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Review This Story || Author: Coulybaca

Educatrices

Part 8

L'EDUCATRICE

Coulybaca - Texte personnel.

Tous les jeunes participant physiquement à laction sont âgés de plus de 18 ans.



Chapitre 8 : Echanges


La prise de possession des lieux se fit sans coup férir, le vaste appartement, entièrement aménagé pour la vie en semi-autonomie réservait une vaste salle de loisir commune, une cuisine salle à manger confortable et six chambres meublées de vastes lits.


Il était conçu pour servir de sas transitoire entre la vie surveillée de l'IME et l'autonomie totale de l'extérieur.

Une chambre était aménagée pour recevoir l'éducateur chargé d'aider les jeunes sortants dans leurs démarches et la gestion de leur vie matérielle.

Dans l'esprit des chefs, cette chambre accueillerait l'éducatrice de service.


L'infirmière qui demeurait à proximité y séjournerait aussi bien que de façon moins soutenue, puisqu'elle pouvait rester d'astreinte chez elle.

De toute manière c'était aux trois volontaires de gérer leur emploi du temps, mais en aucun cas les jeunes ne devaient rester hors de surveillance.


Toujours dans leur esprit, les trois aînés seraient à même d'y prouver leur débrouillardise et leur capacité à s'autogérer sous contrôle bienveillant.

La consigne donnée aux éducatrices était de les laisser agir le plus possible, de n'intervenir qu'en cas de conflit ou d'abus flagrant.

Dans ce but, eux mêmes ne feraient que de rares visites de façon à laisser les situations se nouer et se dénouer de la façon la plus naturelle.

Ils avaient beaucoup appréciés ce tandem d'éducatrices, qui sans violence, sans éclat, avait si bien réussi à maintenir ces jeunes jusqu'ici sources de multiples problèmes dans un chemin qu'ils pensaient pavé de bonnes intentions.


Chacun prit possession de sa chambre, en fonction de la disponibilité de leurs maîtresses.

Ils conçurent un planning leur permettant de toujours avoir à leur disposition trois femelles, se débrouillant même pour pouvoir profiter des quatre à la fois deux soirées par semaine.


Elles mirent sur le compte de l'entraide et de la solidarité cette activité qui les chassait souvent de leur foyer, les maris ne pipèrent point, et la vie s'organisa suivant les normes qu'avaient fixées les jeunes.


Quel que soit l'heure du jour, elles devaient être nues ou porter des tenues suggestives propres à exciter la convoitise de leurs amants, aucun voile ne devait protéger l'accès de leurs trous toujours disponibles.

Toutes quatre, à force de parader en bas, porte-jarretelles, voiles arachnéens, se trouvaient excitées en permanence, la cyprine coulait à flot de leurs moules lascives.

Le cul graissé en permanence elles étaient toujours prêtes que ce  pour une étreinte hâtive sur le bord de la table, ou pour une possession à plusieurs dans la douce tiédeur des couettes de lit.

Il arrivait même souvent que deux d'entre elles s'aiment sous les yeux des trois jeunes investissant simultanément les trois orifices de la délaissée.


Deux jours ne s'étaient pas passés que déjà Fabienne et Françoise avaient compris ce que dorénavant ils attendaient d'elles.

Un soir, à la tombée de la nuit, elles accompagnaient Miloud et Stephan partis chercher des cigarettes dans le coin le plus mal famé de la ville.


Choisissant un bar tabac des plus louches, Miloud s'accouda au comptoir et commanda quatre demis, elles protestèrent qu'elles n'avaient pas soif, mais bien plutôt pipi, rien n'y fit, elles durent consommer, puis, puisque c'était leur désir, ils les emmenèrent aux toilettes, mais à leur grande

confusion, dans celles des hommes.


Les  deux compères s'amusèrent à les faire pisser dans les urinoirs suspendus, elles donnaient un spectacle croquignolet, ventre tendu vers le bac, sursautant à chaque bruit.

La vessie contractée par la crainte de voir surgir un client, elles s'efforcèrent de les satisfaire sous leurs rires.

Enfin, étirée sur la pointe des pieds, le ventre tendu au dessus de la faïence blanche, les petites lèvres pressées entre leurs doigts, pour mieux diriger le jet, elles parvinrent à se soulager.

Elles ne purent cependant éviter les éclaboussements qui leur souillèrent les cuisses.

