EDUCATRICES .
Coulybaca (Texte personnel)
Chapitre 1 : Françoise
Ce jeudi vers 18 heures, Françoise, suivie de son groupe de jeunes filles pénétrait dans le hall de la piscine de la ville voisine, la chaleur torride qui avait régné toute la journée l'avait amenée à bousculer l'emploi du temps prévu .
Depuis midi, les filles l'avaient pressée de s'y rendre afin de profiter pleinement d'une si belle journée.
Affalés sur le ventre, autour du bassin découvert, les aînés, les garçons du groupe 6 semblaient les y attendre, tout bien réfléchi, peut-être les attendaient-ils vraiment, instruits de leur sortie par les grandes.
En débouchant dans la piscine, son maillot une pièce noir la moulant, révélant sa lourde poitrine et ses fesses opulentes, à leurs yeux intéressés, Françoise s'était sentie dévorée des yeux .
Sous les regards de tous ces adolescent braqués sur elle, insistant avec impudence sur ses seins, ses fesses, son sexe, une douce chaleur l'avait alors envahie .
Pour cacher son trouble, elle s'était d'abord allongée sur une natte au bord de l'eau, quelques filles à ses cotés, ça et là, allongées sur le dos .
Faisant fi des spectateurs attentifs, elle avait entrepris de reprendre son calme, intriguée de cette réaction inhabituelle ..... la chaleur ...... l'énervement peut-être .
Les filles n'avaient pas tardées à l'abandonner, se précipitant à l'eau pour y chahuter avec leurs habituels soupirants .
Rapidement Françoise, qui surveillait distraitement leurs évolutions, s'alarma de la tournure des événements : aux jeux innocents avaient succédé des attitudes plus suspectes, les jeunes gars, profitant des circonstances, caressaient les seins juvéniles, les fesses plus ou moins dodues de ses jeunes demoiselles qui ne s'en plaignaient pas, bien au contraire, ne protestant pour la forme que par des petits cris effarouchés, mais revenant se mêler de suite au chahut, aguichant par le geste les adolescents lorsque ceux ci leur prêtaient moins d'attention.
Cet atmosphère trouble, pesant, lourd de désirs exacerbés, n'était pas sans résonner sur Françoise elle même, elle sentait son coquillage se dilater doucement, une chaleur étrange lui embrasait le bas-ventre, ses sens chaviraient peu à peu, elle se secoua, et, pour échapper à ce trouble naissant piqua une tête dans l'eau fraîche et se mit à nager à longues brassées, accumulant les longueurs de bassin.
Bientôt Miloud et Stephan, deux adolescents parmi les plus âgés, la rejoignirent et nagèrent à sa hauteur.
Ils entreprirent de la chahuter, sous l'eau ils passaient sous elle, lui agrippant les jambes pour lui faire boire une tasse, elle se défendait de son mieux et, prise par le jeu leur rendait la pareille.
Brusquement, elle se sentit saisie par la jambe.
Un des jeunes avait agrippé sa cheville puis suivant le galbe de son mollet, l'arrondi de sa cuisse posait la main sur sa taille .
La peau de ses hanches se granulait sous la caresse insistante, à la limite du maillot.
Une poussée violente la plongea sous l'eau, elle ferma vivement yeux et bouche tandis que le jeune profiteur engouffrait brutalement son autre main dans le soutien-gorge lâche, ses seins furent rapidement malaxés.
Les tétons raidis pincés, ruant, se débattant, elle parvint à remonter à la surface mais, encore toussant et crachotant elle ne put identifier son agresseur.
Tandis qu'elle revenait péniblement au bord de la piscine elle s'étonnait de ne pas ressentir que de la colère .
Ces caresses brutales l'avaient émue plus que de raison, troublée, elle regagna les vestiaires pour se rhabiller .
Seule dans la petite cabine, elle se surprit en enlevant son maillot à caresser longuement sa poitrine, en faisant rouler lentement les pointes exaspérées, dardées, et elle, si peu portée sur l'onanisme elle passa lentement ses doigts dans sa fente qui ruisselait d'eau et de désirs frustrés,
constatant dans sa chair qu'elle regrettait la brièveté de l'étreinte qui l'avait tant émue.
Etonnée de se voir si réceptive aux attentions de ces jeunots, qui jusqu'ici ne l'émouvaient nullement, pour se calmer, elle eut recours à des caresses qu'elle croyait oubliées depuis longtemps .
La main nichée au creux de sa blessure elle débusqua son clitoris qui se dressait, impatient, hors de son capuchon protecteur .
D'un doigt, elle agaça ses petites lèvres, en apprécia le contours, puis enfilant son majeur dans sa vulve, la tête vide, elle accorda à ses sens la satisfaction de leurs désirs .
Après quelques longues caresses la brusque introduction de son majeur dans son anus l'amena enfin à cet orgasme auquel elle aspirait maintenant de toutes les fibres de son corps.
Rêveuse, légèrement nauséeuse, elle quitta l'édicule et gagna le parking ou l'attendaient la majorité de ses filles .
Aux regards ironiques des garçons qui leur tenaient compagnie, elle comprit que l'auteur du geste, peut-être même les deux garçons s'étaient déjà vantés de leur bonne fortune, elle se sentit rougir et se précipita à sa place sous l’œil insolent de ses suborneurs .
Depuis ce jour, elle avait accordé un regard plus attentif aux activités de ces jeunes gens et avait remarqué que depuis quelque temps, on les voyait souvent, l'appareil photo au poing, roder dans tout l'établissement
Et même, un jour qu'elle descendait de voiture, assis sur le terre plein ils l'avaient lorgnée de façon très indiscrète .
Sa jupe étroite, fendue sur le coté la gênait énormément pour sortir de voiture .
Elle se doutait du spectacle qu'elle leur avait offert en se tortillant pour s'en extraire, Miloud n'avait pas raté l'occasion de photographier cet instant révélateur.
Ils devaient bien s'amuser, le soir en contemplant les photos qu'ils avaient prises ; elle s'imaginait le spectacle, à demi sortie du véhicule, sa jupe troussée sur ses cuisses dodues et dorées à souhait, le fond de sa petite culotte pointant son triangle blanc à la jointure de ses fesses, peut-être même pouvaient ils apercevoir quelques poils follets dépassant de la lisiÈre de son slip .
De les imaginer étendus sur leurs lits, commentant le spectacle en se secouant la queue à pleine mains, son ventre s'échauffait encore ; malgré elle, elle dessinait dans sa tête le contour de leurs queues, quelques regards furtifs l'avait convaincue de l'importance du paquet de Miloud, qu'il exhibait d'ailleurs volontiers dans ses jeans moulés, elle se représentait une longue queue brune, épaisse, émergeant d'un buisson frisé et noir.
Comme tous les algériens, du moins d'après la rumeur, il semblait membré au delà de la norme, certainement beaucoup plus que son mari !
Sa tête s'il savait le pauvre à quelles comparaisons elle se livrait !
Les pantalons de son copain étaient beaucoup moins révélateurs et elle se perdait en suppositions quand à l'aspect du membre de Stephan.
L'orage couvait depuis la fin de l'après-midi, Françoise se sentait excitée au plus haut point, les pointes de ses seins s'irritaient sur la dentelle du demi-balconnet qu'elle avait enfilé le matin .
Elle était responsable du groupe des grandes, jeunes de 14 à 20 ans, toutes admises soit en raison de leur débilité, soit en raison de problèmes familiaux graves, parfois même pour les deux raisons .
Les jeunes filles, échauffées par l'orage et par la proximité du groupe des aînés lui avaient mené la vie dure toute la journée, les querelles, les discordes, souvent motivées par des jalousies éclataient à tout propos : l'une trouvait que son petit ami lorgnait trop les autres filles, celle-là pensait que sa voisine aguichait son jules ...
Enfin tout l'après-midi avait été de cette veine, elle se sentait épuisée à force d'intervenir pour séparer les jeunes femelles en rut .
Maintenant, elle pouvait se détendre un peu,le repas s'était déroulé tant bien que mal, et à ce moment toutes les filles profitaient de leurs derniers temps libres avant le coucher, certaines devisaient dans la salle de vie, d'autres s'étaient retirées dans leur chambre pour y écouter des disques ou discuter de garçons entre copines, deux ou trois étaient parties retrouver leurs amoureux et devaient flirter, sinon plus dans quelque recoin de la propriété .
Avec violence, la pluie se mit à tomber, bientôt de longs éclairs embrasèrent le ciel, les lumières vacillèrent à plusieurs reprises puis s'éteignirent totalement.
La chaleur étouffante, les cris de panique des gamines apeurées, tout continuait à renforcer sa fébrilité.
Brusquement elle s'aperçut que deux de ses donzelles n'étaient pas rentrées elles pouvaient se trouver n'importe où, certainement en train de flirter ou même plus.
Françoise les imaginait la culotte descendue sur les genoux, leurs petits sexes exhibés devant les yeux de quelques garçons aux regards salaces.
Cela lui rappelait ses premiers émois sexuels .
Agée de 18 ans au cours d'une randonnée en montagne, un violent orage avait éclaté, contraignant chacun à se réfugier à toute allure dans un abri provisoire.
Elle s'était retrouvée avec son petit ami d'alors, Marc sous une roche en surplomb qui les protégeait de l'averse.
Marc profitant de leur isolement s'était enhardi, comme, apeurée, elle se blottissait contre lui, sa main avait lentement dérivé sur son épaule pour venir épouser la forme d'un sein, puis sa bouche s'était posée sur la sienne.
Lèvres soudées, ils s'étaient longuement embrassés de façon qui lui paraissait maintenant, l'expérience aidant, bien chaste.
Lentement, avec douceur, il avait caressé ses cuisses, les escaladant à pas menus, s'imprégnant de leur tendre chaleur, comme dotée de leur propre volonté, ses jambes s'étaient ouvertes, livrant le chemin de sa culotte de coton blanc au gentil envahisseur .
Puis fébrilement, s'énervant soudain, Marc avait empoigné sa motte, d'abord au travers de sa culotte.
Mais bien vite, il s'était infiltré sous l'élastique empaumant son pubis soyeux qui s'en trouva tout réjoui.
Les doigts fiévreux continuèrent leurs investigations, séparant les lÈvres virginales, dégageant le bourgeon déjà dressé qui aspirait à la caresse.
Puis il avait habilement parcouru le long corridor clos par les petites lèvres avant de s'aventurer dans la vulve serrée pointant un doigt indiscret, il s'était introduit, éprouvant l'élasticité du jeune vagin, une petite douleur cuisante avait marqué la perforation digitale de l'hymen avant qu'il ne lui impose un compagnon et se mit à tester la douce moelleur du con juvénile.
Les caresses duraient depuis quelque temps, ses cuisses s'ouvraient maintenant largement, elle appelait de tout son corps celui de Marc, elle allait vraiment succomber, lorsque l'averse ayant cessé des appels pressants les avaient obligés à reprendre une tenue plus décente pour rejoindre leurs compagnons .
En souvenir de ces instants délicieux, elle avait d'ailleurs prénommé son fils Marc .
L'idée la traversa subitement que ses adolescentes se trouvaient peut -être actuellement dans la même situation ...
Elle devait intervenir rapidement .... Avant qu'il ne soit trop tard !
Il ne manquait pas dans l'IME de garçons susceptibles de profiter d'un court instant d'abandon !
Avec quels garçons pouvaient elles donc bien se trouver?
Avec Miloud, ce jeune présomptueux, au regard audacieux qui toisait toutes les femmes de l'établissement ?
Avec son compère Stephan qui lui aussi passait le plus clair de son temps à déshabiller les filles du regard ?
Avec Daniel le petit boutonneux qui respirait le vice par tous les pores de sa peau ?
Ou encore avec Charles le grand dégingande à l'air blasé ?
Avec Frédéric qui passait le plus clair de son temps à exposer ses organes génitaux aux yeux des plus jeunes ?.....
Plus elle y réfléchissait, plus elle penchait plutôt pour Miloud et Stephan, si vicieux que même les éducatrices se méfiaient d'eux là et veillaient à ne pas se trouver seules en leur compagnie .
Un nouvel éclair déchira le ciel, se secouant de la douce torpeur, dans laquelle ces évocations l'avaient plongée, Françoise décida de partir à la recherche de ses brebis égarées.
La démarche lourde de désirs inassouvis elle entreprit de visiter les locaux.
Elles ne se trouvaient pas dans les 3 pavillons éducatifs, ni dans la salle de gym, elles ne pouvaient donc se trouver qu'aux clubs ou dans les salles sous les ateliers ; elle les contourna et arriva dans les pièces obscures accueillant les activités de club.
Une lumière blafarde émanait d'une des salles, elle dirigea donc ses pas vers cette dernière, entrouvrant la porte, elle ne vit d'abord personne mais perçut des bruits de conversation provenant d'un divan qui lui tournait le dos.
Certaine de trouver ses filles vautrées sur le divan, peut-être même vautrées sur des garçons, la colère lui monta à la tête et brutalement elle surgit devant les yeux étonnés de trois jeunes, effarés de cette brusque apparition.
Décontenancée de ne pas trouver ses filles, Françoise ne sut que balbutier :
- N'auriez vous pas vu Isabelle et Marie-Claude?…..
Devant la réponse négative des garçons, ne mesurant pas le péril, elle s'emporta alors :
- Mais que faites-vous donc là? ….
Le premier instant de saisissement passé, Miloud vit là l'opportunité qu'il guettait depuis de longs jours.
Discrètement il adressa un signe à Charles qui s'éclipsa rapidement, puis répondit :
- Nous parlions de toi ?
Au lieu de briser là la controverse, et de partir, Françoise commit alors l'ultime imprudence en poursuivant le dialogue, ironique.
- Et sans indiscrétion... Que racontiez-vous, pour être obligé de vous cacher pour discuter ?
Miloud répondit alors avec brutalité :
- On parlait de toi... De ton cul... De ta chatte... Depuis que nous t'avons bien pelotée à la piscine, on s'imagine tes formes... Les photos nous ont bien renseigné, on sait que t'es une fausse blonde... Les poils bruns dépassant de ta culotte t'ont trahi... Mais on aimerait en savoir plus... Pour l'instant on imagine...
- Je ne supporterai pas ce ton plus longtemps ! Le coupa alors Françoise,
- Ou tu t'excuses immédiatement devant tes copains ou je fais un rapport et c'est avec le directeur que tu t'expliqueras ! Le menaça-t-elle.
- Tant qu'a être puni... Autant l'être pour quelque chose ! S'enflamma Miloud l'agrippant par le bas de sa robe.
Françoise se sentit chuter elle tendit les mains en avant, par réflexe et se retrouva étendue de tout son long en travers des cuisses des deux complices .
Avant qu'elle n'ait pu se redresser Stephan lui attrapa les seins à pleine mains la forçant à se blottir sur leurs genoux.
Tout en criant elle serra les genoux à les rompre, déjà elle sentait les mains de Miloud s'insinuer sous sa jupe tandis qu'il commentait :
- Alors garce... T'as gagné c'est la pine qu'il te faut... Vas-y, hurle à plein poumon... Ca m'étonnerait que quelqu'un se balade dans le coin, et... Même si on t'entendait t'aurais bonne mine si on te trouvait troussée comme un poulet sur nos genoux !
Effectivement, Françoise se rendit compte du spectacle qu'elle devait donner, dès ce moment elle se tut, peu encline à ameuter des adultes, ou des enfants qui commenteraient à leur façon le troublant spectacle.
Cependant elle se débattait, cherchant à se délivrer, mais chacun de ses soubresauts livrait encore plus son intimité aux doigts inquisiteurs.
Miloud promenait maintenant sa main dans sa culotte, il lui caressait les fesses, suivant d'un doigt curieux la fente ombrée, débusquait l'anus frémissant blotti au plus profond de la raie .
Pour l'instant il inventoriait sa croupe, tandis que Stephan, qui avait retroussé son chemisier sortait à demi ses seins de leur écrin.
Ils débordaient maintenant du soutien-gorge roulé sous sa poitrine, il pinçait les aréoles, les tirait, pétrissait toute la mamelle... Sûr la trace de ses doigts resterait un moment marquée sur sa poitrine !
Françoise sentait grossir leur envie sous elle, leurs queues l'une à hauteur de ses cuisses, l'autre sous son torse prenaient une consistance de bon aloi.
Elles raidissaient, s'irritaient contre les jeans et Françoise était à même de constater qu'elle ne s'était pas trompée quant à la taille de la bite de Miloud, celle de Stephan qu'elle n'avait pu évaluer, lui semblait toute aussi grosse, elle sentait son con s'humidifier et ruait de plus belle pour se dégager.
Retombant d'une de ses ruades, elle fit crier de douleur Miloud, involontairement elle lui avait écrasé un testicule sur la cuisse.
Le visage de Miloud s'empourpra de colÈre, il s'écria furieux :
- Ca tu vas le payer ma garce !
A ce moment Charles, qui s'était éclipsé au tout début des débats, réintégra la salle, son éternel appareil photo sous le bras, il informa ses potes :
- Pour éviter toute surprise, j'ai mis quelques poubelles en travers du chemin, dans l'ombre du virage, si quelqu'un se pointe on entendra parfaitement le bruit !
- Alors on y va dit alors Stephan, impatient à ses acolytes...
- Qu'est ce que vous voulez me faire …… pleurnicha Françoise apeurée .
- Qu'est ce que tu fais à tes enfants, quand ils désobéissent ou te font mal ? L'interrogea Miloud.
Et Françoise s'entendit répondre, la voix mal assurée, tremblante :
- Je leur donne la fessée ! Et vivement elle ajouta Mais c'est pas pareil... Ce sont des enfants, vous n'oseriez tout de même pas...
La suite lui prouva que si.
- Stephan bloque lui les bras, Charles tu prendras des photos !
Ceci dit Miloud la coinça de nouveau sur ses genoux, elle n'eut pas le temps de rouspéter, que déjà Stephan lui retournait les bras dans le dos et les lui bloquait d'une main, réservant son autre main pour un autre usage.
Malgré ses gigotements Miloud releva sa jupe bien au delà de la croupe .
Elle avait conscience, ainsi troussée de leur exposer ses deux globes ronds encore prisonniers de leur écrin de nylon.
Son mini slip vert devait encore renforcer l'attrait du spectacle, ils restÈrent quelques instants silencieux, immobiles, à contempler le joufflu livré à leur convoitise .
Puis d'une main, Miloud attrapa l'élastique du slip, et ainsi qu'on dépouille un lapin, il lui arracha son dernier voile.
L'élastique céda d'un claquement sec immédiatement suivi du grincement du nylon qu'on déchire.
Un premier éclair ponctua la première photo.
Miloud fourra les lambeaux de la culotte dans sa poche et attira l'attention de ses copains sur le postérieur ainsi dénudé .
Les trois se livrÈrent à nouveau à une longue contemplation, Françoise cherchait à serrer les fesses, afin de révéler le moins possible des secrets de son académie, mais Miloud lui avait écarté brutalement les jambes et sur, son injonction, Charles glissa une chaise entre ses chevilles.
Françoise avait pleine conscience d'être exhibée comme du bétail à l'étal, elle sentait les yeux de ses agresseurs courir le long de la vallée ombrée de sa raie, lisant comme dans un livre ouvert à la bonne page, découvrant d'abord l'anneau ridelé à la texture plus sombre de son anus puis tout de suite après le périnée, l'ouverture de son sexe, qui vu sa position devait bailler insolemment.
Elle en soupirait de honte, elle savait maintenant que rien ne les arrêterait plus, il était inutile de les supplier...
Malgré elle une louche langueur gagnait ses reins... Et l'autre qui continuait à prendre des photos !
La main s'abattit une premiÈre fois sur le majestueux pétard une vive douleur irradia alors sa croupe, la deuxième claque se faisait attendre, et c'est alors qu'elle décrispait ses fesses qu'elle arriva provoquant immédiatement un surcroît de douleur .
La technique de fesseur de Miloud était bien au point, les coups étaient violents, variés, donnés sur un rythme lent, il attendait toujours l'instant ou les fesses se détendaient pour frapper.
Les soubresauts de la victime obligeaient l'anus à s'entrouvrir révélant la chair sombre du tunnel, la langueur de Françoise avait évoluée, aux brûlures des premières claques avaient succédé des lames de feu qui lui traversaient les reins, irradiant dans son sexe qui était maintenant trempé, elle prenait son pied, peu à peu ses sanglots se transformèrent en soupirs et bientôt un long spasme la secoua sur les genoux de son agresseur.
Tout le temps de la punition, Stephan avait continué de lui peloter les mamelles, les pinçant, les malaxant tandis que le dernier compère continuait à prendre des photos.
Miloud se fit caressant, il voulait vérifier une impression subite, s'infiltrant entre les jambes disjointes il força du doigt le con de la belle et le trouva débordant de cyprine, grandes, petites lÈvres, clitoris tout baignait maintenant dans un jus onctueux.
A ce moment, retentit un juron sec accompagné d'un bruit de poubelles renversées.
Immédiatement Miloud libéra Françoise, cette dernière en toute hâte entreprit de remettre un peu d'ordre dans sa tenue, Charles, lui, dissimula son appareil photo .
Les jambes cotonneuses, la vulve trempée Françoise vit Christophe, l'éducateur chef rentrer dans la salle, tout de suite il interrogea :
- Françoise, que faites vous ici, en compagnie de ces deux jeunes ? Et au vu de son visage empourpré il ajouta :
- Vous auraient-il importunée ?
Miloud retint sa respiration, l'instant était crucial, ou elle se taisait et c'était tout bon pour eux, ou elle parlait et c'était le renvoi après passage devant le directeur.
Françoise, l'esprit embrumé n'en était pas là, elle pensait seulement à la honte d'avouer qu'elle s'était fait tripoter par ces jeunes, tout son esprit se révulsait à l'idée d'étaler son aventure, de savoir qu'elle serait abondamment commentée... Déjà qu'on lui reprochait sa trop forte féminité... On l'accuserait de les avoir provoqués... Qu'en dirait son mari si jaloux... Et ses enfants ne la considéreraient-ils pas comme une putain... On est si cruel à 12 et 14 ans !
Un ange traîna dans la pièce, et la voix voilée, essoufflée Françoise répondit :
- Je viens d'arriver au pas de course... Sous la pluie et je questionnais Miloud et Stephan... Je cherche Isabelle et Marie-Claude qui se sont absentées du groupe !
Cette explication suffit à Christophe qui se tournant vers Miloud, Stephan et Charles les engueula un peu, ils n'avaient rien à faire à cette heure à cet endroit, même s'ils s'y étaient réfugiés pour s'abriter .
Tous ensembles ils retournèrent vers les groupes.
Sous le regard goguenard des trois jeunes, Françoise salua son chef et rentra au groupe ou elle retrouva ses deux fugueuses.
Coulybaca
Janvier 2008
dominique.dubuissez@orange.fr
EDUCATRICES . Ch 2
Coulybaca
Texte personnel.
Chapitre 2 : Une visite à domicile, Miloud assoit son emprise…
La soirée s'était terminée calmement, bien que Françoise soit légèrement nauséeuse, vaguement insatisfaite et surtout l'esprit encombré de pensées contradictoires :
Pourquoi elle ? En quoi avait-elle bien pu les provoquer
Comment avait-elle pu ressentir un certain plaisir de se faire ainsi maltraiter, car c'était indéniable, elle devait se l'avouer, elle avait frôlé l'orgasme dévastateur. Comment cela se terminerait-il ?
Pourvu qu'ils se taisent !!
Jamais... Plus jamais elle ne se laisserait traiter de la sorte !!
Son service terminé Françoise rentra chez elle vers 20 h 30, sa collègue qui la relayait pour la nuit bien qu'ayant remarqué son air troublé n'avait pas fait plus de remarques.
Une bonne nuit la dessus et, du moins l'espérait-elle, le souvenir de cette ignoble soirée s'estomperait.
A son retour, Frédérique et Marc, ses enfants l'attendaient pour lui souhaiter son anniversaire, et oui cela lui faisait maintenant 34 ans .
Son mari en tournée d'inspection sur ses chantiers n'était pas encore rentré, après avoir fêté l'événement dans la plus pure tradition, gâteau et bougies, elle souhaita une bonne nuit à ses enfants, se relaxa longuement dans son
bain, puis se coucha après avoir longuement massé d'une crème adoucissante ses fesses meurtries .
Heureusement, aucune trace des sévices subis ne subsistait, hormis une vague rougeur qui passerait facilement pour un léger échauffement ; elle n'aurait donc pas à justifier de l'état de sa croupe auprès de son mari, sûr des traces quelconques auraient éveillé ses soupçons .
Avec un tel jaloux, elle ne risquait pas de se plaindre de son aventure... Lui aussi l'en aurait rendu responsable... L'aurait discréditée auprès de ses enfants et qui sait... Peut-être même aurait-il réclamé le divorce !
Allons, pas de traces pas d'aveu encombrant et tout en resterait là cherchait-elle à se convaincre .
Tard dans la nuit, elle entendit la porte de l'entrepôt qui servait de garage et de magasin pour le matériel de chantiers s'ouvrir puis se refermer avec fracas, ce bruit provoqua un partiel émergement du sommeil dans lequel elle se croyait enlisée, elle remarqua alors de drôles de bruits, des halètements,... des soupirs... Et mit quelques instants , avant de comprendre que ces manifestations émanaient de sa propre gorge .
Comme lorsqu'elle était ado, la main égarée dans les plis de sa vulve elle se branlait avec ardeur dans son sommeil.
A l'état de son con, gluant et collant, lèvres largement ouvertes elle comprit que cette branlette durait déjà depuis quelque temps... Vraiment cette aventure l'avait perturbée bien plus qu'elle ne voulait se l'avouer !
La porte de la chambre s'ouvrit, elle n'eut que le temps de se retourner vers le mur et feignit un sommeil profond, elle ne se sentait pas de taille à évoquer sa journée avec son mari.
Son esprit encore enfiévré risquait de la trahir, elle risquait alors de révéler ce qu'elle voulait désormais enfouir au fin fond de sa mémoire.
André, son mari, s'allongea à ses cotés, la croyant endormie profondément il se blottit contre elle et s'endormit rapidement la laissant maintenant toute éveillée, remâchant sa mésaventure.
Avec le recul, elle pouvait maintenant, en toute lucidité, se la remémore, elle ne se reconnaissait pas dans cette femelle orgasmant sous les coups... Jusqu'ici elle s'était toujours crue parfaitement équilibrée, sexuellement épanouie dans la normalité et voilà que les coups assénés par ce jeune voyou l'avaient émue hors de propos, finalement heureusement que Christophe était arrivé...
Qui sait comment se serait terminé cette expérience sinon ?
