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EDUCATRICES
Coulybaca Texte personnel
Tous les jeunes participant physiquement à l’action sont âgés de plus de 18 ans.
Chapitre 9 : Prises sur le fait… Comment se tirer d’affaire !
Déjà trois semaines s'étaient écoulées, les quatre jeunes femmes se pliaient avec plus que de la docilité aux désirs des jeunes, elles participaient pleinement à leur possession leurs âmes s'étaient faites à l'exultation de leur corps, elles en redemandaient, au point de ne plus observer leur emploi du temps, provoquant d'elles mêmes des motifs de rencontre supplémentaires.
Le mari de l'infirmière se félicitait de voir sa femme si productive, encore quelques années et leurs soucis d'argent s'estomperaient, celui de la pharmacienne se réjouissait de la voir si épanouie en compagnie de jeunes femmes dont il n'aurait jamais douté de leur honorabilité, quant au mari de l'éducatrice de week-end, content de voir sa femme si active, si dynamique, bien que regrettant son indisponibilité familiale pensait qu'au moins ainsi il n'avait rien à craindre d'éventuels rivaux.
Françoise était certainement la plus mal lotie des quatre, elle supportait de plus en plus mal les hommages rapides de son mari, que de migraines ne ressentait-elle d'ailleurs à l'heure du coucher, alors qu'elle le sentait de plus en plus soupçonneux .
Son tau de jalousie croissant d'ailleurs régulièrement en fonction de son imprégnation alcoolique.
Encore, n'assistait-elle pas aux rapports de Francis à son mari, le jeune voisin avait beau s'escrimer à la suivre, bien qu'il renifla quelque chose de louche, il n'arrivait pas à la coincer en flagrant délit, ce qui paradoxalement renforçait les certitudes de l'époux aigri.
Mais Francis se rendait compte, peu à peu, à l'écoute des épanchements de l'imbibé, que c'était pas tellement sa femme qu'il jalousait, mais que surtout il se plaignait de voir disparaître la jeune fille soumise à ses désirs et à ses volontés qu'il avait épousée.
Plus que l'infortune dont il se croyait victime, il ne supportait pas l'évolution de son épouse qui petit à petit s'affranchissait de son respect du mâle .
Plus que son amour propre, c'était son machisme qui souffrait.
la vie coulait donc paisible entre les banales possessions, banales bien que parfois rudes de la semaine, et les soirées d'échange du week-end.
Ces soirs la, elle devaient se soumettre à de parfaits inconnus, elles servaient de monnaie d'échange à leurs amants, qui, grâce à leurs charmes pouvaient s'offrir le corps d'autres bourgeoises du cru, bourgeoises par ailleurs bien souvent elles mêmes sous la suggestion de jeunes voyous.
Cet avant dernier samedi de juillet, Françoise accueillait trois jeunes males dans ses trois orifices, Murielle faisait de même, alors que Sylvie et Fabienne se gouinait en 69 tandis que deux bites turgescentes leur foraient l'anus, Miloud et ses amis les pines bien au chaud dans la bouche des femmes de leurs potes tentaient de faire durer le plaisir, lorsque sans bruit la porte s'ouvrit.
Sidéré par le spectacle inouïe qui s'offrait à ses yeux, Christophe, l'éducateur chef de service se figea sur le pas de porte.
Claquant la porte avec violence, il signifia son intrusion aux partenaires orgiaques.
A sa vue, les trois pensionnaires de l'établissement sentirent leurs queues se recroqueviller dans les bouches pourtant si accueillantes, les femmes rouges de confusion se jetèrent avec précipitation sur leurs fringues, pressées de reprendre une tenue plus décente.
Dans un silence de glace, les copains et leurs amis prirent congé de leurs hôtes, Ils se hâtèrent, peu désireux de risquer de se voir identifier.
Christophe les laissa partir sans réaction, il préférait nettement laver le linge sale en famille, certain que ni ces jeunes voyous, ni leurs compagnes n'avaient intérêt à voir s'ébruiter l'affaire.
