|
Terreur à Ténérife Ch 3
Coulybaca / Vulgus
Chapitre 3 : la fin du calvaire ?
Tout le monde sortit la camionnette, je vis alors un groupe de noirs qui nous reluquaient regardant alors que nous nous dirigions vers la hutte.
Harold dit à Jenny :
- "C'est là que travaillent les chefs! ..... Tu vas les payer pour nous laisser disposer de toi aujourd'hui... Tu vas être très gentille avec eux! ...."
Jenny hocha la tête misérablement et nous nous sommes arrêtés à la porte de la hutte. Deux hommes en sortirent, ils étaient tous deux de type espagnol et la conversation se déroula soudain en espagnol.
Nous ne parlions pas l'Espagnol, mais on était capable de reconnaître quelques mots. mais ils parlaient si vite et utilisaient tant de tournures populeuses que nous avions aucune idée de ce qu'ils se disaient.
Les deux espagnols s'approchèrent de Jenny et la toisèrent avec concupiscence. Ils avaient tous deux une bonne quarantaine d'années, ils étaient tous deux grands musculeux et mal lavés.
Un des amis d'Harold sortit la caméra et se remit à filmer, alors qu'ils exploraient avidement le corps de Jenny sous les yeux des nombreux assistants.
L'un des d'eux lui enleva son tee-shirt bien qu'il ne cacha pas grand chose de ses charmes.
Puis ils échangèrent quelques mots avec Harold et nous firent signe de rentrer dans la hutte.
Les deux espagnols emmenèrent Jenny vers un bureau disposé contre un mur et l'agenouillèrent face à lui. Ils se postèrent devant elle et ouvrirent leurs pantalons et chacun à leur tour ils lui fourrèrent leurs grosses bites en bouche, et parfois jusque dans la gorge.
Après plusieurs minutes de ce régime, ils la firent relever et la couchèrent dos sur le bureau.
L'un des deux remonta ses jambes sur son buste et entreprit de la baiser sauvagement tandis que son partenaire se dirigeait vers l'autre coté du bureau ou pendait sa tête et se mit à la baiser en bouche avec la même sauvagerie.
Jenny se débattit bien un peu au début, mais elle dut se résigner à son sort, et les laissa tranquillement se servir de son corps.
Cela ne dura pas bien longtemps, mais ils n'en avaient pas encore finis avec elle.
Ils changèrent de repris et se remirent de plus belle à la marteler de violents coups de bites.
Nous nous tenions tous quatre dans un des coins de la pièce regardant Jenny payer sa mise à la disposition d’Harold! .....
Lorsque les deux espagnols eurent bien joui de ses charmes une seconde fois, ils semblèrent se trouver dans de meilleurs dispositions, l'atmosphère se détendit, tout le monde semblait satisfait, à part Jenny et moi bien entendu.
Elle resta étendue sur le bureau pendant quelques minutes tandis qu'Harold discutait avec eux, les deux copains d'Harold profitèrent de l'accalmie pour se faire Jenny une fois de plus.
Ils prirent position de chaque coté du bureau et se servirent d'elle tout comme les Espagnols s'en étaient servis, l'embrochant par ses deux trous opposés.
Celui qui tenait la caméra continua à la filmer tout en la baisant.
Ils commutèrent leurs positions à plusieurs reprises avant de se vider les couilles dans les profondeurs de sa gorge et de son utérus.
Celui qui se trouvait dans sa foufoune attendit que son comparse extirpa sa bite de la bouche de sa victime, il se retira alors et contourna le bureau pour venir se faire nettoyer la bite par sa langue agile.
Je regardais sa chatte toute rouge et enflée le sperme des quatre hommes qui venaient de la posséder s'écoulant lentement de sa chatoune.
Elle était souillée et semblait visiblement fraîchement baisée, mais sa cramouille ne montrait pas de signes évidents des nombreux abus qu'elle avait enduré ces 12 dernières heures.
J'avais perdu le compte des hommes qui l'avaient violée depuis qu'Harold nous avait asservi.
Les deux complices d'Harold aidèrent Jenny à se relever et l'emmenèrent à l'extérieur, nous les suivîmes en les regardant.
Ils l'emmenèrent à coté du hangar devant nous six et la troupe de travailleurs de la plantation, dont queues femmes d'ailleurs.
L'un des amis d'Harold empoigna un tuyau d'arrosage et nettoya la chatte de Jenny à grand jet.
Lorsqu'il eut nettoyé les traces de sperme qui souillaient sa moule, il lui colla l'extrémité du tuyau dans la chatte, elle hurla.
Je ne sais pas si elle pleurait d'humiliation ou de douleur alors qu'il rinçait imperturbablement l'intérieur de sa cramouille.
Je remarquais que le groupe de travailleurs qui attendaient à quelques pas ne semblait ni choqué ni surpris de cette façon de faire.
Je me demandais combien de fois ils avaient assisté à ce spectacle que leur offrait Harold et ses deux acolytes.
Je savais d'après les discussions précédentes que nous n'étions pas les premiers touristes à tomber entre leurs griffes.
Enfin il ferma le robinet et tendit à Jenny son tee-shirt, qu'elle remit sur son dos.
Puis ils revinrent vers la camionnette.
Nous sommes retournés en ville et nous sommes garés devant un studio photo qui approvisionnait les quartiers populeux.
Les rues grouillaient de noirs, avec quelques espagnols et de rares blancs qui se promenaient dans la contre allée.
Tout le monde s'arrêtait pour reluquer les charmes de Jenny alors qu'à moitié nue, elle traversait, en notre compagnie, le parking pour gagner un bâtiment à quelques mètres du studio photo.