Elle était consciente que, malgré ses efforts l'image d'elle même qu'avait dégagée cette soirée serait peut-être plus longue à s'estomper qu'elle ne l'espérait.
Cette pseudo jouissance arrachée à son corps malmené ne s'effacerait pas si facilement de son esprit !
Les jours suivants, pris en repos compensateur lui permirent d'endormir peu à peu ses souvenirs .
Le vendredi elle se rendit à l'IME pour son service de départ, elle devait vérifier le trousseau de ces demoiselles, surveiller leur toilette et veiller à la prise en bon ordre du car qui les ramènerait chez elles .
Seuls quelques cas particuliers, dont Miloud et Stephan demeuraient le week-end au domaine, faute de familles d'accueil.
Elle réussit à les éviter, s'acquitta de son service puis rentra chez elle, elle reprendrait le lundi au le retour des pensionnaires.
Elle assurait ainsi le début de semaine jusqu'au mercredi matin puis serait de congé et la semaine suivante reprendrait de la même façon, départ retour 2 jours et 3 nuits de service telle était son calendrier semaine après semaine.
Le lundi... Le mardi, se passèrent sans ennuis notables, elle sentait bien les regards concupiscents des trois jeunes sur elle, mais elle arrivait à les éviter ; les rares fois où elle n'avait pu se détourner, ils s'étaient cantonnés dans un silence pesant, lourd de convoitise, mais sans manifestations menaçantes .
Elle était parvenue à se convaincre que cet épisode fâcheux n'aurait pas de suite, ni de retentissements que ce soit dans son boulot, auquel elle tenait, ou dans sa vie familiale, elle en avait même oublié l'existence des photos, et se
persuadait que finalement ils n'étaient pas aussi pourris qu'elle le craignait !
Certaine qu'elle était que si depuis cette fatidique soirée, elle avait réussi à ne pas les côtoyer, c'était aussi parce-qu'ils n'avaient pas insistés, inconsciemment elle en concluait que pour eux aussi le chapitre était clos et bien clos .
Ce mercredi après midi, après avoir fait travailler ses enfants durant la matinée, elle leur avait accordé la permission de passer l'après-midi à la piscine, sous la surveillance de Francis, une grande perche dégingandée de 18 ans, fils de voisins et amis proches, qui leur servait parfois de chaperon .
La vaisselle expédié, uniquement vêtue d'une courte robe d'hôtesse, elle se prélassait dans son divan.
La sonnerie de la porte d'entrée la tira de sa douce somnolence .
Qui pouvait donc bien venir lui casser les pieds à 2 heures de l'après midi ? pensa-t-elle se dirigeant vers la porte,
Encore des enquiquineurs !
Elle entrebâilla la porte et, se pétrifia, se retrouvant nez à nez avec Miloud et ses deux compères, immédiatement elle voulut reclaquer la porte.
Miloud du pied bloqua le vantail le lui interdisant.
- Que voulez-vous ? demanda-t-elle d'une voix oppressée, ses frayeurs lui revenant toutes d'un bloc.
- Oh... Rien répondit Miloud, nouant le dialogue
- On revient de la piscine où on a rencontré tes gosses... Stephan voulait leur montrer les photos... Mais je me suis dit que tu voudrais peut-être en avoir la primeur...
- Les photos ? Quelles photos ? Mais celles où tu nous offres ton cul ! Tu ne te rappelles pas... Mardi soir... Sous les ateliers... Tu nous as tout montré !
- Petits salauds ! Voulez vous bien foutre le camp... N'avez-vous pas honte ?
- Non seulement on n'a pas honte, mais toi... Auras-tu honte quand ton mari... Tes enfants verront tes exploits... Ca va barder, crois moi... Mais tu fais comme tu veux... Si c'est ce que tu préfères... Ou bien , on peut en discuter calmement .
Fouettée par le tutoiement, abasourdie, égarée, Françoise s'effaça les précédant au salon .
Là, d'autorité, Miloud et ses deux complices prirent place autour de la table basse, comme Françoise restait figée, les bras ballants, il enchaîna :
- Sers nous donc à boire, pendant que je les déballe.
Engourdie, sans réaction, elle obéit à l'injonction, sortant quatre verres et elle servit à chacun un whisky bien tassé, elle en aurait sans doute besoin .
L'attirant à ses cotés par le pan de sa robe, Miloud lui tendit les petits rectangles qu'il sortait d'une enveloppe de kraft.
C'était encore pire que tout ce qu'elle aurait pu imaginer, dès la première épreuve elle sut qu'elle ne pourrait pas s'en tirer .
Troussée jusqu'aux reins, son cul rougit par les coups, les mamelles malaxées par Stephan elle étalait ses charmes les plus secrets .
Aucune erreur possible, c'était bien elle, son visage tourné vers l'objectif permettait facilement son identification, elle remarqua d'ailleurs que sur toutes les photos, si on distinguait mal les trois garçons, son visage à elle était toujours bien reconnaissable.
Les autres photos haussaient encore le niveau d'obscénité, sur l'une le doigt de Miloud fiché dans son anus semblait aspiré par ses entrailles, la suivante montrait son sphincter béant, la corolle mauve qui le cerclait bien distendue suggérait le traitement qu'il venait de subir.
Elle vacilla sur ses jambes, le coup était trop fort, elle frisait le ko .
Miloud enfonça encore le clou :
- Alors... Qu'est ce qu'on fait... On les montre... Non... Non gémit-elle, Je ferai ce que vous voudrez... Mais donnez les moi... Je ne dirai rien à personne…
- Non seulement tu ne diras rien à personne, mais... Si tu veux vraiment qu'on se taise... Tu feras tout ce qu'on voudra... Quant à te les rendre, il n'en est pas question... Ce que je te promets c'est que tant que tu te montreras docile... Et disponible ni ton mari, ni tes enfants ne les verront.
- D'accord... Je… Je ferai... Tout ce que vous voudrez... Mais surtout ne dites rien à personne capitula-t-elle la voix tremblante.
Profitant de son désarroi, Miloud glissa sa main sous sa robe et entreprit d'escalader le compas de ses cuisses, traumatisée, elle se laissait faire, ne tentant même pas de refermer les jambes, ce qui par ailleurs aurait maintenant
été bien inutile, ils avaient les arguments suffisants pour les lui faire écarter .
Tout de suite il se pointa au centre de la fourche, dans la vallée moussue, commentant pour ses copains :
- Eh les gars ! elle est à poil sous sa robe! Tu nous attendais dis donc ?
Françoise ne répondit même pas, dolente elle le laissa remonter sa robe, tendant les bras pour lui féliciter la tâche, il l'attira sur ses genoux alors qu'il précisait :
- Rappelles toi que dorénavant tu m'appartiens, tu devras aussi obéir à Stephan et Charles, mais c'est moi ton maître... Je ne tolérerai aucune désobéissance… Reprends quelques photos qu'on voit bien qu'elle participe ! enjoignit-il à Charles .
Puis il la tourna vers lui, ses lèvres se portèrent sur les siennes et il entreprit de l'embrasser, elle s'efforçait de garder les lèvres serrées, résistance vaine, bientôt la langue du voyou envahit sa bouche, elle resta passive, inerte. Miloud, agacé, cessa son petit jeu, la gifla avec violence et lui commanda :
- Tu participes ma salope ou alors ça va être ta fête !
Et honteuse de sa veulerie, Françoise se vit pencher la tête et mêler sa salive à celle de son suborneur.
Les mains de Miloud exploraient maintenant son corps entièrement dénudé, soupesaient sa lourde poitrine, contournaient ses flancs, tâtaient ses fesses puis se faufilaient entre ses jambes palpant les lèvres disjointes.
Du doigt il força son anus, et commença quelques rugueux va et viens, puis introduisant le pouce son vagin il se mit à jouer à la pince chinoise tout en la questionnant crûment :
- T’es-tu déjà fait enculer par ton mari ? Par un amant peut-être ? Non ? Nous les arabes c'est ce qu'on préfère... Eh les gars, interdiction de lui prendre son pucelage arrière... Il est pour moi !
- Oh Miloud , si tu nous la passais un peu, on en a marre de se branler en vous regardant
Dit alors Stephan qui depuis quelques minutes se secouait la pine à pleine main.
- Approche lui répondit Miloud, elle va te sucer, ça corsera un peu les photos .
Stephan s'approcha du couple, Miloud tourna la tête de Françoise vers le phallus qui se présentait à ses lèvres, Stephan n'eut pas à forcer, matée autant par la gifle que par le petit discours, elle entrouvrit la barrière de ses
dents livrant un passage aisé au gland foncé qui s'inséra
lentement entre ses lèvres la forçant jusqu'aux amygdales puis se retira pour mieux s'enfoncer à nouveau.
Elle sentait la queue de Stephan prendre encore du volume, Miloud ordonna :
- Suce le mieux que ça... Je veux voir ta gorge travailler... Caresse le de ta langue... Lèche lui les couilles... Bon dieu ! Montre ce que tu sais faire !
Il ne semblait pas se douter que jusqu'ici, si les lèvres de Françoise s'étaient déjà posées sur le gland de son mari, jamais elle ne lui avait accordé, il ne lui avait d'ailleurs pas demandé, d'aller plus loin, elle faisait là son apprentissage et sur un rythme qui lui paraissait démesuré .
Démesuré comme la queue qui lui emplissait maintenant la bouche.
Pour s'accorder quelques secondes de répit, elle le désemboucha et obéissante, entreprit de léchotter la hampe, descendant jusqu'aux couilles velues, recrachant quelques poils, remontant, suivant de la pointe de la langue le frein
qui frémissait, réembouchant à pleine gorge le gros bâton.
Stephan s'enfonça jusqu'à sa glotte, franchissant, sans se soucier de ses hauts le cœur la frontière de ses amygdales, et tandis que dans un dernier sursaut d'amour propre Françoise retenait son envie de vomir, la maintenant le nez enfoui dans sa toison, en longues giclées crémeuses il lui déversa sa semence dans l'arriÈre gorge.
Au bord de l'étouffement Françoise déglutit, avec difficulté, avala le sperme qu'elle crut sentir couler tout le long de son oesophage .
La queue se ramollit quelque peu, Stephan la lui ôta de la bouche, et servile comme elle n'aurait jamais crue l'être un jour, elle lécha la dernière goutte sur le méat et entreprit la toilette de la bite qu'elle venait de déguster.
- A toi de t'amuser... proposa Miloud à Charles Passe moi l'appareil, je prendrai les photos !
Stephan l'obligea à se relever, puis l'enlaçant il ordonna :
- Et si tu nous montrais ta chambre, ça changerait de décor les photos n'en seraient que plus variées...
Totalement soumise Françoise prit le chemin de son lit, la vue du jeté de lit rouge que venait de lui offrir son mari lui arracha un bref sanglot, Stephan profitait de sa position de suiveur pour lui palper les fesses, écartant les deux
hémisphères, il lui planta deux doigts dans le vagin et la trouva ruisselante de désirs.
Effectivement ses sens durement sollicités répondaient maintenant et même si tout son être se révulsait, sa chatte elle s'était préparée au corps à corps qui l'attendait.
Sans plus de tendresse superflue, Stephan la poussa sur le lit, elle s'y étala à plat ventre, l'envie de Stephan était telle maintenant qu'il ne perdit pas de temps en préliminaires, il la retourna sur le dos et se jeta tout de suite, pantalon baissé sur les genoux, entre ses cuisses largement ouvertes.
Sa bite trouva tout de suite la fente de Françoise, la parcourut sur toute sa longueur avant de s'engouffrer dans le vagin dilaté, quelques va et vient dans son con ruisselant suffirent à le faire jouir et en bramant il gicla, lui emplissant le trou.
Un soupir de regret échappa à Françoise lorsque se relevant il abandonna son corps palpitant, ses sens insatisfaits protestaient, le rude assaut avait été trop rapide pour apaiser sa libido en ébullition.
Impatient Miloud l'attrapa par les chevilles, la retourna sur le ventre, et sans lui laisser le temps de respirer lui glissa un oreiller sous le ventre, faisant ainsi saillir sa croupe, sa position dégageant bien la minuscule rondelle de son anus.
Il lui écarta les fesses avec vigueur, plus calme pourtant que Stephan il prit le temps d'observer le sphincter annelé qui déjà se ridait d'angoisse .
Ne s'étant jamais fait enculer, Françoise appréhendait cette première, sûre qu'il allait maintenant réclamer le minuscule orifice qu'il s'était clairement réservé.
Miloud dirigea son gland sur l'anneau et entreprit de le forcer d'abord sereinement, puis devant son insuccès avec plus de rudesse.
Sa bite paraissait bien trop importante pour le petit trou de Françoise, elle doutait de ne jamais pouvoir l'absorber, sous les quolibets de ses copains Miloud n'arrivait pas à forer l'étroit orifice plissé .
Stephan après s'être éclipsé quelques secondes revint de la cuisine un paquet de beurre à la main :
- T'as déjà vu le dernier tango à Paris ? dit-il le passant à Miloud qui, ricanant, enduisit largement son gland puis à deux doigts lui nappa l'entre fesse et le trou obscur.
La précaution était bonne, cette fois le gland franchit le goulot resserré, Françoise crut qu'on lui enfonçait un tisonnier rouge dans le fondement, Miloud avait du mal à se contenir, il dut rester quelques secondes immobiles afin de
ne pas partir précocement .
Ce maigre temps de répit permit au cul de la belle odalisque de se faire à la taille de son envahisseur et à son esprit de se faire à l'idée de sa déchéance Miloud reprit son mouvement de bielle, à chaque poussée Françoise sentait son cul s'écarteler, à chaque fois elle craignait d'entendre se déchirer son périnée, enfin à force de persévérance, Miloud s'engloutit en entier dans le cul
maintenant dompté, ses couilles vinrent battre les fesses.
A nouveau il reprit son souffle avant d'animer à nouveau son bas ventre de profonds mouvements alternatifs qui la firent geindre.
Miloud se foutait de ce qu'elle ressentait, il n'était pas là pour lui faire prendre son pied, mais bel et bien pour la foutre et la plier à tous ses désirs.
Un dernier coup qui lui sembla presque remonter jusqu'à la gorge et elle sentit des flots de sperme se répandre dans son cul, lorsque Miloud se releva, il lui en avait injecté une telle quantité qu'elle le sentit sourdre de son cul poissant le couvre lit.
Ce spectacle avait rechargé les acculs de Stephan. Il s'étendit sur le dos et l'attira à nouveau à lui.
L'esprit totalement vide, telle une marionnette, Françoise de la main guida son nouvel envahisseur, elle le présenta à l'orée de son trou plus du tout secret et s'empala lentement sur le membre qui l'envahissait de sa totalité .
Ainsi, le chevauchant elle se sentait remplie à ras bord, sa matrice en était comblée.
- Charles appela alors Miloud, prends la par le cul, on pourra terminer le documentaire !
- Non... Non... Pas ça, pas à deux... Ils vont me défoncer ! Se plaignit Françoise .
Mais inflexible, Miloud lui faisait signe d'y aller, et sous les éclairs de flash, Françoise sentit d'abord Stephan lui agripper les fesses, les écarteler en grand pour son copain.
Ce dernier se présenta, l'anus béait encore de l'enculage précédent, les bourrelets mauves de l'intérieur étaient parfaitement visibles.
Contrairement à ce que craignait Françoise le gland s'enfonça sans mal dans le cul bien graissé.
Bien vite elle sentit les deux bites se frotter l'une contre l'autre tandis que les deux jeunes hommes commençaient à ruer en elle.
Ils la fouillaient de leurs verges, sans cruauté excessive mais pourtant douloureusement, se massant au travers du périnée.
Ces deux conduits, heureusement grassement lubrifiés semblaient pleins à craquer, malgré elle, les dents serrées à craquer, elle se noya dans un abîme de jouissance.
Tous ses freins avaient sautés, des étoiles explosaient derrière ses paupières, sa croupe montait et descendait sur les deux queues, c'était elle maintenant qui s'enculait et s'enconnait sur les deux phallus, qui les retenait en elles, qui s'accordait au rythme des deux queues ébranlant tout son être .
Elle vibrait de tout son corps, pleinement actrice de son coït.
- Viens nous rejoindre dit Stephan à Miloud, et ce dernier posant son appareil sur la table de nuit, la queue à la main se planta devant sa bouche.
Elle la happa voluptueusement, lui faisant de sa gorge un écrin soyeux, alignant sa tête de façon à permettre une intromission la plus profonde possible .
Ses trois orifices comblés, elle connaissait spasmes sur spasmes, orgasme sur orgasme, son vagin s'emplit le premier, elle continua de téter le chibre de Miloud, par mimétisme son cul se mit à l’œuvre, il trayait véritablement le vit
de Charles.
Bientôt ils ne purent plus résister et simultanément ils se vidèrent à gros bouillons qui dans son cul, qui dans sa bouche.
Epuisés tous trois tombèrent sur le lit ou encore emmêlés ils restèrent dix bonnes minutes dans cette position à la recherche de leur souffle .
Enfin les trois voyous se relevèrent .
Comme Françoise fourbue restait allongée, Miloud l'invita à les raccompagner sur le pas de porte .
Là à poil et à genoux elle embrassa une dernière fois leurs queues luisantes
tandis que Miloud lui fixait ses dernières recommandations :
- A l'avenir, au boulot, bas et porte-jarretelles, mais toujours cul nu, toujours disponible. Profite de ces deux jours pour te reposer, vendredi dès ton arrivée à l'IME tu viendras dans sa chambre que je vérifie ta tenu !
Sur ces derniers mots ils la quittèrent .
Il lui restait une petite heure pour remettre de l'ordre, laver le jeté de lit couvert de foutre, aérer pour chasser cette odeur lancinante de baise, prendre son bain, relaxer son corps et surtout réfléchir à ce qui lui arrivait et aux façons de s'en sortir au moindre mal .
Elle terminait à peine lorsque Francis ramena ses enfants.
- Fatiguée ? Lui lança-t-il avec une pointe d'insolence tout à fait inhabituelle, au vu de ses yeux largement cernés de bistre.
Etonnée de cette familiarité soudaine de la part de ce grand dadais habituellement timide, elle rougit et soupira :
- Oui... Le travail... Les enfants... se promettant de se remaquiller rapidement.
Cette grande bringue de Francis, en toute innocence ?, avait mis le doigt sur un détail qui pourrait bien intriguer son mari plus soupçonneux, plus retors que ce jeune puceau, et ça, il ne le fallait à aucun prix.
Coulybaca
Texte personnel
Dominique.dubuisssez@orange.fr
L'EDUCATRICE .
Texte personnel Coulybaca
Tous les jeunes participant physiquement à l’action sont âgés de plus de 18 ans.
Chapitre 3 : Murielle, l’infirmière…
Plongée dans l'eau chaude et relaxante de son bain, Françoise réfléchissait : elle ne pouvait nier le plaisir qu'elle avait pris lors de ces copulations successives qui lui avaient été imposées, et, malgré sa honte et sa répulsion initiale, son ventre se souvenait encore, sa tête aussi, des orgasmes qui l'avaient secouée .
Cependant elle, qui n'avait jamais trompé son mari, venait de se plier aux désirs de trois adolescents qui l'avaient amenée, par la force il est vrai, à leur accorder beaucoup plus en trois heures qu'elle n'en avait accordé en 16 ans de vie commune à son époux, et pourtant elle n'arrivait pas à se sentir honteuse, non ce qui la chiffonnait le plus c'était de savoir que Miloud avait maintenant barre sur elle et de ne pas trouver de solution qui lui permit de sortir de ce pétrin : refuser d'accéder aux désirs brûlants de Miloud c'était risquer la divulgation de ses saloperies de photos.
André devant un coup pareil demanderait à tout coup le divorce et obtiendrait à coup sur la garde des enfants, qui de toute manière se détourneraient d'elle.
Après le scandale qui s'en suivrait, plus de boulot, les propositions malhonnêtes des individus qui la prenant pour une fille facile en abuserait, et pourquoi pas pour finir le trottoir.
Se soumettre n'était guère plus réjouissant, jusqu'ou Miloud irait-il, jusqu'ou accepterait-elle d'aller.
Malgré tout, tout ne pouvait être mauvais chez ce garçon, peut-être, si elle se montrait particulièrement gentille et docile, lui rendrait-il ces satanés photos...
Elle se sentait prête aux pires bassesses, à accepter les plus grandes compromissions, s'il lui promettait en retour de les lui rendre.
Elle n'arrivait pas à se déterminer une conduite, oscillant entre la soumission totale et la fière rebellion qui risquait de lui coûter son boulot, son ménage et peut-être même ses enfants.
Enfin ses enfants rentrèrent de la piscine, Francis gentiment l'assura qu'ils avaient été des plus sages.
Exubérants ils lui racontèrent leur après midi, passée en grande partie, en compagnie d'un jeune du centre... un gars sympa qui leur avait montré comment plonger, nager, faire la bombe et mille tours à exécuter dans l'eau .
Ce rapport la glaça, ainsi ils avaient osés... Leurs menaces n'étaient donc pas vaines... Ils auraient pu...
Avec soulagement elle laissa sa progéniture se plonger dans une ultime révision des cours du lendemain.
Enfin l'époux rentra de son travail fourbu, renfrogné, il s'installa devant le poste télé, se servit un pastis bien tassé et sans un mot se relaxa en visionnant d'un oeil distrait la classe sur FR3 .
Elle lui en voulut presque de cette tranquille assurance... Comment ne soupçonnait-il pas... La croyait-il donc si peu attirante ?
La succession monotone des tâches ménagèrent la distrayèrent de ces pensées contradictoires, et c'est plus sereine que le soir venu elle s'étendit aux cotés de son mari.
Plein de tendresse, il sollicita son corps, elle se laissa prendre sans passion, sa chair et son âme comparant sa piètre performance, ce coup vite tiré et la fougue des trois ados qui, l'après midi durant l'avaient si furieusement comblée .
Déjà, ses sens réclamaient des étreintes plus brutales, plus conséquentes...
Le vendredi suivant, elle partit au boulot décidée à repousser Miloud, à 18 ans et demi, encore influençable, il plierait sûrement si elle se montrait suffisamment ferme
Par précaution, elle s'était tout de même conformée à ses ordres, n'enfilant sous sa jupe noire qu'un porte-jarretelles et des bas fumés.
En vue du domaine, elle hésita longuement puis se décida à ôter sa culotte.
Il vaudrait peut-être mieux l'amadouer avant de lui faire part de son refus de se plier plus longtemps au chantage.
Elle se rendit directement à la chambre de Miloud, celui-ci l'attendait de pied ferme, allongé sur son lit.
Elle referma la porte, et tout de suite le poster qui en ornait le revers lui sauta aux yeux.
La grande image, la représentait empalée sur la pine d'un jeune partenaire, la croupe cambrée, une pine luisante, de bonne taille plantée dans son anus dilaté.
Les visages découpés des trois protagonistes interdisaient une identification immédiate, il suffisait pourtant de connaître la chambre et le jeté de lit sur lequel se vautrait cette chienne en rut pour la reconnaître dans cette bacchante échevelée.
Miloud sourit ironiquement et lui dit :
- Hein qu'il est beau mon poster... Ou le tien devrai-je dire... Y en a pas mal qui se demandent qui figure sur la photo... Les suppositions vont bon train... J'en ai tiré deux autres pour décorer les murs de ma future chambre... Ou pour envoyer à ton mari si c'est nécessaire... Sur ceux là, j'ai laissé les visages !
A ce spectacle et à ce discours, Françoise perdit toute sa superbe, muette elle se contenta d'approcher du lit, et sur un bref signe elle se troussa exposant son ventre barré du porte jarretelles et ses cuisses gainées de nylon fumé, le tout encadrant et mettant en valeur sa pilosité exubérante.
- On a juste une demi heure avant le départ des cars, presses toi de me sucer, on verra plus tard pour le week-end ! Lui intima-t-il.
Françoise se pencha alors sur lui, descendit la fermeture éclair de sa braguette et sortit l'imposante verge de sa prison.
Comprimée dans le jean, elle avait pris de l'ampleur, Miloud s'étant excité furieusement au cours de la mise au point, aussi lui sauta-t-elle au visage dès libérée.
Avec veulerie elle se mit à l'ouvrage, se pencha sur la bite turgide, enfourna la grosse prune presque violette dans sa bouche, puis glissa ses lèvres tout le long de la longue et épaisse hampe, léchant le gland avec application lorsqu'il frôlait l'orée de sa bouche, elle absorbait la grosse queue jusqu'à la racine, les poils de son pubis lui agaçant le nez, ses progrès étaient étonnants, elle se comportait comme une maîtresse suceuse bien que ses débuts dans la pipe fussent si récents .
Fouaillée d'en finir plus vite, craignant l'irruption de qui que ce soit dans la chambre, elle s'acharnait à téter la grosse verge qui lui déformait la bouche.
Miloud ressentait une extraordinaire sensation de pouvoir à contempler cette belle jeune femme, qui en tant normal ne lui aurait accordé que du dédain, obligée de lui téter la mentule sans rechigner.
Et ce n'était encore q'un début, il se promettait de multiples plaisirs avec elle.
Ces idées augmentèrent encore sa fièvre, le volume de sa verge s'amplifia encore, Françoise avait maintenant mal aux commissures des lèvres.
Aux premiers soubresauts de sa lourde érection, Françoise reconnut les prémices de sa jouissance, sa bouche se fit encore plus douce, sa gorge encore plus profonde et plus accueillante, elle accentua l'étreinte de ses lèvres sur la racine du gros cylindre de chair, sa bouche aspira encore plus fort tandis que sa langue frétillait à la pointe du méat.
Soudain, en un grand frisson convulsif Miloud éjacula avec un râle de bonheur, projetant son abondante semence en saccades dans les tréfonds de sa gorge.
Il déchargea longuement, se vidant les couilles comme il l'avait promis la contraignant à avaler son sperme à petites gorgées pour ne pas étouffer.
Il ne lui lâcha pas la tête pour autant, laissant sa bite se ramollir, se ratatiner dans la douce tiédeur de sa bouche tandis qu'elle lapait les résidus sur la queue, la lui rendant bien propre.
Puis il lui enjoignit d'aller faire son service, il l'attendrait après le départ des cars, et les lèvres poisseuses, luisantes de secrétions elle quitta la chambre, le goût acre du sperme collé aux papilles.
Trois quart d'heure plus tard elle était de retour et se pliait à son interrogatoire :
- A quelle heure ton mari rentre-t-il ce soir
- Il est parti au salon de Lille et ne rentrera pas... Avant lundi soir !
- Quelqu'un peut-il garder tes enfants ?
- Oui... Ma mère le fait lorsque je lui demande... Mais
- Alors viens, on va lui téléphoner... Ca va s'arranger…
La prenant par le bras, Miloud l'entraîna vers le bureau où se trouvait le téléphone.
