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Terreur à Ténérife Ch 2
Coulybaca / Vulgus
Chapitre 2 : petit séjour chez le père d’Harold.
Nous sommes sortis dans la rue, il n'y a pas de trottoirs dans ces quartiers de la ville.
Les rues sont bordées de détritus et les maisons sont de bois et de tôles.
Nous sommes retournés au coin de la rue où était garé le van devant une maisonnette en moellons.
Elle était très petite.
La salle de séjour était pauvrement meublée, la cuisine servait aussi de salle à manger.
Il y avait deux pièces débouchant sur la salle principale, leurs portes étaient toutes deux ouvertes et je pus voir que l'une était une minuscule salle de nain et l'autre une petite chambre.
Harold alla jusqu'au réfrigérateur, en sortit trois bières et en donna deux à ses amis.
Tandis que chacun se mettait à son aise, enfin les 3 complices, pas Jenny et moi, un vieil homme sortit de la chambre et jeta un coup d’œil circulaire.
Il regarda attentivement Jenny et moi, et discuta avec Harold pendant plusieurs minutes, dans ce dialecte qui nous était inconnu.
Le vieil homme avait tout d'abord semblé irrité de voir son somme perturbé, mais il sourit rapidement en nous reluquant, surtout Jenny, alors qu'ils discutaient son sourire s'élargit encore.
Il s'approcha finalement de Jenny et en fit le tour, inventoriant visiblement les charmes de son jeune corps.
Harold attira mon attention et m'ordonna de m'asseoir sur une des chaises à dos droit de la cuisine. Il me recommanda le silence et de ne pas bouger si je voulais éviter que ses amis ne me donnent une nouvelle leçon de savoir-vivre.
Je me dirigeais rapidement vers la chaise et je m'assis, je me rappelais que je devais faire très attention à ce qui nous arrivait, juste au cas ou devrais relater ces événements par la suite.
J'observais donc attentivement le vieil homme qui avait sortit sa vieille pine toute ridée et se mettait à malaxer les miches de Jenny.
Il joua avec ses nichons pendant un temps assez long puis sa main descendit sur son ventre et il se mit à lui caresser les fesses, puis, après lui avoir fait écarter les cuisses il se mit à explorer sa chagatte.
Le vieil homme continuait à discuter avec Harold alors qu'il posait sa main sur elle.
Je reconnus un des mots de la conversation et j'en déduisis que le vieil homme était le père d'Harold.
Harold et ses deux acolytes semblaient le taquiner, finalement il retira son boxer-short, la seule chose qu'il avait sur le corps et il attira le visage de Jenny face à son entrecuisses, la taille de la bite de ce vieil homme m'ébahissait, bien que molle elle mesurait au moins 20 centimètres de long.
Il pressa le visage de Jenny contre ses parties génitales pendant quelques instants, puis la courbant en deux à hauteur de taille il la força à admettre sa mentule flasque entre ses lèvres purpurines.
L'odeur devait être infâme car je la vis avaler sa salive en blêmissant, je peux vous assurer qu'il ne devait pas laver très souvent.
Il était dur de deviner l'âge de ces gens, je suppose que le vieillard avait un bon 60 / 70 ans, mais cela ne l'empêcha de bander somme toute rapidement, il eut très vite le plein usage de sa virilité.
Une fois qu'il fut bien dur, Il tourna Jenny de façon à ce qu'elle nous fasse face et après avoir frotté sa bite le long de ses lèvres pendant quelques secondes, il dit sèchement quelque chose dans son dialecte.
Harold lui sourit démoniaque ment et traduisit :
- "Il veut que tu prennes sa bite dans ta chatte chérie! ...."
Jenny se redressa et empoigna sa mentule qui, bandée, faisait maintenant un bon 25 cm de long et elle la guida dans sa foufoune détrempée par les nombreux abus qu'elle avait subi ce soir.