Le ton glacé, il ordonna :
- Vous trois vous faites vos valises... Quant à vous... Mesdames.... je vous attends au rapport demain matin... 9 heures...
Folles de confusion, de honte, les quatre femmes ne demandèrent pas leur reste, elles s'esquivèrent rapidement.
Lors de leur retraite, d'un geste furtif, discret, Françoise logea dans son sac à main les différentes bandes vidéo, témoins de leurs exploits.
Elles se réunirent chez Fabienne, l'absence du mari de cette dernière parti pour un congrès en région parisienne leur permit de reprendre leurs esprits au calme.
Bien sur, Fabienne se montrait la moins inquiète de la tournure des événements, elle pensait que ses amies ne mêleraient pas son nom au scandale qui risquait de survenir, elle n'était rien pour l'I.M.E, et de ce fait ne voyait pas pourquoi elle pourrait être inquiétée.
C'était loin d'être le cas de ses trois compagnes qui s'inquiétaient de voir leurs maris informés de leurs turpitudes, elles savaient qu'elles seraient mises à la porte, mais le tout était de savoir comment leur éviction se ferait !
Dans le meilleur des cas, peut-être qu'en offrant leurs démissions ?
Des explications à fournir à leurs conjoints, elles comptaient sur leur ingéniosité, mais encore fallait-il que le motif du renvoi ne soit pas celui constaté... Sinon ...
Peu rassurées, elles se quittèrent au petit matin, s'objurguant les unes à les autres à trouver une solution pour sortir de ce mauvais pas.
Après une courte nuit de réflexion et d'angoisse, elles se retrouvèrent pour partir ensemble au lieu de leur jugement.
Après mures réflexions, elle étaient toutes trois parvenues aux mêmes conclusions, leur seule monnaie d'échange, leur seule véritable chance était leur corps.
Elles ne doutaient pas de l'impact de leur soirée sur leur chef, et elles étaient bien décidées à jouer de leurs charmes pour corrompre leur supérieur.
D'ailleurs, sans même se consulter, elles arboraient toutes trois des tenues forts suggestives, moulantes et courtes pour les jupes, vastes et échancrés pour les corsages.
Aucune d'entre elles ne réalisait, que le marché qu'elles se proposaient d'honorer leur aurait fait horreur six mois plus tôt, conscientes de la beauté de leurs corps et de la force de leurs tempéraments, elles se préparaient à s'offrir en plature au chef en contrepartie de son silence, du moins partiel.
Leur seul inquiétude résidait dans la crainte de se voir repoussées par un tyranneau intransigeant.
Avec crainte elles heurtèrent la porte du bureau.
Une voix calme, sereine, brève leur intima d'entrer.
Christophe, juché sur un fauteuil derrière son bureau leur enjoignit de s'asseoir face à lui.
Dès cet instant, elles mirent en pratique leurs projets de séduction.
Relevant haut leurs jupes, elles s'assoirent toutes trois jambes haut croisées étalant les stries colorées des jarretelles sur leurs cuisses dodues.
Le regard rivé aux entrecuisses des belles, Christophe éructa :
- Heu... Vous savez pourquoi vous êtes là... Miloud et ses comparses ne rejoindront leur nouveau foyer que cet après midi... Je peux donc parfaitement... Si vous niez les faits... Vous confrontez avec eux...
Allons bon, pensèrent-elles d'un même accord, ça partait mal et silencieuse, ployant sous l'algarade, elles se contentèrent d'ouvrir encore les jambes.
Christophe plongeait maintenant jusqu'au fond de petits slips transparents.
De sa place, il pouvait apprécier jusqu'au grain incarnat de la qualité des blessures exhibées devant ses yeux plus ou moins hagards.
La vue des cicatrices mauves des slips follets s'échappant des dentelles l'affolaient, il sentit une poussée de chaleur lui envahir les reins tandis que de grosses gouttes de sueur perlaient à son front.