Y entrant, tout étonnée, elle surprit, Murielle la brune éducatrice de Week-end se livrant à la même activité qu'elle même une heure plus tôt.
Murielle la bouche pleine de Stephan, rougit puis pâlit à la vue de l'arrivante, Stephan d'une petite tape sur la nuque la rappela à l'ordre, l'invitant ainsi à poursuivre sa fellation sans plus s'occuper des intrus.
- J'ai envoyé les petits a la télé avec une cassette de cul, ils ont pris leur plateau repas et iront directement se coucher, sans nous emmerder, après le film… S'ils nous enquiquinent, je les ai prévenus qu'ils auraient tous une raclée et surtout que ce serait terminé les films X, alors tu penses bien... Ils vont nous foutre une paix royale ! Annonça gaiement Stephan.
Contemplant Murielle Françoise comprit qu'elle n'était pas la seule à se plier a leur chantage, ce n'était certainement pas volontairement que Murielle suçait la bite de Stephan, et tandis que la hampe coulissait hargneusement entre les lèvres serrées, les coups de boutoir se faisant plus nombreux et plus violents, Françoise imaginait avec honte le tableau qu'elle aurait offert à qui que ce soit pénétrant dans la chambre de Miloud une heure plus tôt.
Le rythme de la fellation se fit plus frénétique, la grosse queue semblait s'enfoncer plus encore dans la gorge de la victime, d'un dernier élan Stephan planta son mandrin au fin fond de la bouche soumise, plusieurs spasmes le secouèrent.
Françoise se représentait les longs jets de sperme gluants frappant les parois lisses des joues, avant de s'écouler dans l'arrière gorge de la suceuse, le flot devait être particulièrement important, malgré les rapides mouvements de déglutition de Murielle des larmes blanchâtres suintèrent aux commissures de ses lèvres, et, lors du retrait de Stephan un long filet spermatique s'étala en larges filaments glaireux sur le menton de la fellatrice.
Comme avide de ne rien laisser perdre, Murielle à grands coups de langue nettoya d'abord la hampe luisante, puis en bonne ménagère appliquée elle téta les dernières gouttes de semence sur le méat avant de ranger l'objet de sa sollicitude dans le pantalon de Stephan.
Ce dernier proposa à Miloud :
- Si tu veux en profiter... Elle a fait d'énormes progrès, elle a des talents qu'on ne soupçonnait pas, si tu veux y goûter... Elle ne demande que ça…
- Non merci… Le remercia Miloud
- J'en sors, bientôt Françoise sucera aussi bien qu'elle, elle aussi est pas mal douée…
- Mais où se trouve Charles ?
- Il est parti avec son appareil photo, depuis qu'on a vu l’infirmière se gouiner, il ne désespère pas de la coincer...
- Ce serait terrible, d'avoir chacun notre radasse, faudra tâcher de l'aider et crois moi si on arrive à lui tirer le portrait en pleine activité, ce sera pas plus difficile que pour ces deux là de la faire filer doux... Faut creuser la question... En attendant, tu me passes le téléphone... Toi viens ici... Madame Ledoux va expliquer à ses enfants qu'elle doit remplacer quelqu'un au dernier moment... Préviens aussi ta mère qu'elle devra s'occuper de tes moujingues jusque lundi... T’es bloquée à l'IME jusque là !
Docilement, Françoise prit le combiné des mains de Stephan et composa son numéro.
A l'invite de Miloud, Stephan vérifia sa tenue, et, comme on décrochait à l'autre bout du fil, Françoise sentit une main s'immiscer entre ses cuisses, remonter rapidement jusqu'à son but, défriser sa toison, écarter sa fente, un doigt inquisiteur se ficha dans son vagin légèrement humide.
– Allo Frédérique... C'est maman... J'ai un petit problème… Dit elle alors que du doigt Stephan entamait des allées et venues dans sa gaine, rapidement, il plongea un second doigt dans le tendre réceptacle.
Françoise eut un petit sursaut de douleur, son trou secret distendu à la limite de la souffrance.
– Voilà... Rien de bien grave... Murielle qui était de service ce week-end doit partir d'urgence... Un deuil dans sa famille…
Stephan propulsait maintenant son pouce vers l'avant de la fente, ses petites lèvres s'humidifiaient lentement, son petit clitoris se raidissait sous les manipulations brutales.
– Vous allez... Rejoindre votre grand-mère… Balbutia-t-elle d'une voix hachée, les sensations se faisant de plus en plus fortes.
– Maman... Ca ne va pas ? T'es malade ? Questionna sa fille inquiète.
– Non... Non... Ca va... Je suis seulement... Essoufflée... J'ai couru Jusqu'au... Téléphone ! Répliqua Françoise tentant de toutes ses forces de se dominer, son ventre la taraudait maintenant, il s'animait d'une houle ardente, elle frottait toute sa vulve sur la paume de la main de Stephan.
D'un geste brusque, il retourna son poignet et voulut forcer du pouce les fronces de son anus récalcitrant.
Pour mieux parvenir à ses fins, extrayant ses doigts du con ruisselant il enduisit copieusement le fondement de ses secrétions intimes, puis réinséra ses doigts dans le fourreau.
Il poussa d'un coup bref, l'anus de Françoise se déplissa, les sphincters s'arrondirent admettant le pouce fouisseur, Françoise ne put retenir un cri.
– Aïe... Non... Non... Ma chérie... Je me suis heurtée le coude... Contre la tablette... Je... Je préviens votre grand-mère...
Et incapable de contenir plus longtemps ses halètements de jouissance, elle leur livra le spectacle de son orgasme en claquant le combiné sur son reposoir.
Elle n'arrêtait pas de jouir, d'avoir conversé avec sa fille alors que Stephan lui manipulait la moule et le cul avait fait sauter les derniers freins de sa libido, cette situation si particulière, malgré la présence indirecte de ses enfants, ou peut-être à cause d'elle, en dépit de son avilissement,
avait réveillé sa nature exigeante, elle savait maintenant que plus rien ne serait plus jamais comme avant, elle avait pris trop de plaisir en cette situation incongrue.
Avec un plop sonore, Stephan extirpa le pouce de son cul et complimenta Miloud :
- Tu avais foutrement raison... Elle a le feu au cul... Quelle salope ! Sous ses airs de sainte Nitouche, elle démarre au quart de tour, un doigt dans le fion et c'est le 14 juillet... Ah on va pas s'ennuyer, elle nous a demandé des efforts pour se la taper, mais maintenant que tu la tiens bien, tu verras qu'elle finira par y prendre son pied... T'en feras ta chienne, comme moi de Murielle, hein ma salope !
Et tandis que Murielle opinait de la tête, Françoise rougit comme une tomate, Stephan venait de traduire crûment tout ce qu'elle cherchait encore à se cacher, les penchants masochistes qui s'éveillaient en elle et surtout le trouble émoi qu'elle ressentait à sentir son corps, son cul, sa
chatte malmenés sans tenir aucun compte ni de son plaisir ni de son avis.
Elle se sentait rabaissée au niveau d'une poupée gonflable dont on se servirait à volonté de tous les orifices sans jamais solliciter son accord, de plus de savoir qu'elle ne pouvait plus rien leur refuser sous peine du scandale qui naîtrait de sa révolte, de se savoir à l'entière disposition de Miloud et ses copains lui entrouvrait des horizons semés de honte et de plaisirs mêlés.
Ayant repris son souffle et ses esprits, elle téléphona à sa mère, qui bien entendu ne vit aucun obstacle à prendre en charge les enfants, bien trop heureuse, au contraire de pouvoir en jouir tout le week-end.
La porte claqua, Charles les rejoignait.
– L'autre salope est arrivée... Annonça-t-il
– Mais elle est seule, Murielle m'a amené la caméra vidéo de son cocu, après souper on ira voir ce qu'elle fabrique... J'ai coincé tous les volets roulants, comme ça on pourra tout voir et filmer... En attendant... Si on allait bouffer…
Dès arrivé au pavillon, les trois comparses se servirent un apéro, tandis que les filles se dirigeaient vers la cuisine, où tout en préparant le repas elles purent échanger leurs confidences, comparant leurs situations respectives.
Murielle s'était fait piéger un mois plus tôt, son mari directeur de banque avait pris du galon et il naviguait de séminaires en conférences.
A ses retours, de moins en moins fréquents en semaine, il se montrait fatigué et de ce fait peu empressé de remplir ses devoirs conjugaux. Bien que très liée à son mari, afin de satisfaire les exigences d'une sexualité tyrannique, Murielle avait pris un amant et le retrouvait discrètement sur le seul lieu possible à l'insu de ses enfants, de ses parents et de ses relations, c'est à dire à l'IME.
Ils avaient découverts une clairière paisible, où dans le calme, et à l'abri des regards, du moins le croyait-elle, ils pouvaient se livrer en toute quiétude à leurs ébats, jusqu'au jour ou des éclairs de flashs avaient figé son
image sur des photos ou on la voyait parfaitement effectuer un 69 passionné avec son partenaire.
La peur du qu'en dira-t-on, la crainte du divorce, de la séparation d'avec ses enfants, du scandale l'avaient conduite à la même situation que Françoise maintenant.
Même sans le témoignage des photos, s'ils parlaient elle était cuite... Son mari ne supporterait pas... Il lui serait facile de prouver... Elle ne pouvait se permettre aucune indiscrétion...
Depuis un mois, tous les week-ends, en échange de leur silence, elle se pliait à tous leurs caprices, virtuellement elle appartenait à Stephan qui avait découvert sa liaison, mais il la prêtait volontiers à ses copains.
Ils en jouissaient tous sans restrictions, l'avaient initiée à la sodomie, la partousaient sans lui demander son avis, la pénétraient à deux, à trois simultanément.
Elle pratiquait maintenant l'art du sandwich, avalait le sperme comme une grande, en un mot elle avait découvert tout un monde de stupre et de fornication qu'elle n'avait même pas jusque là soupçonné.
Elle se réjouissait de voir arriver Françoise, sa servitude en serait d'autant allégée, et c'est donc deux fois moins épuisée qu'actuellement qu'à l'avenir elle quitterait le boulot.
Françoise elle même verrait bien que bientôt elle aussi prierait afin que l’infirmière tombe dans leurs rets, car si elle venait rejoindre leur club, c'est autant qui leur serait épargné à elles deux.
Le repas se déroula dans le calme, tous trois réfléchissaient à la meilleure façon de piéger l’infirmière, ils en discutaient fiévreusement, échafaudant les plans les plus sophistiqués qui les autoriseraient à soumettre la belle rousse.
Ils étaient si absorbés que c'est à peine si, au cours des allées et venues de leurs serveuses, les mains s'égarèrent sous les jupes pour palper distraitement les croupes dodues ou flattèrent sans plus d'insistance les intimités velues.
La vaisselle expédiée, vers 9 heures, ils vérifièrent que les trois petits se trouvaient bien face à l'écran, ils leur rappelèrent leurs recommandations et s'en furent épier la rousse panseuse.
Elle logeait dans une maisonnette en contre-bas, du haut du talus, allongé dans les hautes herbes, dissimulé par d'épais buissons, on pouvait sans risque embrasser du regard tout le studio, on apercevait distinctement le lit à gauche le long du mur, le coin toilette avec sa cabine de douche et les WC sur la droite.
Pour l'instant, le dos tourné à la baie vitrée, la jeune femme inconsciente des regards évaluateurs regardait la télé.
Les trois comparses, nantis de leurs esclaves, pouvaient surveiller en toute sécurité, éloigné d'une petite vingtaine de mètres tous les faits et gestes de leur proie.
Pour l'instant elle se servait un verre d'alcool bien tassé, son ennui devait être profond, car dans les vingt minutes qui suivirent elle ne consomma pas moins de trois verres bien remplis.
Enfin elle se leva, éteignit le poste et voulut descendre les stores, Charles avait bien travaillé, elle ne put les baisser et abandonna rapidement.
Elle semblait engourdie, vraisemblablement par l'alcool, ses évolutions étaient lentes, ses gestes amples mais ralentis.
Elle commença par déboutonner sa blouse, apparaissant en combinaison noire, puis toujours aussi doucement elle l'enleva offrant à ses mateurs subjugués un spectacle d'un fol érotisme douillet.
Ses sous vêtements contrastaient fortement avec l'image traditionnelle de la femme au travail, ils contemplèrent tout d'abord la lisière large des bas noirs attachés aux fines jarretelles qui striaient les cuisses à la couleur pain d'épice.
Le porte jarretelle qui lui cernait le ventre était noir incrusté de dentelles rouges, bientôt ils virent qu'il était assorti au soutien gorge contenant tant bien que mal son opulente poitrine.
Continuant son strip-tease involontaire, elle posa le pied sur une chaise, et de trois quart profil dégrafa ses jarretelles avant de faire glisser sensuellement le bas sur la jambe, sa position permettait de distinguer vaguement quelques poils follets dépassant la mince ficelle du string lui séparant les deux hémisphères, se perdant dans la vallée ombreuse, avant de couvrir la gousse d'une tache rouge dont ils pouvaient apercevoir la pointe.
Les bas enlevés, le string et le porte jarretelles subirent plus rapidement le même sort, la main dans le dos elle dégrafa enfin les attaches du soutien gorge et apparut alors dans son intégrale nudité.
Elle fit quelques pas vers le miroir du coin toilette et se mit à apprécier manuellement la plénitude de ses formes, à deux mains, elle palpa son ample croupe, escalada les flancs puis vint soupeser ses lourdes mamelles.
Charles, le plus verni distinguait nettement, dans son objectif, la large aréole plus brune qui cerclait les tétons raidis, presque violets de ses mamelons.
Les autres se contentaient de noter le violent contraste entre les bandes blanches soulignant les fesses et la poitrine, tranchant vivement avec la carnation générale de la belle, les bandes étaient forts réduites .... l'été elle ne devait arborer que le strict minimum sur les plages.
Après cinq minutes de caresses enveloppantes et lascives, elle s'étendit sur le dos, resta inerte quelques minutes.
Puis lentement, comme dotée d'autonomie ses cuisses s'écartèrent alors que ses mains se dirigeaient en rampant vers la gousse poilue, les cuisses grandes écartées permirent à nos spectateurs privilégiés de constater que sa chevelure était bien en rapport avec le pubis.
Aucun doute c'était une vraie rousse, un vrai régal pour les yeux.
Avec lenteur elle immisça ses doigts dans le triangle pubien démêla les poils, dégageant la cicatrice profonde marquant son bas ventre.
Elle les faufila ensuite dans sa fente, comme pour en tester l'incontestable moiteur, flatta son clitoris, le pinçant, le pressant jusqu'à ce qu'il se dresse avec fierté, formant un petit ergot incarnat.
Puis brusquement le rythme s'accéléra, elle engouffra ses doigts dans le vestibule luisant, força violemment le sanctuaire les enfonçant au plus profond de son vagin largement distendu.
Les allées et venues dévoilaient largement le goulot du con écarlate, les bords en accompagnaient les coulissements, se retroussant en de longs éclairs de chair violette, avec brutalité, sans précaution, à sec elle se fourra le majeur dans le cul et se branla simultanément les deux trous.
Miloud et Stephan s'étaient déculottés, leurs bites tendues, violacées les torturaient.
Ils enjoignirent a leurs femelles de les branler doucement, l'actrice involontaire fouilla dans sa table de nuit et en extirpa un phallus aux dimensions respectables, de longueur ordinaire, mais d'un calibre équivalait au diamètre du poignet de Miloud.
La belle s'en poignarda, avec une violence inouïe, la monstrueuse bite de plastique forçait les chairs écartelées à la limite de la rupture, les grimaces de l’infirmière révélait la souffrance due à la brutale intromission et pourtant elle commençait à l'agiter dans son con béant.
A ce spectacle Miloud et Stephan ne purent résister, ils tirèrent leurs partenaires et les forcèrent à emboucher leurs pals frémissants de désirs.
Les allées et venues du monstrueux postiche ne durèrent pas bien longtemps et les trois orgasmes éclatèrent en même temps.
Tandis que Miloud et Stephan explosaient, s'épanchant avec abondance dans les bouches tièdes de leurs fellatrices, inondant leur arrière gorge, les gavant de semence jusqu'à l'estomac, dans un dernier saut de carpe, la bouche crispée sur des cris inaudibles de l'extérieur, l'orgasme éclata
dans le ventre de la rousse, elle resta longtemps encore allongée sur son lit, le corps agité de frissons convulsifs avant d'éteindre la lumière.
La dernière image qu'ils emportèrent d'elle la montrait cuisses grandes écartées, yeux extasiés le postiche démesuré planté jusqu'à la garde dans son intimité dont les bords boursouflés épousaient étroitement la forme.
– Ben mon vieux… S'exclama Charles admiratif.
– Quelle séance... Je vous jure bien qu'on lui foutra son gode dans le cul les copains !
Tous cinq regagnèrent le groupe encore sous le coup des émotions qu'avaient provoqués en eux le spectacle hautement pornographique, obscène que leur avait, bien involontairement fourni, la rousse au caractère de feu.
Crevés, mais des images délirantes de lubricité fixées sur les rétines, ils s'étendirent auprès de leurs femelles repues et sombrèrent rapidement dans un sommeil réparateur que ne tardèrent pas à partager leurs zélées fellatrices, la bouche encore poisseuse, imprégnée de l'odeur, du goût de leurs mâles.
Coulybaca
Texte personnel
9 mai 2008.
EDUCATRICES Ch 4 .
Texte personnel Coulybaca
Tous les jeunes participant physiquement à l’action sont âgés de plus de 18 ans.
Chapitre 4 : Le piège se referme sur Marielle la gouine.
Après une nuit entière de repos, Françoise sentit une vague caresse le long de son dos, Miloud éveillé le premier se frottait insidieusement contre sa croupe, cherchant à la sodomiser en douceur.
Il écarta largement les deux rotondités épanouies, dégageant nettement sa cible.
Puis pressant du gland l’œillet sensible, il força.
La brûlante douleur transperça Françoise, elle ne réalisait pas encore ce qui se préparait, seul son anus durement sollicité palpitait d'affolement, le reste de son corps était encore engourdi, à demi plongé dans les brumes du sommeil.
D'une poussée violente, le gland mafflu pénétra le goulot du petit sanctuaire crispé, la douleur fulgura dans ses reins.
Pensant sortir d'un cauchemar, elle reprit rapidement pied dans la réalité, empalée par une bite qui frayait impérieusement son chemin dans son intestin frémissant.
Miloud, sans plus se soucier de ses gémissements s'arc-bouta, et le gros cylindre s'enfonça lentement jusqu'à la garde au cœur de sa gaine distendue.
Déjà, la souffrance s'estompait, remplacée par une bienfaisante impression de plénitude.
Son boyau culier avait entièrement absorbé le gros rouleau de chair, Miloud se sentait pris comme dans un étau.
Au ras des couilles, le sphincter tressautait lui étranglant la tige comme un collet le lapin au sortir du gîte.
Se trémoussant avec entrain, contre le glorieux pétard, il entama son branle d'avant en arrière, certain de ne pouvoir se contrôler longtemps, tant son plaisir était grand.
Muscles tendus à craquer, enserrant la pine dans son fourreau de velours, totalement éveillée, le ventre affolé, elle se mit à ruer contre son pubis.
Un incroyable orgasme montait dans ses reins conquis, elle en voulait encore plus, s'empalant jusqu'à la racine sur le prodigieux braquemart, l'empoignant de ses sphincters comme avec un poing qu'elle aurait resserré et desserré en mesure pour mieux contrôler, retarder le flux qu'elle savait imminent .
Sans se poser d'autres questions, elle prétendait profiter à fond de ce chibre qui l'emplissait tant, provoquant tant de plaisirs nouveaux, inconnus, incongrus.
Dans un grand jaillissement il ne tarda pas à se déverser dans le cul dompté, l'inondant de son foutre chaud.
Lors de son retrait, l'anus béant, elle sentit la liqueur grasse suinter de son anus, lui poissant la chatte.
Elle dut s'essuyer soigneusement l'abricot avant de passer jupe et tee-shirt tandis que Miloud s'habillait.
Sur le pas de porte elle rencontra Charles et Stephan tenant enlacée une Murielle aux yeux soulignés de larges cernes noirs.
Elle eut tout de suite l'explication, de ces larges marques de fatigue, Stephan expliquait, vaguement admiratif :
- Putain tu parles d'une salope... On vient de se la faire en sandwich... Je te raconte pas !
Les deux éducatrices veillèrent toute la matinée sur les jeunes puis les envoyèrent à la télé lorsque Miloud les appela :
- Françoise... Murielle... L'autre salope, monte aux groupe... A vous de jouer !
Toutes deux s'avancèrent vers l'arrivante.
– Bonjour... Francoise Ledoux... Murielle Degat… Se présentèrent-elles.
– Sylvie Bonnart, je connais déjà Murielle de vue, mais... Vous Françoise, c'est la première fois que je vous vois ici le week-end…
– Sylvie s'ennuyait seule avec les gamins... Elle m'a demandé de lui tenir compagnie... Mais entrez on discutera mieux autour d'un verre… Suggéra Françoise .
– Avec plaisir... Je m'ennuie à crever dans l'infirmerie, je cherchais quelqu'un pour passer le temps… Avoua l'arrivante.
Toutes trois s'installèrent sur les fauteuils profonds de la salle de vie, les deux éducatrices, comme l'avait ordonné Miloud, se placèrent face à leur invitée.
Les jambes légèrement écartées, elles semblaient ne pas être conscientes que dans cette position, l'infirmière pouvait tout détailler de leurs chattes velues.
Un éclair intéressé brilla dans l’œil de Sylvie, visiblement, tout en conversant, elle comparait discrètement les deux touffes, la fréquence de ses regards indiscrets indiqua bientôt la craquette qui captivait le plus son attention.
Visiblement elle appréciait plus particulièrement la blonde cramouille de Françoise.
Celle ci, comme convenu, multiplia les effets de cuisse, se levant et se rasseyant pour faire le service, se frottant, comme par inadvertance contre Sylvie, lui permettant ainsi d'apprécier la fermeté de sa poitrine, le soyeux de ses cuisses, l'ampleur de son cul.
Il devint bientôt évident pour tous que Sylvie goûtait fort ses contacts furtifs, elle évaluait la silhouette de Françoise, fort gênée d'un intérêt si palpable.
Elles amenèrent petit à petit, insensiblement la nostalgique jeune femme à se confier, lui arrachant peu à peu, sans heurt des confidences plus intimes, qui permettraient aux garçons de la connaître mieux, de déterminer plus clairement son profil...
De la savoir gouine ne suffisait pas, il en fallait plus pour mener à bien leurs desseins.
Brisant la conversation, l'infirmière les quitta, invitant cette nouvelle amie qu'elle convoitait à se joindre à elle , le soir mˆme pour l'apéritif.
Après son départ, les deux jeunes femmes firent leur compte-rendu aux garçons impatients d'en savoir plus.
La quarantaine, Sylvie était mariée, mère de trois grands enfants.
Elle avait débuté comme infirmière dans un hôpital de la région, puis s'était consacrée à l'éducation de ses trois enfants, le salaire confortable de son mari leur avait alors permis de vivre largement.
Ils avaient acquis une maison 6 ans plus tôt, et de ce fait remboursaient des traites élevées parfaitement supportées par le budget initial.
Mais malheureusement, l'année précédente, la situation avait brusquement évolué, ses jumeaux ayant dépassés les dix-huit ans fatidiques, le couple avait perdu les allocations familiales ce qui était encore supportable.
Mais la dessus son mari perdit son emploi, et ne retrouva qu'un boulot de surveillance inintéressant, sous-payé, l'éloignant du foyer du vendredi soir au mercredi midi.
La seule solution, permettant de palier aux pertes financières, avait été son retour dans la vie active.
L'IME à partir de cette année ayant ouvert un internat permanent, elle avait postulé pour ce poste relativement bien payé et autorisant une vie conjugale en rapport avec l'emploi du temps de son mari.
Cependant elle se sentait très seule, le peu d'activité réelle de son boulot, la contraignant à rester inactive, désœuvrée, dans de longues gardes stériles, peu mouvementées, elle cherchait à lier avec le personnel de
service, cherchant un dérivatif à son ennui.
– On lui en collera du dérivatif à la vieille... D'autant plus que c'est tout bon... Elle ne peut pas se permettre de scandale... Elle perdrait son boulot, et pour en retrouver un autre... Si on tire des vidéos bien juteuses... On l'a à notre pogne ! Commenta Charles.
– J'ai l'impression que c'est Françoise sa préférée... Alors ce soir t'as intérêt à lui jouer le grand jeu... On sera dehors ! Intervint Miloud.
– Mais j'ai jamais fait ça avec une femme... C'est dégueulasse... Je n'y arriverai pas... Je ne saurai pas comment... Se révolta Françoise.
– Tu te débrouilleras... T'inquiètes pas... Elle te montrera, faut jamais perdre l'occasion d'apprendre... De toute manière on te demande pas ton avis... N'oublie pas les photos ! La menaça perfidement Miloud.
Françoise n'insista pas plus, elle ne pouvait pas se le permettre, et Miloud le savait, elle opina de la tête.
Lui flattant les reins, Miloud accepta sa reddition, dédaignant de la commenter plus.
La journée se déroula normalement, la sieste fut l'occasion de quelques enconnages, pipes et enculages mais ce fut surtout Murielle qui fut sollicitée, Françoise devait garder tout son influx pour le soir.
A dix neuf heures tapantes, elle se rendit à son rendez-vous, Miloud avait veillé à sa tenue.
Elle arborait un tee-shirt sur sa peau nue.
Les pointes de ses seins, raidies par l'angoisse, cherchaient à perforer le coton, si elle avait déjà entendu parler de caresses entre filles, elle n'avait jamais pratiqué, d'ou son angoisse.
Sa jupe courte révélerait immanquablement l'absence de culotte dès qu'elle s'assiérait.
Avec un grand sourire Sylvie lui ouvrit la porte, elle s'était aussi parée pour la rencontre, à chacun de ses pas ses cuisses fuselées s'évadaient par les fentes de son déshabillé noir plus fait pour suggérer la richesse de ses formes que pour les voiler.
– Je me suis mise à mon aise… Annonça-t-elle tout en invitant Françoise à s'asseoir.
Dès ce premier mouvement elle entrevit la chatte dénudée de Françoise, elle ajouta moqueuse :
- Toi aussi à ce que je vois !
Deux verres d'alcool plus tard, l'atmosphère se fit franchement plus chaleureuse, l'ambiance se réchauffait, Sylvie confia à Françoise le poids de sa solitude.