Elles 'étaient troussées toutes deux au dessus de la taille, un mouchoir humide à la main, se nettoyant les cuisses et la fente lorsque surgirent deux consommateurs interloqués.


Sur un signe de Miloud, elles durent terminer la toilette de leurs chattes, avant de s'enfuir véritablement devant les sarcasmes des deux voyeurs, qui, ravis d'assister à un tel spectacle, commentaient grivoisement le tableau.

Folles de honte, elles s'empressèrent de régler cigarettes et consommations, puis, avant le retour des deux intrus, elles se précipitèrent au dehors, cherchant à se dissimuler pour attendre leurs tourmenteurs.


Ce n'est qu'une fois rentrées à l'appartement, que racontant la scène à leurs amies, elles comprirent que dès leur entrée dans les toilettes, Miloud escomptait l'arrivée d'étrangers désireux de les contraindre à cette exhibition obscène devant des tiers inconnus, cela augurait bien de l'avenir proche !


En bref la vie allait bon train dans l'appartement, les quatre femelles ne vivaient plus que pour le plaisir de sentir exulter leur corps, elles ne ressentaient même plus d'humiliation devant leurs volontés les plus perverses et se pliaient avec volupté à toutes leurs initiatives, surenchérissant même souvent.


Bêtes à jouir elles ne se sentaient vraiment bien que la pine dans la chatte la bouche ou le cul, cherchant souvent à les avoir dans leurs trois trous simultanément, goulues de sexe elles n'aspiraient plus qu'à pour se faire troncher du mieux et le plus souvent possible.


Françoise constata sans surprise la présence de plus en plus fréquente de Francis dans son sillage, insouciante elle ne s'en préoccupa pas.

Toute à l'exultation de son corps, elle n'en ressentit qu'une aversion encore plus marquée pour son mari qui la faisait ainsi surveiller.

De toute manière, les trois jeunes prenaient assez de précautions, ils n'exhibaient leurs compagnes que dans l'intimité, ne s'autorisant aucune privauté dans les lieux par trop public.


Un après midi que Miloud et Fabienne se promenaient dans le même quartier louche, il s'entendit héler :  

Dirigeant leurs regards vers la terrasse du "globe", ils aperçurent un petit gros qui de la main leur faisaient signe Miloud le reconnut tout de suite. 



Ils prirent place au coté du petit gros .

Blond, la figure bouffie, de petits yeux porcins, le gaillard déplut d'entrée à Fabienne, d'autant plus qu'il la déshabillait du regard.

Elle sentait ses yeux ramper le long de ses courbes, le contact lui semblait si physique, qu'elle en ressentit comme une brûlure.  


Rouge jusqu'aux oreilles, le cœur bourrelé d'angoisse, les larmes au bord des yeux Fabienne écoutait fiévreusement cet échange, en devinant déjà la conclusion.

Une fois de plus elle serait contrainte, elle devrait se soumettre aux fantaisies libidineuses de son maître. 


Les deux garçons pénétrèrent dans une loge séparée de la salle principale par une porte western, ils s'assirent au fond sur la banquette, Fabienne debout face à eux.  

D'un geste lent, pâle de honte, Fabienne releva la courte jupe sur ses cuisses, le liseré des bas apparus, puis la zone de chair dorée du haut de la cuisse et enfin le triangle blond frisé de son pubis.

Seule la toison fournie de Fabienne dissimulait encore sa fente.  


Docilement, servilement, elle pivota sur les talons exhibant l'opulence de ses fesses musclées, séparées par le profond sillon culier.  


Sous les commentaires graveleux, Fabienne pâlit encore, l'entrée du serveur un plateau à la main ajoutant encore à sa confusion.

Le bas du corps dénudé, jambes légèrement écartées, la main du testeur entre les fesses, Fabienne offrait une image d'une parfaite obscénité, et en avait conscience.

Elle rougit cette fois, désemparée, elle ne cherchait même pas à se soustraire à la caresse de plus en plus appuyée. 


Michel obligea de la main Fabienne à présenter de nouveau sa chatte, lissant les poils, les démêlant afin de mieux découvrir la fente charnue, des doigts il suivit les grandes lèvres, effleurant du pouce le clitoris qui, affolé, se raidit au contact de la caresse furtive, puis il lui enfonça facilement l'index dans le vagin.   