Tacitement mandatée par ses amies, Françoise intervint alors
– Ne pourrait-on s'arranger... Si vous voulez.. Nous sommes prêtes à... Beaucoup...
– Heu... Qu'entendez vous par là... Les faits sont les faits... Et je ne vois pas comment...
– Bien sur les faits sont les faits... Cependant... Est-il bien utile de les évoquer... Peut-être qu'une simple lettre de démission suffirait... Il est de votre pouvoir de... je vous répète... Mes compagnes et moi sommes prêtes à... Vous remercier au cas ou...
En prononçant ses mots, elle s'était penchée vers lui, exhibant à ses yeux conquis la ferme opulence de ses seins offerts dans leur écrin soyeux.
Christophe ne savait plus ou donner du regard, la vision de ces pubis velus, de ces poitrines fermes le subjuguait, il n'osait pas comprendre leur offre...
Et s'il se trompait ? Que faire ?....
La tentation était trop forte...
Il fallait qu'il les amène à préciser...
– Q'entendez vous par vous êtes prêtes à beaucoup offrir, si votre affaire s'arrange... Bien sûr une lettre de démission pourrait convenir... Mais ce serait une offense au code de déontologie... Et il faudrait vraiment m'offrir beaucoup pour que je pense à... Déroger...
Murielle renchérit alors, se penchant à son tour, révélant sa gorge nue jusqu'au nombril, avec vulgarité, sûre de faire encore monter la tension elle ajouta :
- Tu nous a très bien compris... Peut-être n'auras-tu plus jamais une si bonne chance de baiser trois belles nanas... Promènes tes yeux sur nos cuisses, nos fesses, nos tétons... Tu verras ce qu'on t'offre... Il ne tient qu'à toi d'en profiter...
Craignant de s'engager seul dans une telle voie, il la coupa alors :
- Tout ça c'est très bien... Mais... Je ne suis pas seul à décider... Christian, Jean-Pierre ont leur mot à dire... Au moins que votre offre ne les englobe... Au quel cas...
Conscientes de s'être engagées trop loin pour maintenant reculer, elles se concertèrent du regard, puis Françoise reprit :
- Bien sur... Notre offre les concerne aussi... Eux aussi pourront...
- Alors c'est très bien… Approuva Christophe rasséréné
- Je les appelle...
D'un doigt tremblant, il composa le numéro du bureau de l'internat sur la ligne intérieure.
– Christian... Jean-Pierre est avec toi ? Pourriez vous venir ? L'entrevue prend un tour inattendu... Elles nous offrent leurs culs si... Vous arrivez... Dans trois minutes... Bien on vous attend... Vous les filles profitez en pour me montrer vos charmes de plus prêt ! Allez et que ça grouille !
Ne pouvant plus reculer, elles se levèrent, s'approchèrent de lui et sur un geste impératif, retroussèrent leurs jupes.
Fébrilement il baissa les affriolantes petites culottes, il ne savait plus ou donner de la main.
Ses collègues le surprirent une main dans les entrecuisses grand ouverts de Sylvie et Françoise, alors que retournée, le corps ployé vers l'avant, s'écartant les fesses à deux mains Murielle offrait son anus violet à sa convoitise.
S'emparant par la taille de Sylvie et Françoise, ils s'assirent les prirent sur leurs genoux tandis que Murielle prenait place sur ceux de Christophe.
Christian précisa alors :
- C'est bon... On va vous arranger le coup... Mais en contrepartie... vous serez à notre complète disposition le temps de votre préavis... Que nous fixerons à... Disons à quinze jours...
Le rouge aux joues, elles opinèrent de la tête, entérinant par ce geste le marché.
Immédiatement, l’œil égrillard, Jean-Pierre suggéra :
- Puisqu'on est tombé d'accord... Montrez nous vos capacités... Allez Sylvie... Transformes mon roseau en chêne !