A la conversation futile de l'après midi, succéda des confidences plus intimes, l'infirmière semblait brûler ses vaisseaux, par petites touches elle amena le débat sur un plan plus personnel préparant sournoisement le terrain pour l'assaut qui devait suivre.
Elle, si gaie dans la vie courante, dépérissait à Moyembrie, sa nature exubérante ne pouvait se contenter de trois jours et trois nuits d'abstinence.
Tenant ces propos, Sylvie s'était levée, avait contourné la chaise de Françoise et s'appuyait maintenant lascivement contre son dos.
Sur ses épaules Françoise éprouvait la tendre chaleur de la poitrine de la belle inassouvie qui se penchant apercevait dans l'échancrure du tee-shirt le sillon médian séparant les deux globes veloutées.
les gestes de Sylvie se firent plus enveloppants, tout en discutant elle avait posé la main sur l'épaule de Françoise.
Imperceptiblement, elle la laissait glisser, dans l'ouverture béante du col, elle entama des caresses furtives sur le haut des lourdes masses.
Malgré elle Françoise commençait à se sentir troublée, si au début elle avait refreiné son instinct qui la poussait à rejeter brutalement la main envahissante, peu à peu son esprit s'échauffait, de se savoir épiée par ses possesseurs la mettait dans tous ses états, et comme la caresse insidieuse éveillait dans toute sa poitrine des petits élancements de plaisir !!
Sylvie, constatant l'évolution favorable de ses entreprises se fit plus tendre et plus nette dans ses intentions, elle empauma un robert, le massa longuement, estimant sa densité, sa fermeté.
Puis elle glissa la main dans le sillon velouté sous le sein et en de lentes rotations remonta vers l'aréole dont la peau se granulait, un soupir s'échappa des lèvres de Françoise qui avouait ainsi son trouble, son émoi à sa tentatrice.
Profitant de l'abandon passager de Françoise, Sylvie lui dénuda lentement le torse, caressant maintenant ses deux seins, dressant pareillement les deux tétons dardés.
Ses lèvres se posèrent sur la peau tendue, de la langue elle assiégea l'un des mamelons, puis aspira à pleine bouche le téton durci, le téta goulûment, le mordillant et le léchottant.
Des éclairs de plaisir explosaient maintenant dans la tête de Sylvie, elle tendait son buste vers la bouche de sa partenaire.
Relevant la tête, Sylvie lui prit les lèvres, sa langue moite s'immisça dans la bouche grande offerte franchit la barrière des dents, s'entortilla, agile et enveloppante, autour de celle de Françoise qui s'alanguissait sur sa chaise.
Profitant de son avantage, Sylvie remonta doucement la jupe sur les cuisses charnues qui déjà se disjoignaient, d'une main elle suivit la voie largement dégagée du pubis atteignant la fourche poilue, deux doigts coururent le long de sa fente, s'imprégnant du jus onctueux, qui peu à peu débordait du con survolté.
Elle s'empara du clitoris déjà dressé hors de son capuchon protecteur, le pinça, l'agaça jusqu'à complet affolement.
Cet affolement gagnait maintenant tout son corps, son ventre embrasé se pressait à la rencontre des doigts, oubliant tous ses préjugés, Françoise vibrait sous les caresses son corps aspirait à plus.
Contournant la chaise Sylvie se laissa couler aux genoux de Françoise, sa tête s'enfonça comme un coin entre les cuisses largement ouvertes, offrant toute la motte à la convoitise de la séductrice, elle posa ses lÈvres sur la fente velue et embrassa longuement la déchirure.
De la langue elle explora les recoins de sa féminité débusquant à nouveau le bourgeon de chair qui cette fois s'érigea tel un petit bec au sortir de l’œuf.
La langue se faisait maintenant envahissante, la salive et le jus séminale se mélangeaient détrempant la moule de plus en plus accueillante.
La langue en rouleau, elle fraya son chemin dans l'étroit passage qui s'adapta immédiatement à la conformation de ce tendre envahisseur, après toute une série de caresses profondes elle quitta la douce tiédeur du sexe englué pour suivre le périnée, et malgré le rebord de la chaise parvint à caresser de la pointe la rondelle mauve de l'anus palpitant.
Profitant du total désarroi de sa proie, Sylvie termina son effeuillage et c'est totalement nue que Françoise assista au strip ultra rapide de sa débaucheuse.
Immédiatement, ne lui laissant pas le temps de se ressaisir elle lui reprit les lèvres et l'attira fermement vers le lit qui leur tendait les bras.
Les deux corps nus se pressèrent l'un contre l'autre tandis que lèvres à lèvres les deux gouines se palpaient mutuellement le corps, éprouvant la fermeté des fesses rebondies, envahissant les sillons profonds des culs ouverts avant que les doigts raidis ne se perdent dans les intimités de l'une et de l'autre.
Françoise avait maintenant tout oublié de ses préventions initiales, elle ne pensait plus qu'à la joie de son corps qui exultait sous des caresses jusqu'ici inconnues.
Se relevant, Sylvie se retourna et s'installa tête bêche sur Françoise, lui livrant la vision de la fourrure rousse qui lui envahissait tout l'entre cuisse.
Tandis que Sylvie reprenait ses caresses labiales, Françoise s'attarda dans la contemplation du premier sexe féminin qu'on lui livrait ainsi.
Tout concourait à l'affoler, la douce tiédeur qui émanait du con juteux, l'odeur intime de la rousse qu'elle respirait à plein nez, les élancements de son ventre embrasé qui maintenant l'enflammaient.
Se remémorant la caresse qui tout à l'heure l'avait tant émue elle épiait les mouvements spasmodiques de l'anus ridelé, qui s'entrouvrait de façon obscène sous ses yeux ébahis, bientôt elle ne put plus se retenir et curieusement, au lieu de tester le goût de la craquette qui lui était offerte, sa langue se posa sur le sphincter anal, tenta de le forcer de la pointe, parvint à le pénétrer doucement.
Les fortes effluves qui parfumaient le trou du cul ardent agissaient comme un aimant sur elle.
Quittant le pertuis écartelé sa langue suivit le périnée, tout aussi odorant, avant de séparer les lèvres pendantes de la jeune bacchante et de mignoter son con tout à fait gluant.
Au contraire Sylvie abandonnait le siège de sa cramouille trempée pour s'aventurer vers son anus qui à son tour se mit à vibrer sous les coups de langue envahissants.
Le délicieux 69 dura longtemps, chacune voulant se repaître des avantages de l'autre, les corps soudés frémissants de longs frissons voluptueux, elles se perdaient dans un océan de stupre.
Elle entendit vaguement Sylvie farfouiller dans sa table de nuit, sans y prêter plus d'attention.
Un ronronnement discret se fit entendre et brusquement un objet rond se glissa dans sa fente et la parcourut en vibrant.
L'image de l'énorme godemiché qu'avait employé l'infirmière la veille, s'imprima derrière ses rétines, elle eut, à cette image mentale un violent recul, mais allongée sous sa partenaire, défaillante elle ne pouvait pas opposer une bien grande résistance.
Le groin volumineux du postiche parcourut toute sa crevasse avant de venir menacer sa vulve et de lentement s'y introduire.
Le passage fut éprouvant, mais bientôt elle sentit la totalité du leurre lui distendant le vagin à le faire craquer, les frémissements de l'engin l'entraînèrent en un orgasme fabuleux.
Pour ne pas être en reste avec son initiatrice elle enfonça brutalement deux doigts joints dans son anus, le forçant à accepter la pénétration, à admettre index et annulaire bientôt rejoints du majeur.
Le cul secoué de spasmes se contractait autour des doigts fouineurs, les serrant à les écraser, la craquette domptée enveloppait le vibreur transmettant à toute la matrice les rudes sensations éprouvées.
Rapidement l'orgasme ravagea les deux femelles lubriques les laissant pantelantes et anéanties allongées l'une sur l'autre.
Reprenant leurs esprits elles se redressèrent lentement, et le geste mou revêtirent, l'une jupe et tee-shirt, l'autre sa courte chemise de nuit.
Après un court instant de silence, Françoise révéla à sa partenaire d'amour :
- C'est la première fois avec une femme... Je ne l'avais jamais fait !
- J'espère que cela t'a plu... Pour une première tu t'es bien fait gougnotter ? Demanda Sylvie, l'air satisfaite
- Tu l'espérais bien pourtant... Sinon pourquoi venir nue sous ta jupe ?
A ces paroles, Françoise se rappela brutalement les raisons de sa venue, et rougissante de confusion, elle dut travestir la vérité.
– Oui, peut-être inconsciemment… Répliqua-t-elle
– Mais jamais je n'aurai cru que...
Sylvie la coupa :
- Allons ne boude pas ton plaisir... On recommencera... Si tu veux j'ai une amie qui vient demain soir, tu pourras te mêler à nos jeux... Je ne connais pas de meilleur moyen de combattre l'ennui !
- On verra demain... Mais pour l'instant je dois aller coucher les gosses ! Souffla Françoise franchissant le pas de porte.
- - Viens demain… La pria Sylvie
- - Je ne connais pas de meilleure lécheuse que Fabienne... Tu verras elle a le feu et cul, et... Comme avec son vieux mari elle a rarement sa ration... Même mon gode elle le prend dans le cul ! Un volcan je te dis...
Abrégeant la conversation, sur un dernier signe de la main, Françoise s'engagea dans le sentier qui la ramènerait vers les groupes.
A peine un coude du chemin la dérobait-elle aux yeux de sa rousse amie, que les trois comparses la rejoignirent, la braguette déjà ouverte, Miloud lui intima :
- Eh ben ma cochonne... Quel spectacle... On a là un reportage auquel elle aura bien du mal à résister... Mais... En attendant suces-nous... On en peut plus d'attendre !
S'agenouillant dans l'herbe du talus, elle suça tour à tour les trois bites tendues à éclater et une nouvelle fois ce jour, le nez dans les poils des trois compères, du sperme crémeux lui emplit la bouche, se déversa dans son arrière-gorge et elle avala la semence de ses maîtres.
La soirée se déroula calmement, les deux filles passaient de genoux de l'un aux genoux de l'autre, leurs charmes offerts à toutes les caresses des plus légères aux plus insinueuses.
Ils commentèrent la situation, estimant qu'ils avaient là matière suffisante pour soumettre la belle, puis ayant obtenu quelques maigres précisions de Françoise concernant la future visiteuse de l'infirmière, ils décidèrent, à toutes fins utiles d'envoyer Murielle acheter une bande vierge le lendemain.
Se promettant un avenir des plus enthousiasmant, avec des cohortes de femelles dociles, qui leur obéiraient au doigt et à l’œil ils gagnèrent leur chambre.
Cette nuit Françoise se partagea entre Charles et Miloud, elle suça l'un tandis que l'autre l'enculait et c'est après un dernier sandwich qu'ils s'endormirent , elle réalisa alors, que comme l'avait prédit Murielle elle espérait maintenant que rapidement Sylvie les rejoindrait.
Satisfaire la lubricité de Miloud lui suffisait amplement et ce soir elle était moulue, ses reins, son trou du cul lui faisaient mal, son anus la brûlait.
Peu accoutumée à de tels assauts c'est avec plaisir qu'elle verrait sa servitude amoindrie par l'intervention d'une tierce personne.
Le dimanche se déroula sans événement particulier, Françoise et Murielle satisfèrent leurs suborneurs de la bouche, du con et du cul mais déjà leur esprit banalisait leur soumission, elles avalaient le foutre par leurs trois orifices consacrés à cette office, uniquement soucieuses de satisfaire leurs maîtres, se pliant à leurs moindres désirs.
Le soir ils surveillèrent l'infirmière, Françoise ayant tu l'invitation ne se vit pas dans l'obligation de participer.
Ils revinrent avec une nouvelle bande tout aussi croustillante.
Satisfaits de leurs week-end ils s'organisèrent une petite partouze se tapant à trois, successivement les deux bacchantes.
Pour terminer la bande vidéo, tandis que Françoise accueillait trois mecs, l'un dans le cul, l'autre dans le con, le troisième dans la bouche, Murielle filmait la bête à trois dos, puis elles échangèrent leurs rôles et ce fut Françoise qui mit en boite Murielle embrochée sur les trois bites qui la secouaient d'importance.
la dernière nuit fut plus calme, au réveil, avant de quitter furtivement la chambre, Françoise fit une dernière gâterie à Miloud qui lui ordonna :
- Au briefing ce matin, tu te porteras candidate au poste vacant de seconde éducatrice de week-end... Ce sera plus pratique que de trouver des excuses vaseuses toutes les semaines... Tu n'en seras que plus à disposition !
- Mais , mes enfants, comment vais-je...
- Tu t'en occuperas plus dans la semaine... Enfin si tu ne veux pas que je me serve des photos... Tu sais ce que tu dois faire...
- Je me débrouillerais… Abdiqua-t-elle consciente que menace ou pas, de toute manière elle se serait conformée à sa volonté.
- - Ca vaut mieux pour toi ma salope... Dorénavant, c'est tous les week-ends, et... Quand je passerai te voir dans la semaine, que tu t'occuperas de ma bite... Et de celles de mes copains… L'avertit Miloud attribuant cette prompte reddition à sa menace.
Elle acquiesça, convaincue que maintenant qu'elle avait accepté une première fois de se plier à ses volontés, il était trop tard pour revenir en arrière .
Quelque part, son corps ne lui appartenait plus, il réclamait son du, peu habitué à de si fougueux amants, à de tels assauts, il ne pouvait plus se satisfaire de la vie rangée et pépère qu'elle menait auparavant, la tiède fornication de son mari lui paraissait bien mièvre en comparaison.
Elle devait accepter le joug pour lui permettre à nouveau d'exulter.
Coulybaca
Texte personnel
18 mai 2008.
EDUCATRICES Ch 5 .
Coulybaca - Texte personnel.
Tous les jeunes participant physiquement à l’action sont âgés de plus de 18 ans.
Chapitre 5 : Elargissement du cheptel.
Obéissante, Françoise postula au poste vacant d'éducatrice de week-end, sa candidature fut immédiatement retenue, ce poste n'étant convoité par personne, elle devait donc prendre son nouvel emploi du temps dès cette semaine.
Les explications, à la maison furent fort simples, elle exposa à son mari que, ses rentrées le soir se faisant de plus en plus tardives, cette opportunité lui permettrait de veiller sur les enfants la nuit tombée, de les aider pour leurs devoirs.
Tandis que le week-end il se chargerait d'eux, ou le cas échéant ils seraient confiés à leurs grands parents.
Cette solution présentant effectivement de gros avantages pour la vie du foyer, son mari, aveugle, la félicita de cette initiative.
Une coïncidence fortuite devait accélérer le processus de soumission des deux gouines : le bébé de sa voisine étant malade, Françoise la conduisit à la pharmacie, et à sa grande surprise se trouva confrontée à la femme dont elle avait remarqué la photo chez Sylvie, blonde, distinguée, la belle quarantaine entretenue, la pharmacienne était loin de se douter de l'intérêt qu'elle provoquait.
La voisine, qui se fournissait toujours dans cette pharmacie, renseigna Françoise qui la questionnait habilement.
Madame Delcroix avait épousé le pharmacien, ou plutôt la pharmacie, ce qui, disaient les mauvaises langues la mettrait à l'abri du besoin le moment venu, mais avec la pharmacie, elle avait du accepter la compagnie du pharmacien, âgé de soixante ans, prude, rigide, conformiste.
Si son époux, jaloux comme un tigre, lui interdisait toutes fréquentations masculines, conscient de son incapacité à meubler la vie sociale d'une femme encore jeune, il l'autorisait, en tout bien tout honneur, à fréquenter des femmes de son age avec lesquelles elle se livrait à de fréquentes escapades, prenait des vacances, se distrayait en dehors de la présence contraignante du mari.
Françoise compléta intérieurement le tableau, estimant que le pharmacien, ne devait pas se douter des activités de sa femme qui semblait confondre jeux de société et jeux de dames.
Presque la caricature de la femme mariée encore jeune, par intérêt, avec un époux nettement plus âgé, qui évidemment avait encore vieilli, la différence d'age et d'activité ne faisant qu'accroître l'isolement, voire la rancœur de la femme épanouie qu'elle était devenue.
Rien de surprenant à ce qu'elle satisfasse ses appétits en dehors du couple conventionnel qu'ils semblaient former.
Rien de plus évident qu'elle se devait de cacher sa vie clandestine, le rapport de la voisine évoquant un précoce vieillard aigri, plus soucieux de la bonne marche de son affaire que de la vie affective de sa partenaire qu'il négligeait, mais imbu de sa personne au point de provoquer un drame si le moindre soupçon au sujet de la vertu de sa femme lui venait.
Une proie bien facile pour son amant qui, avec ses amis aurait vite fait de la mettre au pas.
Tant mieux songeait-elle, consciente, comme Murielle l'avait été auparavant qu'une participante de plus allégerait leur condition personnelle.
Le mercredi, comme toutes les semaines, Marc et Frédérique furent autorisés à se rendre à la piscine, toujours sous la surveillance du jeune voisin, et inconsciemment Françoise se mit à guetter l'arrivée des garçons.
Vers 14 heures, la sonnerie retentit, elle se précipita, ouvrit la porte, sur le seuil se tenait Miloud.
Dans son impatience ce dernier, la porte à peine refermée la fit s'agenouiller sur le tapis.
D'elle même, avec une certaine impatience, les joues en feu, elle descendit la glissière de la fermeture éclair.
Avec bonheur elle extirpa le membre déjà turgescent du slip, et le prit sans plus de façon à pleine bouche.
Elle se rendait compte que, depuis son lever elle attendait cette minute, Miloud n'avait pas eu à la forcer, sa gorge espérait depuis le matin la présence envahissante de la verge juvénile qui la bâillonnait.
Elle se fit experte, de la langue elle repoussait le prépuce, dégageait le gland turgescent, flattait le frein, aspirait le gros cylindre jusqu'aux amygdales, se retirait pressant la hampe.
Sa bouche se faisait onctueuse, Miloud avait l'impression de forniquer dans un vagin, la bouche était si pressante, si enveloppante que bientôt sa queue fut secouée de spasmes annonciateurs de sa jouissance.
Complice, elle l'engloutit au fin fond de sa gorge, l'agaçant au passage de quelques légères morsures.
En longs jets saccadés le jus déferla dans sa gorge, elle s'empressa de déglutir et tout le temps de la longue éjaculation, elle continua à tˆter le chibre bronzé, le trayant avec vigueur jusqu'à la dernière goutte.
Enfin elle ressortit lentement le gourdin beaucoup moins glorieux et le lapa soigneusement, le nettoyant consciencieusement avant de le ranger dans sa prison de coton.
Puis, la semence lui barbouillant encore le menton, elle informa son amant de la réussite de ses projets, elle avait obtenu le poste pour lequel il l'avait obligée à postuler.
Ensuite seulement, elle lui livra tous les renseignements qu'elle avait pu collecter concernant la pharmacienne.
Pressé de mettre au courant ses acolytes Miloud la quitta rapidement, n'oubliant cependant pas de fixer la tenue qu'elle devrait revêtir vendredi
Le vendredi arriva vite, comme déterminé, Françoise se présenta au rapport, dans la chambre de Miloud, vêtue d'une courte jupe en cuir, d'un chemisier ample, de bas et d'un porte jarretelles, Murielle qu'elle avait croisée dans le couloir arborait une tenue identique, Miloud, vérifiant son obéissance, la flatta de la main en la complimentant.
Charles, qui guettait l'arrivée des voitures au parking vint annoncer la bonne nouvelle : l'infirmière débarquait en compagnie de sa blonde amie.
Immédiatement, Françoise fut déléguée pour inviter les deux gougnottes à partager le repas du soir au groupe, Murielle s'occupant des plus jeunes ils purent peaufiner le traquenard.
Toute la semaine, enfermés dans le labo audio visuel, ils avaient mis en application, avec bonheur, les notions acquises lors du dernier stage vidéo, avec l'aide de Murielle tantôt pipeuse tantôt technicienne, ils avaient
coupé, collé, sonorisé une petite bande style annonce porno.
N'en serait-ce que le sujet, sur ils auraient comblés de joie leurs formateurs qui n'auraient rien trouvé à redire au produit fini.
Brève, concise, la séquence d'un quart d'heure était un petit chef d’œuvre d'obscénité, elle réunissait en gros plans, en plans américains, en plongées contre plongées .... fellations, cunnilingus, analingus, sodomies, sandwichs .....
Toute la gamme des activités intimes, des plaisirs que ces dames se dispensaient ou se faisaient dispenser au cours de leurs après midis, ou leurs soirées récréatives.
Vers 19 heures, les invitées se présentèrent, l'apéritif était prêt, les petits nantis de leurs plateaux repas avaient gagné la salle de télé pour y visionner leur porno hebdomadaire.
Sylvie présenta son amie :
- Fabienne Delcroix, une amie…
Stephan servit copieusement les ponches, trois tournées plus tard, l'ambiance s'était nettement réchauffée, les plaisanteries se faisaient plus grivoises ; ils passèrent à table et soupèrent en arrosant copieusement les différents mets, Murielle et Françoise était chargées de saouler les deux invitées, elles s'acquittèrent au mieux de leur tâche, à peine les verres des deux gouines étaient-ils vides qu'ils se voyaient largement remplis.
Les cinq comparses buvaient modérément, les deux femmes, les joues empourprées avaient visiblement des vapeurs.
Le café expédié, autour d'une bouteille de cognac ils devisaient gaiement, lorsque Miloud commanda à Murielle d'allumer le petit poste télé du salon.
Murielle et Françoise figuraient en compagnie des trois jeunes gars sur les premières images, ignorantes de ce fait toutes deux s'empourprèrent sous les commentaires graveleux.
L'atmosphère se faisait de plus en plus lourde, d'abord très gênées, reniflant le coup fourré les amies deux voulurent se retirer, mais elles étaient trop éméchées pour raisonner.
Il les convainquirent d'autant plus facilement de continuer d'observer la projection, qu'elle avait des effets nettement pernicieux sur leur libido, le ventre embrasé, elles ne quittaient plus de l’œil les intimités révélées, en pleine action.
Dès les minutes suivantes elles comprirent le guet-apens dans lequel elles étaient tombées.
En gros plan, tête bêche, Fabienne fouillait à pleine bouche la rousse toison de son amie, lui mordillant un bourgeon de chair bien érigé, alors que cette dernière, tout en lui enfilant l'énorme godemiché dans les reins lui mordait les tendres fesses à pleines dents.
La musique suivait dans un effet crescendo l'inéluctable montée de l'orgasme des deux femelles en rut, il explosait dans un tonnerre de cymbales qui les tira de leur torpeur.
Hébétée, ne comprenant pas encore le but des ados, avec rage elles sommèrent les trois garçons de leur remettre la bande vidéo.
Charles se fit alors menacent et intervint :
- Non seulement, on ne vous rendra pas le film, mais vous allez tout de suite vous plier touts deux à nos ordres si vous voulez éviter que vos petits chéris ne les voient… On pourrait même en envoyer une copie aux chefs... Qu'en penses tu Sylvie ? Vous allez obéir tout comme nos deux salopes, sinon !
Les deux femmes, pâlirent, ne pouvant que constater l'efficacité du piège qui se refermait sur elles.
L'esprit encore embrumé par l'alcool ingurgité . Elles ne voyaient de salut que dans une totale reddition.
- Vous ne savez pas de quoi ils sont capables... Vous êtes aussi coincées que nous... Vous... Vous y passerez... Tout comme nous... Surenchérit alors Murielle.
- Bon... Maintenant, finit les jérémiades... A poils ... Et vite... Intervint Charles, il fallait leur interdire toute possibilité de réaction, profiter de leur état d'hébétude pour mieux les forcer.
Comme Fabienne tardait à se relever, Stephan lui asséna une gifle retentissante qui acheva de la convaincre de l'inanité de la révolte.
– Allez remontez doucement vos jupes... On veut un strip… Toi donne ta clé à Françoise... Elle va ramener l'olibos !
Les deux femmes pâles comme la mort, retroussèrent lentement leurs jupes, les cuisses fuselées apparurent, puis toujours aussi lentement elles se dégrafèrent, les firent glisser de leurs hanches et les posèrent sur le divan .
Elles présentaient un tableau fort suggestif, les bas tendus soulignaient la finesse dodue des cuisses, elles portaient toutes deux des porte jarretelles noirs, seul un léger string voilait encore leurs intimités.
– Elles s'étaient préparées... Putain quels culs ! S'exclama Stephan, …Allez on continue...
Avec les mêmes gestes furtifs elles quittèrent leurs chemisiers, puis ôtèrent leurs soutiens gorges, les globes mammaires aux larges aréoles bistres sautèrent aux yeux des voyeurs.
Elles cherchaient toutes deux à dissimuler leurs lourdes mamelles.
Un cou sec sur le bras les en dissuada, ils purent admirer tout leur saoul les deux poitrines dissemblables.
Les seins de Sylvie, lourds à larges aréoles brunes contrastaient vivement avec ceux de Fabienne aussi opulents, tout aussi fermes, mais couronnés d'une discrète aréole plus claire.
Les tétons eux mêmes étaient différents : aux grosses pointes érigées de Sylvie, correspondaient les menus tétins de Fabienne, toutes deux avaient en commun d'avoir la chair de poule, leurs aréoles se craquelaient de ridules démontrant clairement leurs craintes et leurs appréhensions.
- Arrêtez, nous ne dirons rien à personne... Ne nous obligez pas ! Pleurnicha Fabienne.
- Tu crois pas qu'on va arrêter en si bon chemin... Au tour du reste... Et magnez vous... Notre patience a des limites ! Menaça Stephan levant la main pour frapper.
Toutes deux comprirent le message, et se débarrassèrent en hâte de leurs slips, plus qu'après l'abandon du soutien gorge elles se sentaient maintenant à la disposition de leurs trois suborneurs.
Les bas puis les porte jarretelles suivirent le même chemin ; elles étaient maintenant intégralement nues, les bras le long du corps, entièrement livrées à la convoitise des trois jeunes voyous.
Tournant sur elles mêmes elles durent exhiber leurs masses fessues, fendues d'une même profonde blessure, les formes lourdes dissimulaient leurs anus tapis au creux de la raie culière .
Elles furent bientôt priées d'écarter leurs masses charnues afin de permettre une meilleure observation de leurs intimités.
Les culs largement ouverts, révélaient au centre de leurs raies l'anus brun cerné de poils follets de Sylvie et celui plus rose, au sphincter moins proéminent de Fabienne.
Sur l'ordre de Miloud elles approchèrent du divan où se vautraient leurs trois tortionnaires.
Toute honte bue elles livrèrent leurs corps aux mains inquisitrices, qui apprécièrent le velouté et la fermeté de leurs culs, l'étroitesse de leurs anus.
