un autre moyen de captiver la foule des danseurs.


Il descendit sa combinaison sur ses genoux et elle se retrouva entièrement nue au milieu de la piste de danse.


Il balança la combinaison en direction de notre table et je me démenais pour m'en emparer avant qu'un autre danseur ne s'en saisisse comme d'un souvenir.



  Il n'y avait qu'un visage blanc dans la foule des danseurs.


Jenny était totalement nue et il n'y avait pas qu'Harold qui inventoriait ses charmes.


Les danseurs se démenaient pour l'approcher pour pouvoir mieux reluquer les charmes de cette jeune blanche qui dansait nue au milieu d'eux.


Lorsqu'ils se trouvaient assez près d'elle ils se rendaient compte qu'elle laissait ses admirateurs la caresser à leur guise ils se mettaient alors à la peloter copieusement se repaissant de ses charmes plus du tout secrets.



  Après un long moment, l'abandonna sur la piste et rejoignit notre table pour se désaltérer la regardant avec amusement.


Les hommes l'encerclaient étroitement et elle avait cessé de danser.


Elle se tenait  nue au milieu d'une foule de noirs sur la piste de danse ils malaxaient et pétrissaient ses nichons, doigtaient sa chatoune et son trou du cul se bousculant les uns les autres pour avoir le privilège de profiter avidement de ses charmes.



  La caméra avait repris le tournage et enregistrait tout qui se passait.


J'avais peur que les choses ne dérapent rapidement.


Il y avait beaucoup d'hommes excités dans la salle.


J'avais perdu le compte des hommes qui avaient baisé Jenny aujourd’hui, mais ils étaient bien une vingtaine de tous âges et de toutes races.


Ils étaient plus d'une centaine de danseurs dans la salle.


Tous très costauds, frustres, rudes, pleins d'énergie visiblement ils seraient très difficiles à dissuader si Harold venait à perdre le contrôle des événements.



  Mais je suppose que ce n'était pas la première expérience de ce type pour Harold et qu'il savait quand  intervenir.


Il retourna à l'endroit où Jenny était grossièrement molestée,  il fendit la foule et la ramena vers la table.


Je pensais effondré que cette tenson sexuelle qui avait monté dans la salle ne pourrait se terminer que par un inéluctable gang bang!


J'étais sur que Jenny serait incapable de baiser avec tous ces hommes.



  On vida nos verres puis on quitta la salle de danse, Harold me donna la combinaison de Jenny, elle dut traverser la foule à ses cotés entièrement nue alors qu'on sortait de la salle pour rejoindre la camionnette.



  Juste au moment où nous atteignions le van, on entendit un cri émanant de la direction du club, nous nous sommes retournés et on vit un colosse noir qui se ruait sur nous.


Harold lui hurla quelque chose en retour puis discuta avec lui pendant quelques minutes.


Puis ils nous rejoignirent alors que nous nous tenions à coté du van; Harold annonça alors :


-         "Je vous présente monsieur Pearce,  le propriétaire du club, il voulait nous dire à quel point il avait apprécié la performance de Jenny, il s'est toujours montré si compréhensif avec moi que je pense qu'il serait extrêmement souhaitable que Jenny baise avec lui.



  Jenny ne réagit pas à ces mots, ce n'était qu'une bite de plus à endurer.


Le propriétaire du club la prit dans ses bras.


Il la pelotait de la ceinture au cou en grognant tout en se frottant contre ses charmes.



  Puis, après quelques courtes minutes il la courba sur le capot de la voiture, descendit son pantalon sur ses genoux et la fourra rudement.


Elle cria de douleur mais ne fit aucun mouvement pour lui échapper alors qu'il la violait sauvagement.


Bien entendu un des copains d'Harold enregistrait ce nouveau viol.



  Quand le propriétaire du club eut fini de baiser jenny, il lui claqua gentiment la croupe, elle se retourna vivement et lui nettoya tout de go la bite avec la langue.


Il rit à pleins poumons alors qu'elle s'acquittait de cette tâche odieuse, mais il lui laissa le temps d'en terminer correctement, visiblement il adorait ça au moins autant qu'elle le détestait.



  Lorsqu'elle en eut fini,  il remonta soin pantalon, fit un  signe au revoir de la main à Harold et retourna vers son club.


Tandis qu'il partait, Harold essuya la chatoune de Jenny avec sa combinaison, puis il me tendit la combinaison et nous montâmes dans la camionnette.



  Nous sommes revenus à notre hôtel, Jenny enfila sa combinaison souillée et nous retournâmes dans notre chambre.


Harold et ses deux amis la baisèrent successivement puis l'envoyèrent prendre une énième douche.



  Lorsqu'elle sortit de la salle de bain, Harold intervint :


-         "Nous allons vous laisser seuls cette nuit, enfin vous ne serez pas vraiment tout seul! ...... Pendant toute la nuit et toute la journée de demain, des hommes viendront vous rejoindre dans cette chambre et Jenny devra faire tout ce qu'ils voudront! ......"


-         "John se tiendra dans la chambre contiguë et s'il entend des gens se plaindre, il y aura de sévères représailles! ..... Avez vous des questions à poser? ....."



  Je demandais :


-         "Et après...  Vous laisserez-nous partir? .....  Est-ce que ce sera la fin de notre cauchemar? ....."



  Harold sourit et rétorqua vivement :


-         "J'en aurai fini avec vous deux! ...."


Mais quelque chose dans sa façon de dire ces mots me laissait sceptique.



  Harold partit avec un de nous tourmenteurs, le salopard restant m'ordonna de m'allonger au sol le long du mur le plus éloigné du lit et de ne rien dire à moins qu'on me demande quelque chose! ......


Comme je traversais la chambre, et m'étendais sur le sol, un oreiller sous la tête je remarquais que la porte de notre chambre était ouverte.



  Jenny assise sur le lit attendait la suite.


Elle n'attendit pas bien longtemps.


Dans les minutes suivantes commença le défilé de clients.


Ils venaient passer une demi-heuree avec Jenny, puis quittait la chambre remplaçait par le consommateur suivant.


Parmi eux je reconnus de nombreux membres du personnel de l'hôtel, et bien d'autres que ne reconnus pas, mais ils portaient des uniformes avec des badges indiquant qu'ils travaillaient dans l'hôtel.


La porte n'était formée que lorsque ses clients sautaient Jennifer.


Lorsqu'ils repartaient, ils laissaient la porte entrouverte pour le violeur suivant.



  L'équipe entière défila dans la chambre pendant toute la nuit, accompagnée de quelques personnes que nous ignorions si elles travaillaient ici ou non.


Ils se comportaient tous avec rudesse, ce qui était du vraisemblablement à leurs origines populaires.


Le flot des consommateurs commença à se tarir vers 6 heures du matin, mais il reprit de pus belle lorsque les équipes de jour arrivèrent vers 8 heures, on put dormir deux heures d'affilée.


Le flot régulier de consommateurs dans la chambre, leurs grognements de plaisir me firent comprendre rapidement qu'il était vain d'espérer dormir encore un peu.



  Vers 16 heures le comparse d'Harold sortit de sa chambre caméra en main et obligea ma pauvre Jenny éreintée à lui faire une dernière fellation.


Lorsqu'elle se fut occupée de lui avec science, il nous prévint que l'on pouvait fermer la porte et récupérer pendant quelques heures.



  Nous étions trop crevés pour manger où même prendre une douche.


Nous nous recroquevillâmes dans le lit et on dormit d'une seule traite jusqu'à 8 heures le lendemain matin.


Puis on se précipita pour faire nos bagages pour nous préparer au voyage de retour.


Nous n'avions toujours pas mangé lorsque nous sommes arrivés à l'aéroport, nous voulions y être tôt pour nous retrouver, dans un endroit sécurisé où nous pourrions en toute sécurité nous décontracter et penser à manger.



  Le contrôle franchi, nous nous sommes rendus au restaurant de l'aéroport où nous avions pu nous sustenter.


Nous aurions du être affamés si on considère le peu que nous avions mangé ces trois derniers jours, mais on ne fit que picorer dans nos assiettes avant de retourner dans l'aire d'attente où nous avons trouvé deux chaises dans un endroit relativement écarté de la foule.


Je tenais Jenny serrée contre moi alors qu'elle gardait les yeux rivés au sol, perdue dans ses pensées, ou s'efforçant de ne pas penser.



  Lorsqu'enfin on se retrouva assis dans l'avion qui avait décollé, elle craqua et se mit à pleurer silencieusement pendant un long moment.


Je la tenais étroitement enlacée, mais je la laissais pleurer tout son saoul, pleurer ne pouvait que lui faire du bien pensais-je en mon fort intérieur.


Les hôtesses s'arrêtèrent à plusieurs reprises s'inquiétant de cette profonde détresse, je leur assurai que tout allait bien, que Jenny avait besoin d'un peu de temps pour se reprendre.


Je commandais deux boissons fortes, le boire sembla l'aider.



  Lorsqu'elle cessa de pleurer, elle tenta longuement de s'excuser pour ce qui venait de nous arriver.


Cela m'horripilait de la voir s'excuser de s'être fait violer à répétition ces trois derniers jours! .....


De mon coté je m'excusais de ne pas avoir été capable de la protéger, finalement nous nous sommes tus nous serrant l'un contre l'autre pour dormir un peu.


Nous devions changer une fois d'avion, mais excepté cette escale, nous avons dormi presque tout le temps du retour.



  Je ne sais pas si nous étions vraiment reposés, mais nous avions vraiment besoin de rattraper de nombreuses de sommeil avant d'atterrir, cela nous permit de récupérer un tant soit peu.


Nous étions si heureux d'être de retour en sécurité chez nous! ......



  Nous avons pris notre temps pour récupérer nos bagages et passer la douane, puis une fois hors de la foule nous avons pris un taxi pour rentrer plus vite chez nous.



  Nous nous sentions un peu mieux à chaque minute passée sur notre sol originel, les trois derniers jours passés à Ténérife ne s'était pas effacé le temps du vol  retour, mais nous sentions à nouveau en sécurité sur le sol national.



  26 décembre 2007


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus (vulgus@hotmail.com)


Terreur à ténérife Ch 4


Coulybaca / Vulgus






     Chapitre 4 : Le retour au pays, le calvaire reprend.



  Les premières semaines de notre retour furent difficiles.


Nous nous serrions l'un contre l'autre en permanence nous assurant l'un l'autre de la profondeur de notre amour.


Mais nous ne faisions pas l'amour.


La tension avait monté entre nous, nous n'en parlions pas, finalement je suggérais que nous rencontrions un psychiatre spécialisé dans les suites de viols ou bien même un simple psychologue.



  Jenny me répondit :


-         "Ne pourrions nous pas plutôt en parler entre nous? ....  Je ne veux pas parler à qui que ce soit de ce que j'ai enduré, ce serait bien trop humiliant! ...."



  Alors nous en avons parlé entre nous et il apparut que ne voulais pas lui faire l'amour parce que je pensais qu'elle était trop traumatisée et qu'elle ne voudrait plus être touchée par un homme pendant un certain temps.



  Par ailleurs elle pensait qu'elle ne m'intéressait plus parce qu'elle était souillée et elle avait peur que je pense qu'elle était bien trop salie pour l'aimer encore.



  Nous avons parlé sincèrement de ces problèmes puis nous nous sommes aimés longuement, tendrement après avoir surmonté nos craintes initiales.


Il y avait encore beaucoup de choses à résoudre entre nous, mais il nous semblait que nous avions pris la bonne direction pour recimenter notre union.



  Le souvenir de ces deux semaines de vacances était moins prenant, il était temps maintenant de reprendre le boulot.


Nous attendions cet instant avec impatience en fait, il semblait bon de retrouver une certaine routine, des habitudes qui structuraient notre vie.