Je réalisais qu'on nous attendait, l'homme derrière le comptoir hocha la tête à l'adresse d'Harold et lorgna Jenny, il en fit le tour détaillant ses charmes ferma la porte du bureau et accrocha une petite affiche à la poignée de la porte.
On le suivit dans l'arrière salle où se trouvaient des box de poses, celui éclairé figurait une chambre à coucher naturellement.
Harold attira Jenny dans le box et discuta quelques secondes avec elle, on me poussa sur une chaise contre le mur, les comparses d'Harold s'assirent de chaque coté de moi.
J'écoutais la conversation entre Harold et Jenny.
Harold lui donnait ses instructions, elle écoutait attentivement en hochant de la tête.
Apparemment une des choses qu'il lui demandait lui posait problème, il semblait qu'elle tentait de le résonner, ou tout au moins de plaider sa cause.
Mais à la vue de l'air résigné qu'elle affichait, je compris qu'elle ne l'avait pas convaincu.
Elle savait qu'elle serait toujours la perdante, pourquoi argumentait-elle encore? .....
Harold revint vers nous et s'assit à nos cotés, le photographe se pointa alors pour prendre des photos de Jenny.
Les premières n'étaient que des poses dans son petit tee-shirt, mais bientôt elle dut l'enlever.
Interdit, je constatais que le photographe parlait en anglais, c'est le premier, à part Harold et ses deux séides, que j'entendais parler en anglais depuis ce qui me semblait un long moment.
Il prit toute une série de photos de plus en plus obscènes alors que le temps avançait.
Il travailla les expressions de son visage pendant un long moment lui faisant finalement afficher des sourires satisfaits sinon joyeux.
On avait parois l'impression qu'elle se livrait volontairement à cette séance de poses.
Puis il arrêta et changea le film de sa caméra. , puis il renouvela carte d'enregistrement des caméras numériques qui entouraient la scène.
Il s'avança dans l'aire de tournage et s'esclaffa :
- "Cette salope m'excite trop..... A genoux et viens me sucer la bite! ..... Que je puisse me reconcentrer....."
Jenny obéit sur-le-champ, ce n'était pas un gros effort pour elle.
Elle ouvrit sa braguette extirpa sa bite et le suça jusqu'à éjaculation. Elle savoura longuement son foutre! .....
Puis ils reprirent la séance de pose.
Il lui dit de se positionner sur le lit, jambes grandes écartées, puis il se dirigea vers une porte dérobée, l'ouvrit et appela quelqu'un à l'extérieur, l'invitant à entrer.
Choqué, je vis deux jeunes noirs entrer, bien qu'ils aient plus de 18 ans ils semblaient bien plus jeunes, on leur aurait donné 15 / 16 ans.
Ils savaient ce qu'il devaient faire.
Ils se déshabillèrent prestement et grimpèrent sur le lit avec Jenny, ils la prirent de toutes les façons possibles et imaginables.
Elle le suça tous deux, puis ils l'enculèrent et la baisèrent tout à tour puis deux à deux variant les combinaisons à l'infini.
Cela dura plus d'une heure et ils éjaculèrent chacun trois fois plantés en elle.
Ils se relevèrent finalement, se rhabillèrent, le photographe désigna du doigt une petite salle de bain où Jenny alla se nettoyer, tandis qu'il renouvelait les cartes et les films de ses caméras.
Les deux jeunes noirs nous rejoignirent et s'assirent à nos cotés pour assister à la suite du spectacle.
Lorsque Jenny revint dans la pièce, elle s'allongea de nouveau sur le lit et deux autres jeunes gars vinrent la rejoindre, ils parlaient en espagnol bien qu'ils soient plutôt de type caucasien.
Leur peau était très blanche, ils se ressemblaient énormément et je subodorais qu'ils étaient frères, ils étaient tous deux majeurs mais, comme les deux premiers acteurs semblaient bien plus jeunes, ils avaient conservé un certain aspect enfantin.
Ils étaient tous deux aussi expérimentés que les jeunes noirs qui les avait précédés et tous deux capables d'avoir de fortes érections et de nombreux orgasmes, comme les scènes enregistrées devaient en témoigner par la suite.
Ils re^rirent les mêmes postions que leurs deux prédécesseurs, changeant souvent de positions et la possédant de toutes les façons envisageables, en solo ou tous deux simultanément.
Jenny semblait baiser avec des mineurs.
Le tournage dura encore une bonne heure, puis les jeunes gens se rhabillèrent et prirent place avec nous comme spectateurs de la suite, déjà le photographe préparait les scènes suivantes, Il enjoignit à Jenny de prendre soin d'Harold et de ses deux complices.
Elle les suça tous les trois, puis elle se prépara à suivre les nouvelles consignes du photographe.
Depuis que nous avions quitté le club la veille au soir, à quelques coupures prêts, elle n'avait pas cessé de se faire baiser.
Je jetais un oeil sur ma montre, il était presque 15 heures.
A part quelques temps de répit, et la durée des transports cela faisait quasiment 17 heures qu'elle se faisait violer à répétition.
Evidemment, elle semblait très fatiguée, et c'est peu de le dire.
Elle suça à son tour le photographe et il l'envoya une nouvelle fois se nettoyer, une fois de retour il lui donna une paire de draps propre et lui intima de refaire le lit.
Cette opération terminée elle s'allongea sur le dos, le photographe se dirigea vers la porte et une petite jeune fille qui faisait bien moins que ses dix huit ans entra dans la pièce.