Ils peinaient à les pénétrer du doigt, leurs sexes aussi furent convenablement examinés avant qu'on ne les autorise à prendre place sur le divan.
Le retour de Murielle, l'énorme godemiché à la main divertit un moment les trois ados de leurs proies.
Elles se sentaient avilies, le spectacle qu'elle avaient du offrir n'était, elles le sentaient bien qu'un prélude aux contraintes qu'elles devraient subir.
Hagardes, craignant les coups, elles ne voyaient pas comment se refuser à leurs jeux.
Sur l'ordre de Miloud, Sylvie s'approcha à quatre pattes de lui, dégrafa sa braguette et extirpa le membre violacé qui lui sauta au visage.
D'une langue frileuse elle le flatta lentement avant de l'engloutir d'un souple mouvement du col, elle entendit Murielle conseiller à Charles :
- Graisse le bien, si tu veux qu'il rentre... Et affolée elle comprit qu'elle devrait bientôt subir l'éprouvante sodomisation de son postiche.
Déjà des mains impatientes lui écartaient les fesses, son anus craintif semblait trembler d'anxiété, elle contractait ses sphincters fortement, interdisant le passage aux doigts inquisiteurs.
Une claque lui cingla les fesses, puis une seconde et enfin une grêle de coups éclata sur son derrière rétif, elle se mit à geindre, la grosse mentule qui lui emplissait la bouche l'empêchait de se plaindre plus fort.
Elle tremblait de blesser des dents celui qu'elle pompait, sachant qu'alors la punition serait terrible.
Enfin les coups cessèrent, sa croupe se fit plus docile, un simple appui de la main au creux de ses reins la convainquit de se cabrer, l'anneau de son oeillet était prêt à se soumettre à l'effraction préméditée.
Charles lui enduisit largement la raie de pommade, puis du pouce il força le tunnel obscur, tournant retournant son doigt raidi dans le fourreau étroit, afin de mieux graisser le conduit.
Un plop sonore accompagna le retrait du mini membre, le muscle anal baillait légèrement révélant les chairs intérieures, brunes, maculées de pommade blanchâtre.
L'agrippant par les oreilles Miloud faisait coulisser sa bouche sur toute la hampe, s'enfonçant en de rudes coups de boutoir dans son arrière gorge.
Au mépris de ses hauts le cœur, le chibre épais lui forçait la luette et venait buter au haut du pharynx, ces sollicitations buccales la distrayèrent quelques secondes du viol de son cul qui admettait maintenant deux puis trois doigts réunis.
Soudain elle sentit une masse oblongue presser son anus, comme Charles se l'était promis lors du week-end précédent il entreprenait un difficile enculage par le volumineux gode.
La pression était forte mais pas encore douloureuse, elle le devint lorsque Charles ne parvenant pas à l'introduire par simples poussées, le vrilla dans l'anus.
La tête du membre factice s'engloutit dans le sphincter, Fabienne était contractée par le refus, son cul refusant la pénétration enserrait le gros gland de plastique à le broyer l'empêchant de progresser.
Agenouillé entre ses fesses Charles ne bougeait plus, il guettait le moment ou le muscle tétanisé restreindrait son étreinte.
Au bout de quelques secondes le sphincter se détendit, immédiatement, d'une poussée brutale Charles propulsa le gourdin jusqu'à la garde dans le cul abominablement distendu.
Cela craqua dans son anus comme dans sa tête, la douleur générait des éclairs de feu sous ses paupières, elle était si intense qu'elle ne lui permit pas de trouver refuge dans l'évanouissement.
Elle entendit Stephan conseiller à Charles de la laisser s'accoutumer ; la douleur décrut, de nouveau Miloud qui quelques instants s'était immobilisé dans sa bouche, le temps d'observer l'implacable pénétration, sollicita sa participation, le membre épais lui distendait les lèvres, elle commençait à ressentir des crampes dans les mâchoires, aussi est-ce avec soulagement qu'elle le sentit décharger son foutre crémeux en pleine gorge, suffocant quelque peu elle avala l'acre purée avant de se livrer à grands coups de langue à la toilette de la queue qui l'avait forcée.
Ayant conscience de s'être acquittée au mieux de sa tâche elle voulut se relever, mais Miloud lui bloquant la tête le lui interdisait.
Son cul s'était fait à l'ampleur du monstrueux pal qui le garnissait, son intestin était comblé, elle ressentait une sensation de plénitude comme jamais jusqu'ici elle n'en avait connue, appuyant sur l'interrupteur à la base du gode, dont les deux boules formaient une excroissance rosâtre,
obscène, surmontant le sphincter partiellement retourné, diaboliquement étiré à la base du gros pal, Charles démarra le vibreur.
Le boyau de Sylvie se mit à frémir, des millions de petites piqûres semblaient larder ses reins, la sensation s'aggrava encore lorsque Charles commença à la branler, sortant lentement le gode, à la limite du gland pour ensuite le renfoncer lentement dans son fondement.
Ses reins maintenant domptés suivaient les mouvements du gourdin, Charles amplifia soudainement le rythme, c'était de profonds et violent coups de boutoir qui lui repoussaient maintenant l'intestin.
La douleur avait ressurgi, violente, implacable accompagnant chaque avancée et chaque retrait de l'énormité dans ses fesses, dans un paroxysme de douleur l'orgasme surprit totalement Fabienne, le plaisir naquit de la souffrance, son cul se ruait à la rencontre du pal.
Plus rien d'autre que son fondement défoncé lui importait, sa chevauchée se termina sur un ultime cri de plaisir et Fabienne se tordant dans tous les sens jouit avec une violence inouïe.
Son corps, comme privé d'énergie roula au sol où, incapable de se reprendre elle resta longtemps pantelante, haletante, l'esprit chaviré par cet orgasme, ce plaisir insensé.
Dans les nuages, elle remonta sur le divan et se blottit contre Miloud, la bouche reposant sur son sexe qui reprenait de lentement de l'ampleur au vu du spectacle offert par Fabienne et Françoise.
Stephan avait ordonné à Françoise de s'étendre sur la table basse, puis Fabienne avait du la rejoindre, tête bêche, les langues s'agitaient maintenant dans les intimités ruisselantes, dès que l'une ou l'autre, lassée, ralentissait ses caresses, Stephan intervenait leur claquant le cul de sa
lourde ceinture de cuir.
Quelques marques boursouflées, rougeâtres, striaient les deux culs, témoignant de la violence des coups portés.
Comme Sylvie précédemment, Fabienne était perdue, elle flottait dans un monde imaginaire, sa réflexion se bornait au sexe qu'elle suçait de son mieux et à l'anus entrouvert dont elle respirait les effluves, un doigt lui força le cul, en constata l'étroitesse et Stephan commenta :
- Tu ne te fais pas souvent enculer ma belle, sa rondelle est étroite comme pas possible... C'est pas vrai, à ton age ! Encore pucelle du cul ! J'vais t'arranger ça... Françoise prépares là !
Et Françoise, tendant le cou , commença de suçoter l'anus frileusement crispé, des deux mains elle écartait les opulentes fesses, permettant ainsi un meilleur accès à l’œillet parfumé, la feuille de rose décrispa lentement la rondelle convoitée, de la pointe de la langue Fabienne flatta si bien la rosace que bientôt elle s'entrouvrit d'elle même s'offrant de son mieux au léchage des parois internes.
Interrompant la suceuse, Stephan lui fourra sa queue dans la bouche lui intimant de la faire bander dure comme fer, ses doigts enduits de pommade graissèrent longuement le conduit anal, le distendant, le préparant longuement, à la première poussée le gland fut englouti par le cul vorace, tous contemplaient le dépucelage de la belle.
Pour la hampe nettement plus épaisse ce fut moins aisé, mais enfin, en dépit des ruades de l'enculée Charles se logea entièrement dans le boyau dilaté.
Tandis qu'il entamait son branle dans le cul profané, il ordonna à Françoise de s'occuper de ses couilles.
Françoise entreprit de lécher les bourses velues, les poils lui encombraient la bouche, elle les recracha puis s'intéressa à la portion de hampe qui sortait et rentrait dans le trou distendu de sa partenaire, sa langue allait et venait tout le long du cylindre léchant les sécrétions qui glissaient de la chatte de la belle et empoissait ensuite le gros chibre.
Fabienne pleurait et gémissait, pour la faire taire Charles lui enfonça lui aussi sa queue au fond de la gorge et Fabienne qui se cachait si bien par peur du qu'en dira-t-on se consacrant, de ce fait, de façon active à Lesbos se vit en ce jour lécher la queue d'un jeune homme tandis qu'un autre s'emparait de sa dernière virginité.
Tous deux se vidèrent en même temps, ils déchargèrent longuement, inondant de foutre le cul et la bouche offerts, Stephan se releva et ordonna à Françoise, alors que Fabienne faisait la toilette de Charles, de lui nettoyer le cul et la fente, elle lapa le foutre qui suintait de l'anus de sa
copine puis parcourut à grands coups de langues la fente de la blonde la débarrassant des secrétions qui l'encombraient.
Murielle avait pris de nombreuses photos durant toute la soirée, et se séparant, chacun regagna sa chambre accompagné de son esclave, Sylvie sachant maintenant qu'elle était dévolue à Charles.
Ils ordonnèrent à Fabienne qui devait rejoindre le lit conjugal, de revenir le week-end prochain, pour la totalité du week-end, sinon...
Après cette soirée mouvementée, la nuit fut paisible, chacun récupérant des efforts de la veille.
Au réveil les nénettes s'occupèrent des chibres de leurs maîtres avant de se lever et de s'occuper des plus jeunes.
Sylvie évoluait encore dans un monde fantasmagorique, sa situation ne lui apparaissait pas encore clairement, elle se rendait uniquement compte que, pour la durée du week-end, elle devrait contenter la lubricité des trois petits salauds, elle était incapable pour l'instant de voir plus loin que ce week-end.
Toute la journée elle subit les assauts consécutifs des trois tyrans qui tenaient à l'étrenner, le soir c'est la bouche gluante de sperme, l'odeur acre lui en ayant imprégné les papilles, le trou du cul cuisant et la craquette irritée qu'elle s'endormit après avoir une dernière fois sucé la bite de Charles, son propriétaire.
Le lundi matin, elle les quitta, l'esprit en déroute, elle comprenait maintenant que son esclavage ne se limiterait pas à ce week-end, Charles lui avait longuement expliqué que dorénavant, elle lui appartenait, et que si elle tenait à conserver son boulot, elle avait tout intérêt à satisfaire tous ses caprices, à se montrer servile, docile et toujours disponible.
Elle avait compris clairement que les deux éducatrices étaient victimes du même chantage, elle leur demanda conseil, et s'entendit répondre que pour elle et sa copine la liberté c'était terminé, que désormais leurs maîtres chanteurs les tenaient bien et que si elles voulaient éviter le scandale il ne leur restait à faire comme elles deux : c'est à dire se plier docilement à toutes leurs volontés.
Elle quitta l'IME honteuse, révoltée mais consciente de son entière dépendance .
Coulybaca
Texte personnel
dominique.dubuissez@orange.fr
EDUCATRICES .
Coulybaca - Texte personnel.
Tous les jeunes participant physiquement à l’action sont âgés de plus de 18 ans.
Chapitre 6 : Les 18 ans des cadets, le concours
Les semaines, puis les mois passèrent, les quatre femelles étaient maintenant sous totale influence, chaque week-end l'infirmière et les deux éducatrices mettaient leurs bouches, leurs cons, leurs culs à l'entière disposition de leurs maîtres qui ne se privaient pas de les utiliser fréquemment.
La pharmacienne, propriété commune, ne passait pas la totalité de chaque week-end en leur compagnie, mais était tenue de leur consacrer le samedi ou le dimanche quand elle ne pouvait plus, elle leur livrait chaque semaine son emploi du temps pour la semaine suivante.
De plus, en semaine, souvent le mercredi ils leur faisaient la surprise d'une visite qui se terminait chaque fois par des ébats dans le lit conjugal
Aucune des quatre n'avait plus de velléité de résistance, elles se pliaient à tous leurs caprices, mêlant volupté et honte dans un cocktail de jouissances.
Cependant, les plus jeunes commencèrent à murmurer, ils n'avaient pas été sans remarquer les allées et venues suspectes des quatre jeunes femmes.
D'abord étonnés de ces visites régulières, ils ne tardèrent pas à flairer un coup fumant, et se mirent alors à épier leurs aînés.
Ils notèrent d'entrée les tenues érotiques des jeunes femmes le week-end ; leurs vêtures contrastant fort avec leurs habituels habits de travail.
Samedis, dimanches, fini les jupes longues, les pulls ras du cou, les pantalons androgynes, ils laissaient place aux mini jupes, aux corsages échancrés, transparents.
Ces premières constations les incitèrent à approfondir leurs investigations .
Ils déployèrent des trésors d'imagination pour en savoir plus.
Robert, le plus inventif, peut-être parce que le plus déluré, mit au point un dispositif infaillible qu'ils expérimentèrent tous avec rapidité.
Ils fixèrent un petit miroir sur le dessus de leurs chaussures, il leur suffisait alors de le glisser avec discrétion sous les jupes de ces dames pour découvrir leurs avantages en toute impunité.
C'est seulement à ce moment qu'ils virent leurs soupçons les plus délirants confirmés : elles se baladaient sans culottes ces salopes !
Leur opinion faite, ils s'attachèrent alors aux gestes de leurs aînés, sans surprise, ils observèrent les mains fouineuses passer sous les jupes, les imaginèrent palpant les cramouilles désirées, pinçant les fesses opulentes, se régalant de tous ces chairs normalement interdites.
Combien de branlettes exigèrent ces observations, ils auraient pu seul le révéler !
Puis les langues se délièrent, ils osèrent des plaisanteries douteuses :
Puis il testèrent leurs réactions, caressant furtivement sous leurs yeux les appâts convoités.
Aux premiers heurts avec les aînés soucieux de voir respecter leurs biens, ils insinuèrent que personne n'avait intérêt à voir ces pratiques dévoilées, laissant planer un doute, une menace diffuse.
Réunis en conseil, les aînés décidèrent que mieux vaudrait sacrifier une de leurs proies plutôt que de risquer une éventuelle divulgation.
Ils résolurent donc d'en offrir une en pâture à leur juvénile lubricité.
Ils préféraient passer pour des bienfaiteurs plutôt que de se faire forcer la main, ce qui pourrait advenir s'ils ne bougeaient pas, leur autorité étant trop fortement battue en brèche par la convoitise des plus jeunes.
Justement, l'occasion se présenta rapidement, avec le mois d'avril arrivaient aussi les anniversaires de Mohamed, Gérald et Robert, ils atteignaient tous leurs 18 ans.
Ils convinrent de les fêter le même soir et en cadeau de leur offrir leur dépucelage.
Les quatre femmes devraient amener pour cette soirée une tenue de soubrette modèle : petit tablier blanc et coiffe.
Une des quatre baiseuses, leur serait offerte en guise de cadeau.
Il leur parut amusant de soumettre les quatre belles à des épreuves qui détermineraient le nom du cadeau.
Ils montèrent une compétition ou chaque jeu attribuerait un certain nombre de points aux concurrentes, la perdante serait dévolue au plaisir des cadets.
Elle serait chargée d'initier les trois puceaux aux joies du sexe, bien entendu, elles ignoraient totalement le programme de la soirée.
Le vendredi soir, elles arrivèrent donc toutes quatre dans leurs tenues habituelles.
L'IME déserté par les autres pensionnaires, elles furent sommées de préparer le repas d'anniversaire, tâche dont elles s'acquittèrent soigneusement.
A peine le repas était-il prêt, le couvert mis en place par les plus vieux, qu'elles durent revêtir les atours appropriés au service, seul détail important, elles ne portaient en tout et pour tout que leurs tabliers blancs ceints à la taille et leurs coiffes.
Les bras chargés de plats, elles pénétrèrent dans la salle à manger, et là se trouvèrent confrontées aux regards des trois cadets, aussi enchantés que stupéfaits du spectacle.
Rouges de honte elles posèrent les plats sur la table et s'enfuirent dans la cuisine.
Miloud qui les avait rejointes se vit obligé de les menacer de futures représailles, il dut même distribuer quelques claques, avant de les voir se résoudre à réintégrer la salle des réjouissances.
Dès leur retour, applaudies par les trois jeunes, elles se rangèrent au coté de Stephan qui annonça alors le déroulement de la soirée.
Chacune à son tour chaque jeune femme dut présenter un plat aux convives, les trois autres, dos tournés leur exposant leurs fesses crispées par la honte et l'angoisse.
Chacune leur tour, elles sentirent les mains fureteuses des trois cadets inventorier leurs charmes.
Aux premiers contacts furtifs, frôleurs, les trois jeunes n'osant pas, d'emblée, peloter des adultes, la profanation étant trop évidente, succédèrent des gestes plus appuyés.
Encouragés par leurs aînés rigolards, ils relevèrent les tabliers, s'assurèrent de la couleur de la toison de ces dames.
Puis sur les invitations pressantes de leurs aînés, ils se firent plus hardis, des mains fiévreuses s'aventurèrent sous la bavette des tabliers, estimèrent la lourde fermeté des seins offerts, palpèrent les culs exposés, fouillèrent les entre fesses velus, les craquettes ouvertes.
Des doigts agiles s'introduisirent dans les vulves tendues, les anus furent palpés puis visités, bientôt aucune des trois n'eut plus de particularité anatomique secrète.
Aucune ne l'aurait avoué, mais ces multiples pelotages, leur avaient échauffé les sens, si chacune était au bord des larmes de devoir se laisser tripoter par les jeunes mains inexpertes, si le rouge de la honte leur montait aux joues de sentir ces doigts de puceaux violer leurs sexes et leurs entrailles, aucune ne pouvait non plus nier l'humidité suspecte qui sourdait de leurs ventres lesquels se tendaient maintenant vers les caresses inexpérimentées.
Miloud, au coté duquel, leur service achevé, elles venaient se placer, testa l'état de leurs moules et les trouvant gluantes à souhait se chargea d'en informer la tablée :
Elles durent, alors livrer chacune leur tour leurs sexes aux investigations de leurs maîtres, qui confirmèrent les observations de Miloud.
Plus que le plaisir qu'elles avaient prises à ces manipulations, la révélation de ce plaisir les anéantissait.
Le repas terminé, elles desservirent, tandis que les trois aînés, invitant les trois cadets à prendre place sur le divan préparaient les accessoires du concours.
La véritable soirée commençait .
A l'annonce de leur prénom, elles vinrent se ranger face à leur public, Miloud les invitant alors à se présenter plus en détail.
Sur son ordre elles quittèrent leurs tabliers et exposèrent leurs cramouilles aux yeux attentifs.
Le dos fléchi en arrière, le sexe tendu elles durent en écarter les grandes lèvres, révélant aux yeux écarquillés des trois plus jeunes la richesse de leur carnation.
Chaque vulve entrebâillée révélait tous ses détails habituellement dissimulés.
Du doigt, Miloud leur fit une petite leçon d'anatomie, désignant clairement les grandes et petites lèvres, le méat urinaire, l'entrée du vagin à la chair plus rose, et le clitoris surmontant l'ensemble de la cicatrice.
Frottant son doigt dans la fente de ses dames il leur montra les secrétions luisantes qui garnissaient maintenant copieusement les chattes étalées.
Puis se tournant elles durent écarter les fesses, exhibant leurs anus fripés, crispés d'appréhension.
Introduisant le doigt les trois aînés firent remarquer au jeune public ravi d'une telle aubaine, l'élasticité des oeillets maintenant bien rodés.
Ecarquillant les rondelles soumises il leur précisa qu'on pouvait aussi prendre son plaisir dans ces réceptacles, leur révélant l'utilisation qu'on pouvait faire des trois orifices naturels de ces dames.
La confusion des quatre salopes était maintenant à son comble, de se voir reléguées au rôle de poupées éducatives, leur faisait tout craindre de l'avenir proche.
Elles avaient bien raison, dès le début du concours elles surent que leur déchéance serait totale.
Pour la première épreuve, elles déambulèrent dans la pièce, un fin crayon de bois planté dans le sexe.
La règle était simple, la première qui le laisserait chuter ne marquerait q'un point, la seconde deux, la troisième trois et la dernière quatre, à l'issue des épreuves qui seraient toutes notées suivant le même principe, celle qui totaliserait le plus petit score serait livrée à la convoitise des trois cadets.
Le vagin contracté sur le fin vit qui les garnissait, elles marchaient lentement, bassin crispé, cherchant à retarder la chute fatale, le jeu durait depuis quelques minutes, lorsque les gars impatients d'en voir la conclusion se mirent à leur claquer les fesses.
La croupe ondulant sous les coups, des petits cris plaintifs aux lèvres elles cherchaient encore à enrayer l'issue, soudain la petite bite gluante glissa de la moule de Fabienne, un bruit mat soulignant sa chute, les cuisses serrées les trois autres continuaient à se dandiner, Françoise puis Murielle perdirent leurs crayons.
Miloud félicitant la gagnante inscrivit le score au tableau noir :
Fabienne 1
Françoise 2
Murielle 3
Sylvie 4
Stephan préparait déjà le matériel pour la seconde épreuve : quatre petites bouteilles de Perrier et un banc.
Il disposa les quatre bouteilles cote à cote sur le banc, puis lia les mains des quatre concurrentes dans leurs dos et leur exposa la règle tandis que Charles leur enduisait largement le sphincter anal de graisse.
Toutes quatre se précipitèrent, ouvrant désespérément les fesses, elles s'accroupirent au dessus des bouteilles et lentement cherchèrent à s'empaler sur les phallus de verre.
Mais la graisse faisait déraper les goulots, ils remontaient dans l'entre fesse, la concurrente devait alors se remettre en position.
Dilatant fortement son sphincter pour pouvoir se saisir de l'objet de sa convoitise, l'anus écarquillé sur le goulot, Murielle commença de se relever péniblement, elle allait y parvenir lorsque son cul éjecta le corps étranger, elle qui avait frôlé l'exploit dut reprendre la bouteille entre les dents pour le disposer à nouveau sur le banc.
Pendant ce temps, l'anus tétant voracement le goulot, Françoise parvint à se redresser puis ce fut Fabienne.
Telle une ventouse son cul avait aspiré la bouteille qui disparaissait presque entre ses fesses accueillantes, enfin Murielle se releva, il fallut attendre encore quelques instant avant de voir Sylvie la bouche déformée par l'effort, le cul crispé sur le goulot fuyant se redresser.
Miloud afficha le nouveau score :
Fabienne 5
Françoise 5
Murielle 5
Sylvie 5
L'égalité parfaite .
On ne délia pas les mains des quatre femelles pour l'épreuve suivante : une bougie fichée dans le cul , elles devaient en allumer la mèche à une autre bougie posée sur le banc.
On leur enfila chacune un gros cierge dans le fondement, leurs gaines étranglèrent l'objet pour le tenir en place, la mèche à allumer dépassant de cinq centimètres des fesses.
Tortillant du cul, le visage dévissé sur l'épaule elles approchèrent lentement leurs masses fessues des petites flammes, Sylvie la première se brûla la croupe, son cri de douleur fit redoubler de prudence ses rivales.
Le spectacle avait quelque chose d'obscène et de ridicule.
Les gros culs, crispés par l'appréhension approchaient craintivement la flamme, chacune à son tour se brûla, chacune insista, brutalement le cul de Françoise se tétanisa , elle en perdit son appendice qui chuta au sol, elle fut déclarée perdante.
Puis dans un grésillement, les joues empourprées par l'effort, le cul cuisant sous la chaleur, Fabienne parvint à allumer sa chandelle, et ce fut le tour de Murielle et de Sylvie .
De nouveau le score fut inscrit :
Fabienne 9
Françoise 6
Murielle 8
Sylvie 7
Fabienne et Murielle jubilaient, Françoise et Sylvie faisaient plutôt grises mines .
Après quelques instants de repos, qui permirent à tous, spectateurs et concurrents de se rafraîchir, le concours reprit.
Cette fois les quatre salopes se virent fourrer dans le vagin une lourde bille de métal, évidemment de la force de leur ventre dépendrait leur salut.
De nouveau elles durent déambuler dans la salle, le ventre crispé, cherchant à retenir la lourde boule, cuisses jointes, elles marchaient bizarrement.
Toutes à leurs efforts elles ne prêtaient aucune attention au spectacle cocasse qu'elles offraient.
Le jeu dura quelques minutes, visiblement elles faisaient toutes des efforts démesurés pour garder la précieuse bille bien au chaud dans leurs écrins.
Et l'inattendu arriva, dans un grand cri de jouissance, submergée par un orgasme fou, Sylvie roula à terre libérant son précieux otage, Fabienne à son tour, les cuisses frémissantes dut s'avouer vaincue, Françoise explosa aussi dans un spasme révélateur, Murielle voyant ses rivales hors
de combat, sourit en laissant couler le gros biscayen hors de son étui.
Le score avait encore évolué, c'était au tour de Murielle de se réjouir, Sylvie elle s'inquiétait fortement à sa vue .
Fabienne 11
Françoise 9
Murielle 12
Sylvie 8
Tout peut encore changer au cours des trois dernières épreuves commenta Miloud
Les commentaires allaient bon train chacun y allant de son pronostic .
Enfin la partie repris.
Les quatre élues se précipitèrent sur le broc d'eau chacune éclusant plusieurs verres à la file, puis tous sortir, et à la lueur du lampadaire se mirent en place.
C'était surréaliste, les quatre filles, sur la même ligne, le ventre tendu en avant, les doigts pinçant les orifices urinaires, pour mieux affiner les jets, elles parvinrent toutes, en un mince filet à projeter, telles des fontaines,
de longs jets brûlants à plusieurs pas.
Les juges, silencieusement, durent avoir recours au mètre pliant pour les départager.
Toujours silencieusement ils réintégrèrent la salle à manger , et tous, concurrentes et spectateurs découvrirent en même temps la nouvelle marque.
Fabienne 12
Françoise 12
Murielle 14
Sylvie 12
Seule des trois ex aequo Sylvie heureuse de revenir au score souriait.
Les deux dernières épreuves seraient donc décisives.
Avec anxiété, les quatre femelles virent les garçons suspendre quatre brocs reliés par un tube à une canule, au mur derrière le banc, elles furent priées de s'agenouiller sur le banc et rigolards ils leur enfilèrent la canule dans le trou du cul, les petits vits entrèrent facilement, les culs bien graissés lors des premières épreuves les admettant facilement.
Miloud énonça la règle :
Les quatre robinets ouverts, l'eau tiède envahit en glougloutant les entrailles qui se déplièrent, s'assouplirent au maximum pour admettre le plus gros volume de liquide.