Dès qu'il sentit son gland logé dans sa caverne inondée de foutre, le vieil homme s'enfouit violemment en elle lui empoignant fermement la taille d'une main alors qu'il lui claquait les fesse de l'autre.
Tout cela sous le regard égrillard d'Harold et de ses deux comparses qui riaient à gorge déployée.
Le visage de Jenny affichait son angoisse, de grosses larmes ruisselaient sur ses joues et j'aurai voulu désespérément l'aider.
Mais je savais que je ne pouvais rien faire contre ces brutes.
Le vieillard la secouait de violents coups de pines.
Après un bon moment un des amis d'Harold se leva et vint lécher les larmes qui coulaient sur ses joues, il lui demanda si elle passait un bon moment.
Figée, elle le regarda fixement, alors qu'il tendait la main pour luit peloter les nichons.
Elle grogna de douleur et haleta :
- Oui, oh oui je prends beaucoup de plaisir! ...."
Il gloussa et reprit :
- "C'est bien, l'industrie du tourisme est très importante pour nous! ..... On doit être sûr qu'on fait plaisir aux touristes et tout faire pour qu'ils gardent un bon souvenir de leurs vacances! ...."
Le second copain d'Harold se leva à son tour et s'approcha d'eux.
Pour la première fois je réalisais qu'il tenait une caméra digitale et qu'il enregistrait chaque scène. Il s'approcha pour prendre quelques gros plans et, tandis qu'il filmait le vieil homme et celui qui malaxait les nibards de Jenny tout en léchant ses larmes, se mirent à la tourmenter de plus belle.
Tandis que les regardais, je sentis que j'avais les yeux pleins de larmes.
Je me sentais d'autant plus coupable que je m'étais réjoui de voir Jenny encadrée par ces hommes en début de soirée et voilà que maintenant je ne contrôlais plus rien du tout, cela ne correspondait plus du tout aux fantaisies érotiques que j'avais espérées, ce n'était pas la folle soirée érotique que j'avais imaginée.
Je n'avais jamais voulu que Jenny en souffre.
Forcé de la voir violée, humiliée, et dégradée comme cela alors que j'étais incapable d'intervenir me dévastait tout autant.
Je n'oublierai jamais cette funeste nuit. Nous nous trouvions en situation dangereuse, voire même périlleuse.
Je ne pouvais que prier que dans la matinée, lorsqu'ils auraient satisfait leurs appétits lubriques, ils nous laisseraient partir librement.
Le vieillard qui labourait Jenny se mit à hurler, je n'avais aucune idée de ce qu'il criait, il cessa de s'amuser avec elle et la saisit à deux mains par la taille et s'enfouit plusieurs fois avec une extrême violence dans sa cramouille asservie, puis son corps se tétanisa et nous comprîmes tous qu'il se vidait à gros bouillons au fin fond de son utérus.
Quelques instants plus tard il s'effondra sur elle et resta enfouit en elle quelques instants avant de se retirer.
Il se dirigea vers Harold sa grosse bite bringuebalant de gauche à droite et se penchant sur lui il l'embrassa tendrement et tout excité, le remercia vivement.
Puis il se rendit dans la cuisine prit une bière et revint s'asseoir sur le canapé les yeux rivés sur Jenny.
Jenny s'était redressée lorsqu'il était parti et se tenait debout sur ses jambes tremblantes attendant sa prochaine épreuve.
Elle n'eut pas à attendre bien longtemps.
Harold se leva et entreprit de se déshabiller tout en lorgnant Jenny.
Une fois nu, il s'approcha d'elle, prit son menton en main, releva son visage vers lui et lui roula une pelle passionnée.
Elle se tenait passive, mais il n'insista pas bien longtemps.
Il lui attrapa les miches à deux mains, et e mit à les rouler et les étirer tout en lui chuchotant à l'oreille.
Elle posa ses bras autour de son cou et se serra contre lui et se mit à l'embrasser comme si c’était son amant.