  Nous nous sommes levés tôt le lundi suivant, avons pris notre petit déjeuner, puis on partit travailler comme si rien ne nous était arrivé.


Je vantais nos vacances auprès de mes collègues de travail faisant abstraction des trois derniers jours de notre séjour.



  Le soir, de retour à la maison, Jenny m'attendait assise dans la cuisine elle avait en main un colis envoyé de Ténérife.



  Jenny était assise les yeux rivés sur le paquet, elle avait l'air terrorisé.


Je regardais l'inscription sur le paquet et vit qu'il provenait de nos amis du "Banana Man's club" de Ténérife.



  Je soupesais l'enveloppe, l'ouvris et en extirpa le contenu.


Elle contenait une lettre accompagnée d'une bonne douzaine de photos.


La plupart des photos représentaient Jenny dans des positions scabreuses, dégradantes incluant des photos où elle paraissait baiser avec des mineurs filles et garçons, en réalité de jeunes majeurs ayant gardé un aspect juvénile.


Il y avait aussi quelques photos de moi copulant avec la jeune fille.


Je ne sais pas si ces photos suffisaient à nous mener en prison bien que je suspecte que c'était le cas, mais elles suffiraient à nous mettre au ban de la société, totalement rejetés par nos amis et nos parents, nos familles.



  Jenny s'était remise à pleurer, elle me demanda :


-         "Qu'est-ce que cela veut dire? ...."



  Je saisis la lettre et la lut rapidement.


Elle m'expliquait qu'afin de réparer les torts que nous avions causés aux habitants de Ténérife nous devrions donner de notre temps pour rapporter de l'argent aux victimes.


Ce temps volontaire serait géré par monsieur Jeffrey Eng, son adresse et son numéro de téléphone étaient indiqués sous son nom.



  La lettre indiquait que nous ne serions réquisitionné que trois jours par semaine tant que nous coopérerions sans créer de problèmes.


Je ne connaissais pas le nom de l'homme qui avait signé cette missive, mais cela importait peu finalement.


Au dos du message étaient inscrits les noms et les adresses de nos proches et de nos employeurs.


Il n'y avait été ajouté aucune menace, elles n'étaient pas nécessaires.



  J'ouvris le petit paquet sur lequel était collée cette enveloppe, j'y trouvais une douzaine de DVD, il n'y avait aucune note mais nous savions tous deux ce dont il s'agissait.



  Je me levais et nous servit une boisson bien raide.


La lettre nous enjoignait de contacter monsieur Eng dès que nous la recevrions.


Je reposais les DVD et les photos dans leurs emballages respectifs m'assit et cherchais comment nous tirer de cette histoire.



  Nous n'étions pas riches, bien que nous ne soyons pas non plus pauvres.


Nous aimions nos boulots qui nous proposaient à tous deux des carrières évolutives, bien rémunérées, garantes d'un train de vie élevé.


Nous ne pouvions quitter nos emplois quelle qu'en soit la raison.


Et, même si nous mourions rien ne dit que nos turpitudes ne seraient pas étalées au grand jour.



  Il n'y avait rien à trouver de ce coté.


Nous devions tout d'abord savoir en quoi consistait ce travail volontaire qu'on nous imposait.


Je suspectais fort que ce genre de job reposerait sur les épaules, ou plutôt l'entrecuisses de Jenny.


Je ne comprenais pas ce qu'ils comptaient obtenir de moi.



  Après être restée assise, silencieuse pendant un long moment, Jenny se releva, se saisit du téléphone et me le tendit.


Je le posais sur l'enveloppe le fixant du regard alors que je cherchais désespérément comment nous sortir de ce pétrin.


Mais c'était inutile, et, finalement j'empoignais le téléphone et appelais le numéro de monsieur Eng.



  Une femme me répondit me demandant de patienter quelques petites minutes, puis une voix grave retentit, un homme qui se présentait comme monsieur Eng.



  Il était évident que cet homme à qui je parlais était noir, son accent était facilement reconnaissable.


Il s'agissait du même accent qu'avait les gens qui parlaient l'anglais à Ténérife.


En fait, on aurait cru entendre parler Harold.



  Il me demanda si nous avions visionné les DVD, je lui répondis que nous venions tout juste de rentrer chez nous et que le colis venait d'arriver le jour même.


Il nous enjoignit de regarder tous les DVD, il estimait que cela devrait nous prendre 36 heures, puis de le rappeler ensuite.


J'essayais de lui en faire dire plus au sujet de ce travail à temps partiel qu'on voulait nous imposer, mais il raccrocha sans daigner me répondre.



  J’étais furieux, j'avais envie de jeter le téléphone contre le mur, je parvins à me contrôler et je me rassis devant la table.


Je répétais à Jenny ce qu'il nous enjoignait de faire, cela ne prit pas longtemps, pas plus que pour le dire.



  Nous cessâmes d'en parler affolés. Nous avons saisi nos verres nous sommes dirigés vers le salon pour mettre le premier DVD dans le lecteur.


Il commença par quelques plans éloignés de nous au club la première nuit.


Ils avaient commencé à nous filmer avant même que nous nous rendions compte de leur présence, avant même qu'Harold ait dansé avec Jenny pour les première fois.



  Puis quelques plans montrèrent Jenny dansant avec Harold, mais l'action n'avait pas vraiment commencé avant que nous allions chez le père d'Harold où ce dernier avait profité longuement de ses charmes.


Ils avaient tiré de longues séquences de cet épisode, la plupart, sinon tous les viols survenus dans la maison du père d'Harold étaient filmés en quasi-totalité.



  Mais pire encore, les plus scabreuses s'avéraient les scènes avec ces majeurs aux visages enfantins et aux corps juvéniles qui avaient été enregistrés dans le studio cinéma, la scène me présentant violant la jeune fille était criante de vérité, on aurait vraiment dit que je me tapais une adolescente de 14/15 ans.


Nous serions totalement rejetés comme des pédophiles si quiconque voyait ces films pourtant tous tournés avec des majeurs.



  Chaque nuit après le  travail nous avons visionné 3 à 4 heures de ces enregistrements.


J'aurai aimé que Jenny ne le sache pas, mais certaines scènes follement érotiques me firent bander à mort.


Mais la plupart du temps nous étions submergés par l'horreur et peur.


Ces enregistrements réveillaient les souvenirs les plus terribles de ces trois derniers jours de vacances et c'était franchement limite du supportable.


Ces événements nous poursuivraient donc toute notre vie! ..... 


On se refusait à le penser! .....



  Cela nous prit 8 jours pour visionner la totalité des DVD, je suis sure que c'était encore plus dur pour Jenny que pour moi, cependant, à plusieurs reprises, après avoir visionné les DVD elle m'entraîna au lit pour faire l'amour, c'était une chose qu'elle ne s'était jamais permis auparavant.


Je m'allongeais docilement me demandant  si une scène du DVD l'avait particulièrement excitée ou si elle faisait l'amour pour se vider l'esprit, ou bien même s'il s'agissait d'une combinaison des deux motivations.


J'avais peur trouver la réponse à cette question.


Cela pourrait m'amener à confesser que certaines scènes particulièrement scabreuses m'avaient fortement excité, et j'avais peur de sa réaction à cette occasion.



  Le dernier DVD recelait différentes scènes de la dernière nuit à l'hôtel alors que tous les membres du personnel la violaient copieusement chacun à leur tour.


Tous les rushs étaient filmés au travers de l'entrebâillement de la porte communicante entre les deux chambres contiguës, l'angle de vue était pauvre, mais ce défilé de clients était sinistre.


On avait l'impression qu'elle était prisonnière dans cette chambre et qu'elle avait été violée à la chaîne par de nombreux hommes pendant des heures et des heures, qu'elle en eut récupéré en si peu de temps paraissait incroyable.


Je décidais de revoir ce DVD lorsque je serai seul, je voulais compter le nombre d'hommes qui l'avait possédé.


Je l'ignorais totalement et je voulais le revoir dans ce but.


Mais je devais admettre que de plus j'en tirerai une forte excitation, cette curiosité venait directement de mes burnes! .....



  Il était 21 heures lorsque nous avons terminé la lecture du dernier DVD, nous pensâmes et bien qu'il soit tard pour passer un coup de téléphone, nous le passâmes tant notre anxiété de savoir ce que ce monsieur Eng attendait de nous était prenante.


Je me rendais bien compte à quel point nous étions vulnérables, Jenny aussi d'ailleurs.



  La même femme répondit à notre appel lorsque je demandais monsieur Eng, il me semblait que c'était une blanche, je ne lui détectais aucun accent particulier.


Elle semblait très jeune, peut être bien de l'âge de Jenny ou un peu pus vieille.



    J'e fus mis une nouvelle fois en attente pendant quelques minutes puis la voix basse et ronflante de monsieur Eng se fit entendre.


Il me demanda à nouveau si nous avions visionné la totalité des DEVD, je lui répondis que oui.



  -         "Dans ce cas vous comprenez bien que vous ne pouvez me poser aucun problèmes! .... N'est-ce pas Mark? ...." commenta-t-il affablement.



  Le fait qu'il m'interpelle par mon prénom me renversa, mais je réalisais à quel point nous étions dans le pétrin en ces circonstances.


Je répondis servilement :


-         "Non monsieur, nous ne vous poserons au problème! ....Mais, s'il vous plait,  pouvez préciser ce qui vous attendait de nous? ...."



  -         "Mais certainement..." me rétorqua-t-il toujours aussi affable...  Venez à l'adresse indiquée sur la lettre demain à 19 heures... Je m'arrangerai pour vous recevoir! ...."



  Sur ces mots il raccrocha le téléphone avant que je puisse lui répondre quoi que ce soit, mais en fait, il n'y avait nul besoin de réponse c'était un ordre.


Je répétais à Jenny ce que monsieur Eng venait de m'ordonner, et nous partîmes coucher, je la serrais sanglotant contre moi.



  Je restais éveillé pendant des heures, me tracassant pour Jenny constatant piteusement qu'une fois de plus je me retrouvais dans une position où il m'était impossible d'intervenir pou la protéger.



  La journée de travail du lendemain me parut interminable, j'étais tenté de ma faire porter pâle pour rentrer chez moi.


Je ne parvenais pas à me concentrer sur mon boulot et je suis sur que j'ai du faire plusieurs bourdes.


Finalement je rassemblais mon énergie me forçant à me concentrer suffisamment pour affronter les dernières heures de travail, mettant de coté les travaux les plus délicats.



  Je rentrais à la maison et y trouvais Jenny douchée et habillée, prête à partir.


Elle avait même préparé un lunch frugal.


Nous avons mangé, puis je pris une douche et changeais de tenue, nous avions téléchargé une carte sur internet indiquant clairement l'adresse ou nous devions nous rendre à 19 heures.



  Ce quartier de la ville ne nous était pas familier, c'était un quartier de petits bourgeois et cela me rassura, je ne sais pas encore pourquoi.


Je me rappelais encore la maison du père d'Harold et les épreuves que nous y avions endurées j'espérai que cette fois les choses se présenteraient bien mieux.


Je savais qu'il y avait peu de chances en fait, mais l'espoir fait vivre.



  On se posta devant la porte je frappais et comprit à la voix que la personne qui me répondait n'était autre que monsieur Eng.


Il était tel que je me l'étais imaginé : un véritable colosse noir dans les 50 ans, un homme très intimidant.



  Il s'écarta d'un pas, nous sommes entrés et avons fermé la porte dans notre dos.


Nous l'avons suivi dans un court vestibule qui menait à une salle de réunion.


Nous fumes fortement surpris et même consterné de constater que monsieur Eng n'était pas seul.