Les ventres s'arrondirent sous la pression, aucune ne voulait céder, les intestins gargouillaient, les visages crispés, déformés par des grimaces, les mâchoires bloquées elles sentaient leurs abdomens gonfler démesurément.
La première Murielle cria grâce, immédiatement son robinet fut fermé, son anus fut libéré de sa canule et elle dut s'écarter sans connaître la valeur de sa performance.
Tour à tour, les anus de Françoise et Sylvie laissèrent d'abord suinter un filet de liquide blanchâtre, malgré leur arrêt Fabienne faisait des efforts désespérés pour dilater son estomac et admettre encore plus d'eau, enfin son cul déborda, une longue giclée jaillit de son anus resserré sur la canule, son intestin martyrisé la contraignait ainsi à l'abandon.
De nouveau le score fut inscrit :
Fabienne 15
Françoise 13
Murielle 16
Sylvie 16
Seule, cette fois, Françoise grimaçait, son sort était presque fixé, ses trois rivales lui adressaient d'ailleurs des sourires narquois.
Avant l'ultime épreuve elles reçurent l'autorisation de se vider les entrailles.
Comme elles se dirigeaient vers les toilettes, Charles les arrêta et leur tendant chacune un seau les invita à se libérer au vu et au su de tous.
Elles se cabrèrent sous ce dictat, refusèrent, argutièrent, puis vertes d'humiliation, sous la pression de leurs intestins durent se soumettre à cette nouvelle humiliation, courbées sur les genoux, sous les quolibets des spectateurs ravis, elles s'exécutèrent.
Le chuintement du jet jaillissant de leurs anus, eau et matières fécales mêlées, puis crépitant sur les bords du seau rendait leur déchéance encore plus palpable.
Les verres se remplirent à nouveau, chacun s'accordant quelques minutes de répit avant la décision finale.
Enfin Stephan apporta une corbeille garnie de concombres de formes et de tailles variées, chacune d'entre elles devait choisir le concombre le plus gros qu'elles pensaient pouvoir s'enfiler par le cul, puis s'exécuter.
On mesurerait ensuite la circonférence des concombres de celles qui seraient parvenus à s'en sodomiser, la taille déterminerait le nombre de points engrangés.
Elles s'approchèrent de la corbeille, palpant avec attention les cucurbitacées, observant le choix de leurs adversaires, jetant des coups d’œil au score elles tentaient de déterminer les chances de chacune en fonction de l'objet de leur choix.
Françoise, choisit un légume de diamètre démesuré, les autres la regardèrent faire, le sourire aux lèvres, certaines de son futur échec, néanmoins par mesure de sûreté, elles choisirent tout de même des légumes aux diamètres conséquents.
Allongées sur le dos, cote à cote elles ne pouvaient voir le comportement de leurs rivales, aussi s'appliquèrent-elles toutes à réussir dans leur entreprise.
Une nouvelle fois les rondelles se dilatèrent, les intestins avides se remplir, Murielle et Sylvie les gros pals enfoncés dans le rectum se redressèrent, puis Fabienne, souriante le cul comblé en fit autant et toutes trois, le fondement toujours dilaté par leur exploit, se joignirent aux garçons pour apprécier les vains efforts de Françoise.
Il paraissait impossible que son oeillet puisse admettre un tel calibre, la disproportion entre le fruit monstrueux et son mignon troufignon était trop importante.
Le gourdin dérapait sur l'anus gras, elle s'entêtait, le replaçait, forçait à nouveau.
Enfin Françoise parvint à en appliquer l'extrémité mafflue sur sa rondelle, elle poussait désespérément, rien n'y faisait, bien que son anus soit repoussé vers l'intérieur, le légume n'entrait pas.
Déjà ses trois adversaires se réjouissaient quand le muscle annelé sembla se retrousser épousant la forme oblongue.
La tête du fruit était passée.
L'anus prodigieusement dilaté, Françoise s'accorda un instant pour souffler, la douleur irradiant son muscle malmené s'estompait lentement.
L'opération paraissait cependant encore invraisemblable, quand dans un dernier et violent effort Françoise se poignarda véritablement les reins.
Un cri de souffrance inhumain sortit de sa bouche, la figure ravagée par la douleur elle ne croyait pas encore en son exploit, et pourtant l'énorme légume avait disparu jusqu'à la racine dans sa gaine démesurément élargie.
Elle se sentait comblée hors de toute proportion, son intestin ne pouvant s'habituer à une telle plénitude elle s'effondra en sanglotant sur le dos.
Ebahis, enthousiasmés par l'exploit les trois aînés se précipitèrent pour la débarrasser de l'énormité qui risquait de léser sérieusement son trou, ils ne purent l'attraper.
Heureusement le cul béant permit à Miloud de visser un tire-bouchon dans la pulpe et d'arracher avec un floc sonore la bonde qui lui déchirait les entrailles.
Sans même mesurer le monstrueux légume, les quatre points lui furent attribués.
Les autres cucurbitacées extraits, puis mesurés, Charles inscrivit le score définitif , les trois cadets le regardaient faire impatients de savoir laquelle de ces belles putes leur serait dévolue, pour la même raison les trois femelles en concurrence pour la dernière place suivaient ses gestes, l'air craintives.
Le score décisif était maintenant établi :
Fabienne 16
Françoise 17
Murielle 19
Sylvie 18
C'était donc Fabienne qui serait livrée à la folle lubricité des trois puceaux, qui contenterait tous leurs instincts même les plus pervers.
Les trois jeunes se réjouissaient, la belle bourgeoise, à l'allure guindée leur convenait parfaitement, les yeux luisants de convoitise, ravis de leur soirée ils l'entraînèrent, abasourdie, sans réaction, vers leur chambre.
Enchantées de leur performance, qui leur évitaient de se voir livrée aux trois jeunes puceaux pour combler tous leurs désirs, les trois gagnantes, se relevèrent, péniblement et escortées de leurs maîtres gagnèrent leurs chambres respectives.
Pour elles non plus la soirée n'était pas terminée, échauffés comme ils l'étaient leurs propriétaires seraient difficiles à contenter.
Dés la porte franchie, Gérald, Mohamed et Robert arrachèrent , plus qu'ils n'ôtèrent leurs vêtements.
Ebahie, Fabienne contemplait leurs jeunes virilités dressées comme des mats.
Pour tous trois la nature s'était faite généreuse, malgré leurs jeunes ages ils arboraient des flamberges qui auraient contentés bien des adultes.
Impatients ils se jetèrent sur Fabienne, la palpant, la griffant, lui mordillant les pointes des seins, lui tirant les poils du pubis, affolés par le désir ils ne savaient pas trop par où commencer.
Enfin Gerald s'allongea sur elle, il trouva d'emblée l'orifice convoité et d'un furieux coup de reins il s'enfonça jusqu'à la garde entre les babines juteuses, son impatience était telle qu'en trois coups de reins il éjacula bien calé au fond de sa matrice, de même Mohamed puis Robert qui l'enfourchèrent successivement ne purent refreiner leurs ardeurs et à peine introduits ils lui crachèrent leur venin au fond de sa craquette l'emplissant de sperme crémeux.
Ils n'allaient cependant pas en rester là, les nombreux films pornographiques qu'ils avaient disséqués ces derniers mois leur avaient enseigné bien des pratiques qu'ils voulaient tester.
Son ardeur renaissant déjà, la bite se redressant fièrement Gerald sollicita ses lèvres, il franchit la frontière des dents, se frotta longuement sur la langue, réclamant de son initiatrice plus de participation si elle voulait éviter qu'ils ne se plaignent aux grands.
Pliant sous la menace, Fabienne s'efforça de le contenter, sa bouche se fit plus douce, ses lèvres coururent sur la hampe dressée, sa gorge se fit plus profonde, en de lents va-et-vient le gland de Gérald venait à l'orée de la bouche, puis s'enfonçait profondément dans l'arrière gorge, repoussant la luette de sa pipeuse puis recommençait le même cycle.
Par un certain mimétisme ses cuisses copiaient les mouvements de ses lèvres, elles s'entrouvraient révélant le sexe englué, puis se refermaient mollement, Robert de nouveau s'allongea sur elle, bien décidé cette fois à faire durer le plaisir.
Il entama un branle puissant sur un rythme soutenu, Mohamed n'avait plus qu'une solution, il demanda à Robert et Gerald de lui permettre l'accès au cul de la belle.
Sans sortir de son con, lui empoignant les hanches, Robert roula sur lui même, Gerald dont la bite avait quitté l'antre chaud de la bouche, lui recolla son vit en pleine gorge tandis que les mains impatientes de Mohamed lui écartaient déjà les fesses
L'anus béait encore à la suite des différentes épreuves qu'il avait enduré, sans effort Mohamed lui introduisit sa flamberge dans le cul.
Robert s'était immobilisé pour faciliter l'introduction anale.
Fabienne sentait les deux la remplir à bloc, ils accordèrent d'instinct leur rythme.
Les deux pals lui massaient le périnée, les sensations se faisaient trop fortes, son esprit déjà échauffé par le déroulement de la soirée cédait aux vagues de plaisir, son bassin se mit à remuer, elle participait.
Son cul remontait s'enclouant jusqu'aux couilles sur la bite de Mohamed, puis absorbait voracement le vit de Gerald jusqu'à la matrice, sa bouche onctueuse procédait par à coups sur la queue de Gerald.
Elle l'aspirait voluptueusement jusqu'à la glotte puis la repoussait du bout de la langue, mordillait le frein et la reprenait à pleines bouches, ses mains se posèrent sur les couilles de son amant de tête, les lui tripotèrent, les caressant, les frottant contre son menton.
Dans un saut de carpe Gérald se planta au fond de da gorge, le nez enfoncé dans les poils de son pubis elle sentit les frémissements convulsifs qui s'emparaient de sa byroute, l'agitant de soubresauts nerveux tandis qu'en longs jets il lui inondait la bouche, elle téta sa liqueur salée jusqu'à
la dernière goutte, ne consentant à libérer le chibre ramolli qu'une fois certaine de lui avoir vidé les couilles .
Ses deux chevaucheurs perdirent brutalement le rythme et tandis que son bassin aussi s'affolait, les spasmes lui secouant avec la dernière intensité la matrice elle sombra dans l'orgasme alors qu'en même temps Mohamed lui crachait sa purée au fin fond des entrailles et Robert se vidait encastré jusqu'à la garde dans son fourreau.
Epuisés, les couilles à plats, les trois cadets s'endormirent emmêlés sur elle.
Les yeux grands ouverts elle écoutait son cœur se calmer, elle sombra aussi dans le sommeil le con et le cul débordant de foutre chaud.
Tout le dimanche, elle livra son corps à leur lubricité, leur enseignant en cours accéléré toutes les possibilités d'un beau corps de femme totalement disponible.
En ce week-end de folie, les quatre femelles comprirent que cette jouissance inouïe qu'elles avaient prises à ces coucheries devait beaucoup aux humiliations subies la veille lors du concours qui les avait opposées.
Si leur corps s'était maintenant fait aux rudes étreintes dont les pensionnaires les gratifiaient, leur âme s'habituait à jouir dans la contrainte, la clandestinité, l'humiliation, la soumission.
Coulybaca
janvier 2008
dominique.dubuissez@orange.fr
EDUCATRICES Ch 7
Coulybaca - Texte personnel.
Tous les jeunes participant physiquement à l’action sont âgés de plus de 18 ans.
Chapitre 7 : addiction, détérioration des ménages.
Mai, juin passèrent, Françoise ne voyait pas le temps passer, comme ses collègues elle se pliait sans commentaires superflus et sans révolte à la volonté des jeunes pensionnaires, c'était devenu une routine.
Chaque semaine elle avait, à domicile la visite des garçons qui la pliaient sous eux, gémissante et finalement ravie de leurs assauts , le week-end elle comblait tantôt les désirs, même les plus pervers de son maître, et tantôt de ses amis ou des cadets.
Ce petit monde vivait maintenant en paix, plus de menaces, plus d'insinuations, les aînés avaient définitivement admis les desiderata des cadets, et chaque semaine, une des femelles, à tour de rôle était mise à leur entière disposition, et ils ne se gênaient pas d'en user et abuser.
Mais si la vie coulait harmonieuse, limpide au niveau de l'institution, des jeunes auxquels elle se donnait maintenant corps et âme, il n'en était pas toujours de même à la maison.
Elle supportait maintenant avec peine la proximité de son mari, et le soir, maintes fois elle prétexta une subite migraine pour se dérober à ses étreintes.
Souvent, la nuit, elle se réveillait et tâtant furtivement à ses cotés elle cherchait de la main les jeunes corps épousant ses formes, les brumes du sommeil se dissipant, elle reprenait pied dans la réalité, déçue de ne trouver que son mièvre mari le long de son corps, elle parcourait songeuse chemin suivi en à peine trois mois.
L'épouse aux désirs refoulés, qui s'accordait quelques intermèdes lesbiens pour assouvir sa sensualité n'aurait, alors, jamais pensé se muer en cette bacchante orgiaque qu'elle était devenue.
Le pire dans cette mutation, était le plaisir ignoble que son corps et même son âme y prenaient, son avilissement provoquait en elle honte et jouissance, d'être la proie servile, d'abord des trois aînés, puis depuis maintenant deux mois des six pensionnaires, la conduisait à des pénétrations diaboliques qu'elle n'aurait jamais imaginées.
Ils la rabaissaient au niveau d'un morceau de viande doté de trois trous, ses seuls trois orifices leur importaient, ils en usaient et en abusaient à volonté.
Et elle était bien obligée de s'avouer que cette totale soumission lui fournissait tant d'orgasmes qu'à l'avenir elle n'imaginait plus pouvoir s'en passer.
Morose elle comprenait que non seulement ils la tenaient par les vidéos mais aussi, et surtout, par son tempérament volcanique, elle se savait prête à tout, même au plus dégradant, du moment qu'ils la fourrent, agitant leurs gros pénis dans tous ses trous.
Ses sens, qu'ils avaient si bien éveillés, la maintiendraient désormais dans cet esclavage, elle en était bien consciente.
Elle soupçonnait d'ailleurs, ses compagnes d'être parvenues aux mêmes conclusions, elle ne se trompait pas, car dans les chambres conjugales les autres femelles, dans la tiédeur de leurs lits, blotties contre le corps chauds de leurs époux parvenaient aux mêmes constats.
Souvent, Le concours qui avait précédé les anniversaires lui revenait en mémoire, se remémorant cette série d'exhibitions malsaines auxquelles elles s'étaient livrées, elle sentait sa motte s'humidifier, rien que d'y penser, elle se sentait fondre.
Sa chatte, à ces rappels, commençait à fourmiller, il lui semblait que mille petits aiguillons lui lardaient les muqueuses, la pression du corps allongé à ses cotés se fit plus précise, son mari conscient de son trouble, convaincu d'en être le générateur cherchait à en profiter.
Depuis quelques semaines, se disait-il, ce n'était pas tous les jours que cela arrivait.
Dolente, perdue dans ses pensées, elle se laissait faire, l'image fantasmée de ses amants se mêlant intimement à celle de son mari, dans son subconscient, elle ne réalisait pas qui voulait l'aimer.
Elle sentit lentement la queue se déployer.
Dans la moelleuse tiédeur de son entre fesse la bite immobile gonflait lentement, ils restaient tous deux immobiles, savourant l'un comme l'autre la trouble montée du désir.
André se colla encore plus à ses fesses, la pression de ses couilles contre son cul s'amplifia, les poils de son pubis lui picotaient la peau tendre du sillon culier, sa main s'aventura à la recherche de la pine qu'elle croyait juvénile, ses doigts se refermèrent sur une hampe bandée, elle commença une lente masturbation, appliquant le fut triomphant dans la dépression séparant ses deux globes, puis elle partit reconnaître les couilles poilues.
Des doigts elle démêlait la toison frisée, flattait la peau fripée, cherchait de la main à reconnaître la pine qu'elle cajolait voluptueusement.
Par de légers coups de rein, André avança entre ses fesses, par hasard sa bite se posa sur la corolle déjà entrouverte de l'anus, il sentait le cul de la belle palpiter, s'ouvrir se refermer.
Etonné, surpris, il ne la sentit pas se dérober comme les rares fois où il avait osé cette caresse.
Affolé de désir, il la crut assez émue pour rechercher de nouvelles voies de plaisir, alors qu'en réalité, elle n'avait toujours pas identifié son prétendant, se croyant encore à l'I.M.E. elle se laissait aller, l'identité de son fouteur lui importait peu convaincue qu'elle était qu'il s'agissait de Miloud où plus vraisemblablement d'un des jeunots, les dimensions de l'organe qui menaçaient son train arrière plaidant plutôt en faveur de ces derniers.
Enivré, il sentit la corolle l'aspirer, d'un coup de rein impatient Françoise s'empalait, sur le nœud convoité.
Le gland proéminent franchit aisément le premier obstacle annelé, il s'étonna bien un peu d'une telle aisance, mais sur l'instant n'y prêta pas plus attention, pris comme il l'était dans l'action.
Seul un petit gémissement, de douleur ou de plaisir franchit les lèvres de la belle odalisque, son cul, telle une bouche vorace aspira la bite conquérante au fond de ses entrailles, André, pétrifié de joie restait inerte, l'obligeant de ce fait à rechercher elle même son plaisir, elle entreprit par de lentes avancée et de lascifs retraits, de savant empalements sur la queue bandée, de se contenter.
Et ce petit salaud qui ne bouge toujours pas, pensait-elle, il me contraint vraiment à me prostituer, décidément il était plus confortable de se faire forcer, que de devoir admettre sa faim de sexe en cherchant soi-mˆme sa satisfaction
Ses hanches s'animèrent de mouvements convulsifs, son rythme se désunit, son fourreau étreignait étroitement la flamberge bandée, l'étranglant dans son étui de chair.
Toute à sa recherche du plaisir, Françoise s'agitait éperdument sur la queue arquée cherchant désespérément l'orgasme.
A bout de force, incapable de se retenir, André râla soudain dans son cou, et atterrée elle identifia sa voix alors qu'il se déversait à gros bouillons dans ses entrailles encore frémissantes.
Le sperme tiède lui inonda le conduit, André, en manque depuis quelques temps lui avait s'était vidé à flots dans son cul palpitant.
Avec une honte inattendue, elle sentit le trop plein déborder de son anus, coulant entre ses fesses, poissant les bourses de son enculeur, qu'elle avait maintenant pleinement identifié.
Tétanisée, d'un brusque sursaut du corps elle rompit avec violence l'étreinte qui les liait encore.
André, crut son braquemart arraché tant la lame de souffrance qui le submergea était violente, incompréhensif, il poussa un long gémissement.
A sa plainte ne répondirent que des invectives avec violence elle lui reprocha sa bestialité, avec violence et mauvaise foi puisque par ce moyen elle niait le plaisir ressenti.
Il avait beau bêler :
- Mais chérie... Voyons... C'est toi qui...
La déconvenue était trop forte, au lieu des bras de ses jeunes amants, c'est ceux de son époux qui tentait de l'enserrer encore.
Réalisant ce que sa réaction pouvait avoir de louche à ses yeux, bien qu'ivre de colère, elle préféra se lever, se réfugiant au salon pour y digérer ce qu'elle appelait déjà ses violences.
André ne tarda pas à la rejoindre, cherchant à se justifier :
- Mais chérie... C'est toi par ton attitude qui... J'ai cru que...
- Salaud... violeur... L’injuriait-elle encore
- Tu n'avais pas le droit... Je t'avais interdit... Pas par là... Tu me l'avais juré... Et tu as profité de mon...
- De quoi ai-je donc profité ? Releva-t-il la moutarde lui montant à son tour au nez,
- Ma parole avec qui te croyais-tu... Avec qui pensais-tu baiser ? Salope ! Cocu je suis cocu... C'est bien ça... Allez.. Avoues... Tu me trompes...
Et levant la main, il la gifla avec violence.
Abasourdie, elle resta sans réaction, bien que jaloux, jamais André ne l'avait frappée, elle se mit à sangloter alors que fou de rage, l'injure toujours à la bouche, il claquait la porte de la chambre, se vêtait en vitesse et sans un mot de plus quittait le domicile toujours sous l'emprise de la fureur.
Dès sa sortie orageuse, elle comprit combien près de la catastrophe elle était passée, bien sur elle ne l'aimait plus comme avant, bien sur son contact ne l'enchantait plus guère, bien sur ses étreintes étaient bien mièvres, encore que cette fois... Devait-elle bien s'avouer avec ennui, mais le jeu en valait-il la chandelle, pouvait-elle se permettre de mettre ainsi son ménage en péril, par imprudence.
Elle devait penser à ses enfants, ils n'étaient en rien responsables, leur petit monde ne devait pas en souffrir, elle ne les avait que trop délaissés ces derniers temps se reprochait-elle dans une subite crise de mauvaise conscience
Enfin, le pire était évité, emporté par la haine elle avait failli lui crier son inconduite, son infidélité !
La baffe qu'il lui avait filée lui avait coupé le sifflet à ce moment, heureusement d'ailleurs, car alors comment se serait-elle ensuite justifiée.
Progressivement, elle récupéra son calme, se persuadant qu'il reviendrait tout penaud s'excuser, que ses paroles avaient largement dépassé sa pensée, déjà même elle se préparait à l'excuser, lui accordant avec clémence son pardon.
Elle s'absorba, malgré la précocité de l'heure dans les tâches ménagères, ce qui eut encore le don de la rassurer .
Elle attendait avec impatience le repas de midi, certaine de son retour hésitant.
Elle mit quatre couverts, au grand étonnement de Marc et Frédérique peu habitués à voir leur père partager leur repas de midi.
Elle attendit en vain, décevant son espoir il ne se présenta pas.
Son irritation monta peu à peu, elle secoua ses enfants.
Peu accoutumés à ce genre de traitement de sa part, ils grognèrent reçurent aussi leurs premières baffes, puis filèrent doux conscients de l'impatience, de l'énervement de leur mère, même si pour eux les motifs en demeuraient obscurs.
L'après-midi, comme d'habitude ils sollicitèrent l'autorisation d'aller à la piscine, et comme d'habitude Francis les y accompagna.
Ce dernier se montra étonné de l'attitude de Françoise, cette dernière, de nature habituellement aimable, se montra revêche et distante, lui ordonnant de ramener les gamins à six heures précises.
Comprenant qu'il y avait de l'eau dans le gaz, il fila rapidement écoutant avec attention les enfants discuter de cette étonnante attitude et de l'énervement qu'elle avait manifesté toute la durée du repas.
Il les consola même, la défendant avec vigueur, prétextant que chacun avait ses sautes d'humeurs, rassurant et les enfants tout en les amenant calmement à plus de raison.
Il était tout de même vaguement intrigué, cette attitude si peu habituelle chez Françoise l'avait choqué, de là à en chercher les vrais raisons ...
Pendant ce temps, Françoise s'irritait peu à peu, elle était déjà passée par différents stades allant de l'anxiété à la surexcitation.
Anxiété de savoir ce que pouvait bien ruminer son jaloux de mari, déconcertée par son non retour vers midi, elle craignait maintenant qu'il ait vraiment des doutes, des soupçons précis, elle avait beau ne pas le vouloir, c'était malgré tout une hypothèse plausible, puis l'attente continuant, son impatience avait monté, elle n'était plus loin de le considérer comme le véritable responsable de cette situation lorsque les enfants rentrèrent .
Constatant que leur mère n'avait guère décoloré, ils se montrèrent d'une sagesse exemplaire, l'aidant même à laver et ranger la vaisselle, puis sans insister, comme ils le faisaient parfois pour regarder la télé, ils montèrent dans leur chambre respective, l'abandonnant à ses idées noires.
Enfin, vers onze heures, elle entendit la porte grincer, d'un pas hésitant André rentrait au logis.
Il franchit la porte du salon et se présenta alors, honteux et repentant devant elle, mais, alors que le midi elle aurait accepté avec joie ce retour alors attendu, là elle ne remarqua que son hébétude et son déséquilibre, la voix grondante elle l'accueillit :
- C'est à cette heure que tu rentres !
- ...
- Et ivre... Tu as bu... Heureusement les enfants sont couchés... Quel spectacle !
Sans même écouter ses explications fumeuses, elle le quitta et se coula dans la chaleur bienfaisante de son lit, titubant bredouillant de vagues excuses, il la suivit, s'effondra sur le lit et s'endormit tout d'une pièce .
le réveil ne fut pas glorieux, c'était lui maintenant l'accusé, le jaloux qui profitait de la moindre occasion pour se bourrer le gueule, Ah sa mère lui avait bien prédit qu'il ferait son malheur et celui de ses enfants... Si elle l'avait seulement écoutée... La bouche pâteuse, la langue comme du plomb, il pliait sous l'avalanche ne trouvant son salut que dans l'adoption d'un profil bas, mélangeant excuses, regrets et promesses de ne plus jamais douter d'elle.
Ainsi, sans même le vouloir, du simple fait de l'attente, de son exaspération endossa-t-elle le costume de la victime, en place de celui de la fautive qu'elle avait endossé le matin même.
Honteux, confus, convaincu de sa culpabilité il la quitta relativement rapidement, prêt à toutes les concessions pour regagner la paix du ménage qu'elle l'accusait vertement d'avoir remis en cause.
Magnanime elle lui accorda pourtant son front à baiser sur le pas de porte, il en conclut que tout reprendrait comme avant, ce en quoi il se trompait lourdement.
Par un curieux retour des choses, elle lui en voulut de son aveuglement, de sa renonciation, Miloud lui ne l'aurait pas pris comme ça, à grands coups de lattes il l'aurait remise dans le droit chemin, jamais il n'aurait permis...
Une fois de plus la comparaison tournait à son désavantage déjà qu'il n'était qu'un médiocre amant !
Voilà que maintenant il n'était même pas foutu de se comporter en homme !
Cet épisode eut des suites fâcheuses pour la bonne marche du ménage, maintenant qu'il l'avait laissée prendre le dessus, qu'il s'était dévalorisé à ses yeux, elle ne cacha plus son impatience, rechignant au devoir conjugal, n'acceptant plus ses remarques, l'excluant de la direction de la maison.
Portant sa faute comme une croix, il ne réagissait pas sinon en buvant plus que de coutume, ce qui, inévitablement le ramenait à ses soupçons initiaux.
Un soir qu'il était rentré entre deux vins, il s'isola dans la cuisine en compagnie de Francis.
Intriguée, elle les suivit, et sur le pas de porte, dissimulée derrière une tenture, elle entendit son charmant mari, entre deux toasts demander à Francis ni plus ni moins que de la surveiller.
Ce dernier, visiblement bien embêté, ne sachant que dire, ne put qu'accepter, se réservant d'ailleurs de n'en faire qu'à sa tête.