Obéissante, Sylvie se coula entre les cuisses grandes écartées de son solliciteur, et imitée de Françoise, elle fit glisser la fermeture éclair du pantalon puis extirpa une grosse verge congestionnée du slip douteux.
Elle enfourna, en même temps que Françoise la noble flamberge déployée, et suçant de tout son cœur, elle entreprit de donner le plus de plaisir possible à son profiteur consciente de signer de ses lèvres le contrat qui les unissait.
Christophe, lui, déjà largement échauffé par les trois femelles n'avait aucun besoin de préambules, il écarta d'un geste les papiers sur son bureau, et saisissant Murielle à la taille, il la plia sur le meuble, ventre appliqué au verre froid.
Avec impatience il lui rudoya les fesses, les ouvrant à lui faire mal et d'un seul élan s'engouffra entre ses reins fiévreux.
Bien qu'habituée à se faire ramoner l'étroit conduit, elle ne put refouler un cri de douleur consécutif à la brutale intrusion, n'en ayant cure il l'empala jusqu'à la garde et se mit à ruer dans ses reins dilatés.
On n'entendait plus que des halètements dans le bureau, elles s'acquittaient avec le plus grand cœur de leur première traite et c'est presque avec la joie du travail bien accompli que les deux zélées fellatrices recueillirent à pleine bouche la semence de leurs contractants tandis que
Murielle sentait le sien se déverser à gros bouillon dans ses entrailles frémissantes.
Chaque jour elles se rendirent à leur rendez vous, leurs culs, leurs bouches, leurs cons obtinrent des chefs une démission motivée pour un motif moins grave : elles avouèrent, par défaut de surveillance avoir laissé les jeunes dévolus à leur responsabilité se livrer à des trafics interdits : troc, racket, beuveries...
Cette entente gagnée à la force des reins leur valut aussi de toucher 'intégralité de la prime de licenciement, ce qui leur permit de faire passer avec plus de facilité la nouvelle de leur arrêt à leurs maris, qui ne s'étalèrent pas sur les motifs de renvoi, certains qu'ils étaient de la véracité des lettres de licenciement.
Bien sûr la pilule ne passa avec facilité, mais elles surent se montrer assez chattes avec leurs conjoints pour envisager leur avenir avec plus de sérénité.
Elles prirent très vite le rythme, chacune leur tour, elles accordaient leurs faveurs aux trois mâles en rut qui profitaient du peu de monde dans les locaux vidés par les vacances.
Souvent seules, parfois à deux ou trois, au hasard des lieux elles se faisaient trousser sur une table, sur un lit, une pile de linge, dans la salle de sports.
Entièrement à la disposition de leurs chefs, elles se pliaient à leurs désirs quelque soit l'endroit et le trou par lequel ils désiraient les forcer.
Ainsi, ce mardi, Françoise, précédant leur venue, les attendait à genoux sur le paillasson du bureau.
Christophe ne dédaignait pas d'adjoindre à l'humiliation une petite pointe de douleur, ce qui d'après lui, pimentait les rapports.
Les poils durs de la véritable brosse lui meurtrissant les genoux, jupe courte, sexe libre de tout voile, corsage baillant, dévoilant largement les globes fermes de ses seins, le cou tendu, elle guettait l'arrivée des queues que bientôt, en courtisane zélée, elle cajolerait de son mieux.
Des bruits de pas troublèrent le silence glauque du petit matin, la porte s'ouvrit, déjà débraguettés, Christophe et Christian lui fourraient déjà leurs bites épaisses sous le nez.
Des effluves musquées envahirent ses narines, d'un commun accord, ils ne se briquaient plus la byroute, estimant qu'entre autre, c'était aux trois femelles de maintenir leurs génitoires propres.
Ces flagrances lui occasionnant quelques nausées, stoïque, pressée, elle empoigna la flamberge de Christophe à pleine main, retroussa le prépuce et engloutit voracement le gland rose marbré de filets douteux.