Elle ne semblait pas le moins du monde impressionnée par le nombre de spectateurs, les spots lumineux et les caméras.
Elle sourit au photographe et s'étendit entièrement habillée au coté de Jenny.
Jenny savait ce qu'elle devait faire et elle entreprit se gouiner avec la jeune fille, faisant en sorte qu'on ait l'impression qu'elle cherchait à la séduire tout en lui enlevant lentement ses vêtements pour la caresser et embrasser le joli corps d'adolescente qu'elle révélait sous l'objectif des caméras.
Je savais que Jenny n'avait jamais fait l'amour avec autre femme auparavant, sa détresse était visible de devoir se gouiner avec une fille qui paraissait si jeune, bien plus jeune que son âge réel.
Mais elle s'exécuta comme on le lui avait ordonné.
Elle embrassa la jeune fille sur tout son corps, allant jusqu'à lui écarter les cuisses pour lécher tendrement sa fentine épanouie et son petit anus frétillant alors que la caméra prenait des plans rapprochés.
Une fois qu'elle eut bouffé la chatoune de la jeune fille lui procurant plusieurs orgasmes, elle fut finalement autorisée à arrêter.
Cette fois, alors que la fille restait sur le lit Jenny se releva et se disposa à quatre pattes entre les jambes d'Harold.
On m'ordonna de me lever et de me déshabiller, je voulus refuser en comprenant leurs intentions.
Les comparses d'Harold se levèrent alors et tandis que Jenny faisait une savoureuse pipe à Harold il leva les yeux sur moi et hurla :
- "On a besoin de photos compromettantes de toi en pleine action pour pouvoir nous protéger de tout retour du bâton! .... Tu sais ce qu'on peut te faire! .... On peut te rouer de coups, on peut démolir ta petite amie, de toutes manières c'est nous qui gagnerons...... Si tu continues à refuser de participer de ton plein gré, cela va devenir extrêmement douloureux! ..... Rassemble tes esprits et cesse de te révolter! ...."
Je reluquais la fille qui couchée sur le lit souriant et riant et plaisantant avec le photographe et je reconnus que j'avais pas le choix .
Je me déloquais et quand une fois prêt le photographe se dirigea vers moi, Harold m'ordonna de bouffer le gazon de la jeune ado, puis de la baiser.
Je le regardais fixement, Jenny avait fini de lui sucer la bite et taillait maintenant une pipe à son voisin.
Puis je baissais les yeux sur la jeune fille, elle arborait maintenant une expression paniquée, effrayée, comme si elle venait d'être menacée de mort.
Il était évident que les images montreraient clairement que je violais cette jeune fille.
Je grimpais sur le lit et me postais entre ses cuisses, une fois que je fuis en place elle commença à me supplier de la laisser partir, de cesser de la toucher, de ne pas la violer.
J'ignorais son comportement et me mis à lui bouffer le gazon, sa chatte était distendue par de nombreux services, pour satisfaire Harold.
Il était évident que de nombreuses bites s'étaient déjà succédées depuis longtemps, et j'en sentais désolé, mais à cet instant j'étais encore plus préoccupé par mon sort et celui de Jenny.
Lorsque je sentis que j'avais passé assez de temps à lui lécher la chatte pour satisfaire Harold, je changeais de place et m'efforçais d'introduire ma queue molle dans sa chatoune.
Finalement je me redressais et me postais à genoux devant son visage, visiblement embarrassée, elle me prit en bouche et me suça avec expérience pour ériger ma bite.
Lorsque je fus bien dur, elle s'étendit à nouveau et la séance reprit.
Elle afficha à nouveau un air paniqué, terrifié et elle se remit à me supplier de cesser alors que je me postais entre ses cuisses et pénétrais aisément sa chatte bien rodée.
Je la baisais assez longuement, je ne saurai dire combien de temps en fait.
Puis une fois que j'eus joui, je me redressais et m'assit sur le bord du lit.
Je remarquais que Jenny avait fini de sucer les deux amis d'Harold et s'efforçait maintenant de contenter les quatre jeunes qui s'étaient succédés dans ses trois trous, la jeune fille s'assit à mon coté et me dit dans un anglais des plus pur :
- "Je suis désolée, mais je suis obligée de faire ce qu'ils veulent, tout comme vous! ....."
Je hochais la tête, je la comprenais.
Je me rhabillais prestement tandis que Jenny faisait jouir rapidement les quatre jeunes hommes.
Quand elle en eut fini, on lui rendit son tee-shirt qu'elle remit sur son dos.
Elle s'était résignée à évoluer les fesses à l'air, elle savait que dès qu'elle faisait un pas elle exhibait en totalité sa croupe.
Nous quittâmes enfin le studio photos, il était plus de 16 heures maintenant et les rues étaient de plus en plus remplies de promeneurs, il y en avait bien plus que lors de notre arrivée 5 heures plus tôt.
Cette foule prenait grand plaisir à reluquer les charmes que Jenny ne songeait même pas à dissimuler.
Harold lui avait dit de marcher deux mètres devant nous, pendant tout le chemin de retour à la camionnette, elle fut copieusement pelotée et molestée par les passants.
Elle n'essayait même pas de se défendre, elle n'avait aucune chance d'y parvenir, elle se contentait d'avancer faisant semblant d'ignorer toutes ces mains baladeuses qui inventoriaient ses trésors de féminité.
Nous nous empilâmes dans le van et Jenny dut à nouveau enlever son tee-shirt.
Elle devait s'occuper d'Harold cette fois, alors que je regardais au dehors, je fus tout surpris de voir que nous prenions la direction de notre hôtel.
Le conducteur gara son van dans le parking de l'hôtel et on en descendit.