Ainsi il n'était mˆme pas foutu de chercher lui même, il avait besoin d'un intermédiaire pour la surveiller, son mépris s'en trouva encore accentué, et bien qu'elle n'en tira pas avantage dans l'immédiat, elle nota précieusement cette attitude dans un recoin de sa mémoire.
L'époque des vacances et des départs en camp arriva, les plus jeunes partirent, après un week-end complet de réjouissance.
L'emprise des plus jeunes sur les aînés s'était faite plus forte au fil des jours, ils étaient tous dans la même galère, et la moindre distraction aurait eu pour conséquence de faire capoter ce bel assemblage qui leur asservissait totalement ce lot de belles femelles .
Aussi, l'intérêt de chacun des deux groupes était-il de cohabiter harmonieusement s'ils voulaient continuer à plier sous eux ces salopes si participantes.
Aussi ce dernier week-end de juin, purent-ils faire provision de sensations enivrantes avant une séparation d'un mois qui s'avérerait bien frustrante pour les cadets maintenant habitués à profiter par tous leurs trous de la bonté de jeunes femmes plus que consentantes, bien que sous la menace.
Trois des belles se mirent au service des plus jeunes, ils en profitèrent au maximum, alors que la dernière comblait les désirs insatiables des trois aînés.
Réunis dans la même chambre, Gerald, Robert et Mohamed purent disposer tout à leur aise des deux éducatrices et de l'infirmière, alors que dans une chambre voisine, la pharmacienne comblée par ses trois orifices réjouissait la pine des trois aînés .
Tout heureux d'avoir ainsi inversé l'ordre naturel des choses les trois cadets surexcités se régalèrent goulûment de tous leurs charmes.
Dès 20 heures, agenouillées cotes à cotes sur un lit, elles offraient l'intégralité de leur croupe aux regards concupiscents.
Prenant appui sur les avants bras, les fesses tendues, les dos arqués elles étalaient toute leurs intimités devant les gosses réjouis, jouissants du spectacle, ils firent durer longtemps l'humiliation, comparant la conformation fort différente des trois croupes, la profondeur des raies culières, les rosettes tapies au plus profond des ravins, les cramouilles que les positions adoptées faisaient bailler avantageusement.
Les regards brûlants courant sur leurs peaux nues, les commentaires graveleux des moutards, leur souffle chaud entre les fesses, puis les mains frileuses qui ne tardèrent pas à estimer les charmes de chacune, tout enfiévrait les trois femmes.
Elles sentaient leurs fentes s'humidifier, se poisser de cyprine, la chatte parcourut de petites décharges électriques, le ventre agité d'une houle prometteuse l'une après l'autre, elles commencèrent à onduler du cul, invitant ainsi clairement leurs suborneurs à prendre possession de leurs chairs.
Ils les laissèrent quelque temps, roulant des fesses, crispant et décrispant leurs anus, la fente juteuse, attendant qu'elles réclament leurs rostres, enfin, la voix chavirée, Françoise la première feula :
- Prenez moi... Mettez moi... J'en peux plus... Il me faut une queue... Par pitié...
Ses voisines surenchérirent :
- Oui... Ne nous faites plus attendre... On a envie... Vos queues...
Au bord de l'éclatement, ils approchèrent leurs mats dressés des globes charnus, d'un même mouvement, d'un geste avide elles agrippèrent leurs fesses à deux mains et s'ouvrirent au maximum.
Avec lenteur les glorieuse flamberges, plongèrent d'abord au cœur des vagins détrempés, le temps de s'humecter la hampe, puis posant simultanément leurs glands mafflus sur les oeillets impatients, frémissants de désir avec un synchronisme parfait ils les emboutirent jusqu'à la garde .
Ils les limèrent longtemps, changeant fréquemment d'orifice, tantôt dans les culs éclatés, tantôt dans les chattes dilatées, changeant de partenaires au gré des envies.
Elles n'étaient plus que des boules de nerf hurlantes, secouées par les assauts successifs, les intromissions violentes, elles criaient à pleines gorge leurs orgasmes alors qu'ils crachaient leur jus au hasard des mortaises occupées .
Ils passèrent la nuit à les limer dans toutes les positions, s'encourageant de la voix, du regard, enfin au petit matin, le corps las, les acculs vidés ils s'endormirent blottis contres leurs flancs.
Au lever, tardif, elles arboraient les mêmes cernes que leur amie, qui elle avait pourtant comblé la bestialité des trois aînés mis en rut par le tapage qui s'élevait dans la chambre contiguë.
Toute la nuit, toujours embrochée par ses trois trous elle avait satisfait avec vaillance la lubricité des trois jeunes mâles qui la pliaient à tous leurs désirs.
Le dimanche, intégralement nues, elles contentèrent encore de la bouche et de leurs trous les six jeunes, offrant aux trois cadets un volume supérieur de souvenirs, qu'ils ne manqueraient d'évoquer, se secouant durement la pine bien au chaud dans leurs lits de camp.
Le lundi matin sonna l'heure des adieux, sur une dernière pipe baveuse, elles les quittèrent avant l'arrivée des cars qui les emmèneraient vers leurs séjours de vacances.
Les trois aînés qui avaient réussi à dénicher des stages en ville, obtinrent de résider dans les appartements extérieurs, vidés du fait des camps de leurs habitants habituels, les deux éducatrices de week-end, ainsi que l'infirmière acceptant de veiller sur leurs soirées selon un planning qu'elles géreraient personnellement.
Elles n'avaient d'ailleurs pas eu leur mot à dire, les trois adolescents leur imposant de se porter volontaire, pensant passer ainsi un plein mois à se repaître de leur docilité.
Coulybaca
janvier 2008
dominique.dubuissez@orange.fr
L'EDUCATRICE
Coulybaca - Texte personnel.
Tous les jeunes participant physiquement à l’action sont âgés de plus de 18 ans.
Chapitre 8 : Echanges
La prise de possession des lieux se fit sans coup férir, le vaste appartement, entièrement aménagé pour la vie en semi-autonomie réservait une vaste salle de loisir commune, une cuisine salle à manger confortable et six chambres meublées de vastes lits.
Il était conçu pour servir de sas transitoire entre la vie surveillée de l'IME et l'autonomie totale de l'extérieur.
Une chambre était aménagée pour recevoir l'éducateur chargé d'aider les jeunes sortants dans leurs démarches et la gestion de leur vie matérielle.
Dans l'esprit des chefs, cette chambre accueillerait l'éducatrice de service.
L'infirmière qui demeurait à proximité y séjournerait aussi bien que de façon moins soutenue, puisqu'elle pouvait rester d'astreinte chez elle.
De toute manière c'était aux trois volontaires de gérer leur emploi du temps, mais en aucun cas les jeunes ne devaient rester hors de surveillance.
Toujours dans leur esprit, les trois aînés seraient à même d'y prouver leur débrouillardise et leur capacité à s'autogérer sous contrôle bienveillant.
La consigne donnée aux éducatrices était de les laisser agir le plus possible, de n'intervenir qu'en cas de conflit ou d'abus flagrant.
Dans ce but, eux mêmes ne feraient que de rares visites de façon à laisser les situations se nouer et se dénouer de la façon la plus naturelle.
Ils avaient beaucoup appréciés ce tandem d'éducatrices, qui sans violence, sans éclat, avait si bien réussi à maintenir ces jeunes jusqu'ici sources de multiples problèmes dans un chemin qu'ils pensaient pavé de bonnes intentions.
Chacun prit possession de sa chambre, en fonction de la disponibilité de leurs maîtresses.
Ils conçurent un planning leur permettant de toujours avoir à leur disposition trois femelles, se débrouillant même pour pouvoir profiter des quatre à la fois deux soirées par semaine.
Elles mirent sur le compte de l'entraide et de la solidarité cette activité qui les chassait souvent de leur foyer, les maris ne pipèrent point, et la vie s'organisa suivant les normes qu'avaient fixées les jeunes.
Quel que soit l'heure du jour, elles devaient être nues ou porter des tenues suggestives propres à exciter la convoitise de leurs amants, aucun voile ne devait protéger l'accès de leurs trous toujours disponibles.
Toutes quatre, à force de parader en bas, porte-jarretelles, voiles arachnéens, se trouvaient excitées en permanence, la cyprine coulait à flot de leurs moules lascives.
Le cul graissé en permanence elles étaient toujours prêtes que ce pour une étreinte hâtive sur le bord de la table, ou pour une possession à plusieurs dans la douce tiédeur des couettes de lit.
Il arrivait même souvent que deux d'entre elles s'aiment sous les yeux des trois jeunes investissant simultanément les trois orifices de la délaissée.
Deux jours ne s'étaient pas passés que déjà Fabienne et Françoise avaient compris ce que dorénavant ils attendaient d'elles.
Un soir, à la tombée de la nuit, elles accompagnaient Miloud et Stephan partis chercher des cigarettes dans le coin le plus mal famé de la ville.
Choisissant un bar tabac des plus louches, Miloud s'accouda au comptoir et commanda quatre demis, elles protestèrent qu'elles n'avaient pas soif, mais bien plutôt pipi, rien n'y fit, elles durent consommer, puis, puisque c'était leur désir, ils les emmenèrent aux toilettes, mais à leur grande
confusion, dans celles des hommes.
Les deux compères s'amusèrent à les faire pisser dans les urinoirs suspendus, elles donnaient un spectacle croquignolet, ventre tendu vers le bac, sursautant à chaque bruit.
La vessie contractée par la crainte de voir surgir un client, elles s'efforcèrent de les satisfaire sous leurs rires.
Enfin, étirée sur la pointe des pieds, le ventre tendu au dessus de la faïence blanche, les petites lèvres pressées entre leurs doigts, pour mieux diriger le jet, elles parvinrent à se soulager.
Elles ne purent cependant éviter les éclaboussements qui leur souillèrent les cuisses.
Elles 'étaient troussées toutes deux au dessus de la taille, un mouchoir humide à la main, se nettoyant les cuisses et la fente lorsque surgirent deux consommateurs interloqués.
Sur un signe de Miloud, elles durent terminer la toilette de leurs chattes, avant de s'enfuir véritablement devant les sarcasmes des deux voyeurs, qui, ravis d'assister à un tel spectacle, commentaient grivoisement le tableau.
Folles de honte, elles s'empressèrent de régler cigarettes et consommations, puis, avant le retour des deux intrus, elles se précipitèrent au dehors, cherchant à se dissimuler pour attendre leurs tourmenteurs.
Ce n'est qu'une fois rentrées à l'appartement, que racontant la scène à leurs amies, elles comprirent que dès leur entrée dans les toilettes, Miloud escomptait l'arrivée d'étrangers désireux de les contraindre à cette exhibition obscène devant des tiers inconnus, cela augurait bien de l'avenir proche !
En bref la vie allait bon train dans l'appartement, les quatre femelles ne vivaient plus que pour le plaisir de sentir exulter leur corps, elles ne ressentaient même plus d'humiliation devant leurs volontés les plus perverses et se pliaient avec volupté à toutes leurs initiatives, surenchérissant même souvent.
Bêtes à jouir elles ne se sentaient vraiment bien que la pine dans la chatte la bouche ou le cul, cherchant souvent à les avoir dans leurs trois trous simultanément, goulues de sexe elles n'aspiraient plus qu'à pour se faire troncher du mieux et le plus souvent possible.
Françoise constata sans surprise la présence de plus en plus fréquente de Francis dans son sillage, insouciante elle ne s'en préoccupa pas.
Toute à l'exultation de son corps, elle n'en ressentit qu'une aversion encore plus marquée pour son mari qui la faisait ainsi surveiller.
De toute manière, les trois jeunes prenaient assez de précautions, ils n'exhibaient leurs compagnes que dans l'intimité, ne s'autorisant aucune privauté dans les lieux par trop public.
Un après midi que Miloud et Fabienne se promenaient dans le même quartier louche, il s'entendit héler :
Dirigeant leurs regards vers la terrasse du "globe", ils aperçurent un petit gros qui de la main leur faisaient signe Miloud le reconnut tout de suite.
Ils prirent place au coté du petit gros .
Blond, la figure bouffie, de petits yeux porcins, le gaillard déplut d'entrée à Fabienne, d'autant plus qu'il la déshabillait du regard.
Elle sentait ses yeux ramper le long de ses courbes, le contact lui semblait si physique, qu'elle en ressentit comme une brûlure.
Rouge jusqu'aux oreilles, le cœur bourrelé d'angoisse, les larmes au bord des yeux Fabienne écoutait fiévreusement cet échange, en devinant déjà la conclusion.
Une fois de plus elle serait contrainte, elle devrait se soumettre aux fantaisies libidineuses de son maître.
Les deux garçons pénétrèrent dans une loge séparée de la salle principale par une porte western, ils s'assirent au fond sur la banquette, Fabienne debout face à eux.
D'un geste lent, pâle de honte, Fabienne releva la courte jupe sur ses cuisses, le liseré des bas apparus, puis la zone de chair dorée du haut de la cuisse et enfin le triangle blond frisé de son pubis.
Seule la toison fournie de Fabienne dissimulait encore sa fente.
Docilement, servilement, elle pivota sur les talons exhibant l'opulence de ses fesses musclées, séparées par le profond sillon culier.
Sous les commentaires graveleux, Fabienne pâlit encore, l'entrée du serveur un plateau à la main ajoutant encore à sa confusion.
Le bas du corps dénudé, jambes légèrement écartées, la main du testeur entre les fesses, Fabienne offrait une image d'une parfaite obscénité, et en avait conscience.
Elle rougit cette fois, désemparée, elle ne cherchait même pas à se soustraire à la caresse de plus en plus appuyée.
Michel obligea de la main Fabienne à présenter de nouveau sa chatte, lissant les poils, les démêlant afin de mieux découvrir la fente charnue, des doigts il suivit les grandes lèvres, effleurant du pouce le clitoris qui, affolé, se raidit au contact de la caresse furtive, puis il lui enfonça facilement l'index dans le vagin.
En effet le mécanisme du plaisir s'était emparé du corps de Fabienne, sa tête avait beau dire non, elle perdait tout contrôle de son ventre, de ses reins, son exhibition et les caresses brutales la chaviraient.
Brusquement sa motte s'était inondée de cyprine, elle sentait sa liqueur sourdre de son sexe poissant toute sa fente, son ventre se tendait vers la caresse infâme.
Brutalement le pouce du petit salaud lui força l'anus, il entreprit de lui masser la chair tendre et fine du périnée entre le pouce et l'index.
Dans un soupir, Fabienne du avouer son orgasme sous l’œil des trois mateurs narquois.
Le serveur appelé à l'extérieur les quitta, tandis que Michel, d'une main fébrile sortait son gros sexe rouge de son slip.
Comme elle s'agenouillait pour obtempérer, Miloud intervint :
- Ah non mon vieux... T'as le droit de tâter mais pas de goûter ! Demain après midi à l'appart... Amène ta putain et tu goûteras à la mienne... Préviens les copains, nous on présentera le cheptel au grand complet...
Bizarrement, Fabienne se sentit lésée, elle était si préparée à la fellation qui devait suivre, qu'elle ressentait presque de la frustration de s'en voir privée.
La soirée se passa calmement au rythme des coups de queues de ces messieurs impatients de se voir au lendemain.
Les trois adolescents disposaient de leur harem au complet pour cette soirée qu'ils voulaient fracassantes, inoubliables.
Excitées, quelque peu inquiètes les quatre jeunes femmes s'affairaient dans l'appartement suivant les directives de leurs amants.
Françoise et Murielle portaient leurs tenues de soubrettes modèles, petits tabliers blancs sur porte-jarretelles et bas alors que Sylvie et Fabienne dévêtues d'une guêpière et de bas semblaient attendre le client.
Elles n'auraient pas d'ailleurs pu mieux dire, à la première sonnerie à la porte, elles reçurent pour mission de s'agenouiller de chaque coté de la porte et d'honorer les visiteurs de leurs bouches charnues.
Sans rechigner, prêtes à tout elles se prosternèrent la gorge tendue et attendirent le chaland.
La porte s'ouvrit avec fracas, trois jeunes malfrats à l'allure douteuse pénétrèrent, surpris et ravis de l'accueil, ils défouraillèrent sans attendre s'enfonçant avec délice dans les réceptacles offerts, tandis que leurs nanas, dans leurs dos assistaient à la réception.
La bouche forcée par une épaisse bite odorante, les femelles ployèrent le cou, engouffrant jusqu'aux amygdales les chibres tendus.
A peine deux ou trois sucions appliquées et les lances vibrantes aspergèrent leurs luettes d'un flot crémeux et acre.
La bouche à peine libérée, déjà d’autres membres se présentaient, Miloud imitant ses copains prétendit se faire cajoler ainsi que le dernier invité.
En bonne pipeuses dociles, à nouveau elles se trouvèrent une bite enfournée jusqu'au tréfonds de la gorge, queues qui ne tardèrent pas à arroser de leur venin les cavernes chaudes.
Le sperme suintant aux commissures des lèvres, elles se levèrent, et fesses prises à pleines mains, elles précédèrent les invités au salon.
Miloud présenta son groupe :
Les arrivants se présentèrent à leur tour.
Michel, le petit blond grassouillet, que Fabienne connaissait déjà était suivi d'une belle blonde sophistiquée, l'air assez dédaigneuse, Claudine l’épouse du notaire du lieu, Rachid un grand noir aux épaules musculeuses tenait Nicole, une petite brune, pétillante de vie, femme de médecin, par les hanches, Roland, le plus maigre, affirmait son emprise sur Odette, une blonde potelée, la quarantaine épanouie, elle aussi femme de notable.
Les trois femmes, le même age, la même allure racée, faisaient visiblement partie de la bourgeoisie du cru, on les imaginait plus facilement au bridge, les cartes à la main que dans un bouge la queue des trois gaillards qui les accompagnaient en pleine bouche.
Silencieusement, sans enthousiasme, visiblement sous la contrainte, elles se dévêtirent, ce qui permit immédiatement à leurs admirateurs de constater que si Claudine était une vraie blonde, Nicole une brune naturelle, Odette, elle, était décolorée, son sexe châtain en témoignait clairement.
A leur tour, les garçons quittèrent leurs jeans et leurs tee-shirts.
Les trois jeunes femmes découvrirent avec stupeur la conformation particulière de Michel et Rachid.
Michel était doté d'un sexe mafflu, qui s'il était normal par sa longueur, était effrayant de grosseur.
Hypnotisée, Fabienne y porta la main pour en vérifier la réalité, sa main refermée était loin d'en faire le tour, d'un diamètre avoisinant celui d'une bouteille de "Heineken" ce qui lui valait d'ailleurs ce surnom, elle reposait telle une grosse courge violacée sur deux grosses oranges poilues.
Rachid, s'il présentait un ustensile d'une grosseur normale, bien que supérieure à la moyenne, frappait surtout par la longueur invraisemblable de son long cylindre noir, une vraie queue de mule qui pointait agressivement vers les intimités dévoilées.
A cette vue, les trois femmes sentirent des picotements au fond de leurs vulves, les trois invitées, certainement habituées à leurs conformations, n'y prêtait guère attention, évaluant d'un oeil furtif les trois virilités qui, elles le savaient, se glisseraient bientôt dans tous leurs orifices.
Sans un mot, Michel s'allongea et attira Fabienne à lui, elle était effrayée à l'idée d'engloutir cette monstruosité dans sa chatte.
Les autres couples les entourèrent, curieux de voir comment elle s'y prendrait pour se prêter à l'effraction qui la guettait.
Avec effroi, Fabienne décida de prendre les initiatives, à défaut de vaseline, ou de pommade, elle enduisit le gros cylindre de sa salive, puis de la pointe des doigts, elle se graissa abondamment la fente, se barbouillant le méat, de son jus enfonçant ses doigts le plus loin possible dans son conduit pour plus l'assouplir.
Elle ne pouvait retarder plus le moment fatidique, le dos au sol, Michel l'empoigna aux hanches, l'installa à l'aplomb de son vit animalesque, puis lentement il la descendit sur son pieux tendu.
L'énorme courge buta sur la vulve, lui écrasant les lèvres, malgré la tartine de cyprine lui beurrant la chatte, il n'arrivait pas à s'introduire dans le chas crispé par l'appréhension.
Il la releva avec douceur, et soudain avec une violence inouïe l'empala sur son gourdin.
Un cri déchirant jaillit des lèvres de Fabienne, de lourdes gouttes de sueur froide perlèrent sur son front, envahissant rapidement son visage, elle ouvrit désespérément la bouche, à la recherche d'un peu d'air .
Bien que seule la tête de la mentule soit parvenue à pénétrer sa chatte elle se croyait éventrée, cela avait craqué du coté du périnée, elle se croyait déchirée.
En vérité, l'énorme masse avait réussi son entrée, le muscle annelé s'était fait le plus large, le plus dilaté, effectivement à la limite de la rupture pour mieux admettre le visiteur surdimensionné.
La sueur lui inondant le visage, les joues creusées, des douleurs lancinantes irradiant de son ventre meurtri, elle le sentit appuyer sur ses hanches la forçant doucement à engloutir le pal frémissant, la sensation d'envahissement se précisait, elle sentait sa matrice lui remonter sur l'estomac au fur et à mesure de l'impitoyable progression.
Ses poumons sifflant comme des soufflets de forge, c'est avec joie qu'elle sentit enfin ses fesses reposer sur le ventre musclé, elle n'aurait pu subir plus longtemps ce supplice du pal sans s'évanouir, l'énorme présence dans son ventre la remplissait toute.
Ce fut pire encore, lorsqu'il la souleva pour la laisser retomber, l'empalant à nouveau jusqu'au col, chaque fois qu'il la relevait, les spectateurs pouvaient entendre un étrange bruit de succion, immédiatement suivi du ronflement de ses poumons lorsqu'elle retombait.
Cependant, peu à peu l'abominable douleur s'estompait, laissant place à une anesthésiante lourdeur, son ventre tendu à bloc se transformait en un bout de bois que seuls quelques picotements élançaient encore, elle coulissait plus aisément sur la courge disproportionnée, les picotements embrasaient maintenant son ventre, des éclairs résonnaient dans sa tête, l'effroyable souffrance avait pris fin se muant en un infâme plaisir.
D'elle même elle reprit le mouvement de va et vient, accélérant son rythme.
Un torrent de sperme jaillit soudain dans son ventre, l'immonde fût tressautait dans son étui moulant, le plaisir fulgura dans ses reins, ses râles se confondant aux grognements de plaisir de Michel, inerte elle s'effondra pantelante sur le torse de son amant.
Dans son ventre l'épaisse bite ne faiblissait pas transmettant ses derniers spasmes aux muqueuses hyper-sensibilisées, longtemps ils se tinrent enlacés sans bouger lui toujours emmanché en elle, cherchant à reprendre leur souffle .
Se dressant sur ses mollets elle se releva difficilement, le bruit de succion reprit terminé par un plop sonore lorsque l'énorme bonde quitta son ventre meurtri.
Des flots de sperme débordèrent de sa chatte lui poissant les cuisses et la motte, elle s'écroula vidée, se lova contre le flanc de son suborneur et s'assoupit.
Ce spectacle d'une rare intensité avait tant échauffé les spectateurs qu'ils se ruèrent sur les femelles disponibles.
Stephan embrocha d'un coup roide Odette, la fausse blonde, il la poignarda jusqu'à la matrice.
Roland s'emparant de la bouche de Françoise lui enfonçait sa tige jusqu'à la luette.
Rachid empoignant Sylvie lui faisait absorber la totalité de sa queue , s'aboutant au fond de sa matrice avant de pousser une tête curieuse par delà le col.
Miloud lui s'était accaparé la chatte convoitée depuis presque six mois, mais sa queue se perdait dans la moule distendue de Claudine si souvent ramonée par Michel, qu'elle ne serrait plus les queues des baiseurs normalement constitués, seul Michel pouvait encore ressentir une certaine pression quand il plongeait dans ce gouffre.
La retournant sur le ventre, il lui empoigna les deux fesses , les écartant rudement avant de poignarder sa corolle de son rostre tendu, Michel l'enculant rarement compte rendu de la difficulté de la chose, la rondelle plus élastique absorba son chibre jusqu'à la racine, l'étranglant dans son
étroit chenal.
L'excitation était telle que dans les cinq minutes qui suivirent, tous les mâles avaient vidé leurs couilles dans les ventres, les bouches, les culs avides de semence.
Tous à l'exception de Rachid qui maintenait Sylvie épinglé sur sa tige comme un papillon sur son présentoir.
D'un coup les cris de Sylvie se firent frénétiques, ses pleurs éveillèrent l'attention des autres couples, qui somnolaient épuisés de jouissance, rampant sur le ventre ils s'assemblèrent autour du couple fornicateur.
Rachid avait entrepris de la sodomiser, si au début tout s'était bien passé, la queue copieusement enduite de cyprine avait facilement perforé son oeillet, et avait progressé d'une vingtaine de centimètres sans coup férir dans ses entrailles, maintenant la tâche était beaucoup plus ardue, ce ne serait pas du gâteau d'admettre le tiers restant.
Raidi sur ses jambes, Rachid forçait comme un damné pour enfoncer encore sa longue bielle dans les entrailles frémissantes.
Les petits cris de Sylvie s'étaient mués en hurlements de douleur, son intestin semblait lui remonter dans la gorge, la pression était atroce, elle n'était plus qu'un bloc de douleur crispée, tétanisée dans un ultime refus, et pourtant le long cylindre progressait encore, s'enfonçant inexorablement dans son fourreau abominablement distendu.
Enfin avec soulagement, elle sentit les poils frisés de ses bourses lui chatouiller les fesses, l'épreuve était terminée, pensait elle optimiste, ce en quoi elle avait tort car Rachid s'il s'était retiré avec douceur de son boyau martyrisé s'y renfonçait d'un coup de boutoir d'une violence inouïe.
Le cul véritablement éclaté, Sylvie ne retira aucun plaisir de ces abominables va-et-vient dans son rectum maintenant anesthésié, telle une poupée de son, elle se laissait embrocher, n'aspirant plus qu'au jet de foutre qui marquerait la fin de son supplice.
Mais les choses n'en restèrent pas là, conscient qu'après le passage de son copain, il devrait parvenir à enculer la belle pouliche, Michel qui ne pouvait le faire que très rarement, vu la taille de son abomination, s'approcha du couple et frappant l'épaule de Rachid lui fit signe de lui laisser la place.
Celui ci comprit illico le message, déculant de la belle, il roula sur le dos, la reprit par la taille et lui imposa à nouveau sa bite dans son fourreau naturel.
La satisfaction de Sylvie dura peu, l'énormité de la masse qui vint peser sur sa pastille la renseigna immédiatement sur l'identité de son nouvel agresseur.