C'était ce qu'il voulait et ils s'embrassèrent pendant un long moment avant qu'il ne la repousse sur ses genoux lui faisant emboucher de force son épaisse mentule.
Elle n'hésita pas une seconde.
Elle entreprit immédiatement de le sucer comme si c'était ce qu'elle souhaitait le plus au monde.
Sa bite enfla rapidement, et lorsqu'il fut satisfait de sa tenue, il se posta dans son dos et planta son gros chibre dans sa petite chatte endolorie que son père venait tout juste de violer avec brutalité.
Jenny grogna de douleur, au début tout au moins c'était de douleur, et se prit la tête entre les mains.
Harold la baisa violemment pendant plusieurs minutes, la caméra se promenait autour de nous prenant un grand nombre de plans rapprochés.
Mais, alors qu'il la chevauchait frénétiquement un de ses copains se déshabilla à son tour et dès qu'il fut nu, il s'agenouilla face à elle et lui saisit les cheveux.
Il lui planta sa bite en bouche, et tandis qu'Harold la pistonnait de dos son ami tenait sa tête ente ses mains et entreprît de lui fourrer sa queue de plus en plus profondément en bouche jusqu'à l'instant ou, d'un dernier coup de boutoir furieux il s'immisça dans sa gorge.
Il lui tenait la tête pressée fermement contre son estomac et je pouvais voir ses lèvres serrées sur la base de sa pine alors qu'il déversait des torrents de foutre dans sa gorge.
Elle commença par résister, mais finalement elle se résigna à les laisser faire ce qu'ils voulaient de son corps.
Harold les avait regardés la baiser et lorsqu'il avait vu la bite d'un de ses amis se glisser d'un seul coup de rein dans son arrière-gorge, celà l'avait tant excité que mois d'une seconde plus tard il giclait une bonne dose de foutre sur Jenny.
Lorsque jenny eut nettoyé la bite de son chevaucheur de tête, Harold lui saisit les cheveux et l'attira à lui, elle lui nettoya aussi sa mentule.
Le caméraman prenait nombre de plans rapprochés de Jenny suçant et nettoyant les bites de ses amis, c'est ainsi qu'il put prendre un filet de foutre s'écoulant de sa chatoune pour s'étaler sur ses cuisses.
Lorsqu'ils en eurent tous finis, elle s'effondra comme une masse sur le plancher et se mit à pleurer silencieusement.
Mais tout n'était pas terminé pour autant.
Le man qui avait filmé ses viols tandis la caméra à un de ses copains et se déshabilla lentement les yeux rivés sur Jenny.
Une fois qu'il fut nu tout reprit, elle suça et lécha son chibre et ses burnes jusqu'au moment où il banda.
Il la contourna alors et le fit mettre à 4 pattes, puis promena son bourgeon turgescent dans sa fentine dégorgeant de foutre, une minute plus tard il se retira et s'essuya la bite sur les joues culières de la ravissante Jenny et il entreprit de lui bourrer sa bite dans le trou du cul.
Jenny hurla et voulut fuir cet envahisseur, mais il la tenait fermement et continuait à presser son gland démesuré sur son oeillet affolé. Elle hurla de plus belle lorsqu'il franchit le premier obstacle enfouissant son gland dans son boyau.
Nous avions déjà tenté l'expérience du sexe anal auparavant, une seule fois, mais cela avait fait tant de mal Jenny que nous avions tout de suite arrêté.
J'avais une envie folle d'enculer ma femme depuis lors, mais c'était une chose que nous n'avions plus jamais essayé.
Ce gars se souciait peu de la meurtrir, non ce n'est pas même exact, il aimait la faire souffrir, et il n'était pas prêt d'arrêter.
Bien qu'elle hurla et le supplia, il continua à la bourrer enfouissant sa bite jusqu'à la garde dans son anus rétif.