Décidé à éviter tout problème, Harold fouilla dans un sac à coté de son siège et tendit à Jenny une minuscule jupe qu'elle enfila ainsi que son tee-shirt.
Nous sommes allés directement dans notre chambre, Harold commanda un repas pour 5 personnes.
Je ne sais pas si c'était le cas de Jenny, nous n'avions pas l'autorisation de nous parler, mais quant à moi, j'étais affamé, je n'avais rien mangé depuis la veille au soir.
Jenny dut se déshabiller à nouveau dès que nous entrâmes dans la chambre, et 45 minutes plus tard, lorsque deux serveurs apparurent apportant la nourriture elle les emmena sur le lit et leur offrit un copieux pourboire en nature.
Elle savait ce qu'elle devait faire et s'y était mentalement préparée.
Les deux serveurs étaient noirs et l'un d'eux semblait connaître Harold, ils discutèrent un bon moment, ils semblaient prendre des arrangements, je ne sais pas ce dont il s'agissait bien sur, mais je me doutais qu'il s'agissait de mauvaises nouvelles pour Jenny.
Ils nous autorisèrent enfin à manger, nous nous jetâmes tous deux voracement sur les plats.
Elle était éreintée et malade à mourir d'avoir été violée à couilles rabattues par tous ces mâles en rut, la nuit avait été longue, le jour suivant tout autant et elle était affamée après tout cet exercice.
Une fois que nous eûmes mangé, ils nous autorisèrent à prendre une bonne douche.
J'étais fort surpris de voir qu'ils nous séparaient prudemment nous interdisant de parler l'un à l'autre depuis qu'ils nous avaient piégés.
On se rendit dans la salle de bain et on resta longtemps sous le flot chaud de la douche nous serrant fortement l'un contre l'autre pendant un long moment.
J'aurai voulu la rassurer, mais je ne pouvais que lui dire :
- "Je suis désolé chérie! .... Mais rappelle-toi que je t'aime quoi qu'il arrive ! ...."
Elle sanglota pendant un long moment et me répondit :
- "Ce n'est pas ta faute..... Tu as bien essayé d'intervenir...... Mais c'est mou qui ait insisté pour rester dans cette maudite boite! ..... Si je t'avais écoutée, rien de cela ne serait arrivé! ...."
Nous nous lavâmes mutuellement et nous restâmes encore un bon moment sous le flot chaud de la douche, jusqu'à ce qu'arrive Harold nous enjoignant de sortir de la douche.
Ses copains et lui réclamaient quelques divertissements.
Jenny gémit mais nous dûmes nous séparer, fermer les robinets et nous sécher, j'enfilais des vêtements propres, Jenny resta nue et nous partîmes rejoindre nos tourmenteurs.
Jenny eut alors un coup de pot, tandis que nous nous trouvions sous la douche, ils avaient rappelé le garçon d'étage qui avait renouvelé les boissons, il était reparti tout de suite, de ce fait elle n'eut pas à lui servir de pourboire cette fois.
On prit tous place sur le balcon et ils se mirent à regarder les gens assis autour de la piscine qui discutaient dans leur langue. Ils se désignaient du doigt certains hommes, ou certains groupes, ils semblèrent finalement prendre une décision.
Harold tendit à Jenny un de ses bikini, le plus sexy, celui qu'elle avait acheté le premier jour de nos vacances.
Il avait enlevé la doublure, et lorsqu'elle l'enfila, il s'avéra si transparent que ses tétons et sa chatte poilue étaient visibles au travers du fin tissu.
Harold l'avait regardé enfiler son bikini, il l'examina longuement et sembla totalement satisfait. de ce qu'il voyait.
Il lui montra alors du doigt les deux hommes qu'ils avaient sélectionné en compagnie de ses deux amis et lui ordonna de descendre à la piscine et de les inviter à l'accompagner dans sa chambre où ils pourraient la baiser de la façon qu'ils préféreraient! ....
Jenny demanda :
- "Devant vous quatre? ...."
Harold lui répondit :
- "Non, nous nous tiendrons dans la pièce voisine, avec la porte entrebâillée... On pourra écouter et voir... Et maintenant au boulot! ...."
Nous sommes passés sur le balcon de la chambre adjacente, une minute pus tard, Jenny arriver à la piscine jeter un oeil circulaire et se diriger vers des deux touristes d'une quarantaine d'années qui parlaient ensemble à l'ombre d'un parasol en buvant un coup.
Ils avaient un paquet de verres vides devant eux, il semblait bien que cela faisait un bon moment qu'ils étaient là.
Nous regardions Jenny manœuvrer parmi la foule pour les accoster, bien que retenant l'attention de tous.
Une des mères de famille couvrit de sa main les yeux du gamin qui l'accompagnait alors que Jenny passait devant eux, je vis une autre femme donner un coup de coude à son mari pour lui enjoindre de cesser de baver sur les charmes de ma ravissante femme.
Elle parvint finalement au coté des deux hommes, elle attira immédiatement leur attention.
Elle leur sourit et devisa calmement avec eux pendant quelques minutes.
Il ne fallut que quelques minutes pour qu'ils reviennent tous trois vers l'hôtel, peu de temps après nous les avons entendu entrer dans la chambre et, une fois la porte extérieure fermée Jenny enleva instantanément son bikini et les deux hommes, des américains me semble-t-il se déloquèrent prestement.
Dès qu'ils furent tous trois entièrement nus il prirent place sur le lit, Harold entrebâilla la porte d'une bonne vingtaine de centimètres et On la regarda sucer les deux hommes jusqu'à ce qu'ils soient bien durs, puis tandis qu'elle continuait à tailler une pipe à l'un des deux l'autre se posta dans son dos et entreprit de la baiser à couilles rabattues.