En effet le mécanisme du plaisir s'était emparé du corps de Fabienne, sa tête avait beau dire non, elle perdait tout contrôle de son ventre, de ses reins, son exhibition et les caresses brutales la chaviraient.

Brusquement sa motte s'était inondée de cyprine, elle sentait sa liqueur sourdre de son sexe poissant toute sa fente, son ventre se tendait vers la caresse infâme.


Brutalement le pouce du petit salaud lui força l'anus, il entreprit de lui masser la chair tendre et fine du périnée entre le pouce et l'index.

Dans un soupir, Fabienne du avouer son orgasme sous lœil des trois mateurs narquois.


Le serveur appelé à l'extérieur les quitta, tandis que Michel, d'une main fébrile sortait son gros sexe rouge de son slip.  

Comme elle s'agenouillait pour obtempérer, Miloud intervint :

- Ah non mon vieux...  T'as le droit de tâter mais pas de goûter ! Demain après midi à l'appart... Amène ta putain et tu goûteras à la mienne... Préviens les copains, nous on présentera le cheptel au grand complet...


Bizarrement, Fabienne se sentit lésée, elle était si préparée à la fellation qui devait suivre, qu'elle ressentait presque de la frustration de s'en voir privée.


La soirée se passa calmement au rythme des coups de queues de ces messieurs impatients de se voir au lendemain.

Les trois adolescents disposaient de leur harem au complet pour cette soirée qu'ils voulaient fracassantes, inoubliables.

Excitées, quelque peu inquiètes les quatre jeunes femmes s'affairaient dans l'appartement suivant les directives de leurs amants.

Françoise et Murielle portaient leurs tenues de soubrettes modèles, petits tabliers blancs sur porte-jarretelles et bas alors que Sylvie et Fabienne dévêtues d'une guêpière et de bas semblaient attendre le client.


Elles n'auraient pas d'ailleurs pu mieux dire, à la première sonnerie à la porte, elles reçurent pour mission de s'agenouiller de chaque coté de la porte et d'honorer les visiteurs de leurs bouches charnues.

Sans rechigner, prêtes à tout elles se prosternèrent la gorge tendue et attendirent le chaland.

La porte s'ouvrit avec fracas, trois jeunes malfrats à l'allure douteuse pénétrèrent, surpris et ravis de l'accueil, ils défouraillèrent sans attendre s'enfonçant avec délice dans les réceptacles offerts, tandis que leurs nanas, dans leurs dos assistaient à la réception.


La bouche forcée par une épaisse bite odorante, les femelles ployèrent le cou, engouffrant jusqu'aux amygdales les chibres tendus.

A peine deux ou trois sucions appliquées et les lances vibrantes aspergèrent leurs luettes d'un flot crémeux et acre.

La bouche à peine libérée, déjà dautres membres se présentaient, Miloud imitant ses copains prétendit se faire cajoler ainsi que le dernier invité.


En bonne pipeuses dociles, à nouveau elles se trouvèrent une bite enfournée jusqu'au tréfonds de la gorge, queues qui ne tardèrent pas à arroser de leur venin les cavernes chaudes.

Le sperme suintant aux commissures des lèvres, elles se levèrent, et fesses prises à pleines mains, elles précédèrent les invités au salon.


Miloud présenta son groupe : 

Les arrivants se présentèrent à leur tour.

Michel, le petit blond grassouillet, que Fabienne connaissait déjà était suivi d'une belle blonde sophistiquée, l'air assez dédaigneuse, Claudine lépouse du notaire du lieu, Rachid un grand noir aux épaules musculeuses tenait Nicole, une petite brune, pétillante de vie, femme de médecin, par les hanches, Roland, le plus maigre, affirmait son emprise sur Odette, une blonde potelée, la quarantaine épanouie, elle aussi femme de notable.


Les trois femmes, le même age, la même allure racée, faisaient visiblement partie de la bourgeoisie du cru, on les imaginait plus facilement au bridge, les cartes à la main que dans un bouge la queue des trois gaillards qui les accompagnaient en pleine bouche.


Silencieusement, sans enthousiasme, visiblement sous la contrainte, elles se dévêtirent, ce qui permit immédiatement à leurs admirateurs de constater que si Claudine était une vraie blonde, Nicole une brune naturelle, Odette, elle, était décolorée, son sexe châtain en témoignait clairement.

A leur tour, les garçons quittèrent leurs jeans et leurs tee-shirts.