Une douzaine d'hommes se tenait assis autour de la pièce un verre en mains.


Ils étaient tous noirs, et d'une cinquantaine d'années, certains étaient très élégants, d'autres arboraient des tenues forts disparates.


Ils ne ressemblaient à ces gens qui se réunissaient ensembles habituellement.



  Ils braquèrent tous leurs regards sur nous, monsieur Eng ordonna à Jenny de tourner lentement sue elle-même.


Elle rougit, visiblement elle se sentait très gênée d'être une nouvelle fois le centre d'attention.


Nous essayions de toutes nos forces d'éloigner les souvenirs des trois derniers jours de vacances à Ténérife et voila que tout nous revenait en plein visage, cela nous semblait encore pire du fait que cela se passait dans la ville où nous vivions.



  Lorsque Jenny s'eut exécutée, donnant à tous un aperçu de ses charmes sous différents angles, elle se posta face à monsieur Eng attendant son prochain ordre.



  Mais en fait cet ordre me concernait :


-         "Mark déshabillait Jenny je vous prie! ...." m'intima-t-il poliment comme s'il suggérait une chose des plus normales.




   J'entendis Jenny prendre une profonde inspiration, notre épreuve débutait, lorsque nous étions rentrés de Ténérife nous avions ingénument pensé que nos épreuves se terminaient et voila que cela recommençait de plus belle.



  Je reculais de deux pas et me postais face à elle.


Nos yeux se rencontrèrent pendant une seconde, elle savait pertinemment que j'aurai voulu ne pas leur obéir, mais nous savions tous deux que nous étions piégés.


Je déboutonnais son corsage et le faisait  glisser de ses épaules avant de le jeter sur une chaise toute proche.


Sa jupe suivit rapidement elle se tenait maintenant devant en petite culotte, soutien-gorge, et les pieds chaussés.


Je la contournais et dégrafais son soutien-gorge qui ne tarda pas à rejoindre le tas de vêtement sue la chaise, puis je roulais sa petite culotte sur ses chevilles, qu’elle enjamba docilement.



  Je me redressais et jetais son dernier rempart sur le tas de vêtements les yeux braqués sur monsieur Eng et ses invités  le regardant fixer, Jenny avec les autres invités, le regard fixé sur ses charmes.



Monsieur Eng se leva et s'approcha de moi me tendant une caméra numérique de très bonne qualité, il m'intima alors de filmer tout ce qui allait arriver à Jenny ce soir.


Dès que j'eus la caméra en main, il me repoussa en arrière et s'approcha de Jenny.


Il se dirigeait lentement vers elle, il posa une de ses mains sur ses nibards bien fermes et commenta :


-         "Ma chérie ton corps est tout proche de la perfection! .....  Tu es bien plus belle que sur tes photos! .....  Je vais vraiment prendre mon pied à te baiser! ...."



  Les assistants opinèrent en chœur, quelques-uns uns se levèrent et approchèrent pour inspecter ses charmes de plus près.


Ils se contentaient de regarder au début, puis ils promenèrent leurs mais sur ses appâts.


L'un d'eux lui frappa légèrement la cuisse et elle s'empressa d'écarter ses cuisses pour le satisfaire lui offrant un bien meilleur accès à sa chatoune.



  Il inséra un doigt dans sa foufounette, sourit et commenta pour les autres



-         "Elle commence déjà à juter messieurs! .....  Je pense que nous détenons là une salope innée! ....."


Sur ces mots il braqua ses yeux sur Jenny et lui demanda :


-         "Es-tu une salope née? ....  Aimes-tu te faire baiser? ...."



Jenny le regarda misérablement et soupira :


-         "Oui monsieur! ...."



  Monsieur Eng se tourna vers l'un des hommes et lui dit :


-         "Jérôme, pourrais-tu faire venir ton esclave? ..... Qu'on s'amuse un peu avec elle! ...."



  Le dénommé Jérôme sourit, se leva, sortit de la pièce et revint ramenant une femme nue attachée à une laisse par un anneau lui perçant les tétons.


Il ôta sa laisse et la poussa à coté de Jenny.


Elle était très attirante, une grande rousse avec un visage de madone.


Je suppose qu'elle devait avoir une trentaine d'années.


A voir l’expression qu'elle affichait sur son visage on comprenait vite qu'elle était là contrainte et forcée.



  Jérôme lui enjoignit :


- " Chienne dit à Jenny comment il se fait que tu m'appartiens! ....."



  La femme rougit, regarda Jenny et lui confia :


- "L'année dernière je suis allée en vacances à Ténérife avec mon mari...  Un soir, nous avons rencontré un couple au cours d'une soirée dans un club, ils nous recommandèrent un club fréquenté par les indigènes....."


- "Nous nous y sommes rendus et un homme nommé Harold prit contrôle de nous deux! ..... Il me fit faire des choses...   Des choses dégoûtantes, alors qu'ils prenaient plein de photos et de films de mes "performances"... Et maintenant j'appartiens à monsieur Smith! ...."



  Jérôme, monsieur Smith lui fit préciser :


-         "Dis-lui ce que tu fais pour moi chienne! ...."



  -         "Je fais tout ce qu'il veut...  je copule avec lui et ses amis et même des complets étrangers quand cela l'amuse! ...."


-         "Un jour par semaine je me produis dans une boite à strip-tease dans le quartier nigérien et je baise avec tous les clients qui le veulent! ....."


-         "Un autre jour dans la semaine je m'occupe des membres d'un club privé... Et je me fais baiser par tous les gens qu'il m'envoie chez moi, parfois je dois tourner dans des films pornos! ...."



  Alors que cette pauvre femme expliquait sa vie à Jenny, je la voyais pâlir atrocement.


Elle ne nous laissait aucun espoir.


Elle ne pouvait que subir la vie de viols et de dégradations continuelles qu'on lui imposait, et ce pendant je ne sais combien d'années! .....



  Tandis que la femme qu'il appelait « Chienne » parlait, monsieur Smith et ses amis s'étaient levés et avaient entrepris de se déloquer.


Ils se rassirent une fois entièrement nus et monsieur Eng ordonna à Jenny et à « Chienne » de commencer leur prestation.


Rien de nouveau pour "Chienne" je suppose, mais la seule expérience qu'ait eu Jenny avec une autre femelle s'était passée avec cette jeune fille au visage enfantin à Ténérife, sous l'objectif de la caméra.


Cependant elle savait en gros ce qu'on, attendait d'elle.



  Elle laissa "Chienne" diriger leur accouplement et elles commencèrent à se gouiner au centre de la salle de réunion face à une douzaine de mecs en rut qui les reluquaient avec concupiscence.


Elle commencèrent par se frotter l'une contre l'autre en se roulant des pelles bien baveuses, puis elles se laissèrent tomber à genoux puis s'étendirent sur le plancher se pelotant tout en s'embrassant.



  J'essayais d'être aussi discret que possible en les filmant, enregistrant les plans que je savais qu'ils apprécieraient, mais me tenant aussi loin de l'action que je le pouvais.



  Avant bien longtemps elles finirent par un classique soixante-neuf, mais je peux préciser qu'en dépit de leurs efforts, elles n'avaient joui ni l'une, ni l'autre.


Elles faisaient cela uniquement pour satisfaire les appétits lubriques d'une bande de noirs qui contrôlaient maintenant leur vie.



  Les spectateurs discutèrent pendant un bon moment, mais bientôt ils vinrent séparer les deux femmes et le firent se mettre à quatre pattes cote à cote et ils les prirent deux par deux.


Je remarquais qu'ils les baisaient dans un seul office pendant plusieurs minutes avant de commuter leurs positions.


Avant de gicler, ils avaient tous visité leurs trous au moins une fois.



  Lorsque l'un d'eux voulait jouir, il jutait dans la bouche d'une des femmes, lorsqu'ils eurent tous satisfait leurs appétits de lucre, toutes les bites étaient nettoyées.


Leurs chatounes avaient été copieusement utilisées mais était propres, indemne de tout sperme.



  On m'ordonna de cesser de filmer, les spectateurs s'assirent en cercle le temps de vider un verre en discutant le bout de gras dans leur langue africaine qui avait empoisonné nos vacances lorsque nous étions le sujet de leurs conversations.


Ils parlaient de nous bien sur, ils ne cessaient pas de nous jeter des coups d’œil appréciateurs.



  Après un long moment ils se rhabillèrent et nous quittèrent nous laissant en compagnie de monsieur Eng et monsieur Smith.


Ils discutèrent ensemble un bon moment encore puis monsieur Eng se tourna vers nous et précisa :


-         "Vous m'appartenez tous deux désormais... Vous m'appartiendrez jusqu'à ce que je me lasse de vous et que je vous remplace.....  Vous devez seulement vous rappeler que vous agirez désormais selon mes ordres...  Mes ordres ou les ordres d'une des onze personnes qui se trouvaient avec nous ce soir! ...."



  Il se tourna vers moi et ajouta :


-         "Ta tâche principale sera de toujours garder cette caméra avec vous et d'apprendre à vous en servir comme un expert et de filmer toutes les copulations de Jenny avec mes amis......"


-         "A partir de ce jour des gens viendront vous rendre visite dans votre pavillon, de jour comme de nuit, tu devras t'assurer que votre porte sera toujours ouverte lorsque vous serez chez vous! ....."


-         "Lorsqu'un ou plusieurs visiteurs viendront chez vous, vous devrez sourire et vous soumettre à tous leurs désirs! ....."



  -         "On vous donnera un planning qui précisera les moments ou vous pourrez vous absenter..... Il vous dira quand vous pourrez faire vos courses ou visiter des amis, il précisera aussi quand vous devrez vous rendre dans les deux clubs ou Jenny travaillera la nuit! ....."


-         "Si quelqu'un venait à venir chez vous et que vous ne soyez pas là, alors que vous seriez supposé y être, vous serez sévèrement puni..... j'espère bien que vous éviterez d'être punis! ....."



  Il se tourna vers "Chienne" et lui enjoignit :


-         "Je pense qu'ils ne voudraient pas être punis comme tu l'as été b'est-ce pas "Chienne»....."



  "Chienne" se tenait à coté de nous tête basse, elle répondit rapidement :


-         "Non maître! ..."


-         "As-tu déjà été punie "Chienne"...." la coupa-t-il alors.


-         "Oui monsieur, c'était horrible monsieur! ..." répondit-elle aussi instantanément  que sincèrement.



  -         "Quelle punition as-tu subie "Chienne"...." lui demanda-t-il de préciser.


Il était évident qu'il se réjouissait de la faire trembler de honte et de peur.


Il prenait plaisir à la voir aussi gênée, en devant rapporter un événement aussi néfaste de sa vie.



  -         "Je fus violée et partouzée par une bandes de brutes noires sous les yeux de la petite fille alors que mon mari enregistrait la séance! ......" répondit misérablement "Chienne".


Le son horrifié de sa voix suffit à nous arracher des larmes de pitié.



  -         "Si tu nous déçois à nouveau, quelle sera ta punition Chienne? ..." ajouta monsieur Eng impitoyable.



  -         "La prochaine fois, c'est ma petite fille qu'ils violeront..." nous confia-t-elle la voix pleine de terreur.


Sans aucun doute elle savait qu'ils n"hésiteraient pas à le faire.


Elle était visiblement déterminée à ce que cela n'arrive jamais.


Il n'y avait rien que cette pauvre femme ne ferait pour épargner ce triste sort à sa fille.



  Monsieur Eng revint à nous et nous dit :


-         "Je sais que vous n'avez pas d'enfants, mais vous avez tous deux des sœurs qui pourraient bien subir le poids de votre punition encas de révolte! .....  Et bien sur il y a les ravages, que provoqueraient dans votre vie, la diffusion de ces photos et de ces films! ......"