Il y eut quelques instants de trouble lorsque Jenny sortit la bite de celui qu'elle suçait en protestant :
- "Non... Pas là..... Dans la chatte! ..... Je la veux dans ma chatte! ...."
Mais elle dut reprendre la bite de son chevaucheur de tête en bouche et l'homme qui la baisait éructa :
- "Ma petite dame t'as dit qu'on pourrait te faire tout ce qu'on voudrait, et moi j'ai envie de t'enculer! ..... Et maintenant concentre-toi sur ce que tu fais, moi je m'occupe de tes fesses! ...."
Il continua de lui bourrer sa bite dans le trou du cul et je l'entendais couiner de douleur alors qu'il l'enculait sans aucune tendresse, seul le plaisir qu'elle lui procurait l'intéressait.
Ils jouirent presque en même temps, puis les deux hommes s'effondrèrent sur le lit et plaisantèrent au sujet de la chaude petite salope qu'ils venaient tout juste de s'envoyer.
On s'attendait à ce qu'ils quittent la chambre, mais, au lieu der ça ils la remirent au turf, se faisant sucer pour bander à nouveau.
Une fois qu'il fut dur, l'homme qui l'avait enculée la fit monter sur lui, l'emmancha en chatte, puis il la tint ferment invitant son pote à goûter à son trou du cul.
Cela prit un petit moment avant qu'ils arrivent à coordonner leurs coups de boutoir, mais en quelques minutes leurs deux coups coulissaient alternativement dans son trou du cul et sa chatte, elle devait s'embrocher elle-même sur eux guidées par leurs mains autoritaires.
Je remarquais qu'un des potes d'Harold filmait la séance bien que la qualité de l'enregistrement laissa à désirer.
Cependant cela pouvait provoquer un surcroît d'excitation à ceux qui apprécient ce genre d'enregistrement saccadé.
Ils la baisèrent longuement cette fois, et finalement ils se vidèrent tous deux les couilles dans ses orifices asservis et se relevèrent avant qu'elles ne nettoient leurs bites souillées de coups de langue agiles.
Ils la remercièrent de leur avoir offert une distraction d'une telle qualité et lui offrirent de revenir le lendemain si le besoin s'en faisait sentir.
Jenny leur adressa un sourire triste et leur répliqua qu'elle verrait bien demain, selon son programme.
Ils la quittèrent sur ces mots et Harold ouvrit en grand la porte de communication entre les deux chambres et l'envoya se prendre une douche rapide.
Pendant qu'elle se nettoyait, nous retournâmes tous les 4 sur le balcon et ils sélectionnèrent les suivants qui pourraient se repaître de ses charmes.
En sortant de la salle de bain elle enfila une sortie de bain et vint nous rejoindre sur le balcon.
La nuit commençait à tomber et il faisait de plus en plus sombre à l'extérieur, après une courte discussion ils choisirent deux jeunes de 18 / 20 ans, ils les désignèrent du doigt, sans dire un mot elle quitta la chambre.
On la vit s'approcher, une paire de minutes plus tard des deux gars et entamer la conversation. Il n'y eut pas besoin de grands discours. En moins de deux minutes ils remontaient tous trois vers la chambre.
Nous sommes retournés dans la chambre contiguë, peu de temps après, on les entendit entrer dans notre chambre.
Les deux jeunes gars s'exprimaient dans un mélange d'anglais/français mais comme ils n'avaient que peu de choses à se dire, cela ne gênait personne.
Jenny les suça tous deux rapidement histoire de les mettre en bonnes conditions.
Puis elle s'allongea cuisses grandes ouvertes sur son lit, l'un des deux l'enfourcha et la pilonna de violents coups de boutoirs.
Ils me forçaient de les regarder copuler, cette fois encore les jeunes qu'ils avaient choisis faisaient moins que leurs âges, on aurait dit qu'ils avaient 16 / 17 ans alors qu'en fait ils en avaient plus de 18, j'avais discuté au bar avec eux deux trois jours plus tôt.
Le gars qui la baisait jouit rapidement et dès qu'il se recula, son copain le remplaça et baisa Jenny avec la même hâte que son ami.
Lorsqu'ils eurent jouis tous deux, ils s'allongèrent à ses cotés sur le lit et explorèrent lentement ses charmes, s'attardant spécialement sur ses nichons bien fermes.
Tandis qu'ils malaxaient ses nibards, elle empoigna leur chibre et en un rien de temps ils furent à nouveau raides, prêts à repartir à l'assaut.
Elle leur sourit et leur susurra quelque chose aux oreilles que je ne compris pas.
Puis elle se redressa et entrepris de sucer l'un d'eux alors que l'autre se postait dans son dos et se remettait à la baiser de plus belle.
Elle avala le foutre de son chevaucheur de tête et lorsque l'autre eut giclé dans sa chatoune elle lui nettoya consciencieusement la bite de la langue.
Puis elle les escorta jusqu’à la porte.
Une fois qu'ils furent partis, elle se rua dans la salle de bain et prit une nouvelle douche.
Nous retournâmes tous les 4 sur le balcon, je me demandais combien il se passerait de temps avant qu'ils en aient marre de ce manège, je m'imagine que Jenny se demandait la même chose.
Ils recommencèrent à examiner la foule qui entourait la piscine lorsque Jenny nous eut rejoint, ils avaient déjà choisi sa prochaine cible.
C'était un véritable colosse assis seul à une table pas très éloignée de la porte.