Sa bite ne mesurait guère que 3 / 4 centimètres de plus que la mienne, mais elle était bien plus grosse, la douleur de Jenny était incommensurable.
Elle sanglotait hystériquement en tapant sur le plancher tout en le suppliant d'arrêter, d'extirper sa grosse bite de son anus endolori.
Pendant tout le temps de son enculage il garda un sourire épanoui sur son visage, il plaisantait avec ses copains qui l'encourageaient à lui casser le pot.
Je suppose qu'on devait être heureux que le fait de filmer ses compères l'avait grandement émoustillé, parce que grâce à cette excitation et à l'étroitesse de la gaine de Jenny il jouit rapidement.
Il demeura au chaud dans on intestin pendant un long moment mais finalement ils se retira et resta agenouillé dans son dos.
Comme elle ne bougeait pas, il lui claqua brutalement la croupe, elle hurla de plus belle.
Mais elle réalisa alors ce qu'il attendait, elle se retourna donc et entreprit de nettoyer sa mentule et ses burnes à grands coups de langue.
Une fois sa bite propre, il réclama la caméra et après une rapide discussion il ordonna à Jenny de ramper pour traverser la petite pièce et d'aller sucer à nouveau la bite du père d'Harold, pour achever la séance et la séquence du film.
Cela lui prit longtemps pour faire bander à nouveau le vieillard, je fus d'ailleurs surpris qu'il puisse jouir une seconde fois.
Bordel! .... J'étais choqué de voir qu'il était encore capable d'éjaculer.
Il remplit finalement la bouche de Jenny de sa chaude semence, elle avala docilement et le vieil homme se releva lui tapotant la tête comme on flatte une jeune chienne, et après un bref échange avec son fils, il regagna sa chambre et se remit au lit.
Les deux amis d'Harold se rhabillèrent puis nous quittèrent, j'attendais avec impatience d'être relâché.
J'étais fou d'angoisse et d'impatience lorsque Harold se posta à coté de moi et me demanda si je voulais utiliser la salle de bain.
Je n'avais pas encore réalisé à quel point j'avais besoin de passer dans la salle de bain avant qu'il ne me le demande, je hochais de la tête et gagna la salle de bain que j'utilisais en laissant la porte ouverte.
Lorsque je revins au salon il m'enjoignit de me rasseoir et il me menotta les poignets et me ligota les jambes aux pieds de la chaise.
Lorsque je fus immobilisé selon ses vœux, il escorta Jenny jusqu'à la salle de bain
Je ne sais pas ce qui s'y passa, elle protesta vivement une paire de fois, puis il y eut un grand silence et ils revinrent dans le salon.
Quoique lui ait fait Harold, cela s'avérait si gênant que Jenny n'osait pas me regarder.
Harold déplia le canapé puis poussa Jenny sur le mauvais matelas, il rampa sur elle, l'enveloppa de ses jambes et de ses bras et se prépara à dormir.
Je me réveillais plusieurs fois durant la nuit, à chaque fois Harold baisait Jenny, parfois en bouche, parfois en chatte et une fois même en trou du cul.
Cet homme s'avérait un véritable satyre, il était insatiable.
La dernière fois que je me réveillais au petit matin, une odeur de café frais me chatouilla les narines et j'ouvris les yeux pour voir le père d'Harold se faisant Jenny.
Harold oeuvrait dans la cuisine, il préparait du café et faisait griller des toasts
Ce n'est que quelques instants plus tard que je réalisais que je n'étais plus ligoté sur ma chaise.
Je jetais un oeil au-dessus de mon épaule et demandais à Harold la permission de me rendre dans la salle de bain, il m'y autorisa placidement.
J'y allais me rafraîchir le visage et me laver les mains et à mon retour dans le salon, le père d'Harold finissait de jouir profondément enfoui dans l'utérus de ma femme et s'effondrait sur elle.