  Puis monsieur Eng fit le point.



  -         "Vous aller vivre selon de nouvelles règles dorénavant! ...."


-         "Jenny à partir de ce jour vous ne porterez plus que des robes très courtes, des minijupes et des corsages minimums! ..... Vous ne porterez plus jamais de collants ou de sous-vêtements à moins qu'on ne vous l'ordonne! ....  Ni caleçons, ni shorts! ....."


-


-         "Quand vous serez chez vous vous demeurerez entièrement nue, au cas quelqu'un viendrait vous voir! ...."



  -         "En outre....." ajouta-t-il suavement "Vous avez été exposée à suffisamment de personnes ayant le même accent que moi pour les reconnaître désormais! ..... Donc dorénavant si quelqu'un parlant avec mon accent vous ordonne de faire quelque chose, quoi que ce soit, où que ce soit, vous devrez le faire sans poser aucune question! ...."



Il regardait Jenny attentivement alors qu'il nous parlait, visiblement il était ravi de voir son visage afficher une folle expression de détresse.


Il poursuivit :


-         "Je vois que tout cela vous inquiète, celà m'excite follement! ....  Viens ici Jenny et fais-moi une pipe tandis que je continue à vous dicter mes instructions! ......."



  Jenny se laissa tomber à genoux entre ses cuisses et se mit à lui sucer la bite tout de go.


Nous étions tous deux si intimidés que l'on n'osait refuser aucun ordre.



  Il nous sourit alors qu'elle entreprenait de le sucer consciencieusement et il continua à nous dicter notre nouveau comportement.



  -         "Mon enquêteur m'a informé que vous avez été très rude avec votre propriétaire......  Je suis sur qu'il s'agit là d'un malentendu et que cela n'a rien à voir avec son origine indienne! ...."


-         "Je crois que vous devriez vous excuser auprès de lui.....  La prochaine fois que le verrez, invitez le dans votre pavillon et demandez-lui clairement d'excuser votre comportement... Je pense que vous voyez ce que je veux dire! ....."



  Il vit la crainte se refléter dans nos yeux, c'était justement ce qu'il souhaitait.



  Il leva la tête vers moi et me rappela :


-         "Chaque fois que Jenny s'occupe d'un homme ton boulot est de filmer sa performance! ..... Si quelqu'un proteste, évidemment vous arrêtez, mais je veux voir le maximum de cassettes montrant comment les gens usent et abusent de ses charmes....."



  -         "En outre vous devrez l'amener à cette adresse le vendredi soir... " et il me tendit une feuille "et à celle là le mardi soir! ...."



  -         "Bien entendu... " poursuivit-il "si  quelqu'un vous ordonne de l'amener  quelque part pendant la semaine vous l'y conduirez là et emporterez la caméra."



  Monsieur Eng demeurait impassible, seule sa respiration était anormalement  rapide, assis confortablement, il guidait les mouvements de la tête de Jenny la faisant accélérer pour hâter son orgasme.


Une fois qu'il eut éjaculé au fin fond de sa gorge, elle avala servilement son foutre, il lui intima alors de demeurer à genoux entre ses cuisses, bite en bouche.



  Une fois qu'il eut bien repris sa respiration, il me jeta un  oeil contrarié et commenta :


-         "Normalement je devrai faire violer une fille de vos familles pour m'avoir désobéi! ....  Mais je suppose que tout simplement mes consignes n'étaient pas assez claires! ...."



  Je le regardais fixement cherchant ce que j'avais fait de mal.


Il vit ma confusion, me regarda avec dégoût et ajouta :


-         "Tu parais pas être une lumière mon gars! .....  Je me rends compte que les femelles de ta famille seront en grand danger le temps que tu t'entres mes consignes dans ton crane épais! ....."


-         "Je vais te les répéter à nouveau.....  C'est une chose que je n'aime pas faire! .....  Chaque fois que Jenny s'occupe d'un homme ton boulot est de filmer intégralement l'action! .....  Quels sont les mots que tu ne comprends pas? ...."



  -         "Je suis désolé monsieur..." parvins-je à balbutier "Mais je n'avais pas compris que cela s'appliquait ici et maintenant! ...."



  Il secoua sa tête comme s'il parlementait avec un idiot et repoussa finalement Jenny en arrière.


Il se releva et me tendit un sac avec les accessoires et les batteries pour la caméra, les DVD et les cartes.


Puis il choisit un bout de tissu posé sur une table basse et enjoignit à Jenny de l'enfiler.



  Jenny se leva et le tint devant elle.


C'était un minuscule fourreau transparent, j'hésitais à l'appeler une robe.


Cela ressemblait plus à une micro toge achetée dans un sex-shop, elle l'enfila docilement.


Il ne tenait fermé que par un bouton à la taille, ses miches étaient largement dévoilées, on distinguait clairement la moitié de ses aréoles jusqu'au mamelon.


En fait ses nibards étaient couverts tant qu'elle restait immobile, cela ne cachait par ailleurs qu'à moitié sa foufoune dénudée, du moins tant qu'elle ne marchait pas! .....



  Il poursuivit


-         "C'est la tenue que tu  porteras pour te rendre à ces deux adresses, et partout ailleurs tu pourrais être envoyée, sauf contre ordre......  Porte les ce soir chez toi.....  Cela te permettra de t'accoutumer à cette tenue... "



  Puis il se tourna vers l'esclave de monsieur Smith et lui intima :


-         "Chienne, fais les sortir! ..."



  Je saisis les vêtements que Jenny portait en arrivant  et on se pressa de suivre "Chienne"  qui nous emmenait vers la porte.


On n'échangea pas un mot en nous rendant à la voiture.


Je remarquais alors que nous marchions que cette micro toge que Jenny portait était plus faite pour attirer l'attention car cela affichait ses charmes plus que cela ne les dissimulait.


A chaque pas elle exposait une bonne partie de ses appâts.



  Nous nous sommes empressés de nous asseoir sur les sièges de la voiture et on demeura là immobiles un long moment, incapables d'émettre un mot.


Je me sentais exactement comme si je venais d'être roué de coups alors que je n'avais été que le témoin des outrages infligés à ma pauvre Jenny.


Elle devait se sentir totalement désespérée.



  Je démarrais la voiture et nous rentrâmes à la maison hébétés.


Je me garais aussi presque possible de notre pavillon et on attendit que plus personne ne se trouve dans la rue.


On se débrouilla pour regagner notre maison sans être vue de qui que ce soit, j'enlaçais tendrement Jenny alors qu'elle fondait en larmes.



  Nous restâmes ainsi enlacés dans l'entrée pendant un long moment.


Lorsque finalement Jenny parvint à se calmer,  je l'aidais à s'extraire de son minuscule fourreau et je la menais à notre lit.


Une fois qu'elle fut assise sur le lit je gagnais la cuisine pour nous ramener à tous deux un verre d'alcool.


Je m'assis alors à coté d'elle et la serrais dans mes bras.


On n'avait rien à se dire. Nous connaissions l'avenir qui nous attendait! .....


Si nous refusions quoi que ce soit une de nos sœurs prendrait notre place  ou plutôt endureraient les mêmes épreuves à notre place.



  Nous sommes restés assis, tendrement enlacés, pendant une bonne demi-heure Jenny jeta soudain un oeil sur ma montre et se releva vivement.


Je la regardais avec  incompréhension, elle me dit alors :


-         "Je dois trier mes vêtements pour sortir ce que je peux porter dorénavant! ...."



  Je me levais et lui demandais :


-         "Veux-tu un autre verre? ....."



  Il se faisait tard et nous devions travailler demain, après  avoir réfléchi quelques minutes elle hocha affirmativement la tête.


Je nous versais deux autres verres et la rejoignit dans notre chambre.


Elle avait les yeux rivés sur les toilettes.



  Elle se souvint brusquement qu'elle avait été baisée par une douzaine d'hommes dans la soirée et qu'elle avait grand besoin de se doucher.


Elle gagna la salle de bain et prit une douche rapide avant de me rejoindre dans notre chambre.



  Postée devant sa commode, elle réfléchissait se remémorent les fringues qu'elle devait choisir de mettre.


Elle n'avait pas une garde robe très fournie, les fringues qu'elle possédait étaient pour la plupart appropriée à son travail.


Mais maintenant elle ne devait plus s'habiller de façon appropriée à son boulot.


Elle avait aussi les vêtements qu'elle avait achetés à Ténérife et quelques autres qu'elle avait achetés pour mettre lorsqu'elle était d'humeur câline, et même parfois un peu salope, le plus souvent pour me plaire.



  Elle mit de coté trois robes courtes mais portables au boulot, elle allait attirer l'attention notablement lorsqu'elle travaillerait avec de jeunes gens, mais elle n'avait pas le choix en fait.Elle mit aussi de coté deux mini-jupes et une paire de brassières, elle les avait déjà portés sans soutien-gorge pour me faire plaisir, ils étaient révélateurs mais pas transparents comme certains qu'elle possédait par ailleurs.



  Elle fit un  peu de place dans sa commode pour ranger ces effets et y suspendit le mini fourreau transparent qu'elle devrait porter dans les deux clubs qu'elle fréquenterait bientôt sur ordre de monsieur Eng, puis elle me rejoignit dans notre lit.



  Je la tenais étroitement serrée contre moi, mais elle était très tendue, et nous sommes restés tous deux éveillées dans notre lit pendant longtemps.



  Nous avons pris nos douches au matin et Jenny enfila une des tenues qu'elle avait sélectionnée.


Elle était courte et très sexy, totalement déplacée pour son boulot.


Nous ne savions pas ce qui se passerait si elle se voyait renvoyée à la maison.



  La journée dura longtemps, interminablement, je ne parvenais qu'à me concentrer que sur les tâches routinières.


Je ne cessais de me rappeler la nuit dernière et combien cette nuit avait été terrible pour Jenny qui s'était fait violer par tous ces hommes.


J'étais tout autant écrasé de culpabilité parce que je devais admettre au fond de moi-même que la regarder se faire violer m'avait extrêmement excité.


Je me rappelais aussi la copulation de Jenny avec cette jeune femme surnommée "Chienne", je ne pouvais m'empêcher de bander en y repensant.


J'espérais que Jenny ne saurait jamais rien de cette coupable excitation que je prenais à la voir posséder par d'autres hommes ou de la voir s'accoupler avec une autre femelle.



  Le soir je rentrais avant elle à la maison, elle arriva dans un état d'extrême nervosité et je vis que notre propriétaire indien lui emboîtait le pas.


Elle affichait un  pauvre sourire en se retournant vers le proprio avant de refermer la porte dans son dos.


Je vis sa déception en constatant ma présence dans la maison, mais elle disparut instantanément lorsque Jenny se posta face à lui et commença à remonter sa robe.



  Elle  prit une profonde respiration et elle commença à déboutonner le devant de sa robe en lui disant :


-         "Je crois que nous sommes partis d'un mauvais pied, je serai heureuse de me faire pardonner! ....."



  Alors que Jenny enlevait sa robe, je me rappelais soudain ma tâche et je sortais précipitamment la caméra de son sac posé au sol à coté de ma chaise et je me mis à filmer la scène aussi discrètement que possible.


Visiblement, ma présence rendait  notre proprio nerveux, mais il ne parvenait pas à détacher ses yeux des charmes de Jenny.



  Une fois sa robe déboutonnée, elle le fixa dans les yeux et lui demanda :


-         "Puis-je faire quelque chose de particulier pour m'excuser de m'être montrée si impolie avec vous la dernière fois? ...."



  Il la regardait fixement muet d'émotion.


Jenny fit glisser la robe sur ses épaules et la repoussa sans se préoccuper de l'endroit où elle tombait.