Je ne veux pas dire un mec musclé mais un gros homme, un obèse qui devait bien faire ses 150 kgs. Ses larges fesses molles dépassaient du siège de sa chaise et il était vêtu des pieds à la taille, vraisemblablement il n'avait pas trouvé de maillot de bain à sa taille! .....
Harold le désigna joyeusement, sans un mot Jenny se leva et partit rejoindre sa cible.
Nous la regardions approcher de son "homme" ils discutèrent pendant un temps qui me parut assez long.
Il devait penser qu'elle voulait juste l'allumer, le tourmenter comme devaient le faire un grand nombre de jeunes femmes pour se foutre de son obésité.
Finalement il se secoua et bondit sur ses jambes, et la suivit, nous sommes alors retournés dans la chambre voisine.
Cela prit un assez long moment pour qu'ils arrivent à la chambre, mais finalement la porte s'ouvrit et Jenny entra avec lui.
Ils devisèrent tranquillement, il était très difficile de deviner l'origine de cet homme.
Il avait un accent assez prononcé mais parlait couramment l'Anglais.
Je ne l'entendais pas assez bien pour déterminer d'où il venait, il parlait très doucement.
Jenny se débarrassa de sa tenue et s'approcha de lui, il explora lentement ses charmes.
Je ne serai pas très surpris d'apprendre que cet homme en fin de cinquantaine soit encore vierge.
Après avoir détaillé ses nibards et sa chatoune pendant quelques minutes, il l'enlaça la pencha sur lui et chercha à l'embrasser.
Elle referma ses bras autour de son cou et lui rendit ses baisers, bientôt ils s'embrassaient avec passion.
Ils s'embrassèrent un long moment puis Jenny l'emmena vers le lit, elle repoussa son short et son caleçon sur ses chevilles et l'invita à s'asseoir.
Elle se laissa tomber à genoux et après avoir localisé avec quelques difficultés sa petite bite elle posa la tête sous sa panse et le suça pendant trois courtes minutes.
Il grogna sourdement, la remercia de se montrer si douce, la félicita de sa beauté, je l'entendis finalement lui confier qu'il venait d'Angleterre.
Jenny embrassait sa courte queue puis elle se mit de nouveau à deviser doucement avec lui.
Elle caressait sa bite tout en discutant et elle ne tarda pas à raidir à nouveau, elle me semblait se comporter particulièrement gentiment avec lui.
J'avais l'impression qu'elle l'aimait vraiment et que finalement elle était vraiment désolée de le voir aussi affligé.
Une fois sa bite de nouveau raide, elle se positionna correctement et se démena pour l'introduire dans sa chatoune remuant son bassin pour l'exciter.
Tandis qu'elle le baisait tendrement, il tendit la main et empauma ses lourds nibards qu'il malaxa amoureusement soudain il devint écarlate alors qu'il jouissait dans la chagatte de Jenny.
Elle se retira et le suça gentiment, puis ils discutèrent encore quelques instants avant qu'elle ne l'aide à se rhabiller et le raccompagne à la porte de la chambre.
Elle retourna immédiatement dans la salle de bain prit une nouvelle douche rapide et nous rejoignit dans la chambre.
Harold avait commandé une nouvelle tournée pour nous cinq cette fois, Jenny était chargée d'offrir un savoureux pourboire au garçon quand il amènerait la commande.
Cette fois nous étions tous dans la pièce et l'on put l'observer sucer longuement l'épaisse bite noire du garçon comme pourboire.
Il la baisait assez rudement tentant d'enfoncer sa grosse mentule dans on arrière gorge, mais en sa bite était trop épaisse pour qu'il y parvienne, il s'entêtait pourtant et Harold et ses comparses riaient aux éclats en la voyant se débattre.
Finalement il gicla dans sa bouche et il l'obligea à avaler toute sa semence.
Apparemment il avait éjaculé une énorme quantité de foutre et elle dut s'y prendre à plusieurs reprises pour tout avaler servilement.
Lorsque le garçon nous eut quittés, on retourna sur le balcon et ils explorèrent les alentours de la piscine à la recherche d'une autre cible.
Cependant il se faisait tard, il ne restait plus que quelques couples autour de la piscine la plupart avec de jeunes enfants.
Harold se releva et fouilla dans les affaires de Jenny, il sélectionna la combinaison qu'elle avait achetée pour la porter sous sa courte robe noire.
Elle l'enfila, elle n'était pas plus longue que le tee-shirt qu'elle avait porté une grande partie de la journée.
Une fois qu'elle fut prête, on quitta tous la chambre, elle n'avait pas enfilé de chaussures depuis le tout début de la matinée, ils semblaient aimer la voir évoluer pieds nus.
Nous sommes retournés au club où ils nous avaient piégés et on prit une table tout près de piste de danse.
Tout comme la nuit dernière nous étions les seuls blancs dans le club.
On nous apporta des boissons, Harold nous permit de nous asseoir et de regarder les couples évoluer sur la piste de danse.
Je regardais attentivement cette érotique danse indigène qu'Harold avait enseigné à Jenny la nuit dernière.
On aurait dit une chorégraphie de boite à strip-tease.
Elle était extrêmement sensuelle.
A peine la première tournée éclusée, Harold en commanda une autre, puis il se leva et entraîna Jenny sur la piste.
Presque à chaque mouvement elle exhibait son cul ou sa chatte et ses nibards menaçaient de s'évader de sa combinaison.
Sa tenue était très provocante, et retenait l'attention d'autant plus qu'Harold se débrouillait pour exposer un peu plus ses charmes.