Les trois jeunes femmes découvrirent avec stupeur la conformation particulière de Michel et Rachid.

Michel était doté d'un sexe mafflu, qui s'il était normal par sa longueur, était effrayant de grosseur.

Hypnotisée, Fabienne y porta la main pour en vérifier la réalité, sa main refermée était loin d'en faire le tour, d'un diamètre avoisinant celui d'une bouteille de "Heineken" ce qui lui valait d'ailleurs ce surnom, elle reposait telle une grosse courge violacée sur deux grosses oranges poilues.

Rachid, s'il présentait un ustensile d'une grosseur normale, bien que supérieure à la moyenne, frappait surtout par la longueur invraisemblable de son long cylindre noir, une vraie queue de mule qui pointait agressivement vers les intimités dévoilées.


A cette vue, les trois femmes sentirent des picotements au fond de leurs vulves, les trois invitées, certainement habituées à leurs conformations, n'y prêtait guère attention, évaluant d'un oeil furtif les trois virilités qui, elles le savaient, se glisseraient bientôt dans tous leurs orifices.


Sans un mot, Michel s'allongea et attira Fabienne à lui, elle était effrayée à l'idée d'engloutir cette monstruosité dans sa chatte.

Les autres couples les entourèrent, curieux de voir comment elle s'y prendrait pour se prêter à l'effraction qui la guettait.

Avec effroi, Fabienne décida de prendre les initiatives, à défaut de vaseline, ou de pommade, elle enduisit le gros cylindre de sa salive, puis de la pointe des doigts, elle se graissa abondamment la fente, se barbouillant le méat, de son jus  enfonçant ses doigts le plus loin possible dans son conduit pour plus l'assouplir.


Elle ne pouvait retarder plus le moment fatidique, le dos au sol, Michel l'empoigna aux hanches, l'installa à l'aplomb de son vit animalesque, puis lentement il la descendit sur son pieux tendu.

L'énorme courge buta sur la vulve, lui écrasant les lèvres, malgré la tartine de cyprine lui beurrant la chatte, il n'arrivait pas à s'introduire dans le chas crispé par l'appréhension.

Il la releva avec douceur, et soudain avec une violence inouïe l'empala sur son gourdin.


Un cri déchirant jaillit des lèvres de Fabienne, de lourdes gouttes de sueur froide perlèrent sur son front, envahissant rapidement son visage, elle ouvrit désespérément la bouche, à la recherche d'un peu d'air .

Bien que seule la tête de la mentule soit parvenue à pénétrer sa chatte elle se croyait éventrée, cela avait craqué du coté du périnée, elle se croyait déchirée.


En vérité, l'énorme masse avait réussi son entrée, le muscle annelé s'était fait le plus large, le plus dilaté, effectivement à la limite de la rupture pour mieux admettre le visiteur surdimensionné.

La sueur lui inondant le visage, les joues creusées, des douleurs lancinantes irradiant de son ventre meurtri, elle le sentit appuyer sur ses hanches la forçant doucement à engloutir le pal frémissant, la sensation d'envahissement se précisait, elle sentait sa matrice lui remonter sur l'estomac au fur et à mesure de l'impitoyable progression.

Ses poumons sifflant comme des soufflets de forge, c'est avec joie qu'elle sentit enfin ses fesses reposer sur le ventre musclé, elle n'aurait pu subir plus longtemps ce supplice du pal sans s'évanouir, l'énorme présence dans son ventre la remplissait toute.


Ce fut pire encore, lorsqu'il la souleva pour la laisser retomber, l'empalant à nouveau jusqu'au col, chaque fois qu'il la relevait, les spectateurs pouvaient entendre un étrange bruit de succion, immédiatement suivi du ronflement de ses poumons lorsqu'elle retombait.

Cependant, peu à peu l'abominable douleur s'estompait, laissant place à une anesthésiante lourdeur, son ventre tendu à bloc se transformait en un bout de bois que seuls quelques picotements élançaient encore, elle coulissait plus aisément sur la courge disproportionnée, les picotements embrasaient maintenant son ventre, des éclairs résonnaient dans sa tête, l'effroyable souffrance avait pris fin se muant en un infâme plaisir.


D'elle même elle reprit le mouvement de va et vient, accélérant son rythme.

Un torrent de sperme jaillit soudain dans son ventre, l'immonde fût tressautait dans son étui moulant, le plaisir fulgura dans ses reins, ses râles se confondant aux grognements de plaisir de Michel, inerte elle s'effondra pantelante sur le torse de son amant.