Folle de peur, elle rua dans tous les sens, échappant à l'étreinte de Michel, mais pas à la queue de Rachid qui lui restait fichée profondément dans le ventre.
Tout à fait réveillés, Miloud et consort se précipitèrent pour seconder Michel et l'aider à mener à bien son abominable projet.
Maintenue enclouée sur la queue de Rachid, Miloud et Stephan lui écartant les jambes de force, Roland lui ouvrant largement les fesses, Michel sous le regard captivé des spectateurs entreprit de guider son énorme pieux sur sa cible au centre des fronces brunes, il pressa fortement la rondelle pour mieux en éprouver la résistance, puis d'un formidable coup de son estoc il lui pourfendit la pastille.
Seul le gland était passé, l'anneau ridelé se déformait atrocement formant un bourrelet qui épousait la racine du gros champignon, la peau dilatée du sphincter semblait étrangler la tête de l'ignoble envahisseur.
Sous le coup d'estoc, les yeux de Sylvie s'étaient révulsés, des flots de sueur coulaient de son front à son nombril, il lui semblait qu'on lui découpait la rondelle au rasoir elle se mit à forcer, ou plutôt son ventre se mit à forcer, contre elle mˆme en quelque sorte, en tout cas contre sa volonté pour que s'élargisse encore l'orifice et que l'intrusion, qui était inéluctable en fut facilitée.
Son anus la trahissait et collaborait à sa propre invasion.
Le sphincter céda soudain sous la pression monstrueuse.
D'un coup puissant et implacable Michel s'installa en elle, dans ses intestins chauds et palpitants, de toute sa grosseur.
Elle était pleine à éclater de la monstrueuse cheville plantée dans ses reins, c'était tout à fait intolérable.
Elle avait l'impression que son boyau avait du se déplier pour l'accueillir, lui faire place, s'adapter à ses mesures.
Michel sortit d'elle presque en entier, puis revint, forçant s'installant, faisant sa place, son trou, la douleur était montée si haut en elle, que ses plantes de pieds étaient crispées par d'affreuses crampes.
Sylvie haletait maintenant, les deux jeunes hommes commencèrent à remuer lentement en elle cherchant à coordonner leurs mouvements.
Elle finit par s'accorder au rythme alterné des deux queues qui lui taraudaient le sexe et le cul, la limant en cadence.
Elle vibra d'abord imperceptiblement, puis de façon plus nette, comme si elle consentait à ce coït.
Oubliant la douleur sourde qui subsistait encore en elle, elle perdit toute retenue, se cabrant, projetant violemment son cul en arrière, les deux gars se déchaînèrent, leurs rythmes se désunirent, d'un seul coup ils se plantèrent tous deux jusqu'à la garde.
Rachid débordant largement le col, Michel s'enfonçant encore plus qu'il n'était encore allé , ils jouirent simultanément, Michel lui éclaboussant les parois du rectum, tandis que Rachid déchargeait à longues giclées dans le fin fond de son vagin l'entraînant dans une cascade d'orgasmes en chaîne.
Le ventre secoué de vibrations intenses, Sylvie ne parvenait pas à revenir sur terre, encore emmanchée sur les deux queues qui lui transmettaient leurs derniers soubresauts, elle n'en finissait plus de jouir.
Quand enfin elle se calma, Michel décula lui arrachant encore un gémissement, la prenant à la taille, Rachid extraya sa bite du vagin vorace, et la laissa rouler à terre, elle resta longtemps pantelante, haletante avant que de pouvoir reprendre ses esprits, honteuse de ce plaisir bestial qu'ils
lui avaient tous vu prendre.
Quelques heures, quelques sodomies, quelques enconnages, quelques pipes plus tard sonna enfin l'heure de se séparer.
C'est épuisée qu'elles s'étendirent au coté de leurs seigneurs et maîtres, sombrant immédiatement dans un profond sommeil réparateur.
Ainsi fêtes et journées de routine se succédaient, ses dames se mettaient maintenant sans rechigner à servir aussi bien aux copains qu'à eux même, convaincues qu'elles étaient de devoir tout leur accorder pour conserver le plus longtemps possible le plaisir qu'ils savaient si bien leur dispenser.
Coulybaca
Janvier 2008-01-03
dominnique.dubuissez@orange.fr
EDUCATRICES
Coulybaca Texte personnel
Tous les jeunes participant physiquement à l’action sont âgés de plus de 18 ans.
Chapitre 9 : Prises sur le fait… Comment se tirer d’affaire !
Déjà trois semaines s'étaient écoulées, les quatre jeunes femmes se pliaient avec plus que de la docilité aux désirs des jeunes, elles participaient pleinement à leur possession leurs âmes s'étaient faites à l'exultation de leur corps, elles en redemandaient, au point de ne plus observer leur emploi du temps, provoquant d'elles mêmes des motifs de rencontre supplémentaires.
Le mari de l'infirmière se félicitait de voir sa femme si productive, encore quelques années et leurs soucis d'argent s'estomperaient, celui de la pharmacienne se réjouissait de la voir si épanouie en compagnie de jeunes femmes dont il n'aurait jamais douté de leur honorabilité, quant au mari de l'éducatrice de week-end, content de voir sa femme si active, si dynamique, bien que regrettant son indisponibilité familiale pensait qu'au moins ainsi il n'avait rien à craindre d'éventuels rivaux.
Françoise était certainement la plus mal lotie des quatre, elle supportait de plus en plus mal les hommages rapides de son mari, que de migraines ne ressentait-elle d'ailleurs à l'heure du coucher, alors qu'elle le sentait de plus en plus soupçonneux .
Son tau de jalousie croissant d'ailleurs régulièrement en fonction de son imprégnation alcoolique.
Encore, n'assistait-elle pas aux rapports de Francis à son mari, le jeune voisin avait beau s'escrimer à la suivre, bien qu'il renifla quelque chose de louche, il n'arrivait pas à la coincer en flagrant délit, ce qui paradoxalement renforçait les certitudes de l'époux aigri.
Mais Francis se rendait compte, peu à peu, à l'écoute des épanchements de l'imbibé, que c'était pas tellement sa femme qu'il jalousait, mais que surtout il se plaignait de voir disparaître la jeune fille soumise à ses désirs et à ses volontés qu'il avait épousée.
Plus que l'infortune dont il se croyait victime, il ne supportait pas l'évolution de son épouse qui petit à petit s'affranchissait de son respect du mâle .
Plus que son amour propre, c'était son machisme qui souffrait.
la vie coulait donc paisible entre les banales possessions, banales bien que parfois rudes de la semaine, et les soirées d'échange du week-end.
Ces soirs la, elle devaient se soumettre à de parfaits inconnus, elles servaient de monnaie d'échange à leurs amants, qui, grâce à leurs charmes pouvaient s'offrir le corps d'autres bourgeoises du cru, bourgeoises par ailleurs bien souvent elles mêmes sous la suggestion de jeunes voyous.
Cet avant dernier samedi de juillet, Françoise accueillait trois jeunes males dans ses trois orifices, Murielle faisait de même, alors que Sylvie et Fabienne se gouinait en 69 tandis que deux bites turgescentes leur foraient l'anus, Miloud et ses amis les pines bien au chaud dans la bouche des femmes de leurs potes tentaient de faire durer le plaisir, lorsque sans bruit la porte s'ouvrit.
Sidéré par le spectacle inouïe qui s'offrait à ses yeux, Christophe, l'éducateur chef de service se figea sur le pas de porte.
Claquant la porte avec violence, il signifia son intrusion aux partenaires orgiaques.
A sa vue, les trois pensionnaires de l'établissement sentirent leurs queues se recroqueviller dans les bouches pourtant si accueillantes, les femmes rouges de confusion se jetèrent avec précipitation sur leurs fringues, pressées de reprendre une tenue plus décente.
Dans un silence de glace, les copains et leurs amis prirent congé de leurs hôtes, Ils se hâtèrent, peu désireux de risquer de se voir identifier.
Christophe les laissa partir sans réaction, il préférait nettement laver le linge sale en famille, certain que ni ces jeunes voyous, ni leurs compagnes n'avaient intérêt à voir s'ébruiter l'affaire.
Le ton glacé, il ordonna :
- Vous trois vous faites vos valises... Quant à vous... Mesdames.... je vous attends au rapport demain matin... 9 heures...
Folles de confusion, de honte, les quatre femmes ne demandèrent pas leur reste, elles s'esquivèrent rapidement.
Lors de leur retraite, d'un geste furtif, discret, Françoise logea dans son sac à main les différentes bandes vidéo, témoins de leurs exploits.
Elles se réunirent chez Fabienne, l'absence du mari de cette dernière parti pour un congrès en région parisienne leur permit de reprendre leurs esprits au calme.
Bien sur, Fabienne se montrait la moins inquiète de la tournure des événements, elle pensait que ses amies ne mêleraient pas son nom au scandale qui risquait de survenir, elle n'était rien pour l'I.M.E, et de ce fait ne voyait pas pourquoi elle pourrait être inquiétée.
C'était loin d'être le cas de ses trois compagnes qui s'inquiétaient de voir leurs maris informés de leurs turpitudes, elles savaient qu'elles seraient mises à la porte, mais le tout était de savoir comment leur éviction se ferait !
Dans le meilleur des cas, peut-être qu'en offrant leurs démissions ?
Des explications à fournir à leurs conjoints, elles comptaient sur leur ingéniosité, mais encore fallait-il que le motif du renvoi ne soit pas celui constaté... Sinon ...
Peu rassurées, elles se quittèrent au petit matin, s'objurguant les unes à les autres à trouver une solution pour sortir de ce mauvais pas.
Après une courte nuit de réflexion et d'angoisse, elles se retrouvèrent pour partir ensemble au lieu de leur jugement.
Après mures réflexions, elle étaient toutes trois parvenues aux mêmes conclusions, leur seule monnaie d'échange, leur seule véritable chance était leur corps.
Elles ne doutaient pas de l'impact de leur soirée sur leur chef, et elles étaient bien décidées à jouer de leurs charmes pour corrompre leur supérieur.
D'ailleurs, sans même se consulter, elles arboraient toutes trois des tenues forts suggestives, moulantes et courtes pour les jupes, vastes et échancrés pour les corsages.
Aucune d'entre elles ne réalisait, que le marché qu'elles se proposaient d'honorer leur aurait fait horreur six mois plus tôt, conscientes de la beauté de leurs corps et de la force de leurs tempéraments, elles se préparaient à s'offrir en plature au chef en contrepartie de son silence, du moins partiel.
Leur seul inquiétude résidait dans la crainte de se voir repoussées par un tyranneau intransigeant.
Avec crainte elles heurtèrent la porte du bureau.
Une voix calme, sereine, brève leur intima d'entrer.
Christophe, juché sur un fauteuil derrière son bureau leur enjoignit de s'asseoir face à lui.
Dès cet instant, elles mirent en pratique leurs projets de séduction.
Relevant haut leurs jupes, elles s'assoirent toutes trois jambes haut croisées étalant les stries colorées des jarretelles sur leurs cuisses dodues.
Le regard rivé aux entrecuisses des belles, Christophe éructa :
- Heu... Vous savez pourquoi vous êtes là... Miloud et ses comparses ne rejoindront leur nouveau foyer que cet après midi... Je peux donc parfaitement... Si vous niez les faits... Vous confrontez avec eux...
Allons bon, pensèrent-elles d'un même accord, ça partait mal et silencieuse, ployant sous l'algarade, elles se contentèrent d'ouvrir encore les jambes.
Christophe plongeait maintenant jusqu'au fond de petits slips transparents.
De sa place, il pouvait apprécier jusqu'au grain incarnat de la qualité des blessures exhibées devant ses yeux plus ou moins hagards.
La vue des cicatrices mauves des slips follets s'échappant des dentelles l'affolaient, il sentit une poussée de chaleur lui envahir les reins tandis que de grosses gouttes de sueur perlaient à son front.
Tacitement mandatée par ses amies, Françoise intervint alors
– Ne pourrait-on s'arranger... Si vous voulez.. Nous sommes prêtes à... Beaucoup...
– Heu... Qu'entendez vous par là... Les faits sont les faits... Et je ne vois pas comment...
– Bien sur les faits sont les faits... Cependant... Est-il bien utile de les évoquer... Peut-être qu'une simple lettre de démission suffirait... Il est de votre pouvoir de... je vous répète... Mes compagnes et moi sommes prêtes à... Vous remercier au cas ou...
En prononçant ses mots, elle s'était penchée vers lui, exhibant à ses yeux conquis la ferme opulence de ses seins offerts dans leur écrin soyeux.
Christophe ne savait plus ou donner du regard, la vision de ces pubis velus, de ces poitrines fermes le subjuguait, il n'osait pas comprendre leur offre...
Et s'il se trompait ? Que faire ?....
La tentation était trop forte...
Il fallait qu'il les amène à préciser...
– Q'entendez vous par vous êtes prêtes à beaucoup offrir, si votre affaire s'arrange... Bien sûr une lettre de démission pourrait convenir... Mais ce serait une offense au code de déontologie... Et il faudrait vraiment m'offrir beaucoup pour que je pense à... Déroger...
Murielle renchérit alors, se penchant à son tour, révélant sa gorge nue jusqu'au nombril, avec vulgarité, sûre de faire encore monter la tension elle ajouta :
- Tu nous a très bien compris... Peut-être n'auras-tu plus jamais une si bonne chance de baiser trois belles nanas... Promènes tes yeux sur nos cuisses, nos fesses, nos tétons... Tu verras ce qu'on t'offre... Il ne tient qu'à toi d'en profiter...
Craignant de s'engager seul dans une telle voie, il la coupa alors :
- Tout ça c'est très bien... Mais... Je ne suis pas seul à décider... Christian, Jean-Pierre ont leur mot à dire... Au moins que votre offre ne les englobe... Au quel cas...
Conscientes de s'être engagées trop loin pour maintenant reculer, elles se concertèrent du regard, puis Françoise reprit :
- Bien sur... Notre offre les concerne aussi... Eux aussi pourront...
- Alors c'est très bien… Approuva Christophe rasséréné
- Je les appelle...
D'un doigt tremblant, il composa le numéro du bureau de l'internat sur la ligne intérieure.
– Christian... Jean-Pierre est avec toi ? Pourriez vous venir ? L'entrevue prend un tour inattendu... Elles nous offrent leurs culs si... Vous arrivez... Dans trois minutes... Bien on vous attend... Vous les filles profitez en pour me montrer vos charmes de plus prêt ! Allez et que ça grouille !
Ne pouvant plus reculer, elles se levèrent, s'approchèrent de lui et sur un geste impératif, retroussèrent leurs jupes.
Fébrilement il baissa les affriolantes petites culottes, il ne savait plus ou donner de la main.
Ses collègues le surprirent une main dans les entrecuisses grand ouverts de Sylvie et Françoise, alors que retournée, le corps ployé vers l'avant, s'écartant les fesses à deux mains Murielle offrait son anus violet à sa convoitise.
S'emparant par la taille de Sylvie et Françoise, ils s'assirent les prirent sur leurs genoux tandis que Murielle prenait place sur ceux de Christophe.
Christian précisa alors :
- C'est bon... On va vous arranger le coup... Mais en contrepartie... vous serez à notre complète disposition le temps de votre préavis... Que nous fixerons à... Disons à quinze jours...
Le rouge aux joues, elles opinèrent de la tête, entérinant par ce geste le marché.
Immédiatement, l’œil égrillard, Jean-Pierre suggéra :
- Puisqu'on est tombé d'accord... Montrez nous vos capacités... Allez Sylvie... Transformes mon roseau en chêne !
Obéissante, Sylvie se coula entre les cuisses grandes écartées de son solliciteur, et imitée de Françoise, elle fit glisser la fermeture éclair du pantalon puis extirpa une grosse verge congestionnée du slip douteux.
Elle enfourna, en même temps que Françoise la noble flamberge déployée, et suçant de tout son cœur, elle entreprit de donner le plus de plaisir possible à son profiteur consciente de signer de ses lèvres le contrat qui les unissait.
Christophe, lui, déjà largement échauffé par les trois femelles n'avait aucun besoin de préambules, il écarta d'un geste les papiers sur son bureau, et saisissant Murielle à la taille, il la plia sur le meuble, ventre appliqué au verre froid.
Avec impatience il lui rudoya les fesses, les ouvrant à lui faire mal et d'un seul élan s'engouffra entre ses reins fiévreux.
Bien qu'habituée à se faire ramoner l'étroit conduit, elle ne put refouler un cri de douleur consécutif à la brutale intrusion, n'en ayant cure il l'empala jusqu'à la garde et se mit à ruer dans ses reins dilatés.
On n'entendait plus que des halètements dans le bureau, elles s'acquittaient avec le plus grand cœur de leur première traite et c'est presque avec la joie du travail bien accompli que les deux zélées fellatrices recueillirent à pleine bouche la semence de leurs contractants tandis que
Murielle sentait le sien se déverser à gros bouillon dans ses entrailles frémissantes.
Chaque jour elles se rendirent à leur rendez vous, leurs culs, leurs bouches, leurs cons obtinrent des chefs une démission motivée pour un motif moins grave : elles avouèrent, par défaut de surveillance avoir laissé les jeunes dévolus à leur responsabilité se livrer à des trafics interdits : troc, racket, beuveries...
Cette entente gagnée à la force des reins leur valut aussi de toucher 'intégralité de la prime de licenciement, ce qui leur permit de faire passer avec plus de facilité la nouvelle de leur arrêt à leurs maris, qui ne s'étalèrent pas sur les motifs de renvoi, certains qu'ils étaient de la véracité des lettres de licenciement.
Bien sûr la pilule ne passa avec facilité, mais elles surent se montrer assez chattes avec leurs conjoints pour envisager leur avenir avec plus de sérénité.
Elles prirent très vite le rythme, chacune leur tour, elles accordaient leurs faveurs aux trois mâles en rut qui profitaient du peu de monde dans les locaux vidés par les vacances.
Souvent seules, parfois à deux ou trois, au hasard des lieux elles se faisaient trousser sur une table, sur un lit, une pile de linge, dans la salle de sports.
Entièrement à la disposition de leurs chefs, elles se pliaient à leurs désirs quelque soit l'endroit et le trou par lequel ils désiraient les forcer.
Ainsi, ce mardi, Françoise, précédant leur venue, les attendait à genoux sur le paillasson du bureau.
Christophe ne dédaignait pas d'adjoindre à l'humiliation une petite pointe de douleur, ce qui d'après lui, pimentait les rapports.
Les poils durs de la véritable brosse lui meurtrissant les genoux, jupe courte, sexe libre de tout voile, corsage baillant, dévoilant largement les globes fermes de ses seins, le cou tendu, elle guettait l'arrivée des queues que bientôt, en courtisane zélée, elle cajolerait de son mieux.
Des bruits de pas troublèrent le silence glauque du petit matin, la porte s'ouvrit, déjà débraguettés, Christophe et Christian lui fourraient déjà leurs bites épaisses sous le nez.
Des effluves musquées envahirent ses narines, d'un commun accord, ils ne se briquaient plus la byroute, estimant qu'entre autre, c'était aux trois femelles de maintenir leurs génitoires propres.
Ces flagrances lui occasionnant quelques nausées, stoïque, pressée, elle empoigna la flamberge de Christophe à pleine main, retroussa le prépuce et engloutit voracement le gland rose marbré de filets douteux.
De l'autre main, elle masturbait son collègue, elle avait saisi avec vigueur le sceptre tendu et jouait maintenant à faire coulisser la peau sur la hampe rigide, avant de chatouiller de l'ongle les bourses fripées.
– A mon tour... Gémit Christian.
Docile elle désemboucha le chibre de Christophe, le flatta de la main et goba à son tour le gland turgescent de Christian
– Les couilles... Lèches moi d'abord les couilles... Ordonna-t-il, plus exigeant, plus raffiné que son ami.
Et, toujours aussi servile, elle baisotta la tige rigide avant de léchotter d'une langue agile les bourses poilues.
Le nez enfoui dans les poils de son suborneur, elle nettoya plis après replis les deux prunes ridelées, avant de les gober à pleine bouche, aspirant, suçant plis et poils en fond de gorge pour les restituer ensuite luisantes de salive.
La queue de Christophe, qu'elle masturbait lentement à pleine paume se cabra entre ses doigts, pinçant la base du gland, elle réussit à retarder de quelques secondes l'éjaculation imminente.
Abandonnant Christian, elle s'engouffra la bite tressautante en plein gosier.
A peine cette dernière avait-elle franchi la frontière lisse des lèvres que les gerbes fusaient, lui inondant le pharynx, elle déglutit avec délectation l'épaisse potion.
– Bon... Je fais le tour du centre... A tout à l'heure... Les quitta Christophe, tandis Christian la couchait en travers du bureau.
Avec une douceur inhabituelle, il écarta les deux hémisphères soyeux, puis d'un coup de rein déterminé, il lui perfora l’œillet, s'enfonçant d'un trait au fin fond de ses entrailles brûlantes.
Le traitement préalable l'avait tant excité, qu'à peine les portes du temple franchies, englouti jusqu'à la racine, il se figea giclant à gros bouillons ses salves crémeuses dans le rectum distendu.
Se redressant avec peine, il lui enjoignit de se rendre à la lingerie, elle devrait y trier les trousseaux en attendant l'arrivée du troisième larron qui l'y retrouverait.
Echevelée, elle se redressa, le sperme débordant de son anus lui poissant l'entre fesse, la bouche pâteuse, elle le quitta, écoutant avec attention ses dernières recommandations.
– Ah oui... Il a dit que tu te mettes à poil... Il veut te trouver entièrement nue en arrivant !
Sans un mot, ayant compris la consigne, le ventre pesant, elle se rendit à la lingerie.
Rendue à la lingerie, ignorant à quel moment Jean-Pierre se manifesterait, elle se dévêtit en un tour de main.
Ce qui d'ailleurs, ne lui demanda que quelques instants, puisqu'elle n'arborait que jupe et corsage.
Puis, sans se nettoyer, conformément à leur volonté, elle se mit à la tâche.
Elle frissonnait à chaque bruit, bien que sachant les lieux déserts, elle pouvait toujours craindre une visite inopinée, qu'aurait pensé, qu'aurait conclu un éventuel trouble fête de la voir travailler en cette tenue.
Et pourtant les ordres étaient clairs et strictes, nue comme au jour de sa naissance, elle devait attendre la venue de son fouteur.
Toute la matinée, alarmée au moindre craquement, au moindre grincement, elle travailla d'arrache pied pour oublier ses angoisses.
Elle en arrivait à espérer sa venue rapide, venue qui la délivrerait de sa solitude et de ses peurs.
Enfin, sur le coup de midi, il arriva.
Il la trouva blottie entre deux piles de linge, appréhendant avec anxiété l'arrivée du visiteur qu'elle venait d'entendre, peu sûre que ce fut lui.
Elle se rasséréna à sa vue, et éperdue de joie, elle se jeta dans ses bras, lui livrant ses lèvres chaudes, c'était bien lui et non pas un quelconque quidam qui l'aurait surprise.
Tout de suite, sans plus de cérémonie, il la jeta sur le lit de repos.
Elle gisait comme une poupée de chiffon, cuisses grandes ouvertes, charmes livrés à sa convoitise.
Ouvrant son compas à la limite du douloureux, il plaça ses chevilles sur ses épaules et d'un seul élan, il la poignarda de son rostre raidi.
Quelques soubresauts, puis engagé comme une bielle entre les babines juteuses, il vomit son trop plein dans le tréfonds du vagin assoiffé, il se cabra encore l'empalant jusqu'aux couilles, pubis entremêlés tout en dégorgeant son trop plein avec des petits grognements de contentement.
Quelques coups de langue habilement dispensé et revêtue de ses maigres atours elle l'accompagna rejoignant ses compagnons au réfectoire .
Le repas rapidement avalé, elle ôta à nouveau sa jupe et fesses nues débordant largement le court chemisier, elle lava la vaisselle sous leurs regards égrillards, ils s'échauffaient déjà !
Ils s'étaient accordés un après-midi récréatif, dont, bien évidemment elle serait la principale actrice !…..
Pour être plus à leur aise, ils l'entraînèrent à l'infirmerie, toujours cul nu, suintant par ses deux orifices.
Tout l'après-midi ils la limèrent sur une cadence effrénée, se relayant pour s'épancher dans sa bouche sa chatte ou ses reins.
Ils clôturèrent la journée en se ruant simultanément dans ses trois trous béants.
Secouée d'orgasmes dévastateurs, couverte de sperme et de sueur, elle parvint à leur soutirer encore une dose appréciable de sperme crémeux.
Les jambes lourdes, le ventre brûlant, l'anus endolori elle remit de l'ordre dans la pièce, l'aéra, refit le lit tandis qu'ils se congratulaient à voix haute, commentant grivoisement ses performances.
Ainsi, jour après jour, elles se relayèrent pour apaiser les désirs de ces mâles en rut ; ce n'est que rarement qu'elles se trouvèrent réunies, tout au moins à trois, elles profitèrent de ces rares occurrences pour confronter leurs impressions.
Ce qui émergeait tout d'abord de leurs discussions, c'est la satisfaction de s'en être tirées à si bon compte sans scandale, sans éclat.
Seule, Sylvie, qui s'était déjà mise en quête d'un autre boulot, quête qu'elle menait vainement jusqu'ici se désolait de la perte de son emploi, synonyme, dans son cas de retour des gros problèmes financiers qu'elle pensait disparu.
Elle avait supplié les chefs de la garder, leur promettant de devenir leur pute à tout faire, faisant briller à leurs yeux la possibilité de disposer en toute quiétude de ses charmes le temps qu'elle serait encore à L'I.M.E, rien n'y fit.
Entre saisir une opportunité de se payer de si belles salopes sans danger, et la perspective de risquer sa place pour continuer à en baiser une, le problème n'était plus le même, et ils considéraient le risque comme trop important !
La possession d'une belle femelle, aussi lubrique soit-elle ne valait tout de même pas de risquer leur poste !
La deuxième constatation qu'elles firent c'est que toutes trois, même si elles n'osaient se l'avouer, regrettaient implicitement les corps chauds et les étreintes fougueuses de leurs jeunes amants.
Les rapports de dépendance sous lesquels elles avaient pliés
leur manquaient maintenant, ils les avaient obligées à trouver leur plaisir dans les situations les plus humiliantes, les plus perverses, avec eux ou avec des inconnus et cela leur manquait.
Leurs nuits commençaient à être traversé par des images d'une totale obscénité, où elles se voyaient livrées à des meutes en rut, les profanant par tous les trous.
La perspective de ne plus connaître ces plaisirs sulfureux les désappointaient, les désespéraient même.
Déjà elles regrettaient leurs bourreaux !
Coulybaca
Janvier 2008
dominique.dubuissez@orange.fr
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