Ils exécutèrent deux danses puis revinrent s'asseoir à ma table pour siroter à petits coups leurs boissons.
Puis ils retournèrent sur la piste, alors que l'orchestre entamait un slow très sensuel.
Harold retourna Jenny de façon à avoir son dos contre son torse, il fit glisser les bretelles de sa combinaison le long de ses bras et laissa sa combinaison retomber autour de sa taille.
Puis il la tint étroitement contre lui, mains sur ses hanches et dansa lentement ses nibards exposés à la foule des danseurs.
L’orchestre se rendant compte de ce qui se passait fit durer longuement le slow.
Tout en dansant Harold frottait sa bite contre sa croupe, ses mains se promenaient sur son ventre, pétrissaient ses nichons pour revenir flatter son ventre laissant ses miches gonflées exposées aux regards salaces des autres danseurs ravis de l'aubaine.
Finalement l'orchestre reprit un rythme plus rapide et Harold trouva un autre moyen de captiver la foule des danseurs.
Il descendit sa combinaison sur ses genoux et elle se retrouva entièrement nue au milieu de la piste de danse.
Il balança la combinaison en direction de notre table et je me démenais pour m'en emparer avant qu'un autre danseur ne s'en saisisse comme d'un souvenir.
Il n'y avait qu'un visage blanc dans la foule des danseurs.
Jenny était totalement nue et il n'y avait pas qu'Harold qui inventoriait ses charmes.
Les danseurs se démenaient pour l'approcher pour pouvoir mieux reluquer les charmes de cette jeune blanche qui dansait nue au milieu d'eux.
Lorsqu'ils se trouvaient assez près d'elle ils se rendaient compte qu'elle laissait ses admirateurs la caresser à leur guise ils se mettaient alors à la peloter copieusement se repaissant de ses charmes plus du tout secrets.
Après un long moment, l'abandonna sur la piste et rejoignit notre table pour se désaltérer la regardant avec amusement.
Les hommes l'encerclaient étroitement et elle avait cessé de danser.
Elle se tenait nue au milieu d'une foule de noirs sur la piste de danse ils malaxaient et pétrissaient ses nichons, doigtaient sa chatoune et son trou du cul se bousculant les uns les autres pour avoir le privilège de profiter avidement de ses charmes.
La caméra avait repris le tournage et enregistrait tout qui se passait.
J'avais peur que les choses ne dérapent rapidement.
Il y avait beaucoup d'hommes excités dans la salle.
J'avais perdu le compte des hommes qui avaient baisé Jenny aujourd’hui, mais ils étaient bien une vingtaine de tous âges et de toutes races.
Ils étaient plus d'une centaine de danseurs dans la salle.
Tous très costauds, frustres, rudes, pleins d'énergie visiblement ils seraient très difficiles à dissuader si Harold venait à perdre le contrôle des événements.
Mais je suppose que ce n'était pas la première expérience de ce type pour Harold et qu'il savait quand intervenir.
Il retourna à l'endroit où Jenny était grossièrement molestée, il fendit la foule et la ramena vers la table.
Je pensais effondré que cette tenson sexuelle qui avait monté dans la salle ne pourrait se terminer que par un inéluctable gang bang!
J'étais sur que Jenny serait incapable de baiser avec tous ces hommes.
On vida nos verres puis on quitta la salle de danse, Harold me donna la combinaison de Jenny, elle dut traverser la foule à ses cotés entièrement nue alors qu'on sortait de la salle pour rejoindre la camionnette.
Juste au moment où nous atteignions le van, on entendit un cri émanant de la direction du club, nous nous sommes retournés et on vit un colosse noir qui se ruait sur nous.
Harold lui hurla quelque chose en retour puis discuta avec lui pendant quelques minutes.
Puis ils nous rejoignirent alors que nous nous tenions à coté du van; Harold annonça alors :
- "Je vous présente monsieur Pearce, le propriétaire du club, il voulait nous dire à quel point il avait apprécié la performance de Jenny, il s'est toujours montré si compréhensif avec moi que je pense qu'il serait extrêmement souhaitable que Jenny baise avec lui.
Jenny ne réagit pas à ces mots, ce n'était qu'une bite de plus à endurer.
Le propriétaire du club la prit dans ses bras.
Il la pelotait de la ceinture au cou en grognant tout en se frottant contre ses charmes.
Puis, après quelques courtes minutes il la courba sur le capot de la voiture, descendit son pantalon sur ses genoux et la fourra rudement.
Elle cria de douleur mais ne fit aucun mouvement pour lui échapper alors qu'il la violait sauvagement.
Bien entendu un des copains d'Harold enregistrait ce nouveau viol.
Quand le propriétaire du club eut fini de baiser jenny, il lui claqua gentiment la croupe, elle se retourna vivement et lui nettoya tout de go la bite avec la langue.
Il rit à pleins poumons alors qu'elle s'acquittait de cette tâche odieuse, mais il lui laissa le temps d'en terminer correctement, visiblement il adorait ça au moins autant qu'elle le détestait.
Lorsqu'elle en eut fini, il remonta soin pantalon, fit un signe au revoir de la main à Harold et retourna vers son club.
Tandis qu'il partait, Harold essuya la chatoune de Jenny avec sa combinaison, puis il me tendit la combinaison et nous montâmes dans la camionnette.
Nous sommes revenus à notre hôtel, Jenny enfila sa combinaison souillée et nous retournâmes dans notre chambre.
Harold et ses deux amis la baisèrent successivement puis l'envoyèrent prendre une énième douche.