Dans son ventre l'épaisse bite ne faiblissait pas transmettant ses derniers spasmes aux muqueuses hyper-sensibilisées, longtemps ils se tinrent enlacés sans bouger lui toujours emmanché en elle, cherchant à reprendre leur souffle .

Se dressant sur ses mollets elle se releva difficilement, le bruit de succion reprit terminé par un plop sonore lorsque l'énorme bonde quitta son ventre meurtri.

Des flots de sperme débordèrent de sa chatte lui poissant les cuisses et la motte, elle s'écroula vidée, se lova contre le flanc de son suborneur et s'assoupit.


Ce spectacle d'une rare intensité avait tant échauffé les spectateurs qu'ils se ruèrent sur les femelles disponibles.

Stephan embrocha d'un coup roide Odette, la fausse blonde, il la poignarda jusqu'à la matrice.

Roland s'emparant de la bouche de Françoise lui enfonçait sa tige jusqu'à la luette.

Rachid empoignant Sylvie lui faisait absorber la totalité de sa queue , s'aboutant au fond de sa matrice avant de pousser une tête curieuse par delà le col.


Miloud lui s'était accaparé la chatte convoitée depuis presque six mois, mais sa queue se perdait dans la moule distendue de Claudine si souvent ramonée par Michel, qu'elle ne serrait plus les queues des baiseurs normalement constitués, seul Michel pouvait encore ressentir une certaine pression quand il plongeait dans ce gouffre.

La retournant sur le ventre, il lui empoigna les deux fesses , les écartant  rudement avant de poignarder sa corolle de son rostre tendu, Michel l'enculant rarement compte rendu de la difficulté de la chose, la rondelle plus élastique absorba son chibre jusqu'à la racine, l'étranglant dans son

étroit chenal.


L'excitation était telle que dans les cinq minutes qui suivirent, tous les mâles avaient vidé leurs couilles  dans les ventres, les bouches, les culs avides de semence.

Tous à l'exception de Rachid qui maintenait Sylvie épinglé sur sa tige comme un papillon sur son présentoir.

D'un coup les cris de Sylvie se firent frénétiques, ses pleurs éveillèrent l'attention des autres couples, qui somnolaient épuisés de jouissance, rampant sur le ventre ils s'assemblèrent autour du couple fornicateur.


Rachid avait entrepris de la sodomiser, si au début tout s'était bien passé, la queue copieusement enduite de cyprine avait facilement perforé son oeillet, et avait progressé d'une vingtaine de centimètres sans coup férir dans ses entrailles, maintenant la tâche était beaucoup plus ardue, ce ne serait pas du gâteau d'admettre le tiers restant.


Raidi sur ses jambes, Rachid forçait comme un damné pour enfoncer encore sa longue bielle dans les entrailles frémissantes.

Les petits cris de Sylvie s'étaient mués en hurlements de douleur, son intestin semblait lui remonter dans la gorge, la pression était atroce, elle n'était plus qu'un bloc de douleur crispée, tétanisée dans un ultime refus, et pourtant le long cylindre progressait encore, s'enfonçant inexorablement dans son fourreau abominablement distendu.

Enfin avec soulagement, elle sentit les poils frisés de ses bourses lui chatouiller les fesses, l'épreuve était terminée, pensait elle optimiste, ce en quoi elle avait tort car Rachid s'il s'était retiré avec douceur de son boyau martyrisé s'y renfonçait d'un coup de boutoir d'une violence inouïe.

Le cul véritablement éclaté, Sylvie ne retira aucun plaisir de ces abominables va-et-vient dans son rectum maintenant anesthésié, telle une poupée de son, elle se laissait embrocher, n'aspirant plus qu'au jet de foutre qui marquerait la fin de son supplice.


Mais les choses n'en restèrent pas là, conscient qu'après le passage de son copain, il devrait parvenir à enculer la belle pouliche, Michel qui ne pouvait le faire que très rarement, vu la taille de son abomination, s'approcha du couple et frappant l'épaule de Rachid lui fit signe de lui laisser la place.

Celui ci comprit illico le message, déculant de la belle, il roula sur le dos, la reprit par la taille et lui imposa à nouveau sa bite dans son fourreau naturel.