Puis elle tendit la main et prit celle de notre proprio qu'elle attira contre son visage pour embrasser ses doigts avant de la lui placer sur ses nibards.



  Il était sidéré, il se tenait devant elle bouche grande ouverte alors qu'elle promenait sa main sur ses somptueux nichons.


Elle laissa tomber sa main le long de son flanc et il continua d'explorer ses charmes de son propre chef.


Alors qu'il palpait ses miches elle posa la main sur l'énorme bosse déformant le devant de son pantalon.


Il flancha sous sa caresse et grogna comme s'il allait gicler dans son caleçon si jenny n'y prenait pas garde.



  Elle lui sourit vicieusement et se laissa tomber à genoux pour déboucler sa ceinture.


Elle roula son pantalon sur ses genoux en lui demandant :


-          "Aimeriez vous que je vous taille une petite pipe? ...."



  Il hocha énergiquement la tête en signe d'acquiescement, et sa bite, plutôt modeste jaillit à l'air libre.


Elle l'embrassa et la lécha un instant avant de l'accueillir dans sa bouche la caressant sur toute sa longueur de ses lèvres embrasées, du gland aux couilles incluse.



  Il flageola sur ses jambes, lui saisit la tête et se mit à grogner sourdement.


Je compris qu'il lui jouissait en pleine bouche.


Mais sa petite bite restait tendue et elle continua à le sucer avec application, cela ne prit pas beaucoup plus de temps cette seconde fois, à peine deux ou trois minutes.


Mais cette fois il cria dans sa langue originelle, aussi n'ai-je pas compris ce qu'il grommelait en lui emplissant la bouche.



  Puis il remonta son caleçon et son pantalon, reboucla sa ceinture alors qu'elle avalait docilement sa semence, Jenny lui demanda alors :


-         "Suis-je pardonnée? .....  Cela vous a-t-il plu? ...."



  Il sourit et dans son anglais teinté d'un lourd accent indien il répondit :


-         "Ce n'est qu'un début, mais la prochaine fois je voudrai profiter un peu pus largement de vos charmes! ...."


Et tandis qu'il parlait sa main bougea et glissa promptement dans le fentine de Jenny, je fus fort surpris de constater qu'elle était trempée.



  Jenny répliqua alors :


-         "Quoi que vous vouliez, je le ferai pour vous faire plaisir! ...."



  Sur ces mots le proprio nous quitta et Jenny se rua dans la salle de bain et brossa ses dents pendant un long moment.


Lorsqu'elle revint vers moi, je préparais le souper.


Je lui avais servi un apéritif, elle s'assit à table et le sirota avec reconnaissance.



  Je lui demandais alors comment s'était passée sa journée de travail.



Elle me répondit:


-         "Bordel c'était extrêmement oppressant...   Dès que je j'arrivais au boulot, mon superviseur me fit appeler dans son bureau et me questionna au sujet de mon changement de tenue......"


-         "Je tentais alors de le convaincre que je voulais paraître plus féminine en espérant que cela pousserait les jeunes que j'avais en charge à se comporter en gentlemen avec moi....."


-         "Je ne pense pas qu'il m'ait cru, mais il s'abstint de me renvoyer chez moi pour enfiler un pantalon et un gilet... "



-         "Mais mes vrais ennuis commencèrent bien plus tard lorsque je me suis retrouvée en session de conseil avec un de mes jeunes voyous... "


-         "Je tentais de l'aider à acquérir des habitudes de travail lorsqu'il se leva soudain me contourna et passa la main sous ma robe....."


-         "Deux choses me frappèrent immédiatement : premièrement je me souvins que ce jeune homme était un orphelin nigérian et deuxièmement je compris c'est qu'il avait du apprendre ce que j'étais devenue….. Indubitablement il savait! ...."


-         "Il savait qu'il pouvait faire tout ce qu'il voulait avec moi! ....."



  -         « Il se mit à me triturer les miches d'une main et de l'autre il extirpa une grosse mentule noire de son pantalon et se fit sucer dans mon bureau! ..... »


Une fois qu'il se fut vidé les couilles dans ma gorge, il me sourit et éclata de rire.


Il me dit alors que les choses seraient forts différentes dorénavant! .....


Puis il fit tourner ma chaise pour que je me retrouve face à lui troussa ma robe sur mes reins et glissa en force ses mains entre mes cuisses ajoutant :


-         "Demain je goûterais à ta petite chatoune Jenny! ...."



  -         "Sur ces mots il planta deux de ses doigts réunis dans mon intimité et me doigta pendant de longues minutes avant de m'abandonner....."


-         "C'est ainsi que s'est passée ma journée! ...." ajouta-t-elle avec une profondément résignée! ....



  Je m'approchais d'elle la serrais dans mes bras tout en l'embrassant sur le front et je constatais :


-         "Je suis désolé ma chérie, mais je ne sais vraiment pas quoi faire! .... Je mes suis cassé la tête toute la journée mais je ne vois pas comment nous tirer de cette galère! ...."



  -         "Je le sais bien Mark! ....  Je ne t'en blâme pas ! ..... Je me rappelle que c'est moi qui t'ait demandée de m'emmener dans ce club à Ténérife en dépit de tes protestation! ....."



  Elle se retourna sur sa chaise et constata que je bandais dur après avoir écouté le récit de sa journée, elle posa la main sur ma bite et me sourit me disant :


-         "Ne te tracasse pas, je sais bien que tu ne peux pas t'empêcher de bander lorsque tu me vois me faire baiser par tous ces hommes, ou bien quand tu les entends me violer! .....  Je sais que c'est juste une réaction physique des plus normales! ...."


-         "Nous avons tous deux largement profité de ton penchant pour le voyeurisme lorsque nous avons commencé à sortir ensemble! .....  Aussi je comprends très bien que tu puisses bander à me voir posséder par d'autres! .... Tout comme cela m'émeut parfois lorsqu'on me fait des choses qui me plaisent! ......  Tu comprends ça non? ...."



  Je sentis comme un lourd poids qu'on m'enlevait de mes épaules.


Elle me donnait explicitement l'autorisation de bander comme un âne pendant qu'elle se faisait baiser.


Elle était bien plus compréhensive que je l'aurai jamais espéré.


Je me penchais et l'embrassais pour la remercier de se montrer aussi tolérante.


Je l'assurai par ailleurs que je comprenais parfaitement qu'elle haïssait ce qu'ils lui faisaient faire, mais qu'elle ne pouvait pas toujours contrôler ses sens et que parfois son corps répondait aux stimulations.



  Je l'embrassais à nouveau puis je servis le repas.


Je devais admettre que cet aspect des choses amenait un changement dans notre vie qui me la rendait moins insupportable.


C'était merveilleux de voir Jenny évoluer nue dans la maison.


Elle était incroyablement séduisante, incroyablement sexy et je ne me fatiguerais jamais de contempler ses charmes.



  Nous avons nettoyé la cuisine  ensemble et sommes partis nous coucher tôt.


Nous avons lu pendant un moment mais nous savions que la journée de demain  serait longue et difficile, aussi avons nous éteint les lumières cherchant à dormir le plus longtemps possible.


Le lendemain était un vendredi, ce jour où je devais l'emmener au club de strip-tease nigérian.


Je ne me doutais même pas qu'un tel club puisse exister dans notre petite ville.



  Au matin nous avons bu notre café et pris une douche, ce n'était pas notre routine habituelle, mais depuis que Jenny devait demeurer entièrement nue dans la maison elle avait remis sa douche à après le petit déjeuner.


Puis elle enfila une autre de ses robes ultra courtes et partit travailler.



  J'étais impatient de revenir à la maison pour apprendre ce qui était arrivé à Jenny à son boulot aujourd'hui.


Je ne pouvais que l'imaginer entre les griffes de ce pervers  jeune homme qui avait l'autorisation de se servir d'elle comme il l'entendait, de faire tout ce qu'il voudrait à une jeune femme aussi ravissante que Jenny.


J'aurai adoré disposer ainsi d'une jeune femme lorsque j'étais plus jeune! ... Et même maintenant après tout! .....



  Je me débrouillais pour effectuer un peu plus de travail aujourd'hui, je ne voulais pas me singulariser.


Je me forçais à me concentrer et cela m'aidai beaucoup, cela m'aida entre autre à faire passer plus rapidement la journée et cela m'empêcha de trop penser à ce qui adviendrait cette nuit.



  Jenny était déjà rentrée lorsque j'arrivais chez nous. Elle s'était douchée et avait enfilé son petit fourreau et avait préparé le souper.


Je lui demandais comment s'était passée sa journée, et elle grimaça.



  -         "Ce petit salaud est vraiment en train de me compliquer la vie... " me rétorqua-t-elle.


-         "Il a commencé par jouer à des jeux électroniques pendant la leçon, il prenait grand plaisir à épater ses amis! ....."


-         "Je devais m'occuper de lui et de deux autres gars, il profita d'un instant ou j'étais penchée sur mes deux autres élèves pour leur préciser une notion particulière pour passer sa main sous ma robe....."


-         "Je me redressais vivement, mais il se contenta de sourire et promena sa main le long de la face interne de mes cuisses et remonta jusqu'à ma chagatte sous les yeux écarquillés de ses amis....."


-         "Puis il se tourna vers eux et leur dit que je ne portais pas de petite culotte...  Je vis à leur air choqué qu'ils ne comprenaient pas que je puisse me laisser faire! .... Mais ils le crurent lorsqu'il sortit sa main de sous ma jupe et me la troussa sur les reins...  C'était la fin de notre session de sensibilisation de ce jour! ......"



  -         "Il se posta dans mon dos et dégrafa ma robe, je me retrouvais entièrement nue dans cette petite pièce avec trois jeunes hommes......"


-         "J'étais la première femelle qu'ils voyaient depuis des mois! ...."


-         "C'était une bonne chose que cette session ne dura qu'une heure et demie, sinon j'y serai encore! ....."


-         "J'espère qu'ils parviendront à se taire! ....Mais ce sont  des  jeunes, et comme tous jeunes des vantards! .....  Je ne sais vraiment pas quoi faire maintenant! ...."



  30 décembre 2007


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus (vulgus@hotmail.com)



Terreur à Ténérife Ch 5


Coulybaca / Vulgus





    Chapitre 5 : Jenny forcée de se prostituer dans les deux clubs, la fin du calvaire.




   Après dîner, je suis allé à l'ordinateur pour y chercher l'endroit où se trouvait le club où nous devions nous rendre le soir même.


Je préparais un sac avec la caméra des batteries et des DVD de rechange.


Je ne savais pas ce qui allait se passer ce soir, mais je voulais être prêt.


Euh non ce n'est pas exact, j'aurai préféré et de loin que l'on reste  chez nous, mais j'avais peur qu'être insuffisamment préparé puisse passer pour une faute aux yeux de monsieur Eng.



  Au moment de partir, Jenny enfila son minuscule fourreau transparent et nous sommes partis rejoindre notre voiture.


Il n'était que 18 heures 15 et les rues étaient pleines de monde.


A la vue de Jenny quasiment nue, ils s'immobilisaient pour mieux la reluquer.


Elle feignait de l'ignorer, mais chaque homme qu'elle croisait et la plupart des femmes bien entendus se figeaient bouches bées sur son passage.



  Nous nous sommes pressés de rejoindre la voiture et je démarrais aussi rapidement que je le pus.


Je tendis à Jenny le plan de la ville et elle me guida.


Nous sommes arrivés à bon port en avance de 10 minutes.


Le grand parking était plein, je me dis alors que cette boite devait être renommée.



  Le club avait une étrange apparence, si c'était bien un club.


Il s'agissait d'un vieil entrepôt et le seul signe indiquant son activité était une enseigne néon au-dessus de la porte indiquant que les lieux étaient ouverts.