Lorsqu'elle sortit de la salle de bain, Harold intervint :
- "Nous allons vous laisser seuls cette nuit, enfin vous ne serez pas vraiment tout seul! ...... Pendant toute la nuit et toute la journée de demain, des hommes viendront vous rejoindre dans cette chambre et Jenny devra faire tout ce qu'ils voudront! ......"
- "John se tiendra dans la chambre contiguë et s'il entend des gens se plaindre, il y aura de sévères représailles! ..... Avez vous des questions à poser? ....."
Je demandais :
- "Et après... Vous laisserez-nous partir? ..... Est-ce que ce sera la fin de notre cauchemar? ....."
Harold sourit et rétorqua vivement :
- "J'en aurai fini avec vous deux! ...."
Mais quelque chose dans sa façon de dire ces mots me laissait sceptique.
Harold partit avec un de nous tourmenteurs, le salopard restant m'ordonna de m'allonger au sol le long du mur le plus éloigné du lit et de ne rien dire à moins qu'on me demande quelque chose! ......
Comme je traversais la chambre, et m'étendais sur le sol, un oreiller sous la tête je remarquais que la porte de notre chambre était ouverte.
Jenny assise sur le lit attendait la suite.
Elle n'attendit pas bien longtemps.
Dans les minutes suivantes commença le défilé de clients.
Ils venaient passer une demi-heuree avec Jenny, puis quittait la chambre remplaçait par le consommateur suivant.
Parmi eux je reconnus de nombreux membres du personnel de l'hôtel, et bien d'autres que ne reconnus pas, mais ils portaient des uniformes avec des badges indiquant qu'ils travaillaient dans l'hôtel.
La porte n'était formée que lorsque ses clients sautaient Jennifer.
Lorsqu'ils repartaient, ils laissaient la porte entrouverte pour le violeur suivant.
L'équipe entière défila dans la chambre pendant toute la nuit, accompagnée de quelques personnes que nous ignorions si elles travaillaient ici ou non.
Ils se comportaient tous avec rudesse, ce qui était du vraisemblablement à leurs origines populaires.
Le flot des consommateurs commença à se tarir vers 6 heures du matin, mais il reprit de pus belle lorsque les équipes de jour arrivèrent vers 8 heures, on put dormir deux heures d'affilée.
Le flot régulier de consommateurs dans la chambre, leurs grognements de plaisir me firent comprendre rapidement qu'il était vain d'espérer dormir encore un peu.
Vers 16 heures le comparse d'Harold sortit de sa chambre caméra en main et obligea ma pauvre Jenny éreintée à lui faire une dernière fellation.
Lorsqu'elle se fut occupée de lui avec science, il nous prévint que l'on pouvait fermer la porte et récupérer pendant quelques heures.
Nous étions trop crevés pour manger où même prendre une douche.
Nous nous recroquevillâmes dans le lit et on dormit d'une seule traite jusqu'à 8 heures le lendemain matin.
Puis on se précipita pour faire nos bagages pour nous préparer au voyage de retour.
Nous n'avions toujours pas mangé lorsque nous sommes arrivés à l'aéroport, nous voulions y être tôt pour nous retrouver, dans un endroit sécurisé où nous pourrions en toute sécurité nous décontracter et penser à manger.
Le contrôle franchi, nous nous sommes rendus au restaurant de l'aéroport où nous avions pu nous sustenter.
Nous aurions du être affamés si on considère le peu que nous avions mangé ces trois derniers jours, mais on ne fit que picorer dans nos assiettes avant de retourner dans l'aire d'attente où nous avons trouvé deux chaises dans un endroit relativement écarté de la foule.
Je tenais Jenny serrée contre moi alors qu'elle gardait les yeux rivés au sol, perdue dans ses pensées, ou s'efforçant de ne pas penser.
Lorsqu'enfin on se retrouva assis dans l'avion qui avait décollé, elle craqua et se mit à pleurer silencieusement pendant un long moment.
Je la tenais étroitement enlacée, mais je la laissais pleurer tout son saoul, pleurer ne pouvait que lui faire du bien pensais-je en mon fort intérieur.
Les hôtesses s'arrêtèrent à plusieurs reprises s'inquiétant de cette profonde détresse, je leur assurai que tout allait bien, que Jenny avait besoin d'un peu de temps pour se reprendre.
Je commandais deux boissons fortes, le boire sembla l'aider.
Lorsqu'elle cessa de pleurer, elle tenta longuement de s'excuser pour ce qui venait de nous arriver.
Cela m'horripilait de la voir s'excuser de s'être fait violer à répétition ces trois derniers jours! .....
De mon coté je m'excusais de ne pas avoir été capable de la protéger, finalement nous nous sommes tus nous serrant l'un contre l'autre pour dormir un peu.
Nous devions changer une fois d'avion, mais excepté cette escale, nous avons dormi presque tout le temps du retour.
Je ne sais pas si nous étions vraiment reposés, mais nous avions vraiment besoin de rattraper de nombreuses de sommeil avant d'atterrir, cela nous permit de récupérer un tant soit peu.
Nous étions si heureux d'être de retour en sécurité chez nous! ......
Nous avons pris notre temps pour récupérer nos bagages et passer la douane, puis une fois hors de la foule nous avons pris un taxi pour rentrer plus vite chez nous.
Nous nous sentions un peu mieux à chaque minute passée sur notre sol originel, les trois derniers jours passés à Ténérife ne s'était pas effacé le temps du vol retour, mais nous sentions à nouveau en sécurité sur le sol national.
26 décembre 2007
Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)
Avec l'aimable autorisation de l'auteur :
Vulgus (vulgus@hotmail.com)