De l'autre main, elle masturbait son collègue, elle avait saisi avec vigueur le sceptre tendu et jouait maintenant à faire coulisser la peau sur la hampe rigide, avant de chatouiller de l'ongle les bourses fripées.
– A mon tour... Gémit Christian.
Docile elle désemboucha le chibre de Christophe, le flatta de la main et goba à son tour le gland turgescent de Christian
– Les couilles... Lèches moi d'abord les couilles... Ordonna-t-il, plus exigeant, plus raffiné que son ami.
Et, toujours aussi servile, elle baisotta la tige rigide avant de léchotter d'une langue agile les bourses poilues.
Le nez enfoui dans les poils de son suborneur, elle nettoya plis après replis les deux prunes ridelées, avant de les gober à pleine bouche, aspirant, suçant plis et poils en fond de gorge pour les restituer ensuite luisantes de salive.
La queue de Christophe, qu'elle masturbait lentement à pleine paume se cabra entre ses doigts, pinçant la base du gland, elle réussit à retarder de quelques secondes l'éjaculation imminente.
Abandonnant Christian, elle s'engouffra la bite tressautante en plein gosier.
A peine cette dernière avait-elle franchi la frontière lisse des lèvres que les gerbes fusaient, lui inondant le pharynx, elle déglutit avec délectation l'épaisse potion.
– Bon... Je fais le tour du centre... A tout à l'heure... Les quitta Christophe, tandis Christian la couchait en travers du bureau.
Avec une douceur inhabituelle, il écarta les deux hémisphères soyeux, puis d'un coup de rein déterminé, il lui perfora l’œillet, s'enfonçant d'un trait au fin fond de ses entrailles brûlantes.
Le traitement préalable l'avait tant excité, qu'à peine les portes du temple franchies, englouti jusqu'à la racine, il se figea giclant à gros bouillons ses salves crémeuses dans le rectum distendu.
Se redressant avec peine, il lui enjoignit de se rendre à la lingerie, elle devrait y trier les trousseaux en attendant l'arrivée du troisième larron qui l'y retrouverait.
Echevelée, elle se redressa, le sperme débordant de son anus lui poissant l'entre fesse, la bouche pâteuse, elle le quitta, écoutant avec attention ses dernières recommandations.
– Ah oui... Il a dit que tu te mettes à poil... Il veut te trouver entièrement nue en arrivant !
Sans un mot, ayant compris la consigne, le ventre pesant, elle se rendit à la lingerie.
Rendue à la lingerie, ignorant à quel moment Jean-Pierre se manifesterait, elle se dévêtit en un tour de main.
Ce qui d'ailleurs, ne lui demanda que quelques instants, puisqu'elle n'arborait que jupe et corsage.
Puis, sans se nettoyer, conformément à leur volonté, elle se mit à la tâche.
Elle frissonnait à chaque bruit, bien que sachant les lieux déserts, elle pouvait toujours craindre une visite inopinée, qu'aurait pensé, qu'aurait conclu un éventuel trouble fête de la voir travailler en cette tenue.
Et pourtant les ordres étaient clairs et strictes, nue comme au jour de sa naissance, elle devait attendre la venue de son fouteur.
Toute la matinée, alarmée au moindre craquement, au moindre grincement, elle travailla d'arrache pied pour oublier ses angoisses.
Elle en arrivait à espérer sa venue rapide, venue qui la délivrerait de sa solitude et de ses peurs.
Enfin, sur le coup de midi, il arriva.
Il la trouva blottie entre deux piles de linge, appréhendant avec anxiété l'arrivée du visiteur qu'elle venait d'entendre, peu sûre que ce fut lui.
Elle se rasséréna à sa vue, et éperdue de joie, elle se jeta dans ses bras, lui livrant ses lèvres chaudes, c'était bien lui et non pas un quelconque quidam qui l'aurait surprise.