Je retournais à ma chaise et Harold me tendit une tasse de café noir et un toast m'indiquant que je pouvais tirer ma chaise jusqu'à la minuscule table de la kitchenette.
Le vieillard resta longuement allongé sur Jenny, pressant son bassin contre son ventre.
Je ne voyais que le visage de Jenny apparaissant au-dessus de son épaule.
La regarder ainsi asservie me brisait le cœur.
Elle pleurait à nouveau et étendue là sans défense sous ce vieillard puant.
Finalement il roula sur le flanc et Harold intima à Jenny de lui nettoyer la mentule.
Elle se disposa à quatre pattes et emboucha la queue puante du vieillard et nettoya consciencieusement son chibre alors qu'il lui pelotait vigoureusement les nichons.
Puis Harold l'appela et lui versa une tasse de café et lui tendit un toast, il s'assit à coté de moi il commençait à puer véritablement.
Jenny s'assit sur le lit repliable, la tête entre les mains.
Elle pleurait silencieusement.
Je jetais un oeil vers Harold il affichait un sourire exaspérant sourire et haussa les épaules.
Je pensais que qu'il me donnait la permission d'intervenir, je me levais, et m'approchais de Jenny, la prit dans mes bras, et tentait de clamer ses larmes en la berçant tendrement contre moi.
J'aurai voulu lui dire que tout allait bien, j'aurai voulu dire quelque chose, n'importe quoi pour l'apaiser...
Mais je me sentais aussi désarmé qu'elle, c'était elle qui supportait toute l'épreuve, c'était elle qui se faisait violer et devait parader nue en public, qui se faisait filmer ayant des rapports sexuels avec ces cueilleurs de bananes! .....
Mais je ne pouvais que la serrer tendrement dans mes bras en lui répétant que je l'aimais et à quel point j'étais navré. C'était là tout ce que je pouvais faire! ..... Et ce n'était pas énorme.
Une fois qu'elle se fut un peu calmée, elle posa sa tête sur mon épaule et soupira me demandant comment nous allions pouvoir nous tirer de ce traquenard.
Je lui offrais une nouvelle tasse de café noir.
Il semblait que ce fut la seule chose que je puisse faire à cet instant.
Elle me répondit misérablement :
- "Je t'en prie... N'importe quoi pour estomper cet horrible goût de sperme que j'ai en bouche! ... ".
Je retournais de l'autre coté de la table, et sans même le demander à Harold, je remplis ma tasse de café et je la lui tendis.
Je lui demandais alors si elle voulait un toast l'autre spécialité de la maison! .....
Elle déclina mon offre mais sirota la tasse de café que je venais de lui offrir.
Je pensais que c'était le meilleur moment pour demander à Harold ce qui allait advenir de nous tant que ses amis ne se trouvaient pas là, aussi lui demandais-je ce qu'il comptait faire de nous! .....
Il me sourit et me dit :
- "Je sais que vous avez prévu de prendre le vol de retour après demain... Ne vous tracassez pas..... Vous serez bien dans cet avion..... Mais d'ici là, je vais avoir énormément de plaisir à m'amuser avec vous..... Je vais me débrouiller pour que vous vous rappeliez toujours de ces vacances! ..... Vous êtes de ces riches touristes qui viennent parader dans notre île, traitant les indigènes comme de la merde pendant une semaine ou deux avant de retourner chez vous ravi de votre séjour! .... Mes amis et moi-même avons pris l'habitude de choisir un couple parmi ces touristes pour leur donner une bonne leçon d'humilité! ..... On se fout un peu de savoir si vous retiendrez la leçon..... On a tant de plaisir à vous enseigner les bonnes manières! ...... C'est ce qui est le plus important pour nous..... Et cette fois on a vraiment prit du bon temps avec vous deux... Jenny est une exceptionnelle petite baiseuse! ..... Elle est jeune, ravissante, timide et sui sexy..... J'ai bien peur que les eux jours à venir soient très durs pour vous deux, et plus spécialement pour elle! ...... Elle est en train de devenir très populaire et ce sera u véritable ravissement de jouer avec ses charmes! ...."