Rien n'indiquait ce qui se trouvait derrière la porte.


Mais dès que nous sommes sortis de la voiture, on entendit une lourde musique, j'offrais mon bras à Jenny et nous avons marché au supplice.



  J'ouvrais la porte, deux colosses noirs qui se tenaient dans le hall nous sourire de toutes leurs dents, je me disais que si c'était là tout ce qui devait arriver, nous devrions passer une bonne nuit à danser.



  Nous nous sommes retrouvés dans une salle immense avec plusieurs scènes entourant la piste principale, sur chacune de ces estrades se démenaient de ravissantes jeunes femmes blanches qui dansaient de façon fort impudique.


L'assistance était constituée d'hommes, tous noirs


Nous sommes entrés et je jetais un coup d’œil circulaire et finalement remarquais un endroit qui ressemblait à un bureau au fond du bâtiment.



  Nous avons entrepris de traverser la foule pour gagner ce bureau, tout le long de cette traversées Jenny fut agrippée et pelotée à outrance.


Elle feignit d'ignorer ces peloteurs, tout au moins autant que possible.


Tandis que nous nous dirigions vers notre but je jetais un oeil sur les scènes ou je suis bien certain qu'évoluerait bientôt Jenny pour distraire les consommateurs..


Elles étaient très petites et rehaussées d'environ un mètre, les filles étaient largement à portées des mains des hommes qui de temps à autre exploraient sans vergogne leurs charmes les plus intimes.


Toutes les filles dansaient un sourire de commande plaqué sur le visage, alors qu'elles subissaient toutes sortes d'avanies.


Il était évident que chacune d'elle était ici contre sa volonté.



  Finalement nous sommes arrivés au bureau, je toquais puis entrouvris  la porte, un noir nous fit signe d'entrer


Je sortais la caméra dès que nous fûmes entrés me tenant prêt à filmer si quelque chose se passait.


Je trouvais plus sage d'être prêt à toute éventualité.



  Le bruit assourdissant se mua en fond sonore lorsque la porte se referma sur nous, au moins nous pouvions maintenant converser.


Ils étaient trois dans le petit bureau, ils étudièrent Jenny pendant un long moment, puis l'un d'eux lui demanda :


-         "Sais-tu ce que tu dois faire ce soir? ...."



  Jenny les regardait terrifiée, elle secoua la tête et répondit platement :


-         "Non, monsieur... "



  L'homme qui nous avait fait signe d'entrer s'approcha d'elle, je commençais à filmer alors que sa main courait sur son corps.


Elle frémit mais ne bougea pas.


Elle continuait à regarder l'homme qui penché sur son bureau l’observait attentivement en poursuivant :


-         "Une fois par heure tu devras monter sur une des petites scènes et danser sur trois airs joués par l'orchestre, ce n'est pas une forme de strip-tease, tu seras nue dès le départ...... D'ailleurs donne-moi ton fourreau..... Tu ne porteras aucun vêtement avant de partir au petit matin! ...."



  Jenny défit l'unique bouton qui fermait son fourreau, l'enleva prestement et le lui tendit servilement.


Il l'étendit sur son bureau et regarda un de ses amis trituraient les nichons de Jenny alors que je filmais docilement la scène.


Ils m'ignoraient tous totalement.



  -         "Lorsque tu danseras..." ajouta-t-il "tous les spectateurs pourront venir palper tes appâts à leur guise...  Tu ne devras jamais refuser une caresse... Est -ce clair? ....."



  Jenny acquiesça d'un signe de tête et l'homme poursuivit la  description de ce qu'elle devait faire..


-         "Quand tu n'es pas sur la scène tu travailles en salle, tu sers les consommations et tu promènes tes appâts parmi la clientèle.....  Les consommateurs peuvent te baiser à tout moment! ....."


-         " S'ils veulent te sauter, ils ont juste à t'empoigner par le bras et à t'emmener dans une des petites chambres au fond de la salle.....  Bien sur ce n'est pas gratuit! ....."


-         "Mark s'assiéra sur un banc face à la porte de ta stalle ton client devra le payer avant de pénétrer avec toi dans le box! .....  Puis il vous suivra et filmera la scène le temps que tu te fasses sauter"


-         "Une fois que tu auras satisfait les appétits lubriques de ton client tu te nettoieras et tu reprendras ton rôle de serveuse jusqu'à ton prochain show; ou qu'un autre amateur décide de te fourrer! ...."


-         "Cela me semble simple... Non? ...."



  Jenny hocha la tête mais je vis une larme rouler sur sa joue, l'homme lui sourit et ajouta :


-         "C'est encore mieux si tu détestes ce que tu dois faire... Les clients adorent baiser des femmes contre leur volonté! ....  Mais tu devras pourtant afficher un sourire forcé quant tu seras en main, ce sera ton seul uniforme! ...."



  Il y eut du brouhaha à l'extérieur et l'homme qui venait de dicter ses consignes à Jenny poursuivit :


-         "Tu vas pouvoir assister à la punition d'une fille qui vient de refuser une cajolerie à un client! ..."



  Il la poussa vers une grande baie vitrée qui donnait sur la salle et se plaça dans son dos.


Il descendit sa braguette et sortit une grosse et longue bite noire de son caleçon qu'il frotta dans l'entrecuisses de Jenny, puis il la courba en avant et la fourra rudement.



  Elle grogna de douleur sous la violente pénétration, il s'immobilisa alors et ils regardèrent de concert la femme en question qui était traînée, une laisse autour du cou, jusqu’à la scène centrale.


Le gérant commença à baiser lentement Jenny alors que la malheureuse rebelle tombait à genoux, la laisse fut liée à un anneau au sol.


L'homme qui l'avait amenée lui dit quelques mots à l'oreille et je la vis hocher la tête, mais je voyais aussi un air l'expression terrifiée qu'affichait son visage lorsqu'il se recula.



  La foule manifesta bruyamment à la vue d'une autre jeune femme entièrement nue qui s'approchait de la scène, lorsqu'elle grima sur la scène je vis qu'elle amenait un gros chien.


Je vis Jenny haleter horrifiée alors que l'homme qui la fourrait lui dit :


-         "Regarde bien, tu dois bien comprendre que tu es là pour te faire baiser, et que toute désobéissance aux règles est sévèrement punie! ...."



  J'ai cru que j'allais vomir quand j'ai vu la femme installer le chien dans le dos de la punie puis lui enlever sa laisse.


Je suppose qu'il avait déjà participé, à la punition d'autres femmes dans le passé car il n'eut aucune hésitation.


Il enfourcha la malheureuse agenouillée sur la scène, elle regardait les spectateurs un pauvre sourire résigné aux lèvres alors que de grosses larmes ruisselaient sur ses joues, le chien commença par humer son entrecuisses puis entreprit de le lécher avec enthousiasme.



  Le chien commençait à être sérieusement excité, quelques minutes plus tard, il grimpa sur le dos de la femme et chercha à tâtons à la fourrer en donnant de grands coups de ventre vers l'avant.



  La foule l'encouragea sadiquement lorsqu'elle tendit la main en arrière et guida son organe incroyablement long dans sa cramouille.


Son visage se tordait de  douleur alors qu'il la bourrait, mais immédiatement elle réafficha ce sourire figé alors qu'il la martelait frénétiquement de violents coups de boutoir sous les applaudissements de la foule des spectateurs.



  J'apercevais un blanc au bord de la scène qui semblait très angoissé alors qu'il pointait sa caméra sur ce show punitif, c'était sûrement sa femme qui se faisait grimper par un chien !



  Je ne pus regarder plus longtemps, je me focalisais sur Jenny qui se faisait sauter par le gérant de l'établissement.


Il était ravi du spectacle et se mit à accélérer le rythme de ses pénétrations et jouit juste au moment où je reportais mon attention sur Jenny.



  Il se retira de sa moule et une fois qu'elle eut nettoyé minutieusement sa bite, un autre sbire s'installa entre ses cuisses.


Les trois hommes dans le bureau eurent tout le temps de la baiser avant que le chien en eut fini avec la femme sur la scène.



  Une fois le chien emmené, elle demeura agenouillée sur la scène, des hommes s'approchèrent d'elles, et bien que je ne puisse les entendre, je compris qu'ils lui annonçaient des choses terribles alors qu'elle se tenait toujours agenouillée les joues sillonnées de grosses larmes.


L'un des hommes lui malmenait les nibards mais ils laissaient tous libre accès à ses fesses.



  Lorsque les trois hommes dans le bureau en eurent terminés avec Jenny l'homme qui nous avait fait entrer lui désigna la petite stalle où elle opérerait.


C'était une toute petite pièce, meublée d'un lit d'enfant et d'un évier pour se nettoyer la chatte après utilisation.


A l'entrée de la stalle se trouvait un petit banc de traite des vaches qui visiblement avait été choisi pour humilier les maris  assis sur ces bancs qui attendaient de faire payer les clients qui voulaient tirer un coup avec leurs femmes.


Lorsque j'étais assis sur ce banc, ma tête se trouvait à hauteur de leur taille.


Puis l'homme me désigna le barème accroché au mur à coté de la porte et la petite horloge posée sur une table de chevet à la tête du lit.


Le premier show de Jenny était programmé à 8 heures, dans à peine 20 minutes.



  Tous les shows étaient numérotés sur un planning désignant la petite scène sur laquelle elle danserait.



  Je remarquais que ce programme se terminait à 2 heures du matin, elle devrait donc danser à sept reprises pendant 9 à 10 minutes à chaque show.


C'était certainement là, probablement la partie la plus agréable de sa soirée.



  Notre escorte me fit asseoir sur le tabouret et accompagna Jenny dans le club la main posée sur sa croupe pour s'assurer de sa docilité.


Je la vis disparaître dans un océan de consommateurs noirs qui la pelotaient avidement a sur son passage.


Mais elle ne fut pas partie bien longtemps !



  Je doute qu'elle ait eu le temps d'atteindre le bar avant qu'un gros homme ne revienne avec elle la tirant un doigt enfoncé dans sa foufounette.


Ils stoppèrent à l'entrée de son box et le client me tendit un coupon, il semble que les affaires ne se traitaient pas en bon argent sonnant et trébuchant.


Les  coupons ne comportaient de valeur et n'indiquaient pas plus le service requis de la part de la prostituée, ils comportaient seulement le temps imparti au consommateur.


Celui qu'il me tendait était valable pour 15 minutes,


Jenny disposait juste de ce temps avant de devoir se produire sur scène.



  Je me levais et suivais le couple qui entrait dans le box et j'entrepris de filmer alors que le gros homme s'étendait sur le lit ordonnant à Jenny de l'enfourcher pour qu'il puisse la regarder le baiser.


Sa flamberge était déjà dure comme du bois !



  Jenny qui plaquait un sourire figé sur son visage, se pencha et lui suça la bite quelques instants avant de l'enfourcher et de s'empaler sur son braquemart tendu.


Elle entama une danse de saint gui montant et descendant   sur son ventre alors qu'il semblait fasciné par ses tétons qui se balançaient au gré de ses empalements.


Il les regarda se balancer jusqu'à l'instant ou il jouit, puis il empoigna ses nichons et je vis qu'il serrait si fort la chair de ses nibards qu'elle cria de douleur, ce ne l'empêchait pas de continuer à le chevaucher consciencieusement.



  Elle glissa vers le bas alors que le vieillard se relaxait  sous elle et s’immobilisa finalement.


Elle jeta un oeil sur l'horloge, et il lui restait encore trois minutes.


Aussi leva-t-elle pour le prendre en bouche afin de nettoyer sa bite amollie..


Elle le lécha proprement et puis le suça le temps qu'il lui restait.