Tout de suite, sans plus de cérémonie, il la jeta sur le lit de repos.
Elle gisait comme une poupée de chiffon, cuisses grandes ouvertes, charmes livrés à sa convoitise.
Ouvrant son compas à la limite du douloureux, il plaça ses chevilles sur ses épaules et d'un seul élan, il la poignarda de son rostre raidi.
Quelques soubresauts, puis engagé comme une bielle entre les babines juteuses, il vomit son trop plein dans le tréfonds du vagin assoiffé, il se cabra encore l'empalant jusqu'aux couilles, pubis entremêlés tout en dégorgeant son trop plein avec des petits grognements de contentement.
Quelques coups de langue habilement dispensé et revêtue de ses maigres atours elle l'accompagna rejoignant ses compagnons au réfectoire .
Le repas rapidement avalé, elle ôta à nouveau sa jupe et fesses nues débordant largement le court chemisier, elle lava la vaisselle sous leurs regards égrillards, ils s'échauffaient déjà !
Ils s'étaient accordés un après-midi récréatif, dont, bien évidemment elle serait la principale actrice !…..
Pour être plus à leur aise, ils l'entraînèrent à l'infirmerie, toujours cul nu, suintant par ses deux orifices.
Tout l'après-midi ils la limèrent sur une cadence effrénée, se relayant pour s'épancher dans sa bouche sa chatte ou ses reins.
Ils clôturèrent la journée en se ruant simultanément dans ses trois trous béants.
Secouée d'orgasmes dévastateurs, couverte de sperme et de sueur, elle parvint à leur soutirer encore une dose appréciable de sperme crémeux.
Les jambes lourdes, le ventre brûlant, l'anus endolori elle remit de l'ordre dans la pièce, l'aéra, refit le lit tandis qu'ils se congratulaient à voix haute, commentant grivoisement ses performances.
Ainsi, jour après jour, elles se relayèrent pour apaiser les désirs de ces mâles en rut ; ce n'est que rarement qu'elles se trouvèrent réunies, tout au moins à trois, elles profitèrent de ces rares occurrences pour confronter leurs impressions.
Ce qui émergeait tout d'abord de leurs discussions, c'est la satisfaction de s'en être tirées à si bon compte sans scandale, sans éclat.
Seule, Sylvie, qui s'était déjà mise en quête d'un autre boulot, quête qu'elle menait vainement jusqu'ici se désolait de la perte de son emploi, synonyme, dans son cas de retour des gros problèmes financiers qu'elle pensait disparu.
Elle avait supplié les chefs de la garder, leur promettant de devenir leur pute à tout faire, faisant briller à leurs yeux la possibilité de disposer en toute quiétude de ses charmes le temps qu'elle serait encore à L'I.M.E, rien n'y fit.
Entre saisir une opportunité de se payer de si belles salopes sans danger, et la perspective de risquer sa place pour continuer à en baiser une, le problème n'était plus le même, et ils considéraient le risque comme trop important !
La possession d'une belle femelle, aussi lubrique soit-elle ne valait tout de même pas de risquer leur poste !
La deuxième constatation qu'elles firent c'est que toutes trois, même si elles n'osaient se l'avouer, regrettaient implicitement les corps chauds et les étreintes fougueuses de leurs jeunes amants.
Les rapports de dépendance sous lesquels elles avaient pliés
leur manquaient maintenant, ils les avaient obligées à trouver leur plaisir dans les situations les plus humiliantes, les plus perverses, avec eux ou avec des inconnus et cela leur manquait.
Leurs nuits commençaient à être traversé par des images d'une totale obscénité, où elles se voyaient livrées à des meutes en rut, les profanant par tous les trous.
La perspective de ne plus connaître ces plaisirs sulfureux les désappointaient, les désespéraient même.
Déjà elles regrettaient leurs bourreaux !
Coulybaca
Janvier 2008
dominique.dubuissez@orange.fr