Sur ces mots il se leva la rejoignit et lui prit la main lui intimant :
- "Suis-moi, tu pues vraiment trop! ...."
Comme il la suivait sur le chemin de la salle de bain il se tourna vers moi et m'ordonna :
- "Refais mon lit et referme-le! ......"
Puis ils pénétrèrent dans la petite salle de bain et j'entendis couler la douche.
Je défroissais les draps du lit et le repliais en arrière avant de le remettre en place.
Puis je m'assis et attendis tachant de ne pas penser aux prochaines 48 heures.
Ils sortirent rapidement de la salle de bain et Harold l'emmena dans la chambre. Lorsqu'ils revinrent, Harold était habillé et Jenny portait un fin tee-shirt.
Comme c'était un maillot d'homme fort évasé aux aisselles, les flancs de ses nichons étaient largement exposés, un large V avait été découpé sur l'avant offrant une vue complète sur ses miches.
Bien qu'elle tira dessus misérablement il couvrait à peine sa croupe, et, à chaque mouvement qu'elle faisait, il remontait offrant à tous la vue de sa ravissante chatoune rasée et de ses fesses bien fermes.
Harold dit à Jenny de s'asseoir à coté de moi, et il s'assit avec son père à la petite table et ils discutèrent ensemble sans se préoccuper de nous.
Elle continuait à tirer sur l'ourlet de son tee-shirt, mais cela ne donnait rien de mieux et finalement elle abandonna. Elle se recula au fond de la chaise laissant sa foufoune totalement exposée.
J'aurai aimé prendre aussi une douche rapide, il faisait très chaud sur cette île et la nuit avait été longue. Mais je n'avais aucun vêtement propre pour me changer aussi la différence serait-elle minime.
Et comparez à l'épreuve qu'endurait Jenny, mes petits problèmes d'hygiène semblaient bien insignifiants.
Finalement les deux amis d'Harold se pointèrent, c'est visiblement ce qu'Harold attendait.
On sortit et nous nous dirigeâmes vers le van.
Il y avait beaucoup de monde dehors, Jenny attirait l'attention de tous les hommes.
La plupart des femmes que nous croisions lui jetaient des regards mauvais et passaient sans rien dire.
Tout au contraire les hommes s'arrêtaient la reluquant des pieds à la tête et émettaient des remarques salaces qui bien qu'elles ne soient pas proférés dans une langue connue étaient parfaitement compréhensibles.
Un groupe de jeunes de dix huit ans environ se tenait prêt du van, ils interpellèrent Harold qui discuta quelques instants avec les plus vieux.
Puis il poussa Jenny vers eux, le leader la serra étroitement dans ses bras et lui roula un patin passionné tout en remontant son tee-shirt autour de son cou, puis il promena ses mains sur ses charmes alors que ses amis les entouraient envieux.
Harold riait sourdement lorsqu'il l'extirpa de la foule de ses admirateurs, le tee-shirt toujours tirebouchonné autour de son cou et la poussa sur un siège l'arrière de la camionnette.
Nous montâmes tous dans le véhicule, reprenant les sièges qu'on avait occupé cette nuit.
Jenny était assise entre les eux amis d'Harold à l'arrière, elle avait repoussé le tee-shirt sur ses nichons.
Je dus à me retourner pour voir les deux potes d'Harold molester Jenny.
Le van traçait son chemin au travers des routes étroites et sinueuses des bas quartiers de la ville et je vis qu'on se dirigeait vers une immense plantation de bananes.
Le conducteur emprunta toute une série de ruelles et il finit par se ranger devant une hutte délabrée en arrière de la route.
6 décembre 2007
Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)
Avec l'aimable autorisation de l'auteur :
Vulgus (vulgus@hotmail.com)