Puis elle l'aida à se relever et lui sourit, elle se rua sur l'évier pour se nettoyer rapidement la chatte dès qu'il fut sorti pour aller ensuite danser sur scène.



  Elle se rua à l'extérieur après avoir séché sa chatoune et monta sur scène à l'instant ou la musique démarrait.


Je me tenais debout de l'autre coté du hall où je m'étais assis, de là je pouvais la voir évoluer sur son estrade.


Elle commença à danser au rythme de la musique, balançant ses nibards et chaloupant de la croupe, les mains des spectateurs ne cessaient d'inventorier ses appâts !


Ils lui pelotaient fermement les fesses, promenaient leurs doigts dans sa foufoune, lui doigtait le trou du cul alors qu'elle tentait de maintenir un semblant de rythme à sa danse.



  Tandis que Jenny dansait se faisant copieusement peloter, il y eut un défilé de jeunes femmes blanches qui gagnaient leur box accompagnée de leurs blancs maris et de leurs noirs clients, chaque mari ou petit ami se tenait assis sur le banc à traire les vaches situé devant la porte de la stalle.


Et alors que l'orchestre jouait constamment dans la salle principale je pouvais entendre les râles des femmes qui se faisaient sauvagement sauter dans leurs box.



  Je braquais à plusieurs reprises mes yeux dans le hall et remarquais que les nombreux petit-amis et maris évitaient de se regarder ou de parler ensemble.


Ils semblaient tous accablés de honte, exactement comme moi d'ailleurs.



  Lorsque les trois airs se terminèrent, Jenny descendit de scène jambes tremblantes et je me rassis sur le tabouret attendant son retour.


A peine 5 minutes plus tard elle était dans sa stalle en compagnie de deux clients.


Ils me tendirent tous deux un coupon qui leur accordait 30 minutes e jouissance, et je me remis à filmer, il ignorèrent le lit d'enfant et le prirent à même le sol face à moi.



  Ces deux hommes étaient bien plus jeunes que leur prédécesseur, à peu près de notre âge.


Ils se parlaient constamment dans leur langage africain, il était évident qu'ils se moquaient de nous, prenant grand plaisir à nous humilier.


Ils savaient pertinemment que pas une de ces femmes n'était là de son propre gré.



  Ils poussèrent Jenny sur une mince couverture et la prirent par-devant et par derrière pendant l'entière demi-heuree qu'ils l'avaient louée.


Ils jouirent tous deux à plusieurs reprises dans sa bouche et dans sa chagatte,  et une fois dans son trou du cul après l'avoir sodomisée pendant quelques longues minutes.



  Jenny faisait tout ce qu'ils voulaient sans se plaindre, elle criait quand ils lui faisaient mal puis  replaquait immédiatement un sourire figé sur son visage, elle était très angoissée par les conséquences si elle les décevait.


 


Le temps qu’elle se nettoie lorsqu'elle en eut terminé avec eux il était déjà temps de retourner faire son show.


Elle se posta quelques secondes face à moi se pencha et m'embrassa sur le front, puis elle haussa les épaules et sortit de la petite stalle.



  Malheureusement Jenny était une nouvelle très populaire, je me demande si elle avait servi une seule boisson de toute la nuit.


La plupart du temps, quand elle ne dansait pas elle se trouvait dans son box à baiser et sucer des clients de tous âges qui la prenaient, avec leurs bites de toutes tailles, dans toutes les positions connues !



  Cela ne se termina que sur le coup de 2 heures du matin.


Son dernier show terminé elle était revenue accompagnée de deux consommateurs qui la baisèrent illico dans sa stalle, lorsqu'elle en eut terminé avec ces deux clients, deux autres attendaient leur tour dans le hall.


Ils jouirent tous deux d'elles copieusement chacun leur tour.


C'en était fini de la soirée au club, je comptais tous les tickets avant de les ramener au bureau.


Il y avait 19 coupons, 19 hommes avaient possédé son corps cette nuit, il m'avait semblé qu'ils étaient plus nombreux !



  Je rendais les coupons au gérant, il me rendit la tunique de Jenny et nous sommes repartis chez nous.


Il était bien 4 heures du matin lorsque nous nous sommes couchés.



  Nous avons dormi jusqu'à 11 heures, nous aurions pu continuer à dormir mais des bruits provenant du salon nous réveillèrent, je me levais à peine que déjà Harold et ses deux copains envahissaient dans notre chambre.



  Lorsqu'il vit que nous étions réveillés, il nous demanda :


-         Jenny, Mark, vous ai-je manqué ?


-         ........


-         Nous sommes en ville pour une paire de jours, on passe juste vous dire bonjour !



  C'était le trou du cul qui nous avait plongé dans cette galère.


Je savais déjà ce qu'ils attendaient de moi, je sautais hors du lit et me ruais dans le salon pour empoigner la caméra vidéo.


Lorsque je fus de retour dans la chambre, Harold se déshabillait et Jenny se levait le suppliant de la laisser prendre une douche.


Il hocha la tête affirmativement et elle se précipita dans la salle de bain, quelques secondes plus tard on entendit alors l'eau de la douche ruisseler puis les bruits cessèrent et Jenny nous rejoignit, notre chambre me paraissait bien plus petite qu'auparavant avec ces trois colosses noirs se tenant dans l'entrée.



  Jenny se posta face à Harold qui posa son bras sur ses épaules, sa grosse bite battait contre son estomac il lui dit :


-         On m'a dit que tu étais très prisée au club ! ... J'espère que tes clients ne t'ont pas distendu outre-mesure la chagatte !... Ton con est si avenant, si juteux ! ... Ce serait une honte de l'abîmer !


Sur ces mots il la poussa à s'agenouiller et elle entreprit de lui tailler une pipe sans même qu'il le lui ordonne.



  Bien sur, je les filmais en pleine action, ils la baisèrent pendant plusieurs heures dans toute la maison.


Ils ne la laissèrent tranquilles qu'une fois qu'elle les eut tous sucés et qu'ils l'eurent tous baisés.


Elle était percluse de douleurs suite à la nuit précédente et on peut dire qu'ils utilisèrent vraiment les restes, mais comme ils s'en foutaient totalement !



  Dès qu'ils furent partis, j'aidais Jenny à gagner la salle de bain et je lui fis prendre une douche brûlante.


Puis je la séchais avec soin et l'assis à table alors que je préparais notre repas de midi.


Je pensais parfois que nous ferions mieux de nous enfuir, mais je pensais immédiatement aux conséquences qui en découleraient pour mes sœurs et les autres femmes de la famille, de toute manière pour nous ne pouvions partir faute d'argent pour assurer la pitance et le coucher !


Mais surtout, nous étions paniqués à l'idée de ce qui arriverait aux gens que nous aimions si nous nous dérobions !



  Nous ne voulions ni l'un ni l'autre alerter les services de police alors qu'ils disposaient de films semblant démontrer que nous avuions utilisé les services de jeunes mineurs, c'était faux, mais comment le démontrer à la vue de leurs visages juvéniles !


Aussi insupportable que cela nous paraisse nous étions contraints d'obéir docilement.


De toute manière nous n'étions pas assez déterminés pour lutter contre des maîtres-chanteurs aussi bien organisés.



  Conformément à notre planning nous pouvions aller faire des courses à l'épicerie cet après-midi, nous y avons consacré une bonne paire d'heure, nous aurions aimé y rester plus longtemps mais c'était le temps qui nous était imparti.



  Nous sommes rentrés à la maison, nous nous sommes assis et avons siroté un verre d'un puissant alcool pour dans l'espoir que celà nous relaxe.


Je remarquais que nous n'avions pas beaucoup discuté entre nous depuis la veille, nous ne voulions ni l'un ni l'autre  évoquer ces profonds changements qui bouleversaient notre vie !



  Nous ne nous sentions jamais tout à fait en sécurité.


Chaque fois que nous entendions un bruit à l'extérieur, on avait peur que ce soit quelqu'un qui débarque pour baiser Jenny.


Mais personne ne vint et, après un souper léger on regarda un peu la télé puis nous nous sommes couchés.


Nous étions tous deux très fatigués après la dernière nuit.



  Nous nous sommes réveillés assez tôt  ce dimanche matin, le fait d'être prisonnier dans notre propre maison était affolant.


Nous ne pouvions pas sortir, en dehors des plages programmées.


Nous ne disposions que de deux soirées de libre chaque semaine, le mercredi et le dimanche, nous sortions rarement le dimanche, c'était depuis longtemps notre jour de repos.


De toute manière nous n'avions pas envie de sortir maintenant que, la plupart du temps, on devait rester seul chez nous.


Nous aurions voulu que cesse ce défilé d'hommes qui venaient satisfaire leurs appétits de luxure avec Jenny.



  Jenny me confia qu'en fait, il lui semblait que des bites provenant de toutes directions venaient l'assaillir dans notre propre maison.


Ses élèves les plus vieux avaient tiré avantages de sa situation !


Elle travaillait un soir par semaine dans un bordel pour Nigériens, et encore ne savions-nous rien, pour l'instant de ce club privé où elle devrait se rendre chaque mardi soir.


Par ailleurs il planait toujours la menace de voir débarquer des clients qui voulaient la sauter !


Et cela incluait notre propriétaire d'origine indienne qui pouvait se pointer à tout instant.


Cet esclavage semblait fait pour durer sans que nous puissions nous rebeller.



  Le dimanche n'était pas un jour de totale liberté du moins avant 14 heures, aussi étions-nous incapable de vraiment nous relaxer avant 14 heures.


Loersque  14 heures sonna à l'horloge, personne n'était venu dans cette matinée, on pouvait enfin nous décontracter un petit peu.


Jenny n'y parvint pas avant qu'il soit temps de nous coucher et qu'elle ait décidé ce qu'elle porterait le lendemain pour aller au travail dès ce lundi.



  Lorsque je rentrais de mon travail ce lundi, la porte était ouverte, mais je ne vis pas Jenny.


Je me rendais dans notre chambre où j'entendis des bruits produits à l'évidence par un couple en train de forniquer. Je jetais u oeil et vis notre propriétaire juché sur le ventre de Jenny la baisant comme un malade.



  Je me précipitais au salon et m'emparais de la caméra, puis je remontais en toute hâte filmer les dernières minutes  de leur coït.


Notre proprio roula sur le flanc, elle se leva et nettoya consciencieusement sa bite comme une bonne petite ménagère zélée.



  Il l'observa attentivement puis finalement me fixa avec la caméra en main.


Cela le dérangeait, mais il  retrouva rapidement ses esprits et ordonna à Jenny de continuer à le sucer, il me semblait que sa bite reprenait lentement de la vigueur.



  Puis il focalisa son attention sur moi et me fit signe d'approcher. , Lorsque je fus plus près, il me demanda pourquoi je les filmais en train de copuler.



  J'essayais de le convaincre qu'il s'agissait seulement d'un jeu érotique entre Jenny et moi, mais il me fixa droit dans les yeux et je compris qu'il ne me croyait absolument pas, il me coupa alors :


-         Non, non je ne vous crois pas, je ne crois pas que ça l'amuse de se donner à moi! ... Quelqu'un lui impose de se comporter ainsi avec moi ! ... Est ce vous ?



  Je me comportais comme s'il avait découvert mon secret, que j'étais juste un pervers obligeant Jenny à coucher avec d'autres hommes sous mes yeux.



  -         Cessez de me mentir ! Me coupa-t-il à nouveau.


-         Quelqu'un l'oblige à se prostituer, n'est-ce pas !



  Il semblait tant parodier l'acteur qui jouait dans "court circuit" que je dus réprimer un grand sourire.