La satisfaction de Sylvie dura peu, l'énormité de la masse qui vint peser sur sa pastille la renseigna immédiatement sur l'identité de son nouvel agresseur.

Folle de peur, elle rua dans tous les sens, échappant à l'étreinte de Michel, mais pas à la queue de Rachid qui lui restait fichée profondément dans le ventre.

Tout à fait réveillés, Miloud et consort se précipitèrent pour seconder Michel et l'aider à mener à bien son abominable projet.


Maintenue enclouée sur la queue de Rachid, Miloud et Stephan lui écartant les jambes de force, Roland lui ouvrant largement les fesses, Michel sous le regard captivé des spectateurs entreprit de guider son énorme pieux sur sa cible au centre des fronces brunes, il pressa fortement la rondelle pour mieux en éprouver la résistance, puis d'un formidable coup de son estoc il lui pourfendit la pastille.


Seul le gland était passé, l'anneau ridelé se déformait atrocement formant un bourrelet qui épousait la racine du gros champignon, la peau dilatée du sphincter semblait étrangler la tête de l'ignoble envahisseur.

Sous le coup d'estoc, les yeux de Sylvie s'étaient révulsés, des flots de sueur coulaient de son front à son nombril, il lui semblait qu'on lui découpait la rondelle au rasoir elle se mit à forcer, ou plutôt son ventre se mit à forcer, contre elle mˆme en quelque sorte, en tout cas contre sa volonté pour que s'élargisse encore l'orifice et que l'intrusion, qui était inéluctable en fut facilitée.


Son anus la trahissait et collaborait à sa propre invasion.

Le sphincter céda soudain sous la pression monstrueuse.

D'un coup puissant et implacable Michel s'installa en elle, dans ses intestins chauds et palpitants, de toute sa grosseur.


Elle était pleine à éclater de la monstrueuse cheville plantée dans ses reins, c'était tout à fait intolérable.

Elle avait l'impression que son boyau avait du se déplier pour l'accueillir, lui faire place, s'adapter à ses mesures.


Michel sortit d'elle presque en entier, puis revint, forçant  s'installant, faisant sa place, son trou, la douleur était montée si haut en elle, que ses plantes de pieds étaient crispées par d'affreuses crampes.

Sylvie haletait maintenant, les deux jeunes hommes commencèrent à remuer lentement en elle cherchant à coordonner leurs mouvements.

Elle finit par s'accorder au rythme alterné des deux queues qui lui taraudaient le sexe et le cul, la limant en cadence.


Elle vibra d'abord imperceptiblement, puis de façon plus nette, comme si elle consentait à ce coït.

Oubliant la douleur sourde qui subsistait encore en elle, elle perdit toute retenue, se cabrant, projetant violemment son cul en arrière, les deux gars se déchaînèrent, leurs rythmes se désunirent, d'un seul coup ils se plantèrent tous deux jusqu'à la garde.


Rachid débordant largement le col, Michel s'enfonçant encore plus qu'il n'était encore allé , ils jouirent simultanément, Michel lui éclaboussant les parois du rectum, tandis que Rachid déchargeait à longues giclées dans le fin fond de son vagin l'entraînant dans une cascade d'orgasmes en chaîne.


Le ventre secoué de vibrations intenses, Sylvie ne parvenait pas à revenir sur terre, encore emmanchée sur les deux queues qui lui transmettaient leurs derniers soubresauts, elle n'en finissait plus de jouir.


Quand enfin elle se calma, Michel décula lui arrachant encore un gémissement, la prenant à la taille, Rachid extraya sa bite du vagin vorace, et la laissa rouler à terre, elle resta longtemps pantelante, haletante avant que de pouvoir reprendre ses esprits, honteuse de ce plaisir bestial qu'ils

lui avaient tous vu prendre.


Quelques heures, quelques sodomies, quelques enconnages, quelques pipes plus tard sonna enfin l'heure de se séparer.

C'est épuisée qu'elles s'étendirent au coté de leurs seigneurs et maîtres, sombrant immédiatement dans un profond sommeil réparateur.


Ainsi fêtes et journées de routine se succédaient, ses dames se mettaient maintenant sans rechigner à servir aussi bien aux copains qu'à eux même, convaincues qu'elles étaient de devoir tout leur accorder pour conserver le plus longtemps possible le plaisir qu'ils savaient si bien leur dispenser.


Coulybaca

Janvier 2008-01-03

dominnique.dubuissez@orange.fr


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