Il était évident que ne l'avions pas berné, j'ajoutais finalement :


-         Quelqu'un est effectivement en position de forcer Jenny à coucher avec vous, uniquement pour l'humilier, lui faire honte ! .....  Je ne sais pas comment ils ont su que Jenny ne s'entendait pas avec vous, mais elle est obligée de leur obéir servilement et de coucher avec vous pour s'excuser, tout au moins la première fois ! …. Je ne sais même pas s'il entrait dans leur plan qu'elle récidive !



  Il réfléchit un bon moment et reprit :


-         Elle aurait pu refuser après la première fois ! Je ne pense pas qu'elle suce ma queue parce qu'elle aime le faire ou bien parce que subitement sucer un immigrant quinquagénaire l'excite ! ....  Je pense qu'il lui a été ordonné de forniquer avec moi et que celui qui lui a donné cet ordre ne lui a pas dit qu'elle ne devait le faire qu'une seule fois, je pense que je peux la baiser quand je veux, où je veux ! ..... Et bien que je ne l'aime pas, je dois avouer qu'elle est vraiment très jolie, très sensuelle et que j'adore la baiser ! .... Je pense que je vais souvent me la faire ! ....  Je la baiserai tant que personne ne me dira d'arrêter !  ... Je pense qu'elle est obligée de faire tout ce que je désire, et que vous devez vous contenter d'assister au spectacle en prenant des photos ! .... Qu'en dites-vous ?



  Nous nous regardions silencieusement, chacun cherchant l'argument définitif pour clore le débat.


Il n'attendit pas plus longtemps et reprit :


-         Je pense que c'est ça !


Puis il abandonna le sujet se concentrant sur la pipe que lui taillait Jenny.



  Il jouit rapidement l'air triomphant.


Jenny avala la mince dose de foutre qu'il éjacula dans sa bouche et garda sa bite en bouche jusqu'à ce qu'il la repousse.


Il se releva et se rhabilla affichant sa satisfaction.


Il nous jouissait de notre situation, il profitait surtout de celle de Jenny, il se foutait pas mal de moi.



  Je remisais la caméra lorsqu'il partit et prit Jenny dans mes bras toujours étendue sur le lit.


Je m'assis et me pelotonnais contre elle, elle ne pleurait plus, elle était morose, il lui semblait qu'elle sombrait de plus en plus profondément dans un monde de dépravation sans pouvoir réagir.


Je la comprenais parce que je ressentais la même chose.


Je l'embrassais dans le cou tout en la tenant serrée contre moi, après quelques minutes elle me confia :


-         Je me suis encore fait baiser par les trois jeunes  batards au boulot ! ...  Cela devient une corvée quotidienne, et cela risque durer jusqu'à leur départ à 21 ans ! ... Et encore dois-je considérer que j'ai bien de la chance qu'ils n'aient refilé le tuyau à personne !



  Elle tendit la main entre nous deux, empoigna ma bite qu'elle serra tendrement entre ses doigts.


Elle s'était ramollie, mais je bandais dur en filmant sa performance avec le proprio, je m'en sentais coupable, bien que je ne puisse m'empêcher de bander !


Elle me susurra :


-         Nous n'avons pas fait l'amour depuis des jours et des jours, tu dois en avoir drôlement envie !



  Je répliquais :


-         Tu dois déjà satisfaire  énormément de bites affamées, tu n'as aucun besoin d'en satisfaire une de plus !



  Elle soupira et reprit :


-         C'est vrai, parfois j'ai l'impression de baiser avec tous les homes qui m'approchent...  Mais ton pénis est le seul qui ne soit pas une menace ! ... C'est le seul qui ne me viole pas ! ..... Et je sais combien tu es en manque !



  Sur ces mots elle se tourna vers moi et me repoussa sur le dos avant de libérer ma mentule.


Elle me sourit, un sourire sincère cette fois, et me dit :


-         Je t'aime, et j'aime ton pénis ! ....  N'aie pas peur de me faire l'amour ! ....  Malgré avec tout ce que j'endure, j'ai envie de te rendre heureux !



J'aurais pu me montrer inflexible, mais elle avait déjà entrepris de me sucer lentement et j'aurai beaucoup de mal à renoncer à cette fantastique fellation.



  Une fois que je me fus vidé dans sa bouche, elle se releva et alla prendre une douche tandis que je m'occupais du souper.


Elle revint qu’un quart d'heure plus tard et m'aida à terminer les préparatifs du repas.


J'ouvris une bouteille de vin que l'on but en mangeant, puis on nettoya la cuisine et on regarda la télé pendant un petit moment.



  Quand nous sommes allés coucher,  je l'ai prise dans mes bras et j'ai commencé à l'embrasser  amoureusement, puis mon visage se glissa vers sa prairie?


Elle avait eu énormément de rapports sexuels ces derniers temps mais que de très rares orgasmes !


Je pensais que cela ne pouvait que la décontracter un tant soit peu.


Elle chercha à freiner mes élans amoureux mais j'insistais en lui léchottant la cramouille la faisant jouir à plusieurs reprises alors que je lui bouffais le gazon, puis je cessais brusquement toutes caresses. sans même la pénétrer.



  Après cela nous nous sommes endormis, nous étions tous deux plus relaxés et nous avons bien mieux dormi que toute cette semaine, même si la pensée de devoir nous rendre au club privé le lendemain soir nous inquiétait.



  Mardi fut un nouveau jour d'humiliation et de dégradations pour Jenny, nous étions de plus en plus nerveux au fur et à mesure qu'approchait l'heure de nous rendre au club privé.


Juste avant que nous partions, le téléphone sonna, c'était monsieur Eng.


Il me dit qu'il avait oublié de me prévenir de ne pas prendre la caméra, les caméras étaient interdites à l'intérieur du club.


Je conduisis Jenny au club et nous entrâmes par la porte de coté qu’on nous avait indiqué de prendre.


Une énorme différence sautait immédiatement aux yeux : tous les gens à l'intérieur étaient blancs !


Pour des raisons obscures, la pensée qu'elle devrait faire tout ce qu'on lui demanderait dans un club rempli de gens de notre ville nous rendait la chose encore plus gênante.



  Nous avons gagné un petit bureau où se tenait monsieur Eng derrière un bureau couvert de dossiers de travail.


Il nous regarda aimablement et sourit :


-         Ah Jenny, juste à l'heure, enlève-moi cette tenue !



  Elle défit l'unique bouton de sa toge et me la tendit.


Monsieur Eng se leva contourna le bureau et la fit mettre à genoux.


Elle ouvrit instantanément sa braguette et sortit sa grosse bite  alors qu'il lui disait :


-         J'espère bien que tu vas me sucer avec toute la science que tu as emmagasinée depuis le début de tes vacances à Ténérife !



  Monsieur  Eng nous informa :


-         La clientèle de ce club est tout à fait différente de l'autre,  ici tu trouveras surtout des seniors, des gagneurs, des hommes d'affaires blancs.


-         C'est un club de sexe, juste un plus discret que les autres. Enfin légèrement plus discret.


-         Tu devras circuler parmi les consommateurs et flirter avec eux, si l'un veut coucher avec toi il te donnera son numéro de chambre et tu iras l'attendre dans cette chambre où tu feras tout ce qu'il te demandera.


-         Tant que tu seras dans le club les règles sont simples, tu ne dois rien refuser quoi que l'on te demande.



  Il se tourna alors vers moi et ajouta :


-         Tu l'attendras dans la salle d'attente en compagnie des autres maris et petits amis...  Mais ne te tracasse pas, les performances de nos putes sont secrètement enregistrées et vous pourrez les voir sur des écrans dans la salle d'attente.



  On me mena dans une pièce ou un mur était couvert d'écrans de surveillance, le but étant, je suppose d'humilier les spectateurs.


Nous pouvions  voir nos femmes errer dans un salon  plein de pervers vieux anglais qui les emmenaient dans les chambres contiguës où elles devaient se plier toutes leurs fantaisies sexuelles.



  J'observais Jenny qui circulait au travers de la salle alors que ces hommes de la classe supérieure l'empoignaient pour inventorier sans vergogne ses charmes les plus secrets comme ils le feraient d'une prostituée des plus communes.



  Angoissé, je la vis suivre un de ces hommes dans une chambre je suis sure qu'il s'agissait du gros homme avec lequel elle avait du baiser dans notre hôtel à Ténérife.


Ils passèrent un très long moment ensemble.



  La soirée était bien plus calme que celle qu'elle avait endurée au club nigérien vendredi dernier, de plus elle se termina plus tôt.


Je suppose que ces vieillards étaient des couches tôt et comme il s'agissait d'une nuit en semaine.



  Nous avons pu quitter le club vers minuit, Jenny ne me semblait pas vraiment traumatisée.


En fait j'avais l'impression qu'elle était très excitée.



  Alors que nous retournions à la maison,  elle me fit arrêter dans un parc dans un quartier tranquille.


Elle tourna son visage vers moi, j'avais du mal à me concentrer tant elle était excitante dans sa minuscule petite toge.



  Elle vit ce que je reluquais et gloussa puis elle tendit la main et me fit tourner le visage me regardant droit dans les yeux.



  Elle me fit un grand sourire et me demanda:


-         As-tu reconnu, sur l'écran, ce gros homme qui m'a déjà baisée à Ténérife ?


Je hochais affirmativement la tête.


-         Sais-tu qui il est ?


Je secouais la tête, j'étais certain que si je l'avais déjà vu  se tapant Jenny ailleurs qu'au club ce soir ou à Ténérife je m'en rappellerai !



  Elle me révéla qu'il s'agissait de l'ancien chef de "'Intelligence Service", il l'avait reconnue et avait été très surpris de la trouver là dans ce club.


Aussi l'avait-il questionnée lorsqu'ils s'étaient rendus dans une des chambres où baiser, elle lui avait raconté toute l'histoire.


Lui révélant que toutes ces femmes étaient filmées alors que ces hommes les baisaient à couilles rabattues, et qu'elles étaient toutes obligées de se prostituer sous la menace, contre leur volonté.



  Apparemment cela l'avait choqué, il lui avait promis qu'in servirait de ses contacts pour voir comment il pourrait intervenir.


Il était pratiquement sûr que, lorsque l'on saurait que de nombreux notables avaient été filmés dans des positions forts compromettantes il y aurait une rapide intervention des forces de l'ordre.



  Nous sommes rentrés à la maison, en se jurant de ne rien révéler à qui que ce soit de ce qui venait de se passer.


J'étais presque sur qu'ils avaient posé des micros dans notre maison ce qui leur permettait de nous épier.


Mais nous étions bien trop excités pour pouvoir dormir.


Nous avons bu un verre de vin et nous nous sommes pelotonnés sur le lit en priant que cela cesse rapidement.



  Et c'est ce qui se passa au milieu de la journée des agents de "l'Intelligence Service" ainsi qu'une armée de policiers locaux investirent les deux clubs et arrêtèrent de nombreux hommes d'affaires nigériens et leurs partenaires blancs.


Ils dénichèrent en outre un entrepôt empli de cassettes vidéos, photos et enregistrements de tous genres.



  C'était fini, nous pouvions enfin appeler le propriétaire pour lui dire d'aller se faire voir chez les Grecs.


Nous avons pu recommencer à sortir avec nos amis et jenny porta à nouveau des tenues correctes.


Mais elle continua à évoluer entièrement nue dans la maison.


Elle eut quelques ennuis avec les trois jeunes qui la forçaient à baiser avec eux dans le cadre de son travail, elle finit par négocier un marché avec eux, elle accepta de continuer à baiser avec eux une à deux fois par semaine à condition qu'ils se taisent.



  Par ailleurs elle savait que j'adorais qu'elle me raconte ce qui s'était passé lorsqu'elle rentrait à la maison.



  10 janvier 2008


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus (vulgus@hotmail.com)



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